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INTRODUCTION

1. Le Comité exécutif de la Commission du Codex Alimentarius a tenu sa quarante-huitième session au siège de l’OMS, à Genève, du 28 au 29 juin 2001. La session a été présidée par M. T. Billy (Etats-Unis d’Amérique), Président de la Commission du Codex Alimentarius. Une liste complète des participants, y compris des membres du Secrétariat, figure à l’annexe I au présent rapport.

2. Dans son allocution d’ouverture, Mme Ann Kern, Directrice exécutive, Développement durable et environnements sains (OMS), a déclaré que la sécurité sanitaire des aliments était aujourd’hui reconnue comme un problème majeur de santé publique et que la mondialisation accrue du commerce alimentaire lui avait donné des dimensions universelles. La sécurité sanitaire des aliments a donc été retenue comme l’un des domaines de haute priorité de l’OMS. Elle a déclaré que les impératifs de sécurité sanitaire des aliments étaient de la plus haute importance lorsque que la situation sanitaire des pays était en cause et noté que l’amélioration de la situation économique et celle de la situation sanitaire étaient liées. A cet égard, la capacité des pays à améliorer leur situation économique grâce au commerce alimentaire servait aussi à améliorer la situation sanitaire. Le problème fondamental était d’élaborer des processus réglementaires efficaces qui permettent à ces deux phénomènes de se développer et de se soutenir l’un l’autre. Elle a aussi fait observer que s’il importait de s’attacher à l’impact de la sécurité sanitaire des aliments sur les personnes, les actions et les réglementations en matière de sécurité sanitaire des aliments devaient reposer sur des preuves scientifiques, et que la sécurité sanitaire, la protection des consommateurs et le commerce s’en trouveraient renforcés au niveau national, régional et mondial. Mme Kern a déclaré que l’OMS appuyait les objectifs indiqués dans le Plan d’action du Président ainsi que son orientation générale.

3. Le Président, répondant au Directeur exécutif, s’est déclaré satisfait du soutien de principe de l’OMS aux travaux du Codex et a fait observer que l’amélioration des relations de travail entre la FAO et l’OMS qui ressortait de sa déclaration serait accueillie favorablement par tous les pays.


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