CCP:GR 99/4/Supp.1 - RI 99/4/Supp.1





COMITÉ DE PRODUITS

RÉUNION CONJOINTE DE LA VINGT-HUITIÈME SESSION DU GROUPE INTERGOUVERNEMENTAL SUR LES CÉRÉALES ET DE LA TRENTE-NEUVIÈME SESSION DU GROUPE INTERGOUVERNEMENTAL SUR LE RIZ

Rome, 22 - 24 septiembre de 1999

DIRECTIVES POUR UNE ACTION NATIONALE ET INTERNATIONALE CONCERNANT LE RIZ

Table des matières


I. DIRECTIVES POUR UNE ACTION NATIONALE ET INTERNATIONALE CONCERNANT LE RIZ1

A. OJBECTIFS GÉNÉRAUX DE LA COOPÉRATION INTERNATIONALE

(i) Coopération étroite destinée à assurer la sécruité alimentaire des pays en développement ainsi que, par étape, une réduction importante des interférences qui faussent le marché et une réduction des distorsions et des restrictions sur le marché mondial du riz.

(ii) L'objectif général devrait consister à équilibrer la production, la consommation et le commerce du riz sur la base des principes suivants:

  1. les mesures devraient être profitables à l'économie mondiale du riz et aboutir à un marché mondial stable, les disponibilités en riz se développant à un rythme suffisant pour satisfaire une demande en hausse;
  2. une attention particulière doit être accordée tant aux intérêts des pays en développement et des pays à faible revenu et à déficit vivrier, notamment de ceux où le riz est un aliment de base, qu'aux pays en développement don't l'économie est fortement tributaire des exportations de riz;
  3. il faudrait réduire au minimum les interférences avec les échanges commerciaux normaux et les pimportateurs ne devraient pas être limités dans le choix de leurs sources d'approvisionnement;
  4. des mesures devraient être prises en vue de promouvoir la consommataion de riz, sauf dans le cas de pénuries de riz;
  5. Il conviendrait d'appuyer les efforts des pays en développment qui cherchent à développer leur potentiel de production rizicole.

B. POLITIQUES DE PRODUCTION

(i) Les politiques de production rizicole devraient être assez souples pour répondre à l'évolution des marchés. Les politiques de soutien interne ne doivent avoir qu'un effet de distorsion minime sur les échanges et être harmonisées avec l'Accord relatif à l'agriculture conclu lors de l'Uruguay Round.

(ii) En période de suragondance de riz sur les marchés mondiaux, les pays exportateurs doivent s'abstenir d'adopter des mesures encourageant une augmentation de la production rizicole, à moins qu'il n'y ait, sur les marchésmondiaux, une pénurie d'autres céréales qui justifierait une augmentation de la production de riz.

(iii) L'évolution des politiques de production et les dispositions prises pour ajuster l'offre et la demande sur les marchés mondiaux devraient faire l'objet d'examens périodiques de la part du Groupe, afin que celui-ci puisse, au besoin, proposer de nouveaux correctifs..

(iv) Les organismes internationaux dispensateurs d'aide et les donateurs bilatéraux devraient, d'une façon conforme aux objectifs généraux de coopération internationale, aider les pays en développement dans leurs efforts en vue d'accroître leur productivité et leur production de riz, en leur assurant une aide technique et financière accrue.

C. POLITIQUES COMMERCIALES

(i) Les pays devraient s'abstenir de subventionner les exportations de riz, sauf si cela est conforme aux dispositions de l'Accord relatif à l'agriculture de l'Uruguay Round. Plus précisément, les pays dévloppés et les pays en développement devraient réduire les dépenses budgétaires destinées à subventionner les exportations de riz, ainsi que le volume des exportations de riz ainsi subventionnées, comme stipulé lors de l'Uruguay Round.

(ii) Les gouvernements devraient fournir au Secrétariat de la FAO des informations sur les mesures effectivement adoptées et sur la réduction des subventions de façon à ce que ces données, dûment synthétisées, puissent être présentées au Groupe pour examen ou, en cas de difficultés particulières, pour consultation concernant les mesures correctrives à envisager.

