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RWA/87/012-Aide-mémoire
No 151
RWA/87/012/TRAM/151

Rapport de mission Atelier sur les Applications du Système d'Information Géographique et de la Télédétection à l'Aquaculture et à la Pêche Continentale en Afrique ABIDJAN (Côte d'Ivoire) du 16 septembre au 04 october 1991

par

Augustin MUTAMBA

DOSSIERS:

DP 9/10
MINAGRI
RR/PNUD
FAOR
Rijavec, FIO
West, RAFR
Everett, DIPA
Greboval, IFID
Chrono
Diary: Mutamba

PNUD/FAO-RWA/87/012octobre 1991

ITINERAIRE

13.09.1991Départ de Rigali par RQ 473 pour Nairobi
15.09.1991Nairobi - Abidjan par ET 971
06.10.1991Abidjan - Addis-Abeba par ET 970
08.10.1991Retour Addis-Abeba - Kigali par ET 925

1 INTRODUCTION

L'atelier sur les Applications du Système d'information Géographique et de la Télédétection a l'Aquaculture et à la Pêche Continentale en Afrique, a été organise par la FAO et s'est tenue dans les locaux du Service Autonome de Télédétection/Direction et Contrôle des Grands Travaux (SAT/DCGTx) a Abidjan Côte d'Ivoire du 16 septembre au 4 octobre 1991.

Le but de l'atelier était d'étudier les possibilités d'intégration et d'utilisation de la Télédétection et du Système d'information Géographique (SIG) dans la compilation et l'analyse de renseignement détaillés nécessaires à la planification du développement et de l'aménagement des pêches continentales et de l'aquaculture.

Le programme de l'atelier a couvert les sujets suivants:

L'atelier a permis aux participants de discerner et maîtriser les diverses informations spatiales des données aussi variées que la distribution de ressources naturelles (sols, eaux, végétation) la localisation d'infrastructures, socio-economiques (routes, édifices, réseaux d'équipements divers) en rapport avec le développement et l'aménagement des ressources aquacoles.

L'accent a été mis sur le traitement informatique des données spatiales relatives a la gestion et au développement des pêches et de l'aquaculture. Le cours s'est étendu également sur l'analyse des images satellitaires en vue de la sélection des sites possibles pour l'aquaculture dans la région de Nakuru (Kenya).

2 ORGANISATION ET RESUME DE L'ATELIER

2.1 Présentation de l'atelier

Les données constituant la base de la planification du développement et de gestion des ressources aquacoles en Afrique sont d'habitude incomplètes ou non satisfaisantes. Des améliorations sont nécessaires dans le processus de collecte et de traitement des données pour une meilleur gestion des ressources aquacoles dispersées dans une espace donnée.

Des techniques nouvelles (Télédétection et Système d'information Géographique) dans la collection des données et dans la génération de nouvelles données d'informations spatiales a partir d'éléments spatialement références à la surface de la terre.

La plupart des paramètres naturels et socio-économiques influençant le developpement et l'aménagement de l'aquaculture et la pêche continentale ont un caractàre spatial plutôt continu ou font appel à des fonctions d'analyse de voisinage et/ou de connectivité (topographie, pentes, sols, pluviomètrie, température, étendues d'eau, coût de transport, marché de consommation, etc…).

Au regard de ces caractères géo-référencés, le modèle de représentation, le plus adéquat semble être le modèle grillage ou “raster”. Dans ce sens, le logiciel le mieux indique est IDRISI qui offre toutes les commandes nécessaires pour les exercices d'aquaculture et de pêche.

2.2 Eléments de l'atelier

Les principales sources d'informations utilisées au cours de l'atelier étaient constituées d'images satellites enregistrées dans le proche infrarouge (0.76–0.90 micrométres) avec une résolution de 30m dans la région du lac Nakuru (Kenya) et de photographies aériennes par avion dans la région d'Ayamé (Côte d'Ivoire).

Quatre critères physiques ont été choisis (quantité et qualité de l'eau, pentes et qualité des sols) dans l'identification des sites convenables a l'aquaculture avec objectif de maximiser les rendements sur la base de caractères de l'environnement physique et des conditions des marchés potentiels.

