Usage officiel seulement


VUE D'ENSEMBLE

Une récente mission sur le terrain effectuée par la FAO et le PAM a permis de conclure que depuis la mission FAO/PAM d'évaluation des récoltes et des disponibilités alimentaires menée en décembre 1995, la situation des approvisionnements alimentaires s'est détériorée plus encore qu'on ne le pensait. La mission a identifié un déficit vivrier important, dont la plus grande partie n'est toujours pas couverte aujourd'hui. Le gouvernement n'a pas été en mesure de procéder à des importations commerciales de produits alimentaires, en raison de ses difficultés économiques, et l'aide alimentaire fournie à ce jour n'a permis de combler qu'une toute petite partie du déficit. La situation va probablement s'aggraver considérablement pendant la période de soudure (mai à septembre), car la plus grande partie de la récolte de l'année dernière a été consommée, les stocks sont au plus bas et l'importation commerciale de quantités importantes est improbable. De surcroît, il n'y a pratiquement pas d'aide alimentaire supplémentaire dans la filière.

Ces divers facteurs ont entrainé des pénuries importantes dans de vastes régions du pays et mis à rude épreuve le système public de distribution. Face à ces difficultés croissantes, le gouvernement a dû prendre diverses mesures pour abaisser la consommation globale, en particulier une réduction des rations alimentaires et des restrictions de l'emploi de céréales en alimentation animale et pour des usages industriels. Il est urgent de mobiliser des importations de vivres, faute de quoi la situation sera probablement dramatique pour de vastes groupes de population, notamment ceux qui sont déjà vulnérables.

D'après les premières conclusions d'une évaluation alimentaire et nutritionnelle effectuée en mars/avril de cette année par le PAM, les enfants en bas âge fréquentant les crèches et les écoles maternelles ont été jusqu'ici à l'abri des pénuries alimentaires. Cependant, la situation nutritionnelle actuelle de la population se détériorera nécessairement si l'aide alimentaire est insuffisante. Les cultures sur de petites parcelles privées permettront à certaines communautés de compenser une partie des réductions des allocations alimentaires du gouvernement et d'assurer un apport alimentaire minimal. Cependant, les populations des zones montagneuses ou des centres urbains n'ont guère accès à ces terres et pourraient donc connaître des pénuries plus graves. La situation de la population au point de vue des apports d'oligo-éléments est également préoccupante, mais elle ne peut pas être confirmée par des données sur la prévalence relative. On pense que les oligo-éléments qui manquent le plus sont les vitamines D, C et du groupe B.

Les premières perspectives de récolte des céréales de 1996, actuellement semées, sont mauvaises. Les préparatifs en vue des semis ont été retardés de 2 à 3 semaines environ en raison du temps froid et du manque de carburant. A eux seuls, les retards de semis pourraient entraîner une baisse des rendements allant jusqu'à 10 pour cent cette année. Le secteur agricole connaît encore de graves problèmes d'approvisionnement en intrants, essentiellement des engrais, dont la fabrication ou l'importation ont E9‚té rendues très difficiles par une pénurie de devises. Comme les années précédentes, cela renforcera une tendance persistante à la baisse de la production vivrière dans le pays. En outre, une partie importante des superficies touchées par les inondations l'année dernière, soit quelque 40 000 hectares, est encore recouverte de sable et de débris, ce qui empêche toute culture dans ces zones en 1996. Les difficultés des approvisionnements alimentaires pourraient donc persister pendant une bonne partie de 1997.


SITUATION DES APPROVISIONNEMENTS ALIMENTAIRES

Le Système public de distribution (SPD) est le mécanisme qui permet à l'Etat de fournir à la majorité de la population les produits de première nécessité dont elle a besoin, notamment du riz/maïs, de l'huile alimentaire, des choux, de la viande, du poisson et des oeufs. Les aliments sont rationnés et vendus au public à des prix très fortement subventionnés. Les rations de céréales pour les travailleurs des exploitations collectives sont distribuées chaque année aux exploitations, immédiatement après la récolte.