(iii) Afin que les pays soient mieux renseignés sur les tendances courantes du marché, les pays qui portent un intérêt substantiel au commerce mondial devraient établir des relations et une liaison officieuse entre les spécialistes du commerce du riz.

(iv) Les pays, lorsqu'ils concluent des contrats à long terme portant sur les exporations et les importations de riz, doivent envisager la possibilité de pénuries imprévues dans les pays exportateurs qui, en conséquence, auront peut-être du mal à honorer pleinement le contrat. Quand de telles situations se présentent, des consultations bilatérales doivent avoir lieu pour faire en sorte que les besoins des parties contractantes soient satisfaits dans toute la mesure possible, conformément aux dispositions de l'Acte final de l'Uruguay Round.

(v) Les gouvernements devraient profiter de la possibilité que leur offre le Groupe intergouvernemental sur le riz pour échanger systématiquement des renseignements dur des politiques commerciales, notamment sur les mesures prises pour améliorer l'accès au marché et réduire les subventions à l'exportation, de façon à ce que le Groupe soit en mesure de suivre régulièrement l'évolution dans ce domaine et de se consulter sur les correctifs à envisager si des difficultés particulières se manifestent.

(vi) Les pays développés devraient, le cas échéant, s'efforcer de mettre en oeuvre, améliorer et élargir les échanges de riz au titre du SGP et accorder une attention particulière aux besoins des pays à faible revenu et à déficit vivrier.

(vii) Les gouvernements devraient envisager d'aider les pays confrontés à des pénuries alimentaires, notamment en riz, à obtenir une aide alimentaire en riz à titre de don ou à des conditions très favorables2, et à recevoir des organismes financiers internationaux une aide à court terme pour le financement d'importations commerciales.
(viii) Dans le cadre de la coopération technique accrue entre les pays en développement et compte tenu du fait que l'augmentation de la demande d'importation de riz au cours des prochaines années devrait provenir surtout des pays en développement, les gouvernements en cause devraient s'efforcer tout particulièrement d'encourager l'expansion des échanges entre pays en développement.

D. POLITIQUES INTERNATIONALES D'AIDE ALIMENTAIRE

i) Les pays effectuant des opérations à des conditions de faveur ou des opérations d'aide alimentaire devraient suivre les procédures établies par la FAO en matière de notification, de consultation et de détermination des importations commerciales habituelles, dans le cadre des Principes de la FAO relatifs à l'écoulement des excédents. Pour faciliter ces procédures, les pays, tant exportateurs qu'importateurs, doivent fournir si possible chaque année au Secrétariat de la FAO - au plus tard au mois de mars - des statistiques des exportations et importations de riz par année civile, en veillant à établir une distinction entre les opérations commerciales et les exportations et importations d'aide alimentaire, et à bien préciser la destination des livraisons (dans le cas des exportations) ou leur origine (dans le cas des importations).

ii) Les pays devraient veiller à ce que l'aide alimentaire ne soit pas utilisée pour contourner les engagements convenus dans l'Acte final de l'Uruguay Round et n'introduise pas un effet de distorsion dans les échanges, aboutissant à l'éviction du marché des pays en développement exportateurs qui n'ont pas les moyens de financer de tels programmes d'échange à des conditions de faveur. A ce propos, l'aide alimentaire ne devrait pas être liée et devrait, dans toute la mesure possible, être fournie à titre de dons ou à des conditions très favorables.

iii) Le Groupe est favorable à une plus large utilisation du riz dans les projets d'aide alimentaire multilatérale et considère que, dans la mesure du possible, l'aide de cette nature doit être acheminée par le PAM.

iv) Les organismes multilatéraux dispensateurs d'aide, comme le PAM et les donateurs bilatéraux, devraient chaque fois que cela est possible et opportun, accroître l'aide alimentaire sous forme de riz et promouvoir, dans toute la mesure possible, les "opérations triangulaires" tout en s'assurant que celles-ci profitent équitablement à tous les pays en développement exportateurs.