Une série de cartes numérisées de la région de Nakuru: courbes de niveau, cartes des sols et leur utilisation, précipitation et cartes routières ont été utilisées. Des excursions sur le terrain ont été effectuées à la station d'aquaculture de Dabou, aux centres piscicoles de Jacqueville et d'Aboisso ainsi qu'au Service Ivoirien d'Aquaculture Lagunaire pour vérifier l'interprétation des images satellitaires et des photographies aériennes par avion.

2.2.1 Ordinateur et gestion des données

L'ordinateur PC (Personal Computer) a été utilise durant l'atelier pour le traitement informatique des données. Son usage a été introduite par démonstration et explication de toutes ses composantes (écran, imprimante, unité centrale et disquette) et du système opératif résidant sur disque (MS-DOS).

Compte tenu des connaissances de l'ensemble des participants dans l'utilisation de l'ordinateur, ils ont été groupes par couple d'un expérimente et d'un non expérimente; ceci pour leur permettre de se familiariser avec le traitement informatique d'imageries satellitaires.

Le logiciel IDRISI a été utilisé. Il offre un ensemble de commandes nécessaires a la création d'une base de données géo-referencées et fonctionnant sur n'importe quel type d'ordinateur avec une carte géographique.

2.2.2 Aperçu sur la Télédétection et le Système d'information Géographique

La télédétection (TD) peut se définir comme un processus de collecte de données sur des objets ou des phénoménes recueillis a partir d'un instrument de mesure situe dans ou au dessus de l'atmosphère terrestre à partir d'avions, de satellites ou de radar.

Le système d'information géographique (SIG) désigne couramment un ensemble d'outils conçus pour accepter de larges volumes de données spatiales de sources très variées, permettant leur saisie, leur stockage, leur manipulation et analyse ainsi que la visualisation de leur information selon les spécifications d'usage.

Plusieurs principes sont impliquées dans la performance de la collecte d'informations à partir d'éléments références géographiquement:

Pour un développement durable et un meilleur aménagement de l'aquaculture et des pêches continentales, l'on a besoin d'information et de moyens de l'organiser, de l'analyser et de la présenter. La télédétection et le système d'information géographique sont indiqués comme outils nécessaires à la fourniture de données brutes suffisantes et fiables ainsi que leur analyse aboutissant à une information pour la gestion des ressources naturelles.

La télédétection est une technique couteux. Elle est à utiliser quand il n'y a pas d'autres données fiables qui sont à jour, quand la mise, en oeuvre d'autres méthodes de collecte de données est difficile ou chère et quand il faut couvrir de grandes superficies d'échantillonnage.

Elle peut être utile en Afrique ou les données de terrain sont insuffisantes ou peu fiables. Elle peut intervenir dans les analyses suivantes:

Le système d'information géographique peut combiner les données existantes diverses, préparées de manière différente et à des échelles diverses. Il trouve son application dans:

2.2.3 Principe de l'analyse numerique

Grâce a des algorithmes aussi diversifiées que performantes, toutes les manipulations et transformations des images sont aujourd'hui possibles en analyse numerique suite a l'évolution de l'informatique.

L'image de télédétection est une image numerique émanant de rayonnement électromagnetique de la surface terrestre constituée généralement de n images ou canaux captes dans diverses bandes spectrales; chacun étant une matrice de pixels. Le pixel est un point muni d'une valeur radiometrique qui est une mesure discrete d'énergie captée dans une bande spectrale codée en général sur 8 bits, ce qui autorise 28 = 256 niveaux de gris possibles pour sa représentation visuelle.

Le codage correspond donc à la quantification de l'intensite de chaque pixel en une valeur numerique comprise entre 0 et 255 (niveau gris). La mémoire d'images se présente donc sous la forme d'une ou plusieurs matrices (mémoire d'écran) de n = 256 lignes par p = 256 colonnes de points ou 512.

Le plus souvent, le système utilise est celui dans lequel un tableau de 8 bits est séparé en 8 mémoires de 1 bit chacun ou 4 de 2 bits, etc… Dans le cas d'une image en couleur, chaque mémoire d'images constitue un minimum de 3 couleurs fondamentales: rouge, vert et bleu.

