CUBATable des matièresTable des matièresSituation de l’exécution des produits de l'entité de programme 2KP01

Avant-propos du Directeur général

Le Rapport sur l’exécution du Programme vise à informer les Membres des travaux menés par l’Organisation au cours du dernier exercice biennal. Il appartient à la série traditionnelle de documents sur la gestion de l’Organisation et contient à ce titre des informations sur les résultats financiers et les produits et réalisations de la FAO. Il embrasse les ressources et les activités prévues tant au titre du Programme ordinaire que des fonds extrabudgétaires.
L’exercice biennal 2006-2007 a été marqué par un triple défi: la précédente Conférence de la FAO avait approuvé un budget d’un niveau bien inférieur à une croissance zéro, à quoi s’ajoutait une évolution défavorable de la conjoncture financière sur laquelle l’Organisation n’avait aucune prise; les réformes devaient être progressivement mises en œuvre dans les limites de ces contraintes budgétaires; parallèlement à cela, il fallait exécuter une gamme élargie d’activités de terrain financées par des contributions volontaires liées ou non à des secours d’urgence.
En fait, si le budget approuvé, d’un montant de 765,7 millions d’USD, accusait une augmentation nominale de 16,6 millions d’USD par rapport à l’exercice biennal précédent, en réalité, compte tenu d’un accroissement des coûts estimé à 39 millions d’USD, il était en baisse, en termes réels, de 5,2 pour cent. Il a donc fallu élaguer le programme de travail initialement formulé et mettre en place, progressivement, des mesures organisationnelles permettant de nouveaux gains d’efficience, et un meilleur recouvrement des coûts.
En cours de mise en œuvre, le programme de travail a également subi l’impact de coûts supplémentaires de 38 millions d’USD qui n’avaient pas été prévus dans le budget. Enfin, en 2006, l’Organisation a connu de graves difficultés de trésorerie dues au retard avec lequel certains Membres ont réglé leur contribution, ce qui l’a obligée à avoir largement recours à l’emprunt.
Soixante ans après la fondation de la FAO en 1945, j’ai proposé une nouvelle vision qui épouse plus étroitement les priorités et les exigences en constante évolution des Membres de l’Organisation, et qui permette de tirer parti des nouvelles possibilités, assortie de propositions pour une réforme de grande ampleur. La mise en œuvre des réformes approuvées par la Conférence et le Conseil s’est poursuivie tout au long de l’exercice biennal 2006-2007. Les changements apportés à la structure par chapitre du PTB et les résultats de la reformulation substantielle des entités de programme ont été présentés dans le PTB révisé 2006-07 approuvé par le Comité du programme et le Comité financier en mai 2006. Signalons, parmi les autres « faits saillants », l’approbation du nouveau Dispositif pour les dépenses de sécurité, qui rend possible la gestion intégrée de toutes les dépenses relatives à la sécurité; les changements organisationnels au Siège; la consolidation du Centre des services communs du Siège devenue réalité en janvier 2006; puis la délocalisation progressive dudit Centre à Budapest, suivie en 2007, d’un début de décentralisation vers l’Afrique et l’Asie centrale, avec l’assentiment des Organes directeurs.
J’ai le plaisir d’annoncer que les contributions volontaires ont fortement augmenté au cours de l’exercice biennal 2006-07, pour atteindre 849 millions d’USD, soit près de la moitié des dépenses totales de la FAO. Le gros de cette augmentation a concerné les secours d’urgence, qui ont de ce fait représenté une proportion importante du Programme de terrain.