E. RÉSERVES DE RIZ

i) Les pays devraient, chaque fois que l'offre de riz le permet, profiter de l'occasion pour mettre au point une approche concertée pour la constitution et la détention de stocks de riz, compte tenu des objectifs généraux de stabilité du marché et de sécurité alimentaire et des objectifs nationaux.

ii) Les organismes internationaux dispensateurs d'aide et les donateurs bilatéraux devraient aider les pays en développement intéressés à accroître leurs réserves de riz et à obtenir les ressources financières et matérielles nécessaires à cet effet, dans le contexte des politiques, des programmes et des objectifs nationaux.

iii) Les pays développés où sont accumulés des stocks de riz devraient envisager d'affecter aux secours alimentaires d'urgence des quantités accrues de riz, en tenant compte de l'objectif minimum de 500 000 tonnes de céréales établi pour la Réserve alimentaire internationale d'urgence.

iv) Les pays dans lesquels se sont accumulés des stocks excédentaires devraient avoir pour politique de réduire la production et de promouvoir l'utilisation intérieure du riz en excédent.

F. QUESTIONS RELATIVES À L'ENVIRONNEMENT

i) Les pays devraient accorder l'attention voulue aux conséquences écologiques des mesures qu'ils prennent dans les domaines liés à la production, au commerce et à la consommation de riz.

ii) Les institutions internationales de financement et les donateurs d'aide bilatérale devraient soutenir les pays s'efforcent d'améliorer et d'élargir l'utilisation et l'adoption de mesures respectueuses de l'environnement.

iii) En encourageant les pays en développement à adopter des mesures de production, de consommation et d'échange respectueuses de l'environnement, les institutions internationales de financement et les donateurs d'aide bilatérale devraient accorder l'attention voulue aux conséquences économiques de ces mesures, en particulier sur les coûts de production de ces pays et, partant, leur compétitivité. Par conséquent, le cas échéant, les propositions concernant les projets rizicoles traitant des aspects écologiques devraient reposer notamment sur une évaluation économique de leurs effets.

iv) Les pays devraient faire en sorte que la recherche de meilleures pratiques du point de vue de l'environnement ne soit pas utilisée pour éluder les accords sur la réduction des obstacles tarifaires conclus pendant l'Uruguay Round.

v) Afin de permettre au Secrétariat de la FAO d'améliorer les échanges d'informations sur divers aspects des problèmes écologiques liés au riz et sur le suivi et la diffusion des technologies correspondantes respectueuses de l'environnement, les pays devraient développer des liens étroits avec le Secrétariat de la FAO et lui fournir les informations nécessaires.

II. TABLEAUX

TABLEAU I: Prix d'achat officiels de soutien du riz paddy dans certains pays en valeur nominale et en valeur réelle

 

1996/97

1997/98

1998/99

1996/97

1997/98

1998/99

1996/97

1997/98

1998/99

Valeur nominale

Valeur nominale

Valeur réele

Monnaie locale/tonne

Base 1990/91=100

Base 1990/91=100
Corrigé suivant l'indice du coût de la vie

PAYS EN DÉVELOPPEMENT
EXPORTATEURS

MONNAIE

                       
Colombie Peso

260450

  -

1/

-

1/

222

-

-

61

-

-

Inde Rupie

3800

 

4150

 

4400

 

185

202

215

105

107

102

Myanmar Kyat

7200

2/

. . .

 

16774

2/

300

. . .

699

82

. . .

96

Pakistan: basmati Roupie

6383

 

7750

 

8250

 

178

216

230

97

104

104

irri Roupie

3220

 

3825

 

4375

 

176

210

240

96

101

109

Thaïlande Baht

4450

 

4540

 

5460

 

117

119

144

88

86

94

IMPORTATEURS                          
Bangladesh Taka

6967

 

7092

 

7579

p

116

118

126

92

89

90

Costa Rica Colon

55140

 

69293

 

74837

 

228

287

309

82

90

88

Côte d'Ivoire CFA

110000

 

116000

 

. . .

 

183

193

. . .

114

115

. . .

