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Enseignements à tirer de l'hostilité des populations locales à l'égard des aires protégées au Togo

T.T.K. Tchamie

Thiou Tanzidani Komlan Tchamie est professeur de géographie à l'Université du Bénin, à Lomé (Togo).

La destruction délibérée par les populations locales des ressources naturelles des aires protégées est la preuve qu'il existe au Togo un conflit entre les programmes de l'Etat et les besoins de la population. Une nouvelle politique visant à sauvegarder les zones protégées et à gérer leurs ressources naturelles doit tenir compte à la fois des intérêts de l'Etat et de ceux des populations locales.

Le concept juridique de zones protégées a été introduit en Afrique occidentale française en 1925, et, l'année suivante, le gouverneur général publiait un arrêté créant 15 de ces zones. Au Togo, une circulaire du gouverneur général datée du 1er février 1933 stipulait ce qui suit: «J'ai envisagé, comme moyen efficace d'empêcher une trop grande déforestation du pays, de créer un vaste domaine forestier classé, dégagé de l'inconsistance des terres boisées vacantes et sans maîtres, bien constitué en droit, définitivement assis en superficie et spécialement protégé» (Aubreville, 1937). Ces aires protégées devaient demeurer, autant que possible, à l'écart de tout contact humain, et la pénétration et la chasse devaient y être interdites (Foury, 1948). L'arrêté du gouverneur général envisageait bien de laisser la population indigène exercer ses droits d'usage dans le domaine non classé, mais en considérant les terres forestières comme «vacantes et sans maîtres» il faisait apparaître que les autorités coloniales ne comprenaient guère les pratiques traditionnelles d'utilisation des terres.

Marché en bord de route à l'entrée de la ville de Mango, près de la réserve de Naboulgou; de si nombreux animaux sauvages ont été tués que la viande est vendue à très bas prix

Au Togo, le régime foncier coutumier découle de l'organisation clanique de la population, caractérisée par l'occupation en territoires autonomes des collectivités constituées par tous les descendants d'un ancêtre commun. La terre n'appartient à personne car toutes les terres comprises dans les limites territoriales d'un clan constituent une entité à la disposition de tous les membres du clan. La population s'est donc opposée à la constitution de ce domaine réservé car la suppression de ses droits de jouissance, en particulier le droit de défrichement, revenait à la déposséder de quelque chose qu'elle considérait comme son bien propre.

En 1955, un nouveau décret était promulgué qui transférait tous les pouvoirs, sauf la défense, les affaires étrangères et la monnaie, à l'administration locale. Le décret contenait aussi une clause abandonnant le principe des terres vacantes et sans maîtres et stipulait que la création de réserves forestières devait impliquer les populations locales et prendre en compte leurs aspirations et revendications. Les textes officiels reconnaissaient les droits d'usages coutumiers, notamment le ramassage de bois et la récolte de fruits, de plantes alimentaires et médicinales. Avant tout classement des forêts, une enquête devait être menée auprès des populations concernées afin de préciser les droits des usagers sur les terres. Si, après enquête, on considérait que l'intérêt général prévalait, la forêt était classée mais les propriétaires fonciers expropriés devaient être dédommagés. Malheureusement, cette révision des droits de jouissance est intervenue trop tard pour être mise en pratique.

En 1958, pendant les campagnes électorales qui ont précédé la constitution d'une nouvelle assemblée législative et qui se sont déroulées sous les auspices des Nations Unies dans la perspective de l'indépendance, certains hommes politiques ont dénoncé l'existence des forêts classées comme étant une forme d'expropriation des terres. Les populations locales se sont attaquées aux gardes forestiers et ont systématiquement détruit la flore et la faune dans les aires protégées.

Eléphant dans le parc national de la Kéran avant 1990

Peu après son arrivée au pouvoir en 1967, le président Eyadema a organisé une réunion de tous les forestiers pour étudier l'état de l'environnement et proposer des solutions qui permettent de redresser la situation. A partir de 1968, une politique extrêmement centralisée de gestion des aires protégées et de conservation des ressources naturelles a été entreprise. A part le petit gibier, la chasse a été interdite sur tout le territoire national sauf autorisation spéciale, et la détention d'armes à feu a été de nouveau interdite, comme c'était le cas durant la période coloniale.

A partir de 1971, le gouvernement, dans sa politique de protection de l'environnement; a agrandi certaines aires et en a érigé trois en parcs nationaux:

· Le parc national de Fazao-Malfakassa a été créé en 1975 par regroupement de deux forêts classées depuis 1951 (Fazao, 162000 ha; Malfakassa, 30000 ha). Situé dans la région centrale, dans la chaîne de l'Atakora, ce parc est représentatif d'un écosystème semi-montagnard tropical humide.