Un système professionnel de traitement d'images est compose d'un ensemble d'éléments materiels interconnectés a rôle bien déterminé:

L'affichage couleur constitue le système de représentation, le plus informatif en image d'autant plus que l'oeil humain ne peut discerner qu'une plage limitée nuancée de gris. Les système les plus utilisés sont:

Les fonctions suivantes sont choisies dans l'amélioration de l'aspect visuel de l'image:

La recherche des éléments à l'intérieur des informations ponctuelles que contiennent des images se base sur deux axes principaux:

De ce fait, on distingue deux types de traitement:

La principale finalité du traitement numerique d'images est de réaliser une image physique sous forme de film ou de tirage papier devant servir de support cartographique. Ce travail est réalise grâce à des restituteurs. Les restituteurs les plus récents sont des scanners. Le scanner est un système électronique et optique destine à analyser, enregistrer et reproduire des images.

2.2.4 Collecte des données

L'organisation des données est la première étape dans le developpement d'une base de données efficiente pour un système d'information géographique. Elle doit s'appuyer sur une bonne identification du projet pour lequel des données doivent être collectées. C'est la phase d'identification et de rassemblement de données brutes.

La collection des données archivées par différentes institutions publiques consistera en la définition de la nature des données et en l'identification des institutions en possédant. Les données recherchées sont de différentes sources: journaux, revues, rapports, statistiques diverses, cartes, atlas, photo aériennes, images satellitaires et bases de données informatiques.

Parfois des données déjà existantes sont incomplètes ou ne sont pas compilées et archivées. Il existe alors plusieurs méthodes de générer de nouvelles données: visites de terrain, missions aériennes, interviews, questions, etc…

2.2.5 Pré-traitement des données

Avant les données brutes soient introduites dans la base de données, elles doivent subir un ensemble de manipulations:

Le moyen le plus commun de conversion de cartes et, autres graphiques en format numerique est la digitalisation qui nécessite une table de digitalisation connectée à une unité centrale de traitement numérique. Les mêmes données peuvent être converties par utilisation de scanners manuels ou automatiques.

3 CAS D'ETUDE

Pour la localisation et l'évaluation de plusieurs sites propices au développement de l'aquaculture, la région du lac Nakuru (Kenya) a été étudié comme cas d'école.

L'objectif des exercices était de chercher à réduire au minimum les coûts de production et de maximiser les rendements sur la base des caractères de l'environnement physique et des conditions de marchés potentiels.

Les éléments qui ont été pris en considération sont: la topographie, les pentes, les sols, les plans d'eau, la pluviométrie, la température, la végétation, la qualité de l'eau et les facteurs socio-économiques.

3.1 Topographie et pentes

La topographie est un facteur prédominant dans la sélection d'un site naturel pour la création d'un bassin artificiel. Les fortes pentes doivent être évitées pour réduire l'effet de siltage et de l'érosion hydrique d'une part et les coûts des travaux d'ingénierie lors de l'excavation d'autre part. Les très faibles pentes sont aussi à éviter car elles causent un problème d'écoulement de l'eau.

En utilisant le module SURFACE et le fichier “RELIEF” pour produire un fichier de pentes à partir du modèle numérique d'élevation ainsi que le module RECLASS pour reclasser le fichier “PENTE” en assignant aux catégories de pentes le score de >16% aux pentes abruptes, 8% à 16% aux pentes abruptes à accès facile, 3% à 8% aux pentes relativement abruptes et <3% aux bassins abrités mais à terrain trop plat. La carte obtenue est une carte de pentes appropriées pour le bassin piscicole.

3.2 Aptitude des sols

La réalisation d'un bassin piscicole nécessite certaines propriétés pédologiques au niveau de l'aire d'implantation du site. Les principaux caractères pédologiques sont la chimie (Ph de l'eau), la texture et la perméabilité.

Sur la base des codes indiqués dans la table d'ingénierie et des classes correspondantes sur la carte pédologique, on a toutes les unités pédologiques aptes à recevoir un bassin piscicole abrité, sans danger d'érosion rapide ou problèmes d'endiguement, ou sans préjudice de Ph à la survie des espéces élevées.

Le résultat obtenu est une carte des sols d'aptitudes bonnes pour un bassin piscicole en courbe de niveau.