Indonésie Rupiah

450000

 

525000

 

1000000

 

167

194

370

102

113

169

Malaisie $M

744

3/

744

3/

800

3/

100

100

108

79

77

79

Philippines Peso

8000

 

8000

 

8000

 

152

152

152

86

82

76

Corée, Républic de Won

1242000

 

1242000

 

1308960

 

124

124

131

88

84

92

Sri Lanka Rupie

7420

 

7420

 

10000

 

141

141

190

81

70

84

Turquie Mill. Libras

48

 

100

 

145

 

3692

7692

11154

108

120

96

PAYS DÉVELOPPÉS
CE ECU

351

 

333

 

316

 

112

106

101

84

78

73

Espagne Peseta

57984

 

55737

 

53177

 

121

116

111

91

86

80

Italie Lira

712670

 

658207

 

623564

 

129

120

113

97

88

82

Portugal Escudo

69569

 

66797

 

64186

 

100

96

92

69

65

60

États-Unis $E.U.

143

4/

143

4/

143

4/

61

61

61

50

49

49

Japon Yen

273200

5/

270283

5/

263417

5/

99

98

96

93

90

87

- Néant                                  . . . Non disponible                                     p Projection

NOTES:

1/ Eliminé en 1997/98.

2/ Prix d'achat appliqué par l'organisme officiel du commerce des produits agricoles du Myanmar.

3/ Y compris une aide à la production de 248 $M par tonne de riz paddy livré à un établissement d'usinage ou de séchage autorisé.

4/ Taux de prêt à la commcialisation.

5/ Prix riz décortiqué.

 

TABLEAU II: États-Unies Politique d'aide aux producteurs de riz

  Prix moyens Prix d'objectif Prix de soutien Paiements compensatoires Reduction de superficies
Paddy (moyenne générale) Paddy (moyenne générale) Paddy (moyenne générale) Riz usiné Grains longs Riz usiné Grain moyens et courts Riz usiné brisures Par unité de Paddy Total Paiements compensatoires Paiements compensatoires sur prêt  
  $E.U./tonNE $E.U./tonNe $E.U./tonne $E.U./tonNe

%

1991/92 167 236 143 236 215 118 68 458 84 - 5
1992/93 130 236 143 236 215 118 93 614 288 0
1993/94 176 236 143 236 215 118 88 571 278 - 5
1994/95 149 236 143 236 214 118 84 558 125 0
1995/96 202 236 143 236 214 118 71 471 0 - 5
1996/97 220 1/ 143 237 215 119 61 2/ 455 3/ 0 1/
1997/98 214 1/ 143 236 214 118 60 448 0 1/
1998/99 197 4/ 1/ 143 236 214 118 64 478 0.9 1/

Source: USDA

1/ Éliminé en 1996/97 sous le FAIR Act.

2/ À partir de 1996/97, taux de paiement contractuels; primes de complément éliminées sous le FAIR Act.

3/ À partir de 1996/97, paiements contractuels totaux.

4/ D'août 1998 à mai 1999

 

 

TABLEAU III: CE – Soutien aux producteurs de riz

 

Prix d’intervention1/
EURO/tonne

Aide compensatoire
EURO/héctare

   

Italie

Espagne

France

Portugal

Grèce

Guyane (Fr.)

1994/95

309,60

           
1995/96

373,84 2/

           
1996/97

351,00

           
1997/98

333,45

106,00

111,44

96,35

106,18

131,27

131,80

1998/99

315,90

212,00

222,89

192,70

212,36

262,55

263,60

1999/2000

298,35

318,01

334,33

289,05

318,53

393,82

395,40

Superficie contingentée
héctares 3/

 

433 123

 

239 259

 

104 973

 

24 500

 

34 000

 

24 891

 

5 500

Source: PAM Interfais, 1999

Source: CE

ONIC

n.a. - non applicable

1/ À partir de 1996/97, le prix d'achat reste inchangé, à 94% du prix d'intervention pour le riz Indica et 90% pour le riz Japonica.