· Le parc national de la Kéran, créé en 1971 à partir d'une forêt classée de 1950 (6700 ha), a connu une extension en 1975-1976, portant sa superficie à 163600 ha, puis il a été encore agrandi en 1981-1982 pour atteindre une superficie totale de 179550 ha, dont 50470 ha en réserve de chasse. Situé dans le nord du Togo, ce parc est représentatif des milieux de savanes sub-soudaniennes.

· Le parc national de la Fosse aux lions, d'une superficie de 1650 ha, était une forêt classée en 1954. En 1981, on a également décidé de mettre sous protection toute la vallée de l'Oti (qui s'étend des limites nord et nord-est du parc national de la Kéran jusqu'à l'extrémité nord-est du pays), créant la réserve de faune de l'Oti-Mandouri dont les limites ont été à plusieurs reprises repoussées (148000 ha).

En additionnant les superficies des parcs nationaux (357390 ha), des réserves de faune (290401 ha) et des forêts classées (159719 ha), ce sont 807410 ha, soit 12 pour cent de la superficie totale du pays, qui se trouvent classés. La Région des savanes, à l'extrême nord du Togo, est le lieu privilégié de la protection de la flore et de la faune (Direction régionale du plan et du développement de Dapango, 1985). Les aires protégées dans la région (parcs nationaux, réserves de faune et forêts classées) sont passées de 164 km² en 1960 à 2632 km² en 1990, soit près d'un tiers (31 pour cent) de la superficie totale de la région et presque 40 pour cent de l'ensemble des zones protégées du pays.

Malheureusement, ces agrandissements et classements n'ont pas tenu compte du partage rationnel entre espace à protéger et espace cultivable nécessaire pour une population en expansion. La politique de conservation est censée être une action de protection physique du territoire, qui doit améliorer les conditions naturelles favorables à la survie des populations locales. Mais il n'y a pas eu d'actions d'accompagnement (amélioration des terres cultivables, évaluation des besoins des populations, etc.) qui devraient permettre aux aires protégées de jouer pleinement leur rôle, qui est à la fois écologique et économique. Dans la réalité, les arrêtés de classement mettent l'accent sur la protection des terres comme une finalité, et la planification de l'utilisation des terres ne fait que suivre. Malheureusement, les objectifs politiques de la protection de l'environnement ont complètement occulté les raisons qui ont présidé à la création de zones protégées. Au lieu d'être un moteur du développement économique de régions qui sont rurales à plus de 90 pour cent, les aires protégées sont devenues «des garde-manger entourés par la faim» (Sournia, 1990).

Le rapport d'un séminaire sur les parcs nationaux et la protection de la faune et de la flore, tenu à Kara en 1982, mentionnait: «Dans sa politique socioculturelle visant à placer l'homme togolais dans son cadre de vie naturel, lui faire reconquérir son authenticité perdue, connaître et apprécier les valeurs de son héritage culturel, le gouvernement a résolument mis au point un processus d'écodéveloppement et de conservation dont les objectifs fondamentaux consistent à planifier la gestion des parcs nationaux et réserves analogues, de façon à protéger et à améliorer nos ressources naturelles existantes en vue du bien-être socio-économique des citoyens en général et des populations rurales en particulier». Sur le plan économique, il est clairement indiqué que les parcs nationaux doivent concourir au développement de l'économie régionale et nationale, principalement par le biais d'une exploitation rationnelle de la faune sauvage. L'utilisation économique de la faune sauvage fait partie du programme de développement des ressources naturelles renouvelables du gouvernement. Ce programme vise à œuvrer pour subvenir aux besoins alimentaires et surtout à réduire le déficit du Togo en matière d'approvisionnement en protéines animales et, à brève ou longue échéance, à produire qualitativement et quantitativement des produits et sous-produits de gibier commercialisables, par le biais de la chasse planifiée et contrôlée. Le rapport souligne ensuite que les parcs nationaux et les aires protégées aideront les populations locales à trouver un emploi rémunéré, à tirer un revenu de la fourniture de services aux touristes, à vendre des objets artisanaux et des souvenirs, et à disposer pour leurs besoins alimentaires des carcasses de gibier provenant de la chasse touristique.

Toutefois, dans la pratique, rien de tout cela ne s'est réalisé. Bien au contraire, les aires protégées ont fait un tort immense aux populations locales. La Direction régionale du plan et du développement de Dapango soulignait en 1985: «Les conséquences négatives de la réserve sont particulièrement évidentes: perte d'un terrain de chasse et donc d'un apport protéique pour les populations rurales; interdiction de la pêche qui constituait une activité traditionnelle pour les riverains de l'Oti; pâturages des bas-fonds et points d'eau particulièrement recherchés en saison sèche inaccessibles au bétail; abandon de plusieurs projets de développement agricole [prévus initialement sur des terres maintenant classées zones protégées] dans les terres les plus intéressantes de la région» (Direction régionale du plan et du développement de Dapango, 1985).

