Page précédenteTable des matièresPage suivante


TROISIÈME PARTIE
FONCTIONNEMENT À LONG TERME ET DURABILITÉ

La pérennité du système SISAAR ainsi créé ne sera assurée que dans les cas suivants:

1. MISE À JOUR RÉGULIÈRE ET ÉVOLUTION DU SYSTÈME

Il est clair qu'une des utilisations principales des informations disponibles dans la base de données est de fournir aux planificateurs, à tous niveaux, une analyse historique intersectorielle synthétique de la sécurité alimentaire nationale, de ses contraintes et de ses points forts. Il est bien évident que les ministères concernés (principalement ceux de l'agriculture, du commerce, de la santé et des affaires sociales, de la planification et de l'économie), possèdent des analyses historiques de leurs secteurs respectifs beaucoup plus détaillées que la base de données du SISAAR, mais sa spécificité en matière de sécurité alimentaire, et son inter-sectorialité, en font un instrument privilégié pour les planificateurs. De plus, du fait de sa connaissance approfondie des groupes et individus vulnérables, elle aide les planificateurs à cibler leurs actions sur les populations les plus défavorisées. La régularité et le sérieux avec lequel la base de données est mise à jour, est l'une des clefs principales de la réussite du SISAAR. Elles se refléteront dans l'utilisation régulière qu'en feront les planificateurs à tous niveaux (local, provincial, national, etc.).

Une telle base de données, régulièrement mise à jour, doit aussi permettre l'élaboration de publications analytiques sur l'impact de différentes politiques sectorielles concernant la sécurité alimentaire. Ce n'est probablement pas le rôle du SISAAR (qui ne doit rester qu'un système d'information), de réaliser de telles analyses, qui sont du ressort des chercheurs, mais il doit s'adapter à de tels besoins, et même les susciter.

Il est en particulier important de :

Pour répondre aux besoins accrus d'information en tenant compte des contraintes nouvelles, il faut absolument s'assurer que :

• Toute collecte de données soit justifiée par une ou plusieurs utilisations spécifiques ciblées. Ce sont ces utilisations qui en garantiront les financements.
• Toute duplication de collecte ou de traitement des données soit évitée à tout prix, une concertation régulière entre les pourvoyeurs de données, et entre ceux-ci et les utilisateurs, est indispensable (quoique bien difficile parfois).
• Les résultats des traitements des données doivent être mis rapidement à la disposition du plus grand nombre sous une forme lisible par tous. Les services de vulgarisation, la société civile, et bien d'autres, peuvent être intéressés à recevoir une partie de ces informations, sous une forme plus ou moins synthétique, mais toujours adaptée à l'utilisateur.
• L'alerte ne peut sortir que de l'estimation de l'évolution de la situation. Le volet prévision doit donc être développé au niveau de chacun des systèmes de suivi classiques (prévision des récoltes, d'évolution des marchés et des ménages en risque de crise alimentaire), mais surtout au niveau du système d'analyse synthétique de la situation de sécurité alimentaire (prévision des tendances globales de l'insécurité alimentaire).

2. ÉVALUATION DU SYSTÈME

Il peut être nécessaire de prévoir, à étapes régulières, des évaluations «publiques» du SISAAR . On peut aussi envisager d'organiser tous les deux ans un nouvel atelier national de suivi de la sécurité alimentaire, avec la participation des acteurs des secteurs privés, publics et associatifs, comme cela avait été fait pour l'atelier national de validation du SISAAR, lors du montage du système. Un tel atelier devrait être préparé par le secrétariat du CNSA, avec l'approbation et l'appui du CNSA.

Cet atelier est assez difficile à organiser car il peut servir de prétexte à des discussions politiques ou à des règlements de compte entre différents participants. Il faut donc qu'il soit soigneusement préparé, contrôlé et constamment recentré sur les problèmes techniques du fonctionnement du SISAAR en tant qu'instrument de suivi.