2/ En 1995/96, le taux vert de l'ECU a été réaligné sur son taux financier. Auparavant, le taux vert était supérieur de 20% environ au taux financier. Ce réalignement explique l'augmentation apparente du prix d'intervention en ECUs. Par exemple, avec un coefficient de conversion de 1.207509, le prix d'intervention de 309.6 ECUs par tonne en 1994/95 est approximativement équivalent à 373.84 ECUs par tonne en 1995/96.

3/ Si un Etat Membre dépasse la superficie contingentée, il lui est imposé une pénalité, sous forme d'une diminution de l'aide compensatoire. Le montant de cette pénalité varie en fonction du dépassement du quota maximum:

Dépassement Pénalité

0 à < 1% 3 fois le dépassement

1 à < 3% 4 fois le dépassement

3 à < 5% 5 fois le dépassement

5 à < 6% 6 fois le dépassement

 

 

 

TABLEAU IV: Droits à l'importation appliqués par la CE pour le riz indica à grain long (1996-1998)

 

 

 

ACP BASMATI INDE et PAKISTAN PAYS  TIERS
DÉCORTIQUÉ USINÉ DÉCORTIQUÉ USINÉ DÉCORTIQUÉ   DÉCORTIQUÉ USINÉ DÉCORTIQUÉ
USINÉ
(ECU/TM) ($E.U./MT) (ECU/TM) ($E.U./TM) (ECU/TM) ($E.U./TM)
1996 162,06 280,41 205,55 355,58 83,01* 105,39* 333,01 591,30 422,38 749,78
1997 124,66 261,23 141,53 296,50 15,90 18,40 257,99 552,27 292,90 626,81
1998 107,99 214,77 120,39 239,11 11,10 12,47 253,65 512,86 284,22 573,86
JAN. 111,60 251,59 121,41 273,70     231,88 533,00 252,26 579,85
FEV. 112,63 251,59 122,61 273,88     233,93 533,00 254,66 580,22
MAR. 114,32 251,59 123,95 272,80     237,31 533,00 257,31 577,93
AVR. 123,80 251,59 134,46 273,25 6,28 6,82 256,28 533,00 278,34 578,89
MAI 128,05 251,59 141,93 278,86 14,76 16,36 264,76 533,00 293,46 590,78
JUIN 124,68 251,59 137,32 277,10 8,03 8,84 258,03 533,00 284,19 587,05
JUIL. 127,29 232,09 139,70 254,72 13,25 14,54 263,25 494,00 288,92 542,17
AOÛT 114,05 196,30 125,65 216,26 28,74 31,66 278,74 494,00 307,09 544,24
SEP. 81,11 157,82 93,60 182,12 3,42 3,95 244,15 486,32 281,75 561,22
OCT. 87,74 160,51 104,77 191,66 13,08 15,62 263,08 494,00 314,15 589,89
NOV. 84,75 160,51 98,74 187,01 4,54 5,28 254,54 494,00 296,56 575,56
DEC. 85,89 160,51 100,59 187,99 7,80 9,14 257,80 494,00 301,94 578,57

* Appliqués aux importations d'origine indienne. En 1996, 260,79 ECU étaient prélevés en moyenne sur les importations de riz basmati en provenance du Pakistan.

 

 

 

Tableau V: Expéditions d’aide alimentaire en riz (1996-1998)

Pays donateurs

1996

1997

1998

 

Jan-Juin

Juil-Déc

Total

Jan-Juin

Juil-Déc

Total

Jan-Juin

Juil-Déc

Total

 

milliers de tonnes

Australie

18

13

31

21

33

54

37

12

49

CE et pays membres

103

105

208

102

139

241

62

123

185

Japon

156

38

194

78

51

129

127

400

527

États-Unis

51

142

193

27

68

95

60

161

221

Autres

45

67

112

53

86

139

46

69

115

Total général
Dont:
Transactions triangulaires

373

365

738

173

281

377

658

197

332

765

1 097

195

Source: PAM Interfais, 1999

 


1 Texte adopté pare le Groupe en 1971 et per la suite modifié en 1979, 1994 et 1996.

2 C'est-à-dire à des conditions au moins aussi favorables que celles stipulées à l'Article IV de la Convention relative à l'aide alimentaire de 1986.