3.3 Quantité de l'eau

Le creusement du bassin jusqu'au niveau d'une nappe phréatique cause des problèmes de drainage et de maintenance. L'alimentation a partir des eaux de ruissellement pose aussi des problèmes de quantité d'eau à stocker (fonction de la pluviomètrie totale annuelle), de pertes par évaporation et les risques de siltage au cours de la saison de pluie.

Sur la base de la carte pédologique et topographique, des moyennes annuelles de pluviomètrie et d'évaporation, du réseau hydrographique des secteurs ou il peut se produire un ruissellement suffisant pour alimenter des bassins tout au long de l'année ont été isolés.

3.4 Qualité de l'eau

Plusieurs facteurs, tels que la géologie, la nature chimique des sols et les formes d'utilisation des sols et la couverture du sol entrent dans la détermination de qualité de l'eau.

Par utilisation du module COMPOSIT pour produire une fausse composition colorée à partir de l'image LANDSAT TM, du module CLUSTER pour une classification non supervisée pour obtenir les types des couverts et de leur utilisation et en reclassifiant le résultat par le module RECLASS, on a pu avoir référence à la toxicité des herbicides et pesticides ainsi que la pollution domestique a partir du couvert et du type d'utilisation du sol.

3.5 Accessibilité du site

L'accessibilité du site peut être envisagée sous plusieurs aspects dont l'un implique la construction d'une nouvelle route pour relier le site au réseau routier existant. Le second correspond au coût associé à l'état de la route et la distance entre le site et les marchés et intrants.

Le module PATHWAY a été utilisé pour tracer la route optimale en fonction des difficultés de mouvement sur le terrain. Un fichier comprenant la nouvelle route, le réseau routier initial et les sites à été crée.

3.6 Intrants et marchés potentiels

La fourniture potentielle d'intrants des sites d'élevage commercial de poisson a été déterminé sur la base de la disponibilité de sous produits agricoles et en assignant un score de sous produits agricoles à chaque type d'utilisation du sol.

La sélection du marche potentiel local a été réalisée en utilisant les densités dans les unités administratifs adjacentes et soutenant les sites comme une mesure du potentiel du marché. Une distance de 5 km a été choisi comme le plus long trajet à parcourir pour s'approvisionner à la ferme.

3.7 Modélisation des facteurs physiques

La modélisation a consisté en la mise au point d'un modèle qui considére les facteurs physiques ensemble en les factorisant sur la base de leur importance.

La quantité de l'eau, contrainte qui n'est pas facile a surmonter a été considéré comme le plus important. Cependant les problèmes de sol et de pente peuvent être résolus par des techniques d'ingénierie moyennant un certain coût. L'on a assumé qu'ils sont 80% aussi important que la quantité. Les problèmes de qualité de l'eau tels que les charges et la turbidité sont aussi résolus par l'ingénierie. Mais il n'existe pas de solution pour la contamination par pesticides. La qualité de l'eau dans la zone des sites étant relativement homogène spécialement, elle a été factorisé comme correspondant a 50% de la quantité de l'eau.

En associant le résultant du modèle et le réseau routier un fichier indiquant les sites propices à l'aquaculture a été obtenu.

4 EVALUATION DE L'ATELIER

A la fin de l'atelier des questionnaires ont été remis aux participants afin d'obtenir leur appréciation notamment quant a l'intérêt du sujet traité et de la manière dont il a été traité. Des réponses obtenues, il a été conclu que tous les participants ont été pleinement satisfaites du choix des sujets et de la manière dont ils ont été traités, de l'organisation de l'atelier et du niveau d'enseignement.

Les participants ont surtout fait ressortir que la mise en pratique des connaissances acquises rencontre un certain nombre de problème lié à la disponibilité de l'expertise, des systèmes informatiques et des logiciels, la numérisation très lente des cartes existantes, l'identification des organes compétentes pour l'actualisation des cartes et la prise de décision de leur mise a jour. Un SIG revient cher pour son exploitation, notamment dans les pays en voie de développement.

5 CONCLUSIONS

Le cours a permis de donner aux participants de bonnes bases pour le travail qu'ils auront a accomplir dans leur pays. Ils ont pu se familiariser avec différents schéma du réseau d'aménagement de l'aquaculture et des pêcheries continentales.

