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Annex: 6

ADCOM/3/(86):1

RAPPORT

DU

DIRECTEUR DU CENTRE
SUR LE PROGRAMME ET PROGRES DU
CENTRE REGIONAL AFRICAIN D'AQUACULTURE
DURANT LA PERIODE DU

décembre 1985 - octobre 1986

TROISIEME REUNION DU COMITE CONSULTATIF

I. L'ARRIERE PLAN

Le Centre Régional Africain d'Aquaculture fut crée à la suite des recommandations du Premier Séminaire Régional sur la Planification de l'Aquaculture en Afrique tenu en juillet 1975 à Accra (GHANA). Et également, en tenant compte des recommandations faites à la conférence organisée par la FAO sur les techniques en Aquaculture, tenue à Kyoto au Japon en 1976, où une stratégie globale du développement de l'aquaculture a été conçue. Les domaines vitaux accentués de la stratégie globale étant:

  1. La sélection des systèmes d'élevage capables d'être adoptés à une large échelle dans les régions en voie de développement.

  2. Une plus grande application des technologies connues pour l'augmentation de la production et la promotion d'investissement plus accru pour la réalisation de cet objectif: ce qui passe par la formulation de projets sérieux, basés sur des études pratiques ou des opérations pilotes.

  3. La provision de services de support sous forme de recherche adaptée afin de faciliter le transfère de technologie et le perfectionnement des techniques, la formation du personnel et l'échange d'informations.

Quoique le document de projet de l'établissement du Centre Régional Africain d'Aquaculture fut appróuvé en decembre 1978, le projet ne fut opérationel qu'en janvier 1980.

A cause des retards prévus dans la construction des locaux permanents et des étangs sur le site choisi, et acquis à Aluu, Port Harcourt, le centre fut innauguré, logé dans des locaux temporaires au Centre de Formation de Développement Rurale (RDTC) à Aluu, utilisant également les facilités de la station en eau saumâtre de NIOMR à Buguma aussi bien que celles de la ferme piscicole en eau douce à Okigwe. Le début du programme de recherche fut programmé pour 1981 suivi d'une période d'application de cinq ans d'un programme de recherche appliqué. Le système d'information conçu pour les analystes de ADCP, devra être testé avant son introduction dans les centres régionaux dans la période 1982 à 83. Après l'établissement de facilités parmanentes pour le centre régional et le développement total de ses programmes de recherche, de formation et d'information, une decision devra être prise dans le but de choisir et de renforcer des centres nationaux appropriés et de les affilier au centre régional afin de former un réseau effectif.

La deuxième phase fut alors approuvé afin de compléter les activités commencées en 24 mois de la première phase et de réaliser ses objectifs immédiats, qui sont :

  1. assister dans l'établissement et l'équipement des facilités permanentes du Centre Régional Africain d'Aquaculture.

  2. développer les programmes de recherche et de formation du Centre Régional Africain d'Aquaculture.

  3. former près de 175 candidats en tant que Aquaculteurs de niveau superieur capables de diriger les différents services de pêche des pays participants.

  4. identifier les besoins en infrastructure, de personnel, etc. pour l'affiliation avec le centre régional afin de pouvoir tester des technologies appropriées y compris c celles développées au centre régional, former des techniciens et du personnel qualifié pour la vulgarisation et de participer au système d'information de l'aquaculture régional affilié au système global. (AQUIS)

  5. exécuter des programmes de recherche appliqués, choisis de ADCP/REP/12 “Programme de Recherche” établi pour le Centre Régional Africain d'Aquaculture.

  6. sujet à la disponibilité de financement provenant des pays participants ou de sources bilatérales ou multilatérales, pourvoir une formation en service en recherche en aquaculture pour les jeunes chercheurs aquaculturists des pays africains qui seront envoyés en stage au centre dans le cadre du TCDC (Coopération Technique des Pays en Voie de Développement).

  7. initier un programme coordonné d'assemblage de transformation, d'accumulation et de recouvrement des informations importantes dans la recherche et le développement de l'Aquaculture sur un plan régional et éventuellement le relier aux systèmes inter-régionaux d'information.

L'ARAC est l'un des centres affilié au réseau inter-régional des centres d'Aquaculture, établi conformément à la stratégie globale du développement de l'Aquaculture, recommandée à la Conférence de Kyoto en 1976 et co-ordinée par le programme de mise en valeur et de coordination de l'aquaculture (ADCP) installé au siège de la FAO à Rome.

Des rapports sur le progrès de l'ARAC de ses débuts à Octobre 1985 furent présentés à la première et deuxième réunions du comité consultatif d'ARAC, 30 Janvier - 1èr Février 1984 et du 11 au 15 Novembre 1985 respectivement. Ce rapport-ci couvre la période de Décembre 1985 à Octobre 1986.