On peut aussi faire cette évaluation périodique par le biais d'une nouvelle enquête auprès des récipiendaires des informations du SISAAR. Cette nouvelle enquête poserait des questions sur l'état de satisfaction des récipiendaires, leur vision des problèmes rencontrés, leurs propositions d'amélioration (surtout pour les indicateurs du Tableau de bord, etc.).Cependant une telle enquête ne permettrait pas une évaluation globale de l'adéquation du SISAAR. Il faudrait la compléter par une évaluation de son fonctionnement interne (analyser la circulation de l'information, l'utilisation pertinente des moyens techniques et humains, etc.) pouvant être effectuée par un ou plusieurs consultants indépendants.

Une autre voie d'évaluation périodique pourrait être de porter le débat dans le bulletin périodique, sous forme de dialogue entre le journal et les lecteurs. Evidemment, comme le contrôle du bulletin périodique relève du secrétariat du CNSA, celui-ci pourrait être tenté d'utiliser ce débat comme une forme de propagande ou d'autosatisfaction en orientant les questions et les articles publiés, et en sélectionnant les réponses ou commentaires reçus.

Le CNSA pourrait aussi demander régulièrement une évaluation technique du système à une firme ou à des consultants désignés en Comité. Le choix de la firme ou des consultants indépendants, comme les instructions données (et les modes de paiement choisis) pourraient aussi être sujets à orientation particulière par les membres du CNSA. Pour éviter ces critiques possibles le CNSA pourrait choisir de confier cette évaluation périodique à une organisation internationale indépendante (FAO)

3. PLACE DES SISAAR NATIONAUX DANS UN CONTEXTE RÉGIONAL INTERNATIONAL

Les exemples du CILSS, de la SADC ou de l'IGAD, qui ont mis en place des systèmes inter-États de suivi de la sécurité alimentaire, sont intéressants à étudier. Il est vrai que, pour les zones soumises à des sécheresses régulières, et ayant une certaine forme d'homogénéité dans l'alimentation des populations et leurs productions alimentaires, il semble nécessaire de mettre en place un «SISAAR sous-régional» qui pourrait s'appeler SIRSA (système d'information régional sur la sécurité alimentaire), ou recevoir tout autre dénomination.

Un tel système semble avoir trois rôles principaux :

3.1 Synthèse des informations des SISAAR nationaux

Il est intéressant qu'une organisation régionale reçoive régulièrement, et rapidement copies des bases de données sur la sécurité alimentaire de chacun des pays pour pouvoir préparer une synthèse régionale de l'évolution des données de disponibilité, stabilité et accès et assurer la diffusion de la synthèse de ces informations à tous les pays membres et aux autres acteurs intéressés (les donateurs par exemple). Evidemment une telle base de données ne sera intéressante que si les informations arrivent à l'organisation régionale rapidement et sous un format suffisamment standardisé pour permettre la connection des différentes bases de données. La bonne synthèse des données nationales de production par exemple devrait permettre à l'organisation régionale d'informer les pays de la zone des excédents disponibles et des besoins spécifiques.

Un organisme régional peut aussi assister certains pays de la région à établir leurs bases de données, le cas échéant.

3.2 Base de données des informations inter-États

Il existe cependant des données nécessaires au suivi de la sécurité alimentaire à caractère purement régional pour lesquelles une organisation régionale devrait prendre en charge la collecte, l'analyse et la diffusion.

Il s'agit en particulier des problèmes liés à:

Un SIRSA pourrait aussi servir de point d'appui aux échanges triangulaires destinés à l'aide alimentaire: le donateur achetant dans un pays voisin les produits alimentaires de base dont il veut faire don.

3.3 Forum de discussion entre les décideurs de la zone pour une politique commune de sécurité alimentaire

Le CILSS2 est un bon exemple de base de concertation des pays du Sahel souffrant de la sécheresse pour la sécurité alimentaire. Cette base de concertation est à la fois technique et politique, et constitue un forum non seulement pour les gouvernements de la zone, mais aussi pour les autres partenaires du développement (internes à la région - ONG, associations privées, etc. - et donateurs externes).

La contrainte principale à laquelle se heurte le fonctionnement de cette base de concertation régionale est la réelle volonté politique des gouvernements de la zone de vouloir collaborer.