Il a été noté l'intérêt particulier des participants aux démonstrations pratiques durant les excursions dans les centres d'aquaculture de la Côte d'Ivoire.

Il ne fait aucun doute que la télédétection peut être utilisée pour le développement et l'aménagement de l'aquaculture et des pêcheries continentales. Elle peut fournir une quantité importante d'information sur la qualité et la quantité de l'eau, la température de surface, les facteurs climatiques, les sols, les relief et les facteurs socio-économiques de production aquacole.

Le système d'information géographique permet de faire varier les hypothèses et les critères et de faire des modélisations simulant différentes situations en vue de prendre une décision en matière d'utilisation des ressources.

La télédétection et les applications du SIG ont un large potentiel dans le domaine de la pêche et de l'aquaculture, mais leur utilisation reste encore limitée par manque de connaissance de la part des biologistes et des possibilités d'application. Leurs avantages sont contrebalancés par un certain nombre de handicapes. Une des limitations majeurs a l'utilisation de la télédétection dans les zones tropicales réside dans la variabilité des données disponibles en raison de la couverture nuageuse et dans la disponibilité de points de référence a terre permettant un calage des données et du matériel informatique approprie. L'installation d'un SIG revient cher pour les pays en voie de développement si bien qu'une mise en place d'un système central par région est a envisager pour assurer la disponibilité de l'expertise, du matériel et des archives ainsi que des équipes interdisciplinaires pour un fonctionnement rationnel du système.

ANNEXE 1: PROGRAMME DU COURS

ATELIER SUR LES APPLICATIONS DU SYSTEME D'INFORMATION GEOGRAPHIQUES (SIG/GIS) ET DE LA TELEDETECTION APPLIQUEE A L'ACQUACULTURE ET A LA PECHE CONTINENTALE EN AFRIQUEE DU 16 SEPTEMBRE AU 4 OCTOBRE 1991, ABIDJAN, COTE D'IVOIRE

JOURJOURDATEHEURESTITRE DE LA LECTURERESP.
  1LUN16 SEPT08:30–09:00Aperçu sur les objectifs du séminaire et son programmeTRAVAGLIA
FOFANA
09:00–09:45Aperçu sur la pêche continentale et l'aquacultureNUGENT
DJOBO
10:00–11:00Application du SIG/T à la pêche continentale et à l'aquacultureNUGENT
11:00–12:00Pêche continentale, pisciculture et environnementNUGENT
DJOBO
14:00–15:30Application du SIG/T pour l'aménagement de l'environnementFOFANA
16:30Cérémonie d'ouverture suivie du cocktail de bienvenueDCGTx
FAO
MINARA
  2MAR17 SEPT08:30–10:30Bases fondamentales de la télédétectionTRAVAGLIA
FOFANA
10:30–12:00                  "        "
14:00–16:00Exercice : analyse visuelle (photos aériennes, Ayamé)TRAVAGLIA
BILLE
NUGENT
NADAUD
16:15–17:30                  "        "
  3MER18 SEPT08:30–10:15Analyse visuelle des données de télédétectionTRAVAGLIA
BILLE
10:30–12:00                  "        "
14:00–16:00Exercice : analyse visuelle (photos satellites, Ayamé)TRAVAGLIA
BILLE
NUGENT
16:15–17:30                  "        "
  4JEU19 SEPT08:30–12:00Principe de l'analyse numériqueNADAUD
DIABATE
14:00–17:30Exercice : analyse numériqueNADAUD
DIABATE
KONE
N'GUESSAN
  5VED20 SEPT08:30–12:00Principe de l'analyse numériqueNADAUD
DIABATE
KONE
N'GUESSAN
14:00–17:30Visite du Centre de télédétection de Côte d'IvoireFOFANA
NADAUD
  6SAM21 SEPT08:30–12:00Inventaire des potentialités aquacoles par télédétectionGROTTE
14:00–17:30                  "        "
  7DIM22 SEPT L I B R E 
  8LUN23 SEPT08:30–12:00Base du GISTHIAM
NADAUD
14:00–17:30         "        "
  9MAR24 SEPT08:30–12:00Introduction au micro-ordinateur et leur applicationNADAUD
DIABATE
14:00–17:30Exercice : IDRISI/NAKURUTHIAM
NADAUD
10MER25 SEPT08:30–12:00Exercice GIS : sélection du site pour l'aquacultureTHIAM
DJOBO
NADAUD
14:00–17:30Exercice GIS : sélection du site pour l'aquaculture        "
11JEU26 SEPT08:30–12:00Exercice GIS : sélection du site pour l'aquacultureTHIAM
DJOBO
NADAUD
14:00–17:30                  "        "
12VED27 SEPT08:30–12:00Exercice GIS : sélection du site pour l'aquacultureTHIAM
DJOBO
NADAUD
14:00–17:30                  "        "
13SAM28 SEPT08:00Excursion à Jacqueville/DabouDJOBO
NUGENT
14DIM29 SEPT L I B R E 
15LUN30 SEPT08:30–12:00Exercice GIS : sélection du site - zone AyaméTHIAM
NADAUD
14:00–17:30                  "        "
16MAR1 OCT08:30–12:00Exercice GIS : sélection du site - zone AyaméTHIAM
NADAUD
14:00–17:30                  "        "
17MER2 OCT08:30–12:00Présentations des résultats des exercices par les participantsTHIAM
NADAUD
14:00–16:00Débat (discussions)THIAM
NADAUD
16:15–17:30Préparation à l'excursionTRAVAGLIA
FOFANA
18JEU3 OCT08:00Excursion : vérification des données sur le terrain (Ayamé)TRAVAGLIA
THIAM
FOFANA
DJOBO
NADAUD
NUGENT
19VED4 OCT08:30–10:15Présentation des résultats après vérification sur le terrainTRAVAGLIA
THIAM
FOFANA
NADAUD
NUGENT
10:30–12:00Projets de développement avec l'usage de SIG/TTRAVAGLIA
FOFANA
14:00–14:45Commentaires sur le coursTRAVAGLIA
THIAM
NUGENT
FOFANA
NADAUD
14:45–16:00Evaluations des travaux des participants        "
16:15–17:00Cérémonie de clôture et remise des certificats aux participantsREPR. FAO
DG DCGTx
FOFANA
MINARA
17:30Cocktail de clôture 