Destruction délibérée d'une plantation de teck (Tectona grandis) dans le village d'Amaudè au centre du Topo

Des enquêtes menées dans des villages limitrophes du parc national de la Fosse aux lions (Panabago, Tambago), du parc national de la Kéran (Sagbiébou, Mango, Péssidé), de la réserve de faune de Galangashie (Galangashie) et de la Réserve de faune d'Abdoulaye (Tchamba) indiquent que la déception, l'amertume et l'hostilité des populations vis-à-vis de ces aires protégées sont manifestes. Aux yeux des populations riveraines, les aires protégées sont des structures totalement étrangères à leurs besoins et sont des symboles d'expropriation n'intéressant que les touristes étrangers et une partie de la classe politique, et ne bénéficiant, si bénéfice il y a, qu'à l'Etat Un habitant du village de Péssidé (situé au sud du parc national de la Kéran) déclare ainsi: «Depuis 1976, date du déplacement de notre village pour cause d'extension du parc, nous connaissons la famine. [NDLR: Partant du principe que le domaine forestier doit demeurer autant que possible à l'écart de tout contact humain, le gouvernement a procédé à des déplacements de populations dans les années 70, souvent par la force. Les populations déplacées ne connaissaient généralement pas le nouveau territoire et, même s'il était connu, elles n'ont pas été indemnisées et n'ont bénéficié d'aucune infrastructure socio-économique, par exemple routes, école, puits et dispensaire.] Notre nouveau village se trouve sur un site dont le sol est très pauvre et l'eau y manque cruellement. Nos récoltes sont mauvaises et, bien que nous soyons des cultivateurs, nous sommes obligés d'aller acheter des céréales ailleurs.[...] Nous ne sommes pas hostiles à la protection de l'environnement, mais nous déplorons le fait que les autorités politiques et administratives du pays ne fassent rien pour nous venir en aide».

Les villageois riverains du parc national de la Fosse aux lions estiment que les parcs et les réserves de faune sont la cause de tous les maux dont ils souffrent, non seulement du fait du manque de terre pour faire pousser leurs céréales, mais parce que leurs maigres cultures et récoltes sont détruites, dévastées chaque année par les éléphants, les phacochères et les singes, qu'ils n'ont même pas le droit de chasser. «Nous avons trop souffert des éléphants et nous ne voulons plus les voir», dit un villageois. «Toutes nos cultures et nos récoltes sont parties; il y a des années que l'on ne cultive plus le sorgho, le haricot, l'arachide et le maïs, mais seulement le mil de six mois. Les éléphants sont la cause de la famine qui sévit dans la région. D'ailleurs, nous ne voulons plus que des gens qui ne vivent pas ce problème viennent nous en parler. Si l'on veut continuer à protéger les éléphants sur nos terres, il faut impérativement clôturer le parc, afin de les empêcher de sortir hors des limites de celui-ci. Dans le cas contraire, nous nous opposerons catégoriquement à tout projet de protection de cet animal sur nos terres.»

Manifestations d'hostilité

L'hostilité sournoise et latente des populations victimes des expropriations, des déplacements et de l'oubli s'est brusquement manifestée en 1990. Le secteur forestier a été l'objet d'attaques diverses (coupes anarchiques de bois, défrichements illicites, réinstallation illégale des villages jadis déplacés et destruction massive de la faune sauvage). Avant 1990, les parcs nationaux et les réserves avaient une faune particulièrement riche. Avec les troubles sociaux de 1990, les populations se sont livrées à une chasse effrénée pour se venger et non pour satisfaire leur besoin de gibier. Le poste de contrôle de la faune de Mango, à la limite nord du parc national de la Kéran, est devenu un marché de vente de gibier frais et boucané, où l'offre dépasse la demande. Il est bien difficile d'évaluer les dégâts subis par la faune à l'heure actuelle, mais les gens qui connaissaient le parc national de la Kéran avant 1990 et qui le traversent maintenant peuvent se rendre aisément compte des dégâts subis par ce parc. Il semble aussi que les populations locales aient encouragé et protégé des braconniers originaires de pays voisins, comme le Ghana et le Bénin (Chef de Bombouaka, communication personnelle, 1992).

Des destructions ont aussi eu lieu à l'extérieur des aires protégées, dans les plantations de reboisement de teck et d'eucalyptus de l'Etat Dans la région centrale, aux alentours de certains villages le long de la nationale n° 1, par exemple Yalimbè, Ayengré, Nima, Aouda, Amaidè et Amaudè, les plantations de teck de l'Etat ont été systématiquement coupées par les populations locales par esprit de vengeance.

