A cet égard, la mission souhaite faire les observations suivantes:
au cas où le Gouvernement néerlandais orienterait son programme d'aide technique vers des domaines plus spécifiques (par exemple l'exploitation de ressources aquatiques) il serait souhaitable qu'un spécialiste de ce domaine soit ajouté au personnel exécutif de la DGIS, ce qui permettrait de comprendre et de résoudre plus facilement les problèmes sur le terrain et ceux qui se posent avec le personnel de contrepartie;
il faut reconnaître qu'en raison des cycles naturels, cette assistance devra porter sur une période plus longue que celle que nécessiteraient la plupart des activités non biologiques;
il ressort des entretiens avec les fonctionnaires de la FAO à Rome, les fonctionnaires du Gouvernement de la République centrafricaine et le personnel de terrain, qu'une approche et une participation plus directes du DGIS seraient très appréciées. L'impression prévaut parfois que les responsabilités du Gouvernement néerlandais se terminent avec la remise des fonds, ce qui est regrettable. Il est donc recommandé que les membres du DGIS se rendent à l'occasion au siège de la FAO et dans les projets sur le terrain.
Enfin, la mission a été priée par les agences d'exécution et par le Haut Commissaire à la planification de la République centrafricaine de remercier et de complimenter le Programme de recherche et d'enseignement néerlandais pour sa contribution déterminante au développement de la pisciculture en République centrafricaine.