2 LE PROGRAMME DE FORMATION D'ARAC

Le programme de formation d'ARAC est prévu de donner une formation multidisciplinaire aux aquaculteurs de niveau supérieur venant des différents pays africains. Le contenu du programme de formation multidisciplinaire des aquaculteurs de niveau supérieur a été mis au point par un comité spécial en 1979 et publié sous forme de document par la FAO portant la référence ADCP/REP/79/7.

Le même document a été écrit suivant les règlements de la faculté d'Agriculture pour le programme de M.Tech (Aqua), conformément à l'affiliation d'ARAC à Rivers State University of Science and Technology. Le programme de formation a commencé en Juin 1980. Cinq formations ont été terminées et le sixième est en progrès.

Dès le départ l'ARAC a une programme de formation bilingue en Afrique. A la fin du sixième cours de formation en Décembre 1986, 131 aquaculteurs au niveau supérieur provenant de 26 pays africains (113 anglophones, 13 francophones) et 1 non-africain (Haiti), auraient été formés. Selon la Mission d'Evaluation de la PNUD/FAO, le programme de formation a montré un progrès notable dans les réalisations des rendements projétés. Le programme de formation est toujours applicable aux besoins de la région. Cependant, il y a la question sur le nombre d'aquaculteurs au niveau supérieur dont les pays participants ont besoin.

2.1 Cinquième cours de formation

Vingt cinq stagiaires provenant de 10 pays furent admis pour la formation. De ce nombre, 11 étudiants furent reçus pour le M. Tech. (Aqua) et 14 eurent le diplôme d'ARAC.

2.2 Sixième cours de formation

Trente stagiaires provenant de 10 pays africains et non pays africain (Haiti) participent au 6e cours. A la vérification de diplômes effectués par une équipe d'officiers de RSUST/ARAC, des 30 stagiaires furent qualifiés pour le M. Tech. (Aqua). Le sixième cours qui a commencé le 9 janvier 1986 finira le 13 décembre 1986.

2.3 Critères d'admission à la formation d'ARAC

La formation d'ARAC a une capacité d'admission maximale de 35 stagiaires par formation, mais, l'admission de candidats dépend de leurs qualifications académiques, la formation étant une formation après la licence, et de la disponibilité de financement qui est normalement la responsabilité du gouvernement qui propose ces candidats. Le nombre admis pour le 5e et le 6e cours fût de 33 et 35 (voir Appendix 1 et 2), cependant le nombre de candidats à avoir participé à la formation fût de 25 et 30 respectivement.

Le manque de financement pour les stagiaires est la principale cause de la réduction du nombre de candidats inscrits aux cours. Le centre essaie d'assister les pays sans finances pour leurs nominés, lorsque des contributions volontaires provenant de sources telle que la BAD sont disponibles.

2.4 Sources de financement pour la formation d'ARAC

Le tableau II donne le résumé des differentes sources de financement pour les six formations. Les financements pour la formation jusqu' ici ont été pris en charge par la BAD, le projet de la PNUD/FAO, l'USAID et les gouvernements de Nigéria, du Gabon et du Mali.

2.5 Nombre total des stagiaires par pays

Le Tableau III présente le nombre total des stagiaires selon leur pays de provenance. Si la liste de sixième cours est inclu, le nombre total de pays serait 26 dont 15 sont anglophones et 10 francophones et 1 d'Haiti (non-africain).

2.6 Attribution du diplôme de M.Tech. (Aqua) par RSUST

Au cours de la cérémonie de remise de diplômes et la distribution de prix qui a eu lieu en avril '86, les candidats de la 3e, 4e et 5e formations d'ARAC ont été honorés du diplôme de “Master of Tech. (Aqua)” de l'Université.

Le nombre de stagiaires reçus au diplôme universitaire est de 15, 12 et 13 respectivement.

2.7 Activités des anciens stagiaires d'ARAC

L'examen des activités des anciens stagiaires d'ARAC après leur retour dans leur pays respectif montre que des 56 étudiants qui ont été reçus après les 3 programmes de formation à ARAC(1980–81) 51981/82) et (1982/83), 27 d'entre eux pratiquent l'aquaculture et 20, travaillant avec des services de pêche, pratiquent la pêche en général. Ainsi un total de 83 aquaculteurs au niveau supérieur formés à l'ARAC sont engagés à la promotion de développement de l'aquaculture dans leur pay, respectifs.

2.8 Les personnel de formation d'ARAC

L'anglais et le français sont les 2 langues utilisées pour la formation Les stagiaires se retrouvent ensemble pour les travaux pratiques. 4 aquaculteurs de la FAO, 10 agents de recherche de NIOMR, et les missionnaires nationaux et internationaux forment le corps enseignant du programme de formation. Le Tableau 4 montre la liste actuelle du personnel d'ARAC.