Un autre aspect de l'hostilité des populations à l'égard des parcs nationaux et des aires protégées est la revendication visant la réduction ou même l'élimination des aires protégées, afin de libérer des terres pour les besoins des populations locales. Ces revendications suivent deux grandes orientations: le déclassement pur et simple des aires protégées, attitude qui traduit un rejet catégorique de l'existence du domaine réservé; et une tendance plus modérée qui reste favorable à l'existence des zones protégées, mais avec des limites ramenées aux superficies de l'époque coloniale. Les revendications ont été particulièrement virulentes dans le centre et le nord du pays, où le classement de forêts a fait beaucoup de tort aux populations locales.

Un exemple de l'attitude extrémiste est celle adoptée par les populations riveraines du parc national de la Kéran, qui est à cheval sur la préfecture de l'Oti au nord et la préfecture de la Kéran au sud. Des terres ont été déclassées dans la préfecture d'Oti en 1991, mais la population locale réclame encore toute la partie située au sud de la route Sadori-Takpaniéni jusqu'à la rivière Koumongou qui sert de limite naturelle entre les deux préfectures. Cette attitude dénote très bien le refus des populations du maintien des aires protégées dans leur région.

Une attitude plus modérée a été adoptée dans la préfecture de la Kéran, où la population locale réclame plus de terres et souhaite que les limites de la zone protégée soient celles de 1973, matérialisées par le village Atchenrité (Ayendete).

Le défi consiste à trouver un compromis

Le Togo connaît depuis deux décennies un déséquilibre écologique (sécheresse persistante, en particulier dans le nord du pays, déboisement et disparition de la végétation ligneuse, notamment dans les régions des savanes, de la Kara et maritime, avec pour corollaire le manque de bois de feu et la gestion de plus en plus irrationnelle des terres), la flore et la faune subissant d'énormes destructions. On peut donc craindre un déséquilibre écologique à plus ou moins long terme si rien n'est fait pour arrêter ce fléau. La solution à apporter doit être une approche sociologique et psychologique prenant le pas sur les aspects techniques et financiers. La solution adéquate est, sans nul doute, d'associer et de responsabiliser les populations riveraines des espaces protégés à la gestion et à l'exploitation de leurs ressources naturelles. L'objectif ultime sera en effet de ne plus isoler les aires protégées des communautés riveraines. Des enquêtes menées autour de 20 aires protégées réparties sur l'ensemble du territoire révèlent que les populations reconnaissent le rôle écologique de la forêt sur les précipitations, la fertilité des sols et leur propre survie, et estiment donc que la protection de l'environnement est nécessaire. Cependant, les populations souhaitent qu'il y ait une nouvelle définition de la vocation des aires protégées et qu'on réduise leurs superficies, qui sont à leurs yeux excessives vu le manque de terres cultivables nécessaires pour une population en expansion. Leur proposition est de ramener les superficies des espaces protégés aux limites de l'époque coloniale. Cette redéfinition des superficies devrait se faire en accord avec les représentants des propriétaires fonciers et être assortie d'indemnisations car les populations ont le sentiment que, par le passé, leurs terres ont été confisquées et non achetées.

Sur le problème de la chasse, les populations souhaitent avoir l'autorisation de chasser en dehors des limites des aires protégées, en particulier les animaux qui détruisent leurs cultures. Un minimum d'infrastructures socio-économiques devrait être mis en place dans les villages riverains (anciens et nouveaux), afin de donner à ces populations un meilleur cadre de vie. Pour une exploitation rationnelle et méthodique des terres limitrophes des aires protégées, une aide devrait être apportée afin d'intégrer les populations dans le processus de protection. Il faut sérieusement envisager la gestion participative des aires protégées - qui marque une vision originale de la protection de l'environnement. Il s'agira donc de changer les mentalités aussi bien des populations concernées (sensibilisation) que des agents forestiers (formation) en ce qui concerne les méthodes d'aménagement et d'exploitation des ressources naturelles. Le code forestier togolais devra s'adapter aux nouvelles réalités de la gestion de l'espace protégé. Enfin, il faut s'efforcer de réduire l'écart entre les paroles et les actes, qui est la source de malentendus entre les autorités et les populations.

Conclusion

La protection de la nature est une nécessité, car sa destruction a des effets néfastes sur la vie de l'homme qui fait partie intégrante de celle-ci et dont il tire profit. Les récents exemples de destruction volontaire des ressources naturelles sont la manifestation d'une hostilité latente qui dure depuis 20 ans et qui a explosé en 1990. Il faut redéfinir les objectifs des aires protégées dans le but d'amener les populations à trouver leur intérêt dans la protection, la gestion et l'exploitation rationnelle des ressources naturelles. Il revient également aux hommes politiques de sensibiliser la population sur la nécessité de protéger le patrimoine forestier national.

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