Si l'agroforesterie est une approche bien établie pour l'intensification agroécologique, le riz est moins souvent intégré aux arbres que d'autres cultures annuelles de base. Les avantages et les risques des pratiques agroforestières du riz n'ont pas été systématiquement explorés. Compte tenu de la nécessité de stratégies susceptibles de remédier à la faible fertilité et à la forte dégradation des sols arables et de contribuer à la productivité des petites exploitations, aux moyens de subsistance et à la résilience climatique, une telle exploration serait à la fois opportune et pertinente. Cette étude, par conséquent, passe en revue la littérature publiée sur l'intégration des arbres dans la production de riz dans le monde entier et fournit des perspectives pour la recherche future, avec une attention particulière à l'Afrique, où le potentiel d'amélioration de la productivité durable est considéré comme le plus élevé.

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