2.9 Formation linguistique pour le personnel et les stagiaires d'ARAC

Les cours d'anglais ont été donnés aux francophones et le français aux personnel et stagiaires anglophone d'ARAC. Ce cours est organisé par l'Alliance Française de Port Harcourt grâce au concours de l'Ambassade de France.

3. IMPLEMENTATION D'UN PROGRAMME DE RECHERCHE APPRCUVE

Le retard pris dans la finition des travaux de la ferme piscicole en eau douce à Aluu, est due aux contraintes financières que connait le pays. Par conséquence, le manque de facilités d'étang en eau douce, pendant les premières étapes de développement d'ARAC, et peut être jusqu'à maintenant a restreint l'exécution du programme de recherche approuvé et en même temps les besoins des stagiaires pour leur essai d'élevage et des projets spéciaux. La priorité a été donc accordée à établir une solution aux besoins des stagiaires.

La ferme piscicole en eau saumâtre à Buguma fut mise à la disposition de l'ARAC. Cependant avant qu'un quelconque travail de recherche sérieux ne fut entrepris, il était nécessaire de faire certains travaux de rénovation et de rehabilitation des facilités. Les étangs et les canaux eurent besoin d'être nettoyés de la vase qui y était accumulée et les digues aurent besoin d'être rehaussées et rehabilitées. Cette tâche prouva plus difficile qu'envisagée initialement, aussi bien qu'en nombre d'heures de travail, que financement. Cependant, depuis février de cette année, les progrès appréciables obtenus peuvent permettre le début des travaux de recherche.

Des travaux de recherche sur le Tilapia guineensis (une espèce euryhaline propre aux lagunes et estuaires partoat on l'Afrique de l'Ouest, un poisson de consommation populaire ; avec un intérêt régional quant à ses potentiels pour les buts de l'Aquaculture. Un tilapia d'eau douce, Oreochromis niloticus, le chat marin local, Clarias lazera et Chrysichthys nigrodigitatus furent entrepris avec le dessein de développer les techniques de l'élevage commercial. Dans le but de gagner du temps, il fut decidé de concentrer les efforts de l'administration, des chercheurs, des scientistes de cadre moyen, t de certains stagiaires assignés à Buguma ; en utilisant toutes les ressources et facilités disponibles à l'élevage du T. guineensis. Les expériences peuvent être résumées de la façon suivante :

3.1 La monoculture du Sarotherodon mélanotheron (sexes confondus) produisant 2,575 Kg/ha/an (avec une estimation de 3 récoltes/an)

3.2 Un élevage associé (sexes confondus) du S. melanotheron et du T. guineensis produisant de 2,5 à 3 tonnes par an (avec une estimation de 2 récoltes par an).

3.3 Une culture monosexe de Tilapias

Production, élevage des alevins, élevage en étangs. Production et physiologie du Tilapia guineensis.

3.3.1 La ponte et la production des alevins

Une technique pour une ponte en masse synchronisée du T. guineensis a été développée ; et plus de 150 000 alevins furent reproduits. Au cours de trois easais de reproduction, utilisant des bacs en béton de 25,0.3 m3, 10 à 20 milles larves de poissons sont reproduits à chaque essai. Le pourcentage de nombre de couples de T. guineensis reproduit allait de 35 – 50% (nombre total de couples dans chaque essai 17 à 20) et la période moyenne de la ponte dans les trois essais était de 1.7, 7 et 7 jours. Plus amples informations sur le sujet sont données dans une fiche technique d'ARAC déjà établie. Les habitudes de reproduction et la fécondité du poisson furent examinées par un stagiaire d'ARAC.

3.3.2 Elevage des alevins de T. guineensis

Une recherche a été faite pour déterminer le taux de croissance et la survie des alevins sous une variété des conditions et des t traitements, en utilisant des frayères et des bacs en béton. Les essais ont été faits en utilisant les bacs circulaires de 5.2 m3 et les bacs rectangulaires de 6 – 7 m3 en eau latente. Une alimentation simple composé de lait de bébé sec, le fait en poudre et la nourriture de la viande de crase fut essayée. Aussi bien que pour l'alimentation naturelle et d'achever un stable environnement en eau latente, des essais ont été faits pour développer une fleur algual dans les reservoirs en béton. Dans des essais préliminaires utilisant un aquarium, l'alevin de T. guineensis se développa jusqu'à un poids moyen de 1 g en 30 jours après l'éclosion. Des essais sont en cours dans le but de réduire cette périodo à 15 jours, avant de transférer des alevins dans des étangs. Des alevins qui étaient approvisionnés dans des étangs ont atteint un poids un poids de 4 g dans un mois. La fiche technique d'ARAC qui est déjà établi, donne plus d'informations.