Dans la région de la SADC3, les États membres financent une cellule régionale d'alerte rapide et de sécurité alimentaire qui produit des rapports régionaux, et fournit un appui technique aux États membres. Cette cellule est également un forum de discussion, et à ce titre elle organise des séminaires annuels d'analyse des nouvelles démarches ou techniques de suivi et de prévision.

Il est difficile de prévoir l'évolution de la sécurité alimentaire au niveau régional, sauf peut être en ce qui concerne l'arrivée de cataclysmes naturels de grande ampleur: cyclones, raz de marée, etc.

Il parait difficile aussi, d'établir un Tableau de bord des prévisions au niveau régional. Il est tout au plus possible de synthétiser les informations contenues dans les Tableaux de bord nationaux. Une organisation régionale est cependant responsable de l'organisation des concertations inter-États en cas d'alerte spécifique touchant plusieurs pays ainsi que de la préparation des documents d'appel à l'assistance internationale. D'autre part, une bonne connaissance des migrations des oiseaux et des acridiens devrait permettre à un organisme régional de coordonner une lutte commune contre les ennemis des cultures et d'organiser la prévention du développement d'épidémies animales touchant le animaux ou les êtres humains.

Proposition de coordination régionale des systèmes d'information
sur la Sécurité Alimentaire et l'Alerte Rapide

4. ÉVOLUTION DES MOYENS MULTIMÉDIA

Le développement se caractérise actuellement par la diminution de l'aide publique, l'explosion des systèmes d'échanges d'informations (télécopies, Internet, etc.), et la mondialisation de l'utilisation des ordinateurs, jointe à l'existence de logiciels de plus en plus puissants, simples, performants et peu coûteux.

A l'heure actuelle, la communication de masse passe par des moyens multimédias (publicité, télévision, radio, revues, journaux, livres, films, cassettes, CD-ROM, Internet, etc.). Ces différents médias utilisent une information de masse qui n'est pas toujours bien contrôlée et analysée avant d'être transmise à un grand nombre de «clients» ou «récipiendaires», qui n'ont pas toujours la capacité de discernement nécessaire.

Il faut ne pas oublier non plus le développement ultra rapide des téléphones cellullaires, qui peuvent même être reliés par satellite. Un grand nombre de commerçants et de transporteurs utilisent déjà ce moyen de communication pour «leurs affaires» et le coût des communications diminue régulièrement, parfois de façon spectaculaire. Les échanges d'informations et de données entre les Comités régionaux et le SISAAR et entre les différents SISAAR, pourront peut-être bientôt avoir lieu par télécopies (ou messages) à partir de téléphones cellulaires.

Malgré l'amélioration des techniques de circulation et de traitement de l'information, les coûts de collecte et d'analyse de l'information restent très élevés (personnel, déplacements, formation) et les systèmes statistiques nationaux manquent souvent de ressources.

5. PLACE DU SISAAR DANS L'INITIATIVE SICIAV

Lors du Sommet mondial de l'alimentation (novembre 1996), la FAO s'est engagée à jouer un rôle de catalyseur dans la mise au point de Systèmes d'information et de cartographie sur l'insécurité alimentaire et la vulnérabilité (SICIAV). De tels systèmes devraient pouvoir fournir des données sur les régions et les populations souffrant de sous-alimentation ou à risque, à un niveau désagrégé. Au plan mondial, le SICIAV devrait permettre un suivi global de la sous-alimentation ce qui pourrait aider les États à formuler et à appliquer des politiques visant à réduire de moitié le nombre de personnes sous-alimentées d'ici 2015 et à promouvoir la sécurité alimentaire pour tous4.