A l'heure actuelle, sur une population totale de quelque 22 millions d'habitants, on estime que 13,5 millions d'habitants environ, soit 62 pour cent de la population, réunissent les conditions qui ouvrent droit à la distribution des rations alimentaires subventionnées par l'intermédiaire du SPD d'un bout à l'autre de l'année. En outre, quelque 3 millions de travailleurs et des employés des exploitations d'Etat ont droit à des rations subventionnées pendant six mois. Il reste donc 5 millions d'habitants dans les exploitations collectives qui ne reçoivent aucune ration subventionnée et sont tributaires d'un contingent de la récolte pour satisfaire leurs besoins pendant l'année. Cependant, du fait des inondations et des pénuries alimentaires de 1995, les agriculteurs des exploitations collectives ne se sont vu allouer qu'une centaine de kilos, pour la période allant jusqu'à la prochaine récolte (octobre 1996), contre 200 kilos en moyenne en temps normal. Les quantités attribuées ont donc été divisées par deux et correspondent à une ration journalière de 250 grammes de céréales vivrières par personne, bien inférieure aux besoins de consommation. A la suite des pénuries alimentaires, les rations du SPD ont été considérablement réduites en avril.

Il devient de plus en plus évident que l'ensemble du Système public de distribution est mis à très rude épreuve, sous l'effet de divers facteurs, en particulier la baisse de la production vivrière, la désorganisation des échanges, des prélèvements de plus en plus importants dans les stocks nationaux de céréales et la cessation, au début de 1995, des importations de céréales en provenance de Chine, de l'ordre, selon les estimations, de 700 000 à 1 million de tonnes pendant la période 1992-95. Etant donné que ce volume permettait de satisfaire une partie importante des besoins céréaliers en RPD de Corée, l'arrêt des importations a eu des effets dévastateurs sur les disponibilités céréalières. En effet, avant même les inondations de juillet/août de l'année dernière, la RPD de Corée s'est adressée à plusieurs pays pour obtenir une aide et elle a reçu quelque 450 000 tonnes de riz au titre de l'aide bilatérale, en partie sous forme de dons et en partie à des conditions de faveur, pour satisfaire ses besoins de consommation en 1994/95.

Les graves difficultés du SPD ont été encore exacerbées par les inondations de 1995, qui ont infligé de gros dégâts aux cultures sur pied et aux aliments entreposés.

Bien qu'on ne dispose pas de chiffres précis sur les stocks détenus et les prélèvements effectués par le SPD, le gouvernement estime que les stocks actuels pour la période avril-octobre ne peuvent permettre de satisfaire que 25 pour cent des besoins normaux. Il a également indiqué que les prélèvements du SPD ont été ramenés de 240 000 à 170 000 tonnes par mois.

Les familles d'agriculteurs vivant dans les exploitations collectives, qui sont sans abri depuis les inondations dans le nord des provinces de Pyongan et de Hwanghae et dans celle de Chagang, ont été les principaux bénéficiaires de l'aide alimentaire. A ce jour, quelque 33 000 tonnes ont été livrées, dont 28 529 tonnes de riz, 2 269 tonnes de mélange maïs/soja, 1 756 tonnes de farine de blé et 270 tonnes de denrées alimentaires diverses, essentiellement farine de maïs et soja.

Pour la campagne de commercialisation 1995/96 (novembre/octobre), les besoins totaux d'importation de céréales ont été estimés à 1,91 million de tonnes par la mission FAO/PAM d'évaluation des récoltes et des approvisionnements alimentaires effectuée en décembre de l'année dernière. A ce moment-là, on pensait que le gouvernement serait en mesure d'effectuer quelque 700 000 tonnes d'importations commerciales. Cependant, il n'a pas été en mesure d'importer, à des conditions de faveur, plus de 200 000 tonnes en provenance du Japon, 40 000 tonnes en provenance de Syrie, 8 000 tonnes en provenance de Suisse et un chiffre prévu de 5 000 tonnes en provenance du Pakistan, malgré des négociations avec plusieurs pays, notamment la Thaïlande, la Chine, l'Inde, la Pologne, la Roumanie, le Canada et les Etats-Unis.