3.3.3 L'élevage en Etang du T. guineensis

Des essais d'élevage furent entrepris, utilisant des étangs de 7×0.4 ha, y compris les deux étangs utilisés par les étudiants pour leurs essais de production. Tous les étangs furent empoissonnés à raison de deux poissons par m2 et les poissons nourris avec des croutes (déchets) des noix de palme, des déchets des brasserie et de la levure de brasseurs melangé dans la porportion de 2:2:1. Le pourcentage de croissance du T. guineensis varia entre 0.38 et 0.6 g/jour. Les résultats sont résumés dans les fiches techniques d'ARAC déjà établies.

Au cours d'un essai de 3 mois sur “L'élevage avec le minimum de technologie” à Buguma, deux étangs d'un hectare chacun furent utilisés, permettent à l'eau et aux poissons de circuler librement à travers les écluves, aucune fertilisation ou alimentation ne furent faites. Un étang qui ne put être totalement drainé, produisit 93 Kg de poissons dont 70 furent des Sarotherodon melanotheron. Le pourcentage de T. guineensis par rapport à celui de S. melanotheron était de 1/168, ce qui implique la facilité de la rapide multiplication du S. melanotheron dans les étangs. C'est à cause du problème de la predatation, et de relative petite taille que peut atteindre le S. melanotheron qu'une complète éradication du S. melanotheron des étangs de production fut contemplée et essayée au début des essais de culture.

3.4 Tilapia d'eau douce

Les essais d'elevage préliminaire qui commencèrent à Okigwe, continuent à Aluu. Les essais d'elevage à une grande échelle devront atteindre la fin des travaux sur les ponds d'eau douce à Aluu. Deux de ces essais préliminaires sont présentés ci-dessous. 327 Oreochromis niloticus de très petite taille 53.7 g (à raison d'1 mâle pour 2 femelles) furent approvisionnés dans un étang de croissance de 0.1 ha et nourris à 5 % de leur poids avec de la farine utilisée dans l'élevage de volaille. Les étangs fertilisés avec du NPK à 75 kg par ha à 10 jours d'intervalle produisit en trois mois, 250 larges poissons (d'environ 150 g) 46 poissons de taille moyenne (22.2 g) et 1350 frais (4.1 g). Au cours d'un autre essai 200 frais tout neuf de O. niloticus (de très petite taille 11.6 mm ; et de 0,04 g) furent stockées dans un étang de croissance et nourris avec du son de blé à raison de 5% de leur poids. L'étang fut fertilisé avec du NPK à raison de 2 Kg par semaine. La récolte après 45 jours d'élevage produisit 1374 poissons (68.7 %) avec un poids moyen de 6.2 g.

3.4.1 Culture de O. niloticus et de Clarias lazera

1053 O. niloticus (32.6 Kg) furent stockes dans l'étang No. 3 (1000m2). L'étang No. 14 de (1000m2) fut également stocké avec 674 O. niloticus (12.58 Kg) et de 120 C. lazera (11.5 Kg). La culture est toujours en cours.

3.4.5 Technique de production en masse de C. lazera

Ce chat marin fut induit avec succes a la ponte plusieurs fois grâce à des injections d'hormones pituitaires. Entre Avril et Octobre 1986, près de 100 000 frais et petits poissons furent produits grace à la mise en opération de l'écloserie d'eau douce et un rmeilleur apport d'eau, une technologie pour la production en masse de C. lazera pourra être développée.

3.6 Chrysichthys nigrodigitatus

Des expériences sant en cours sur la reproduction contrôlée de cette espèce. Des essais préliminaires sur sou élevage en étang sont aussi en cours à Buguma.

3.7 Macrobrachium et élevage d'huîtres

Des essais préliminaires et des études de croissance de toutes les escèces de crevettes et huîtres de crevettes et huîtres d'eau saumâtre ont été faites.

3.8 Elevage en enclos

Les efforts déployés dans l'élevage en enclos utilisant des C. nigrodigitatus ne furent guère courronés de succès à cause du courant d'eau trop rapide où à l'endroit où les enclos étaient placés Dans le but de réduire l'effet du courant rapide, des écrans en rafia furent fabriqués et devront être essayés.

3.9 Travaux de projet des stagiaires

Les travaux de projet des etudiants sont axés vers la recherche de solutions de certains problèmes relatifs aux différentes espèces, et aux systèmes d'élevage compris dans le programme de recherche de l'ARAC.

Le personnel de la formation et de la recherche d'ARAC ont passé un temps considérable à cojcevoir et superviser les expériences et les rapports. Une liste de sujets de travaux de projet pour le 6e cours de formation est présenté dans l'Appendix 5.

Certains travaux de projet des stagiaires du premier au cinquième cours de formation qui sont considérés dignes d'intérêt sont préparés par les superviseurs et l'auteur pour leur publication dans la fiche technique de l'ARAC premièrement.