Dans le cadre de l'initiative SICIAV un grand nombre d'activités peuvent être réalisées, aux niveaux national et international en vue d'améliorer l'information et d'atteindre les buts fixés par le Sommet mondial de l'alimentation. La FAO a donc entrepris les démarches suivantes:

Engagements du Sommet concernant l'établissement d'un système d'information et de cartographie sur la vulnérabilité alimentaire et l'insécurité (SICIAV)

L'engagement Deux, par. 20 a), énonce que " les gouvernements, en collaboration avec tous les acteurs de la société civile, selon qu'il conviendra, établiront et mettront à jour périodiquement, en cas de besoin, un système national d'information et de cartographie sur l'insécurité alimentaire et la vulnérabilité, indiquant les zones et les populations (y compris au niveau local) souffrant ou risquant de souffrir de faim et de malnutrition, ainsi que les facteurs d'insécurité alimentaire, en tirant le meilleur parti possible des données existantes et d'autres systèmes d'information afin d'éviter tout chevauchement d'efforts "

L'engagement Sept. Paragraphe 59 b), énonce que " A cette fin, les gouvernements, agissant de concert et en coopération avec les institutions internationales, et utilisant des informations, y compris cartographiques, sur l'insécurité alimentaire et la vulnérabilité, et selon qu'il conviendra: encourageront les institutions pertinentes du système des Nations Unies à entamer des consultations, notamment dans le cadre du CAC des Nations Unies, pour poursuivre l'élaboration et la définition d'un système d'information et de cartographie sur l'insécurité alimentaire et la vulnérabilité, qui devra être mis au point de façon coordonnée; les États Membres et leurs institutions et d'autres organisations, selon qu'il conviendra, devraient être associés à la mise au point, au fonctionnement et à l'utilisation du système..."

Mettre en place un système cartographique mondial pour le suivi d'indicateurs de vulnérabilité à l'insécurité alimentaire.

Le cadre théorique de l'analyse de la vulnérabilité dans le cadre de l'initiative SICIAV a été défini dans le tableau ci-dessous:

Ce cadre conceptuel reprend les quatre volets de la sécurité alimentaire: disponibilité en produits alimentaires de base, stabilité des approvisionnements (à laquelle est ajoutée la stabilité de l'accès), accès de tous à ces approvisionnements en produits alimentaires de base, et utilisation biologique (appelé ici utilisation physiologique).

Dans les pays ou existe un SISAAR (ou un système équivalent), il est naturel que le point focal national du SICIAV, soit un responsable du secrétariat du CNSA, souvent même le coordinateur du SISAAR.

5.1 Activité et buts du SICIAV au niveau mondial

Les mesures ci-après ont été prises ou sont en cours:

Pour plus de détails sur le stade de création du SICIAV mondial, voir le site spécifique de ce programme inter-agences http://www.fivims.net/

5.2 L'initiative SICIAV au niveau national

Au niveau national, le SICIAV consiste en un réseau de systèmes d'informations qui rassemblent et analysent les données se rapportant à la mesure et au suivi de l'insécurité alimentaire et de la vulnérabilité. Le SISAAR peut être considéré comme un SICIAV national mais il n'est ni nécessaire, ni utile de changer de dénomination5.

Un SICIAV national est un système, ou un réseau de systèmes, qui rassemble, analyse et diffuse l'information sur les personnes qui sont victimes ou exposées à des risques d'insécurité alimentaire. Il s'interroge sur leur identité, leur localisation et sur les motifs qui ont provoqué la situation d'insécurité alimentaire ou de vulnérabilité. L'objectif des SICIAV nationaux est de permettre aux dirigeants et aux représentants de la société civile de disposer de données plus fiables et plus actualisées sur les problèmes de sécurité alimentaire de leurs pays, à tous les niveaux, et de faciliter l'évaluation des politiques et des programmes destinés à améliorer la situation6. Les systèmes nationaux seront aussi appelés à fournir des informations qui permettront à la communauté internationale de suivre et de guider la progression en direction des objectifs mondiaux établis à l'occasion du Sommet mondial de l'alimentation.

Un SISAAR peut donc représenter l'instrument essentiel du SICIAV national. Les directives du SICIAV insistent particulièrement sur le fait que, si les systèmes nationaux d'information (SISAAR ou autres types de démarches) jouent leur rôle dans la lutte contre l'insécurité alimentaire et la malnutrition, ils ne doivent pas être rebaptisés. Toutefois elles préconisent que ces entités organisationnelles nationales soient désignées comme points focaux SICIAV dans le contexte des engagements du Sommet mondial de l'alimentation.