En novembre 2005, la Conférence a faite sienne la recommandation du Conseil de lancer une Évaluation externe indépendante de la FAO (EEI). Les conclusions et recommandations de l’équipe chargée de l’évaluation ont été examinées par la Conférence en 2007, laquelle a établi un Comité de la conférence chargé du suivi de l’Évaluation externe indépendante, qui est d’ores et déjà en pleine activité. Tout au long de l’exercice biennal écoulé, le Secrétariat s’est partout fait un devoir d’apporter son soutien à l’équipe chargée de l’Évaluation dans ses recherches.
Pour en venir au contenu spécifique du présent document, un effort particulier a été fait pour le présenter sous une forme compacte et lorsque cela s’y prêtait, dans un style dynamique. On voudra bien noter que le Rapport sur l’exécution du programme est établi à partir d’informations provenant d’états financiers et de registres comptables non vérifiés et qu’il ne prétend pas être un document comptable. Les Membres, toutefois, s’attendent à être informés de l’origine et de l’utilisation effective des ressources mises à la disposition de l’Organisation au cours de l’exercice biennal de manière à pouvoir les mettre en regard des principaux produits et services qu’elle leur offre.
On trouvera ainsi à la Section 1 un aperçu des ressources de la FAO et des « faits saillants » reprenant les principales réalisations au titre du programme, dont, une analyse détaillée de l’efficacité et de l’efficience du Programme de coopération technique, comme demandé par la Conférence. Il y est également question des dimensions régionales de l’exécution du programme. La démarche suivie se veut globale et les activités couvertes relèvent aussi bien du budget ordinaire que des contributions volontaires.
Particulièrement remarquables ont été les succès obtenus, au titre de la lutte contre les ravageurs et les maladies transfrontières des animaux et des plantes, face aux éruptions de grippe aviaire et aux infestations de criquets pèlerins. Le travail sur le changement climatique a également eu un relief particulier, la FAO continuant à sensibiliser l’opinion à tous les niveaux au fait que l’agriculture est à la fois un facteur de ce changement et l’un des secteurs les plus exposés à ses conséquences. Sur un plan plus pratique, différentes méthodes et options en matière de politiques capables de déboucher sur une réduction des émissions de gaz à effet de serre ou de faciliter l’adaptation, ont été présentées.
Si le soutien aux investissements a conservé son rang de priorité bien établie, les exemples ne manquent pas d’une assistance accordée à des pays spécifiques en vue d’améliorer les différents modes de faire-valoir et de faciliter l’accès aux terres arables des ménages ruraux appauvris. La conception et la mise en œuvre de programmes nationaux pour la sécurité alimentaire ont également reçu l’attention qu’elles méritent, l’accent étant mis sur les écoles pratiques d’agriculture et l’intégration des objectifs de sécurité alimentaire et d’amélioration nutritionnelle dans les secteurs de la santé et de l’éducation.
On trouvera dans la Section 2 un résumé des initiatives relatives à la gouvernance de l’Organisation prises pendant l’exercice biennal écoulé et différents exemples d’exécution du programme concernant notamment: la mise en œuvre des propositions de réforme approuvées, plus particulièrement en matière de décentralisation; le coût du soutien apporté au Programme de terrain et des activités à l’appui direct du Programme ordinaire; le recours au dispositif pour les dépenses d’équipement et de sécurité capital; la mise en œuvre de la politique linguistique de la FAO des informations relatives à la ventilation géographique et par sexe du personnel de l’Organisation.
Les Annexes donnent des renseignements supplémentaires sur l’exécution du programme, dont un résumé des résultats obtenus à l’Annexe 2 et un rapport détaillé sur les dépenses et les réalisations par entité de programme à l’Annexe 4.
Je ne doute pas que les Membres trouveront dans le présent Rapport sur l’exécution du programme de nouvelles raisons de croire que leur investissement collectif dans l’Organisation continue de porter ses fruits.