4. L'ETABLISSEMENT DES FACILITES ET DU SIEGE D'ARAC

Le plan de masse, les plans d'exécution et les plans d'ingérieur sont achevés et attendent d'être réalisés. Le retard pris dans l'embarquement de la construction des infractures et des facilités permanentes est dû aux contraintes financières que connait le pays hôte. Les contraintes financières existaient déjà dès le commencement d'ARAC en 1986.

Conformément aux négotiations entreprises entre le Ministère Fédérale de Science et de Technologie, initié par le Ministère, quelques bâtiments appartenant au Centre de Développement Rural et de Formation, Aluu, ont ét" mis à la disposition d'ARAC en 1984.

4.1 Logement des stagiaires

Jusqu'à la fin de l'année 1983, il y avait 32 chambres dans foyer des étudiants. 48 chambres de plus sont maintenant disponibles Il est donc possible maintenant d'herberger 35 stagiaires par an, avec des chambres supplémentaires dans le cas où une formation à la centre durée se tiendrait.

4.2 Les bureaux de l'Administration

En plus de 22 bureaux disponibles au préable, 30 de plus furent pourvues.

4.3 Logement des scientistes de cadre moyen

L'envoi de scientistes de cadre moyen des pays participants à l'ARAC dans le but d'entreprendre des recherches fut impossible plus tôt à cause du manque de logements et de financement. Il est cependant desormais possible d'accueillir un scientiste de cadre moyen à Buguma et un autre à Aluu si l'occasion se présentait et si le financement pour leur entretien est pourvue.

4.4 Logement du personnel

Tout le personnel international fut logé dans des appartements meublés en ville. Le personnel international assigné à Buguma fut logé également dans un villa (3 chambres + salon). Cependant certains membres du personnel national sont toujours logés à leur compte. Des pourparlers avec les agences de gouvernement appropriées sont en cours afin de trouver un logement pour les membres du personnel non-logés par le centre.

4.5 La ferme piscicole en eau saumâtre de Buguma

Depuis Avril 1984, toute la ferme piscicole, y compris toutes les facilités de laboratoire et tout le personnel furent transférés à l'ARAC. L'écluse prinpale dispositif servant à contrôler les apports et le drainage de l'eau des étangs complètement détruite fut remplacée par une nonvelle. Le devasage donc le nivèlement du fond des fonds commencèrent dans le dernier trimestre de 1985. Cet exercice ne put être complété pour tous les étangs avant le début de la saison des pluies et du 6ème cours de formation. Le devasage se poursuivra à la fin de la présente saison des pluies et à la fin des essais présents d'élevage et des projets spéciaux des stagiaires.

Des fonds ont été mis de côté pour le relevement des digues ceci dans le but de maintenir la pureté de l'expérience dans les différents étangs.

4.6 La ferme piscicole en eauddouce d'Aluu

13 étangs frayères (0.1 ha) ont été achevés. 3 étangs de 0.25 ha ont été suffisament excavés et compactés et peuvent être opérationels quoique les valves d'entrée et d'écoulement de l'eau ne soit encore effectivement terminées. Un tuyau en acier de 95/8" se chargera de l'approvisionnement de l'eau de la rivière New Calabar à la ferme piscicole. La fondation en béton sur laquelle seront erigés les poteaux sur lesquelles va reposer le tuyau est prête. Le conduit long de plus de 200 mètres est installé aussitôt l'arrivée de la saison sèche.

Wilbros, la compagnie chargée d'installer les deux pompes, déjà commandées, a été contactée de l'opinion de la compagnie, basée sur leur expérience sur les terrains de pétrole où des pompes similaires sont utilisés , il serait mieux de monter les pompes sur un socle flottant au lieu du socle rigide en acier de 42" initialement approuvé par l'ingénieur en aquaculture consultant de la FAO et les représentants de la compagnie REMMS. Le problème technique d'empilage d'un encastrement ótais de 42" au fond de la rivière. La possibilité de l'encastrement d'être balisé de son support à moins que le sol ne soit assez solide pour le maintenir en position, et plus important : l'envasement progressif à l'intérieur de l'encastrement qui conduira à l'enlissement et au blockage des pompes sont les raisons pour lesquelles Wilbros préfèrent l'installation des pompes sur une plate-forme flottante. Ces problèmes doivent être résolues afin d'éviter des problèmes techniques à implication financière plus tard.

4.7 Trou de sonde et pompe

Un trou de sonde pour alimenter principalement l'éclosérie en eau a été complété. Une pompe submerssible fut également installée. Cependant, à cause des pentes de tension en électricité, la pompe ne peut qu'approvisionner 24 m3 d'eau au lieu de 30 m3 par unité de temps selon ses spécifications. La compagnie électrique NEPA a été contacté afin de vérifier si possible rectifier la basse tension, puisque peu de machines est utilisé à un rendement de 100%. Cependant, l'hors d'une réunion du personnel d'ARAC, il a été conclu que les 24 m3 approvisionné par la pompe répondait bien aux besoins de l'écloserie. Cependant les pompes ne sont pas utilisées continuellement à cause de la basse tension. Ce qui explique la précaution supplémentaire.