ANNEXE 2: LISTE DES CONFERENCIERS

LISTE DES CONFERENCIERS A L'ATELIER DE FORMATION FAO

BILLE Niamké
Chef du Service Espace Rural
DCGTx

DIABATE Zoumana
Chef du Service Mines et Géologie
DCGTx

DJOBO Anvra Jeanson
Sous-Directeur Aquaculture
Direction Aquaculture et Pêche
01 BP V 19
Tél. : 35 61 69 / 35 46 95
Abidjan 01
Côte d'Ivoire

Mamadou FOFANA
Directeur du Centre de Télédétection et d'Information Géographique
DCGTx

GROTTE Alain
Géographe
Direction des Recherches Océaniques
Département d'Océanographie Spatiale
IFREMER
Centre de Brest, BP 337
29273 Brest Cedex
FRANCE

KONE Anzoumana
Chargé d'Etudes / Service Traitement numérique
DCGTx

NADAUD Désiré
Chef du Service SIG
DCGTx

NUGENT Christopher
Chief Technical Advisor
UNDP/FAO ZIM/88/021 “Support for
Rural Aquaculture Extension”
P.O. Box 3730, Harare
Zimbabwe

OKOU André
Informaticien / Centre Informatique
DCGTx

THIAM Amadou
Chief GIS Expert
GEMS/UNITAR
UNEP
P.O. Box 30 552
Naïrobi
KENYA

TRAVAGLIA Carlo
Coordonnateur, Groupe de Transfert de Technologie
Centre de Télédétection
FAO
Via delle Terme di Caracalla
00100 Rome, Italie

Centre de Télédétection et d'Information Géographique - Direction et Contrôle des
Grands Travaux (DCGTx)
04 BP. 945
Abidjan 04
Côte d'Ivoire

ANNEXE 3: LISTE DES PARTICIPANTS

SEDJRO, Kocouvi
Ingénieur du Développement Rural
Chef du Laboratoire de Chimie à la Direction des Pêches
BP. 03–180
Tél : 33-15-51
Cotonou
BENIN