Jacques Diouf
Directeur général

RÉSUMÉ ANALYTIQUE

1.     On trouvera ci-dessus dans l’Avant-propos du Directeur général des explications concernant la structure et la teneur du présent Rapport sur l'exécution du programme. Les principaux chiffres et réalisations repris dans le rapport sont résumés ci-après.

Aperçu des ressources
2.     En 2006-07, les dépenses totales de l'Organisation ont atteint 1 775 millions d’USD, soit près de 232 millions d’USD (13 pour cent) de plus qu'en 2004-05. Les dépenses au titre du Fonds général et des fonds connexes ont augmenté de 17,3 millions d’USD (2,1 pour cent), tandis que les dépenses globales au titre des fonds fiduciaires et du PNUD ont progressé de 214,2 millions d’USD (33,7 pour cent), ce qui représente près de la moitié des ressources totales. Les dépenses au titre des fonds fiduciaires (à l'exclusion des projets de secours d'urgence) ont enregistré une hausse de 18,6 pour cent, tandis que les dépenses liées aux opérations d'urgence ont enregistré une hausse spectaculaire de 60,6 pour cent, due principalement à la crise de la grippe aviaire, au tsunami et à d’autres catastrophes naturelles.

3.     Les dépenses engagées pour l'exécution du Programme de travail se sont élevées à 877,8 millions d’USD, contre un budget correspondant de 856,8 millions. Les recettes se sont élevées à 113,6 millions d’USD, soit une augmentation de 22,5 millions, du fait que les revenus ont été plus élevés que prévu au cours de l'exercice biennal 2006-07. Les dépenses nettes totales ont représenté 764,2 millions d’USD pour une ouverture de crédits de 765,7 millions d’USD approuvée par la Conférence en 2005, au titre du Programme ordinaire. Elles ont été affectées par deux postes importants non prévus au budget, à savoir une variance défavorable des dépenses de personnel (de 23,3 millions d’USD) et le coût du redéploiement des titulaires des postes supprimés (11,5 millions d’USD).

4.     La recherche active de gains d'efficience s'est poursuivie au cours de l'exercice biennal écoulé. Grâce aux changements apportés à la politique de recouvrement des dépenses d'appui et à l'augmentation de l'exécution, les remboursements au Fonds général ont enregistré une hausse d'environ 13 millions d’USD. Un groupe de travail interdépartemental a recensé 55 possibilités de rationaliser les procédures administratives, qui ont été mises à exécution. L’Organisation a également rationalisé la prise de décision en éliminant des échelons hiérarchiques moyennant la suppression au Siège de 21 postes de directeurs et d’agents des services généraux connexes. Les économies ainsi réalisées se sont chiffrées à quelque 9 millions d’USD en 2006-07. Des changements complexes ont été introduits dans les processus administratifs en vue de la mise en service du Centre des services communs, qui devrait permettre d'économiser 8 millions d’USD à l'issue d'une période de transition correspondante à l'exercice biennal 2008-09.

5.     L'exécution totale du Programme de terrain, parallèlement au soutien extrabudgétaire au titre du Programme ordinaire, a augmenté de 24 pour cent par rapport à l'exercice biennal précédent, grâce en particulier à un recours plus systématique aux dispositions du Programme de coopération FAO/gouvernements (GCP), du Fonds fiduciaire unilatéral (UTF) et des programmes de partenariat avec la FAO et –comme cela a été souligné plus haut– à une forte progression des activités au titre des opérations d'urgence de relèvement. Les vingt premiers donateurs ont financé 79 pour cent de l’exécution au moyen de financements extrabudgétaires. Le financement multidonateur de programmes ou de grands projets spécifiques a plus que triplé par rapport à l'exercice biennal 2004-05, ce qui fait de cette modalité de financement la deuxième par ordre d’importance des montants financés. Le nombre de donateurs non traditionnels a augmenté, grâce en particulier au Fonds central d'intervention pour les urgences des Nations Unies.

6.     Toutefois, l'exécution du PCT a diminué de près de 50 pour cent par rapport à 2004-05, en raison principalement des graves difficultés de trésorerie de l'Organisation, mais aussi du fait du pourcentage élevé de projets approuvés en 2004-05 qui ont été exécutés durant cette période. La réorientation du Programme spécial pour la sécurité alimentaire (PSSA), désormais axé non plus sur les petits projets pilotes, mais sur la conception et la mise en œuvre de programmes régionaux et nationaux pour la sécurité alimentaire, s'est traduite par une diminution de l'exécution des projets PSSA financés au titre du Programme ordinaire.