4.8 L'écloserie d'eau douce.

Les travaux de l'écloserie d'eau douce qui ont commencé en mai 1984 sont achevés et elle est utilisé à la production des alevins particulièrement de Clarias lazera. Aussitôt que le problème de basse tension aurait été réglé et que la pompe fonctionnera en pleine capacité, un meilleur approvisionnement en eau de l'éclosérie sera assuré.

Un réservoir aérien avec un système capable d'enrichir l'eau en oxygène conçu par un aquaculteur récemment engage (pour la formation) grace à la disponibilité des fonds de la CIDA fut installé pour suppler l'eau du trou de sonde constatée déficiente en oxygène.

4.9 Pompes' et groupe electrogène

Deux pompes Flyght nécessaires pour l'approvisionnement d'eau des étangs de la rivière New Calabar ont été commandées et à moins d'un problème de dernières minutes devront arrivées à l'ARAC avant le début de la 3ème Réunion du Comité Consultatif (ADCOM).

Un groupe électrogène a été également commandé. Cependant, un d'une puissance de 25 KWA, a été commandé au lieu d'une puissance de 125 KWA. Il est à noter que le groupe électogène de 25 KWA reste inadéquat pour répondre aux besoins en électricité de l'ARAC en cas de coupure d'électricité et qu'un group de 125 KWA demeure plus réaliste.

5. AFFILIATION DE CENTRES NATIONAUX SELECTIONNES EN VUE DE RENFORCER LE PERSONNEL ET LES FACILITES

Cette activité fut programmée pour la période 1984 –1986. Deux activités principales sont envisagées à travers l'affiliation de centres nationaux selectionnés à l'ARAC. La première est l'essai des technologies d'aquaculture pour une application locale - et la deuxième est l'organisation de la formation de techniciens et la vulgarisation des agents à travers les pays.

La Zambie, le Kenya et la RCA furent considérés à être affiliés à l'ARAC à cause des projets de la FAO/UNDP en cours. Un programme spécifique devait être preparé et un budget adéquat voté pour chaque centre. Dans le cas de la Zambie, le document du projet fut preparé mais le manque de fonds a empêché sa réalisation. Cependant, du Sénégal a demandé à l'ARAC de considérer les possibilités d'affiliation d'un de ces centres principaux d'aquaculture à l'ARAC.

Le concept et les actions jusqu'à présent sont en accord avec le projet de document de l'ARAC - RAF/82/009. Une nouvelle approche du concept d'affiliation proposé par le Chef de programme de l'ADCP est à envisager. Cette approche est établie dans un document intitulé “BACKGROUND PAPER ON NETWORKING”. Le rapport final de la Mission Thematique d'évaluation affectera le concept et les actions prises jusqu'ici sur l'AFFILATION.

6. LA FORMATION EN SERVICE DE JEUNES SCIENTIFIQUES

Les scientifiques associés seront assignés à l'ARAC dans le cadre de la coopération technique entre les pays en voie de développement, et leur salaire sera payé par le gouvernement ou institution concerné. Une allocation de dépenses locales sera payée également par la FAO ou l'Agence donatrice au scientifique associé l'hors de son sejour au centre. Cette activité a été retardé par le manque de fonds et de logements octroyés par la (CIDA) l'Assistance Canadienne au Développement International a rendu possible l'envoi d'un scientifique associé à l'ARAC. Le scientifique-associé de la Tanzanie a assumé ses fonctions, qui durera un an de Novembre 1985 au 7 Novembre 1986, à la ferme piscicole à Buguma. Les autres candidats nominés du Ghana, du Kenya et de la Sierra Leone ne sont guère arrivés.

7. LE SYSTEME D'INFORMATION D'AQUACULTURE (AQUIS)

Conformément aux recommandations de la jointe Mission d'Evaluation d'ARAC, UNDP/FAO, 2 ou 3 micro-ordinateurs seront installé à ARAC pour les programmes de recherche et de formation et le preparation des rapports. Tout le système d'information est en train d'être revisé par l'ADCP. Cependant les facilités de “Globefish” de rassemble et, de disseminer les informations d'Aquaculture a été initiées.

8. LES APPORTS DU GOUVERNEMENT-HOTE AU PROJET

Les apports du gouvernement sur la question du personnel sont présentés au Tableau 4 et les apports sous forme d'infranstructure et équipements pourvues sont présentés au Tableau 7.

8.1 Les apports de l'UNDP au projet

La liste du personnel international et equipement pourvues par UNDP est présentée aux Tableaux 4 et 8 respectivement. Les équipements de l'année 1986 inclus.