OUEDRAOGO, N. Aimé
Chef de Service Equipement Piscicole
Ministère de l'Environnement et Tourisme
B.P. 7044
Tél. 30 04 74
Ouagadougou
BURKINA FASO

KIYUKU, Antoine
Directeur du Département des Eaux, Pêche et Pisciculture
BP. 631
Tél : 22-60-70 / 22-63-78
Bujumbura
BURUNDI

KOUAM, Jean
Chef Service de l'Aquaculture
Direction des Pêches
Ministère de l'Elevage, des Pêches et des Industries Animales
Télex : 8420 KN
Yaoundé
CAMEROUN

KADIMONIKAKO, Boniface
Chef de Service Recherche Halieutique
D.G. Pêche, BP. 1650
Tél : 83-11-32
Brazzaville
CONGO

DA COSTA, Kouassi Sebastiao
Chercheur
IDESSA / Ministère de la Recherche Scientifique
Département de Recherche Piscicole / IDESSA
01 B.P. 621 BOUAKE 01
Tél. 63 21 70
COTE d'IVOIRE

KOUAME, K.E. Bonaventure
Cellule Agroclimatologique du CTIG de la DCGTx
04 BP. 945
Tél : 44-28-05
Télex : 26 193
Téléfax : (225) 44 56 66
Abidjan 04
COTE D'IVOIRE

TAPE, Bidi Jean
Maître Assistant Université d'Abidjan.
Institut de Géographie Tropicale
22 BP. 744
Tél : 43-90-00 Poste 3441
Abidjan 01
COTE D'IVOIRE

SEKA, Assi Akaffou
Directeur Adjoint du Projet Pisciculture
Projet Pisciculture
BP. 494
Tél : 63-32-57 / 63-34-33
Bouaké
COTE D'IVOIRE

OSSOUCAH OGANDAGA, Henriette
Chargée des études à la Direction des Pêches et Aquaculture
Ministère des Eaux et Forêts
B.P. 1128
Tél. (241) 74 03 24
Libreville
GABON

BILIVOGUI, Oua
Chef de la Section Aquaculture.
Directeur National des Pêches et de l'Aquaculture (S.E.P.)
BP. 296
Tél : 44-42-29 /44-42-58
Télex : 22315 PECEL G.E.
Conakry
GUINEE

LY, Macky
Chef de la Section protection de la nature
Direction Nationale des Forêts-chasse
BP. 624
Conakry
GUINEE

NIARE, Mouroucoro
Chef de section pêche / Division pêche et pisciculture / DNEF
Direction Nationale des Eaux et Forêts / DNEF
B.P. 275
Tél. 22 58 50 / 22 59 73
Bamako
MALI

OULD MEYMOUN, Mohamed Lemine
Chef de Service Pêche Continentale
Ministère des Pêches
B.P. 137
Nouakchott
MAURITANIE

ALHASSANE, Mahaman
Chef de Service Pisciculture
Direction de la Faune Pêche et Pisciculture
BP. 721 Niamey MN/E
Tél : 73-40-69
NIGER

SAMBA, Emile
Directeur Ferme de Boyali
BP. 7 Pissa (M'Baïki)
REP. CENTRAFRICAINE

MUTAMBA, Augustin
Chercheur
Projet de Développement de la pêche au lac Kivu
BP. 221
Tél : 40286
Téléfax : (250) 40471 Gisenyi - Rwanda
Gisenyi
RWANDA

SENE, Abdoulaye
Chef de la Division Pêche Continentale et de la Pisciculture
Division de la Pêche Continentale au Service des Eaux, Forêts et Chasses (Ministère
du Développement Rural et de l'Hydraulique)
BP. 1831 Hann à Dakar
Tél : 32-06-28
SENEGAL

LASSOU, Kourdina
Directeur des Eaux et Pêches
Ministère du Développement Rural
BP. 44
Tél: 51 22 47
N'Djamena
TCHAD

ADJAYI, Egbo - Kodjo
Responsable du Centre de Recherche Halieutique d'Agbodrafo
BP. 4041
Lomé
TOGO

KALIBU, Mino-Kahozi
Coordonnateur Technique
Chargé de Planification des Pêches
BP. 12 348
Tél : 33 250 33 251
Kinshasa I
ZAIRE


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