Directeur général QU Dongyu

Devant le Comité consultatif de contrôle, le Directeur général souligne que la FAO va devenir plus agile, plus moderne et plus numérique

27/07/2020

27 juillet 2020, Rome - Le Directeur général de la FAO, M. Qu Dongyu, s’est adressé aujourd’hui aux participants à la cinquante-cinquième session du Comité de vérification, qui a récemment été rebaptisé Comité consultatif de contrôle de la FAO et se réunissait pour la première fois en ligne.

M. Qu a souligné que les récentes réformes internes approuvées par le Conseil de la FAO rendront l’Organisation plus agile et plus moderne, grâce à une structure de gestion modulaire, l’objectif étant d’unifier la FAO en évitant les cloisonnements et en travaillant de manière intégrée et complémentaire. Cette évolution contribuera également à renforcer l’accent mis par la FAO sur les Objectifs de développement durable (ODD) et à ne laisser personne de côté. 

Le Directeur général a loué les travaux du Comité consultatif de contrôle et s’est félicité des suggestions fonctionnelles formulées pour rendre la FAO plus efficace, qui seront prises en compte dans la nouvelle stratégie en matière de ressources humaines, notamment le renforcement de l’obligation de rendre compte pour les hauts fonctionnaires.

M. Qu a indiqué que la pandémie de covid-19 était un défi important, mais qu’elle donnait aussi à la FAO l’occasion d’utiliser davantage les moyens numériques et d’introduire de nouvelles méthodes de travail. À cet égard, il a déclaré que le plan d’action qui serait élaboré prendrait en compte les suggestions du personnel, qui a été consulté dans le cadre d’une enquête de satisfaction. En outre, une équipe spéciale, à laquelle participeront des membres du personnel de toutes les classes et de tous les bureaux, sera créée.

L’enquête de satisfaction a montré que les membres du personnel de la FAO étaient fiers de travailler pour l’Organisation et qu’ils étaient conscients de l’objectif ultime de leurs contributions.

Le Directeur général a en outre signalé que les organes de représentation du personnel avaient renouvelé leur confiance et que la communication était excellente, ce qui permettait de prendre en considération les craintes exprimées sur plusieurs questions, notamment le recrutement, l’avancement de carrière, la mobilité, la résolution des conflits ou la souplesse des modalités de travail.