9. LES ACTIVITES DE L'ARAC APRES 1986

Selon le document de projet, la deuxième phase de l'ARAC se termine en Décembre 1986. L'hors de la réunion tripartite d'ARAC tenue en Avril 1986, l'extension du projet de l'ARAC, le personnel la direction de la recherche et des activités de formation à l'ARAC furent discutés. Après la réunion, ADCP a envoyé un questionnaire (Tableau 9) aux pays participants. La délibération du Comité Consultatif fort des réponses au questionnaire mentionné ci-dessus déterminera l'avenir de l'ARAC après Décembre 1986.

APPENDIX 9

QUESTIONNAIRE

Nom :

Position :

Département :

  1. Comme proposé à la dernière réunion du comité consultatif tenue à Port Harcourt du 11 au 14 novembre 1985, la réunion de la Revue Tripartite de l'ARAC était tenue le 24 avril 1986.

    A la fin de la Revue Tripartite, la délégation du pays hôte, le Nigéria, avait recommandé:

    1. à étendre le projet (ARAC) pour cinq ans de plus.

    2. que le programme de formation des aquaculteurs de niveau superieur soit exécuté, seulement par un personnel nigérian permanent et des consultants.

    3. qu'au cours de la période d'extension, le projet donne plus d'importance sur la recherche d'Aquaculture, qui sera exécuté par des scientifiques nationaux et un Conseiller Technique de la FAO.

    4. à compléter les services d'information comprenant l'opération du système d'information AQUIS (ou l'alternatif) et le gouvernement hôte fournira un bibliothécaire pour ce service.

  2. Selon votre opinion, le programme d'ARAC doit-il être étendu d'après les recommandations de la delegation nigériane ?

               Oui           Non

  3. Si votre réponse est “OUI”, pour combien d'années ?

              Nbre d'années

  4. Si vous voulez que le programme d'ARAC soit étendu au-delà de 1986 y'aura-t-il des activités telles que :

    - la formation seulement           Oui           Non
    - la recherche seulement           Oui           Non
    - la formation et la recherche           Oui           Non

  5. Accepterez-vous l'utilisation de l'UNDP/IPF de votre pays pour supporter la recherche et la formation d'ARAC?

              Oui           Non

  6. Combien des aquaculteurs de votre pays ont été formé à ARAC depuis 1980.

                        Nombre

  7. Combien d'entre eux participent à des activités d'aquaculture ?

    - nbre dans le secteur public                    
    - nbre dans le secteur privé                    
    - nbre dans les autres secteurs                    

  8. Est-ce que votre pays a déjà suffisamment des aquaculteurs pour exécuter les projets nationaux d'aquaculture.

              Oui           Non

  9. Si votre réponse est “NON”, pouvez vous indiquer combien des aquaculteurs à former en justifiant

    - nbre d'aquaculteurs                    
    - justification. 
                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    

  10. Si votre réponse à la question 2 est “NON”, quelles sont, à votre opinion, les solutions alternatives pour la formation.

                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    

  11. Pensez-vous que le programme de formation bilingue est nécessaire toujours à ARAC ?

              Oui          Non

  12. Si votre réponse est “OUI”, comment ça peut être exécuté à ARAC ?

                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    

  13. Si votre réponse est “OUI”, quelle sorte du programme de recherche d'aquaculture régional serait exécuté ?

                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    
                                                                                                                                                                                                                    

NOTE SUR LE FONCTIONNEMENT
DU RESEAU

Les systèmes d'Aquaculture sont modérément avancés dans beaucoup de régions du monde. Dans d'autres régions, il y a peu ou pas de technologie d'aquaculture.

Dans beaucoup d'autres domaines techniques, il a été possible d'adapter ou d'appliquer des technologies déja existantes, dans les pays ou régions où elles n'ont pas existé auparavant et ceci en utilisant des ressources locales, des capacités humaines et techniques, et à l'inténieur des réalités financières de chaque pays. On a donc supposé, vu que l'aquaculture est un composé de tellement de systèmes, que le développement de l'aquaculture devrait bénéficier de cette approche, particulièrement dans les pays où elle était non - développée.

Bien qu'il y ait une variation importante dans les expériences d'aquaculture entre pays et aussi entre les régions, tous les pays ont quelques ressources en aquaculture, ou dans certaines disciplines proches de celle-ci. Il y a aussi beaucoup de solides institutions nationales qui peuvent être utilisées, et qui ont de bonnes infrastructures et installations et des individus qualifiés avec de l'expérience et des connaissances. Cependant, ces ressources ne sont pas exploitées au-delà desbesoins nationaux.

Il y a donc une bonne possibilité pour une coopération technique en aquaculture basée sur l'échange de connaissances et d'expériences parmi pays d'une région. De cette manière, la capacité en aquaculture de la région et de chaque pays membre est avancée. De plus, les problèmes d'introduction de technologies développées hors de la région sont évités.