De ce fait, il y a eu des pénuries étendues et on signale l'apparition d'un commerce officieux transfrontalier avec la Chine, consistant à troquer divers produits, tels que sciages, ferrailles et coquillages contre de la farine de blé. Pour le reste de la campagne de commercialisation 1995/96, par conséquent, on suppose que le pays ne peut procéder qu'à des importations commerciales très limitées d'aliments, une partie entrant dans le cadre de ces trocs transfrontaliers. On estime que le volume total de ces importations s'élève à 150 000 tonnes de céréales. En outre, le gouvernement a commencé à réduire les effectifs du bétail, qui, dans le cadre d'élevages intensifs, est nourri de céréales, afin de permettre l'utilisation de celles-ci en alimentation humaine. On estime que l'utilisation fourragère a reculé de 25 pour cent et l'utilisation de céréales à d'autres fins de 10 pour cent supplémentaires. Aucun ajustement n'a été apporté à l'utilisation totale alimentaire, car les rations réduites dont le PAM et la FAO faisaient état l'année dernière représentent déjà, de l'avis général, un minimum. Sur la base de ces hypothèses, de l'estimation, effectuée par la FAO et le PAM, de la production de 1995 et de la quantité d'aide alimentaire d'urgence et liée à des programmes reçue jusqu'ici, on a donc un déficit de quelque 1,04 million de tonnes (voir ci-après).


Bilan céréalier 1995/96 (milliers de tonnes)

Disponibilités totales 4 077
Production de 1995 4 077
Prélèvements sur les stocks -
Utilisation totale 5 548
Utilisation vivrière1/ 3 688
Utilisation fourragère 1 050
Autres utilisations 810
Besoins d'importation pour 1996 1 471
Importations commerciales2/ 150
Aide alimentaire d'urgence et liée à des programmes, reçue et annoncée3/ 284
Besoins d'importation non couverts 1 037
dont: Aide alimentaire d'urgence 34
Aide alimentaire dans le cadre de projets 25
. Aide alimentaire dans le cadre de programmes 978

1/ Compte tenu de rations nécessaires minimales
2/ Les importations commerciales comprennent les échanges avec les pays voisins
3/ Non compris le mélange maïs/soja.

Etant donné qu'aucune aide alimentaire supplémentaire n'a été annoncée après mai, la situation des approvisionnements devient de plus en plus dramatique. Le gouvernement a déjà ramené les rations alimentaires à 300 grammes par jour, tandis que dans certaines zones, on a signalé des rations de 250 grammes seulement par jour, contre 600 grammes en moyenne par personne et par jour l'année dernière.

L'aggravation des pénuries alimentaires et l'inaptitude du SPD à fournir régulièrement des aliments de base ont fait naître divers mécanismes de fortune: consommation d'aliments sauvages, petit commerce de produits de base et d'aliments autour de la plupart des agglomérations, culture de petites parcelles privées, élevage de volaille, appui de parents expatriés et utilisation des petites économies pour acheter des suppléments de vivres sur les "marchés des paysans", qui fonctionnent maintenant à certaines périodes du mois.

Du fait de la détérioration de la situation des approvisionnements alimentaires, le gouvernement attend à coup sûr d'importants problèmes dans un proche avenir et il a demandé à l'ONU, au début d'avril, de lancer un nouvel appel international, visant surtout à mobiliser une aide alimentaire.


Besoins d'aide alimentaire d'urgence

On estime que d'ici à la prochaine récolte (octobre 1996), on aura besoin de 33 750 tonnes de céréales (maïs, farine de maïs, blé et riz) au titre de l'aide alimentaire d'urgence en faveur de 500 000 victimes d'inondations et/ou d'autres personnes très vulnérables. En outre, quelque 11 800 tonnes de mélanges de céréales enrichis sont nécessaires pour la distribution, dans les écoles maternelles et les crèches, de 250 grammes par jour et par enfant à 25 pour cent des 2,1 millions d'enfants de moins de cinq ans des zones les plus vulnérables, afin de compenser la réduction de la ration spéciale du SPD.

