Directeur général QU Dongyu

Résumé de la réunion bilatérale entre le Directeur général de la FAO, M. Qu Dongyu, et la Première Ministre de la Barbade, Mme Mia Amor Mottley

06/02/2023

Bridgetown (Barbade) – Le Directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), M. Qu Dongyu, s’est entretenu avec la Première Ministre de la Barbade, Mme Mia Amor Mottley, lors d’une visite officielle dans le pays. 

La Première Ministre a souhaité la bienvenue à la Barbade au Directeur général, l’a remercié pour son appui et l’action engagée depuis son accession à la direction de l’Organisation, et lui a fait part de son objectif: assurer le développement du secteur agricole de la Barbade. Le Directeur général a exprimé à nouveau son soutien en faveur de cet objectif et a souligné qu’il était nécessaire de veiller à la disponibilité et à l’accessibilité des aliments pour tous.

Mme Mottley et M. Qu ont eu des échanges fructueux concernant l’objectif commun de transformation des systèmes agroalimentaires et la Première Ministre a mis l’accent sur les contraintes auxquelles faisait face la Barbade en tant que petit État insulaire en développement. Elle a exposé l’approche qui permettrait à la Barbade de devenir un pôle scientifique et de recherche dans la sous-région. La Première Ministre a expliqué que son pays pourrait mettre la science et l’innovation au service de l’essor de la transformation des produits agricoles et de la création de valeur ajoutée, son ambition étant de faire en sorte que la Barbade devienne un pôle logistique contribuant à assurer la sécurité alimentaire de son territoire et des pays voisins.

Le Directeur général a fait part de son expérience personnelle et a indiqué comment ce pays pouvait concrétiser ces objectifs. Il a souligné qu’il fallait des moyens de production suffisants et modernes pour transformer les systèmes agroalimentaires. Il a pris note des difficultés auxquelles la Barbade était confrontée en tant que petit État insulaire en développement et a fait néanmoins observer que ce pays pouvait encore se développer au moyen d’une répartition foncière appropriée.

Ils se sont tous deux accordés sur le fait que la FAO devait apporter un soutien concret et une assistance technique en ce sens et dans le cadre d’un nouveau renforcement de leur partenariat.