7.     Les efforts visant à assurer la sécurité du personnel dans tous les lieux d'affectation se sont poursuivis. Les budgets et les dépenses relatifs à la sécurité ont été intégrés dans le Chapitre 9: Dépenses de sécurité et les dépenses à ce titre se sont établies à 8,3 millions d’USD pour le siège et à 11,0 millions d’USD pour les lieux d'affectation décentralisés et le Programme de terrain. L’Organisation a également mis en œuvre avec succès nombre des projets prévus au titre du Dispositif pour les dépenses d’équipement (Chapitre 8 du PTB). Les dépenses se sont élevées à quelque 12,5 millions d’USD, un montant de 2,8 millions d’USD ayant été transféré au Dispositif pour les dépenses d'équipement afin d'en reporter l'emploi à un exercice financier ultérieur. Le projet Système de gestion des ressources humaines (SGRH) a bénéficié d'une priorité absolue et de plus des deux tiers du budget alloué au Chapitre 8.

Initiatives relatives à la gouvernance de l'Organisation et faits saillants de l'exécution du programme durant l'exercice biennal 2006-07
8.     L’Organisation s'est attachée à mettre en œuvre les réformes approuvées par les Organes directeurs en deux temps, à savoir à la trente-troisième session de la Conférence, en novembre 2005, et à la cent trente et unième session du Conseil, en novembre 2006. Les premiers changements ayant été introduits début 2006, la nouvelle structure organisationnelle du Siège approuvée par le Conseil est devenue opérationnelle le 1er janvier 2007. Elle comprend deux nouveaux départements, chargés l’un de la gestion de l'environnement et des ressources naturelles, l’autre des connaissances et de la communication. Les changements apportés à la structure par chapitre du PTB et les résultats de la reformulation substantielle des entités de programmes ont été présentés dans le PTB révisé 2006-07.

9.     La première phase de la décentralisation concernait l'Afrique et l'Asie centrale. De nouveaux bureaux sous-régionaux ont été établis à Libreville (Gabon) pour l'Afrique centrale et à Addis-Abeba (Éthiopie) pour l'Afrique orientale. Le Bureau sous-régional pour l'Afrique de l’Ouest a été établi à Accra (Ghana), qui continue d'accueillir le Bureau régional pour l'Afrique. Le Bureau sous-régional reconfiguré pour l'Afrique australe est resté à Harare (Zimbabwe). Le nouveau Bureau sous-régional pour l'Asie centrale a été établi à Ankara (Turquie). Au cours de la deuxième phase, le Bureau régional pour l'Europe a été transféré du Siège de la FAO à Rome à Budapest (Hongrie).

10.     En application de décisions prises ultérieurement par les Organes directeurs, les réformes ont été étendues à l'Amérique latine et aux Caraïbes. Un Bureau sous-régional a été établi au Panama, une équipe multidisciplinaire a été constituée à Santiago et le Bureau sous-régional situé à la Barbade a été restructuré. En novembre 2007, le Conseil a également approuvé la création dans les Émirats arabes unis d’un nouveau Bureau sous-régional pour les membres du Conseil de coopération du Golfe et le Yémen.

11.     Après l'approbation par la Conférence, en 2005, de l'Évaluation externe indépendante (EEI) de la FAO, l’Organisation, à tous les niveaux, a apporté un soutien actif aux travaux de l'équipe d'évaluation. Au cours des dernières étapes du processus, elle a procédé à l'examen des données factuelles citées dans le projet de rapport de l’EEI et a aidé à déterminer, à titre préliminaire, le montant des coûts et des économies associés aux nombreuses recommandations figurant dans ce rapport.