Pour le relèvement du secteur agricole, et en particulier l'enlèvement du sable et des débris des zones qui avaient été inondées et la réparation des levées de terre sur les cours d'eau, 25 000 tonnes d'aide alimentaire destinée aux projets sont nécessaires, soit 2 kilos par personne et par jour pour 12,5 millions de journées de travail.


Aide alimentaire programme

Bien que la mission FAO/PAM d'évaluation des disponibilités alimentaires ait identifié un déficit vivrier considérable l'année dernière, on pensait à l'époque que le gouvernement serait en mesure de procéder à l'importation commerciale de 700 000 tonnes et d'obtenir des quantités suffisantes d'aide alimentaire pour aider à combler le déficit. Cependant, ces importations ne se sont pas matérialisées et une grande partie du déficit vivrier subsiste. La situation des approvisionnements alimentaires sera donc critique pendant la période de soudure (mai-septembre) pour les raisons suivantes: la plus grande partie de la récolte de l'année dernière a été consommée, les stocks sont au plus bas, les importations commerciales de quantités importantes sont très improbables et pratiquement aucune aide supplémentaire n'est en vue. Le pays a donc besoin d'urgence d'aide alimentaire-programme ou d'une aide à la balance des paiements en vue d'effectuer des importations commerciales de 978 000 tonnes de céréales si le gouvernement doit maintenir des rations minimales jusqu'à la prochaine récolte en octobre.


PERSPECTIVES POUR 1996/97

Même en temps normal, la production intérieure de la RPD de Corée est considérablement restreinte par une pénurie de terres arables. Depuis 1990, les problèmes de disponibilités intérieures ont été encore aggravés par une baisse de la productivité qui tient à la fois à l'épuisement naturel des sols et au fait que le gouvernement n'est pas en mesure de fabriquer ou d'importer des quantités d'engrais suffisantes pour maintenir la productivité, en raison de graves difficultés économiques et de la pénurie de devises qui en découle. La baisse de la productivité et les répercussions des inondations de l'année dernière, qui ont détruit à la fois les cultures sur pied et le réseau d'irrigation et provoqué des dégâts matériels, ont aggravé une situation déjà précaire des approvisionnements alimentaires. Les inondations ont également laissé quelque 90 000 hectares de rizières sous d'épaisses couches de sable et de débris. Etant donné les pénuries extrêmes de carburant importé pour les engins de terrassement, le gouvernement estime actuellement que seuls 50 000 hectares peuvent être en partie déblayés pour recevoir quelques cultures en 1996. Les missions de la FAO réalisées en avril ont confirmé que de vastes étendues sont encore recouvertes d'épaisses couches (30 à 40 centimètres) de débris et de sable. En outre, la production sera fortement limitée par la pénurie de carburant pour l'irrigation et pour les machines agricoles. Le gouvernement estime aujourd'hui que 50 000 tonnes de gazole sont nécessaires pour les opérations agricoles, notamment la remise en état et l'exploitation du réseau d'irrigation. Du fait de la pénurie de carburant, on constate un peu partout un retour à la traction animale.

Sauf amélioration sensible de la fourniture d'engrais et de carburant dans les mois qui viennent, le gouvernement prévoit, dans le meilleur des cas, une production globale de 5 à 5,5 millions de tonnes de céréales vivrières. Ce chiffre correspondrait aux tendances mises en évidence dans l'évaluation réalisée l'année dernière par la FAO et le PAM. Dans le pire des cas, la production sera de l'ordre de 4 millions de tonnes comme en 1995. Il est à l'évidence nécessaire de revoir la situation à l'approche de la récolte. Il est donc recommandé qu'une mission FAO/PAM d'évaluation des récoltes et des disponibilités alimentaires se rende en RPD de Corée à partir de la mi-octobre, pour évaluer les perspectives des approvisionnements alimentaires pour 1996/97.

