La première partie de l'article insistait sur la nécessité de planifier soigneusement les programmes nationaux de cuniculiculture.
L'intensification marquée des activités de développement de la cuniculiculture dans les pays en développement observée au cours des 10 dernières années peut être attribuée au fait que les habitante des zones périurbaines et des campagnes se consacrant à l'agriculture de subsistance sont de plus en plus consciente du potentiel du petit élevage de lapins.
Aujourd'hui, les pays en développement, tels que la Chine, l'Egypte, l'Indonésie, le Mexique, le Nigéria et la Tanzanie, disposent des données descriptives nécessaires concernant les effectifs de lapins, ainsi que les paramètres économiques, nutritionnels et sociologiques pertinente liés à la cuniculiculture. Le présent article aborde les problèmes technologiques au niveau local et spécifie quelles recherches pourraient promouvoir la production de ces espèces utiles.