12.     L'Organisation a maintenu le cap concernant sa politique linguistique. En 2006-07, le pourcentage de réunions tenues en cinq langues est tombé à 14 pour cent, tandis que le pourcentage de réunions tenues en quatre langues progressait pour s’établir, lui aussi, à 14 pour cent. Le pourcentage de réunions tenues en trois langues a augmenté, pour passer à 25 pour cent. Dans l'ensemble, le pourcentage des réunions tenues en plus de deux langues est passé à 52 pour cent, contre 50 pour cent en 2004-05. La publication des documents dans les langues de travail de la FAO est restée l'une des grandes priorités de l'Organisation. Toutes les publications phares ont été publiées dans les cinq langues, tandis que des ouvrages à caractère plus technique ont été publiés dans des versions linguistiques correspondant aux principales audiences visées.

13.     L'attention accordée à la représentation géographique et à la parité hommes-femmes au sein du personnel ne s’est pas relâchée. À la fin 2007, 10 pays étaient surreprésentés, 19 étaient sous-représentés et 38 n'étaient pas représentés, mais les efforts se poursuivent pour réduire le nombre de ces derniers. Accroître la proportion de femmes au sein du cadre organique est l’un des principaux objectifs de la politique de l’Organisation en matière de ressources humaines. Les dispositions prises en ce sens au cours des six derniers exercices biennaux ont permis une augmentation régulière de la proportion de postes du cadre organique occupés par des femmes qui est passée au Siège de 21 pour cent début 1996 à 34 pour cent fin 2007 et, tous lieux d’affectation confondus, de 18 à 30 pour cent.

Information sur le Programme et principaux « faits saillants »
14.     Les unités de la FAO avaient identifié des résultats à atteindre pour chacun des programmes prévus au Programme de travail et budget de l'exercice biennal 2006. Comme à l'accoutumée, certaines modifications ont dû être apportées en cours d'exercice aux résultats à atteindre, tandis que d'autres ont dû être reportés ou rayés de la liste. De nouveaux résultats ont dû être introduits pour tenir compte de l'évolution de la situation et de nouvelles demandes spécifiques. Comme le montre l'Annexe 2, les résultats obtenus sont dans l’ensemble plutôt satisfaisants. Le programme technique a exécuté 93 pour cent des produits prévus ajustés de résultats et les programmes non techniques 97 pour cent. On trouvera à l’Annexe 4 des détails supplémentaires sur les entités de programme, également affichés sur le site Web de la FAO (http://www.fao.org/pir).

15.     La version imprimée du présent Rapport sur l'exécution du programme couvre de manière sélective les résultats du travail de la FAO dans 12 domaines relevant des trois chapitres de fond du Programme de travail: Chapitre 2: Systèmes alimentaires et agricoles durables; Chapitre 3: Échange de connaissances, politiques générales et activités de plaidoyer, et Chapitre 4:  Décentralisation, coopération à l’échelle du système des Nations Unies et exécution du programme. Les exemples et les descriptions qui les accompagnent visent à montrer le rôle fondamental que le renforcement des capacités, les partenariats et le PCT ont joué dans l'obtention de résultats durables aux niveaux national, régional et mondial dans les 12 domaines considérés: ravageurs et maladies transfrontières des animaux et des plantes; sécurité sanitaire des denrées alimentaires; CIPV; changement climatique; ressources génétiques pour l'alimentation et l'agriculture; pêches et aquaculture; forêts (plus particulièrement la lutte contre les incendies de forêt); analyse des marchés des produits agricoles et projections en la matière; investissements dans l'agriculture; soutien aux programmes nationaux d'aide à la sécurité alimentaire liés aux catastrophes naturelles et aux situations d'urgence complexes; PCT, y compris analyse du rôle catalytique des projets du PCT et de leurs relations avec les programmes de la FAO, notamment par le biais du renforcement des capacités.

16.     De même, un aperçu est donné des réalisations de la FAO dans chaque région (Afrique, Asie et Pacifique, Europe et Asie centrale, Amérique latine et Caraïbes et Proche-Orient) par domaine de programme, toutes sources de financement confondues, y compris le PCT et les financements extérieurs destinés à l'investissement.

1 Refer to Section 2.B of document for highlights and more details.

1 Revised PWB 2006-07 and Conference Resolution 6/2005.

1 Table 5 of Revised PWB 2006-07.

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