Les besoins intérieurs annuels sont bien supérieurs à ce que le pays peut produire, même selon le scénario le plus optimiste, et il faut toujours importer des céréales, même les bonnes années. Il va de soi que les mauvaises années, il faut importer bien davantage de céréales pour compléter la production intérieure. Tout indique qu'en 1996/97, le pays aura encore un déficit alimentaire structurel de plus de 2 millions de tonnes, même selon le scénario le plus optimiste du gouvernement. On pense donc que pour disposer d'un maximum de céréales vivrières, il faudra restreindre encore considérablement l'utilisation de céréales en alimentation animale et à d'autres fins, ce qui, naturellement, aura des répercussions importantes pour le secteur de l'élevage du pays et pour la disponibilité future de viande.

Face aux mauvaises perspectives de récolte, le gouvernement a lancé un certain nombre de mesures visant à accroître la production intérieure et l'accès aux vivres, outre le déblaiement des terres arables touchées par les inondations. Il s'agit notamment des mesures suivantes:


CONCLUSION

Les mauvaises conditions météorologiques de 1994 et de 1995 ont exacerbé une situation déjà précaire des approvisionnements alimentaires en RPD de Corée, qui ne cesse de s'aggraver depuis plusieurs années. En décembre 1995, la mission FAO/PAM a vivement recommandé une aide alimentaire internationale d'urgence et liée à des programmes, car elle a prévu de nombreux problèmes pour 1996, en particulier pendant la période de soudure qui précède la récolte, pendant laquelle les stocks nationaux du SPD et ceux des particuliers seront pratiquement épuisés. Non seulement cette aide ne s'est pas suffisamment matérialisée, mais le gouvernement n'a pas été jusqu'ici en mesure d'assurer des importations commerciales, de sorte que le système institutionnel d'approvisionnements alimentaires est au bord du gouffre et les stocks des particuliers qui ne bénéficient pas des distributions du SPD sont extrêmement faibles. Pis encore, la filière de l'aide alimentaire d'urgence, qui a jusqu'ici complété l'alimentation des populations les plus touchées par les inondations de l'année dernière, n'est plus alimentée et à partir de mai, ces personnes auront le plus grand mal à se procurer des vivres. Il y a déjà, dans diverses couches de population, des signes d'une carence nutritionnelle qui pourrait, si on ne fournit pas une aide, devenir chronique dans les prochains mois.

Il est indéniable qu'il faut fournir maintenant, et sans perdre de temps, une aide alimentaire d'urgence et liée à des programmes, mais on se rend aussi parfaitement compte que ces mesures n'aideront à résoudre que les problèmes immédiats. A moyen et à long terme, dans les années qui viennent, le pays risque de se heurter à des difficultés chroniques d'approvisionnements alimentaires, d'autant plus qu'il ne peut guère accroître la production vivrière intérieure extensive ou intensive, que les sols, ayant perdu de leur fertilité, ne peuvent pas supporter de doses élevées d'engrais même si ceux-ci sont disponibles et que la situation économique se détériore et interdit d'importer suffisamment de vivres pour combler le déficit. Par le passé, les approvisionnements alimentaires étaient très fortement tributaires de l'état général de l'économie et de sa capacité de financement des importations. Maintenant que la situation a changé, il est évident que le pays doit s'efforcer d'urgence d'essayer de résoudre ces problèmes et d'adopter quelques mesures radicales, s'il veut éviter de graves problèmes à l'avenir.


Le présent rapport a été établi sous la responsabilité des Secrétariats de la FAO et du PAM à partir d'informations provenant de sources officielles et officieuses. Il est réservé à un usage officiel. La situation pouvant évoluer rapidement, prière de s'adresser aux personnes indiquées ci-après pour d'éventuels compléments d'information.
Abdur Rashid B. Szynalski
Chef, SMIAR/FAO Directeur, OP, PAM
Télex 610181 FAO I Télex: 626675 WFP I
Télécopie 0039-6-5225-4495 Télécopie: 0039-6-5228-2837
Courrier électronique: INTERNET: [email protected]

FAO 4/50 RPD DE COREE


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