6. RELATIONS AVEC LE SMIAR

Le Système mondial d'information et d'alerte rapide (SMIAR) de la FAO a été créé en 1975, à la suite de la Conférence mondiale de l'alimentation. Le SMIAR a pour but de fournir aux décideurs et aux analystes internationaux les informations les plus récentes possibles sur tous les aspects de l'offre et de la demande alimentaire et de les alerter des risques de crises alimentaires imminentes afin que des interventions adéquates puissent être organisées. Il publie régulièrement des bulletins sur la production, la consommation et les marchés des produits alimentaires au niveau mondial, ainsi que des rapports détaillés sur la situation au niveau régional et national.

Pour mener ces analyses, le SMIAR se base notamment sur les informations fournies par les systèmes nationaux de collecte de données. Il a donc établi des relations étroites avec tous les SISAAR et les autres systèmes locaux et reçoit régulièrement leurs publications transmises par télécopie ou courrier électronique, si cela est possible. Par ailleurs, il peut organiser, en liaison avec ces structures, des missions d'évaluation des récoltes et de la situation alimentaire pour collecter des informations plus récentes ou plus détaillées, notamment au moment des récoltes ou en cas de crise alimentaire. Ces missions sont aussi souvent menées conjointement par la FAO et le PAM. Ainsi dans le Sahel, des missions conjointes FAO/CILSS7/Gouvernements sont organisées chaque année au mois d'octobre dans tous les pays membre du CILSS. Elles permettent d'arrêter en commun les chiffres des prévisions de récolte qui seront ensuite présentés à une série de réunions régionales ou internationales qui se tiendront avec les bailleurs de fonds.

En sens inverse, le SMIAR met à la disposition des structures nationales des informations sur la situation dans les pays voisins, ou au niveau régional et international. Toutes ces publications sont accessibles sur Internet8. Elles peuvent aussi être envoyées par courrier électronique si l'on en fait la demande en s'inscrivant sur des listes de diffusion automatique9. En outre, le SMIAR a développé des bases de données sur les pays qui comportent des statistiques, des cartes, des calendriers culturaux et des images satellite10. Par ailleurs, grâce à un accès en ligne sur Internet, il est maintenant possible d'accéder à un certain nombre de données complémentaires par l'intermédiaire de requêtes personnalisées en utilisant une nouvelle interface, GeoWeb.

Pour faciliter la consultation de divers indicateurs, et le travail d'analyse croisée menée par ses responsables géographiques, le SMIAR a développé une station de travail informatisée (GeoFile) avec l'appui de l'Union européenne, qu'il mettra à la disposition des pays pour appuyer leurs systèmes nationaux. Cet outil informatique, déjà installé en Afrique auprès de la SADC, sera bientôt disponible au Centre Agrhymet du CILSS. Il est également prévu d'organiser des formations en vue de l'utilisation et de l'entretien de cette station de travail que l'on envisage de décentraliser ultérieurement dans les pays.


1 Le Réseau du CAC sur le développement rural et la sécurité alimentaire rassemble les principaux partenaires du développement pour une action coordonnée et centrée au niveau des pays. Pour plus de détail sur ce réseau voir le site internet: http://www.accnetwork.net

2 Comité inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel.

3 Communauté du développement de l'Afrique australe.

4 2015 est le terme fixé par le Sommet mondial de l'alimentation pour réduire de moitié le nombre de personnes sous-alimentés.

5 Pour plus de détails sur les fonctions propres d'un SICIAV national voir le document FAO CFS: 98/5 disponible sur Internet dans le site FAO: http://www.fao.org/docrep/meeting/W8500f.htm

6 Extrait des Directives relatives aux SICIAV : Généralités et principes CSA-Vingt-quatrième session Rome, 2 - 5 juin 1998.

7 Comité inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel.

8 http://www.fao.org/giews/french/smiar.htm

9 http://www.fao.org/giews/french/listes.htm

10 http://www.fao.org/giews/afrbase.htm


Page précédenteDébut de pagePage suivante