Ce concept ou approche de coopération technique s'appelle activités de réseau. Son but est d'utiliser tous les mécanismes à sa disposition pour disséminer les avancements techniques en aquaculture qui sont réalisés dans les pays de la région et les appliquer et adapter aux solutions de problèmes similaires dans d'autres pays de la région.

En termes simples, un réseau est le mécanisme, constitué par les institutions techniques nationales de deux ou plusieurs pays de la région, qui établit des liaisons en vue de :

De telles institutions techniques nationales qui sont partie du réseau peuvent être publiques, indépendantes ou privées.

Evidemment, pour être membre du réconu, il est-nécessaire d'avoir un intérêt commun. Dans de cas, c'est l'aquaculture. Mais après cela, il est libre à chacun de decider comment il veut opérer. Les réseaux peuvent simplement décider d'échanger seulement des expériences et des connaissances, ou bien ils veulent collaborer sur les projets de recherche ; ou développer conjointement des technologies et résoudre des problèmes d'intérêt commun ou bien utiliser de manière complémentaire leurs ressources humaines et leurs facilités, de manière à résoudre des problèmes, qui ne pourraient résoudre seuls.

Toutes ces opérations du réseau évitent la duplication d'efforts et augmentent l'efficacité de l'utilisation des ressources rares. Elles développent également une capacité future de la région pour l'aquaculture.

Il y a le plus souvent des dèscriptions comment les réseaux opèrent. Au niveau des activités de travail, ceci s'effectue par appliqués et/ou modifiés selon les conditions locales spécifiques.

La troisième approche était utilisée pour le “Programme Régional d'Aquaculture” de la Méditerrannée. A cause de l'état intermédiaire du développement d'aquaculture dans beaucoup de pays de la région et l'influence forte de la technologie avancée de l'aquaculture européenne, et l'intérêt des investisseurs privés par rapport à ceux des gouvernements pour prendre des initiatives, l'approche utilisée était de concentrer sur des démonstrations des systèmes existants, qui pourraient ensuite servir de catalyseurs pour l'industrie.

Toutes ces trois approches différentes au développement technique de la région avaient des couvertures de formation technique et d'échange d'information. Aussi, toutes les trois approches ont été examinées de près par l'Evaluation Thématique quant à leur efficacité et leurs avantages et désavantages.

En conclusion, il est temps pour beaucoup de pays africains d'agrandir leurs vues sur le développement de l'aquaculture. Beaucoup de pays ont des bonnes institutions (y compris les secteurs privés) qui peuvent être encouragés à développer un certain nombre d'arrangements pour opérer le réseau. Premièrement, ceux-ci devraient être basés sur la recherche aussi bien fondamentale qu'appliquée.

Les réseaux ont aussi l'avantage de requérir très peu d'inputs financiers pour accomplir des bénéfices importants. Les coûts sont surtout en équipement en hommes jours et en dépenses opérationnelles. Une telle assistance au développement de réseaux par les agences multilatérales et bilatérales aiderait à résoudre ces problèmes relatifs aux coûts des experts et la nécessité de verser de tels fonds dans d'autres directions.

L'effet le plus positif des systèmes de réseau est qu'ils des choses simples telles que :

L'ADCP a initié trois approches au développement de l'aquaculture durant les huit dernières années.

La première approche est le vraisréseau, qui est exemplifié dans le réseau des Centres d'Aquaculture d'Asie. Ceci a été possible à cause du riveau avance du développement de l'aquaculture en Asie et le fait qu'il y avait des institutions techniques nationales solides capables d'inputs significatifs. Au fait, la plupart de ces pays avaient plusieurs institutions également importantes mais afin d'avoir seulement un point focal dans chaque pays pour éviter la confusion, l'institution nationale clef dans le réseau était appelé “Centre Principal”.

La deuxième approche a été appliquée à deux autres programmes à savoir, “les Programmes Régionaux d'Aquaculture” d'Afrique et d'Amérique Latine. Cette approche différente est mise à l'essai à cause du niveau plus bas de développement de l'aquaculture dans ces deux grandes régions comparé à celui de l'Asie. L'approche consistait d'abord à créer un centre régional où l'expertise pourrait être consolidée et les systèmes appropriés de technologie pourraient être développés. Ces lots de technologies pourraient ensuite être transférés aux centres nationaux des pays de la région pour être permettant d'établir une capacite nationale pour le développement de l'aquaculture et par consequent, une capacite regionale. Ceci a éte grandement négligé dans les projets d'assistence en aquaculture du passé et ça constituera l'une des directions qua l'Evaluation Thématique s'efforsera de changer dans le futur L'assistance de l'aquaculture c'est trop concentréesur les détails biotechniques. Ceux-ci out programme positivement mois les autres constituents du secteur ont éte bien delaissés. Tous les constituants du secteur doivent progresser en même temps si l'aquaculture veut atteindre les resultats qu'on attend d'elle.


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