CCP: ME 04/5
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COMITÉ DES PRODUITS |
GROUPE INTERGOUVERNEMENTAL SUR LA VIANDE ET LES PRODUITS LAITIERS |
Vingtième session |
Winnipeg (Canada), 17 – 20 juin 2004 |
FAITS NOUVEAUX CONCERNANT LE FONDS COMMUN POUR LES PRODUITS DE BASE |
II. ÉTAT D’AVANCEMENT ET RAPPORT D’ACTIVITÉ
Commercialisation du bétail en Afrique de l’Ouest
Diversification des produits carnés et modernisation des technologies de traitement de la viande en Asie et dans le Pacifique
Amélioration de la productivité, de la qualité, de la sécurité sanitaire et du commerce de la viande de boeuf en Amérique centrale
1. Le présent document indique les progrès réalisés dans la formulation et la mise en oeuvre des projets parrainés par le Groupe intergouvernemental sur la viande et les produits laitiers. Ces projets seront examinés par le Fonds commun pour les produits de base (le Fonds), en vue de leur financement. Le Groupe intergouvernemental sur la viande et les produits laitiers a été désigné par le Fonds comme l’organisme international de produit et il est chargé de conceptualiser, formuler et soumettre au Fonds des propositions de projet sur les produits de base en vue de leur financement.
2. Les projets du Fonds répondent aux critères énoncés dans la stratégie de mise de valeur de la viande tels qu’ils ont été soumis à la quinzième session du Groupe (voir document xxxx) et sont examinés compte tenu des défis auxquels le secteur de la viande est confronté. Il s’agit notamment de réduire les obstacles au commerce national et international du bétail et de la viande, d’accroître la valeur des besoins de boucherie et de réduire les coûts de production de la viande. Le Fonds spécifie que les projets devraient être axés sur des mesures de mise en valeur des produits qui améliorent les conditions structurelles des marchés et renforcent la compétitivité et les chances à long terme de certains produits de base, en particulier:
3. Le présent document contient des mises à jour des projets et décrit les progrès réalisés depuis la dix-neuvième réunion du Groupe. Des rapports d’activité à jour seront distribués aux délégués pour examen durant la réunion. En outre, le Secrétariat, avec l’aide des agents d’exécution de ces projets, a créé pour chaque projet des affiches qui seront présentées à la réunion.
4. Le Secrétariat a continué de coordonner des activités de supervision des projets au nom du Groupe. Depuis la dernière session, il a entrepris d’autres activités, notamment l’examen de quatre profils de projet, dont l’un figure en annexe pour examen par le Groupe. Le tableau 1 de l’Annexe comprend un aperçu des projets en cours ou soumis à l’examen du Fonds.
5. Depuis fin 2002, le projet de commercialisation du bétail en Afrique de l’Ouest a été prorogé à deux reprises, son achèvement étant maintenant prévu pour septembre 2004. Deux projets déjà approuvés: 1) Diversification des produits carnés et modernisation des technologies de traitement de la viande en Asie et dans le Pacifique; et 2) Amélioration de la productivité, de la qualité, de la sécurité sanitaire et du commerce de la viande de boeuf en Amérique centrale ont été exécutés et les activités se poursuivent.
6. Il est rappelé au Groupe que son mandat a été étendu aux produits laitiers. A ce sujet, le Secrétariat demande au Groupe de lui fournir des orientations en ce qui concerne l’élaboration de stratégies pour les produits laitiers.
7. Ce projet, doté d’un budget de 1,51 million de dollars E.-U., a été approuvé en 1998 et a démarré en janvier 1999. Les activités ont porté essentiellement sur deux composantes. La première concernait le développement et le renforcement de marchés frontaliers en Afrique de l’Ouest (au Burkina Faso et au Mali), qui permettent les échanges transfrontaliers du bétail, et sur la construction de points de repos sur les chemins de parcours du bétail dans les six pays participants (dont Niger, Côte d’Ivoire, Ghana et Nigeria). Cette composante a été exécutée par le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) en sa qualité d’agent d’exécution. La deuxième composante, établissement d’incitations économiques appropriées et d’un cadre général permettant d'améliorer la commercialisation du bétail et les échanges intrarégionaux, a été coordonnée par l’Institut international de recherche sur l’élevage (ILRI).
8. A la demande de l’organe de supervision et de l’agent d’exécution, début janvier 2004, le projet a été prorogé de huit mois par le Fonds, en raison des difficultés rencontrées pour achever certaines infrastructures du bétail ainsi que pour fixer la date de deux ateliers: l’un s’adressant aux techniciens et aux spécialistes de la commercialisation du bétail et l’autre aux responsables régionaux.
9. Le projet a atteint son objectif de développement des infrastructures commerciales dans les trois marchés frontaliers du Burkina Faso et du Mali. Le contrôle de ces marchés est renforcé par une participation et une surveillance soutenues au niveau local. En raison de difficultés politiques en Côte d’Ivoire, les activités touchant la cartographie des chemins de parcours du bétail (faisant partie de la composante 1) sont devenues compliquées et n’ont pu être menées à bien. Des retards dans la mise en oeuvre de ces activités reflètent les difficultés de gestion d’un projet régional, en particulier le soutien insuffisant apporté par les autorités publiques de chaque pays participant.
10. La composante du projet relative aux politiques a été difficile à surveiller au cours du projet, toutefois, malgré la perte de l’économiste affecté au projet avant l’achèvement de celui-ci, l’ILRI oeuvre pour terminer sa tâche. Il a publié un document provisoire intitulé “Amélioration de la commercialisation et du commerce régional du bétail en Afrique de l’Ouest: établissement d’incitations économiques appropriées et cadre général permettant d’améliorer le commerce du bétail et les échanges intrarégionaux”. Les délégués peuvent obtenir ce document sur demande. Des ateliers mixtes CILSS/ILRI, techniques et généraux, devraient être organisés en mai 2004.
11. Ce projet, d’un montant de 2,2 millions de dollars E.-U adopté par le Groupe à sa dix-septième session (1998), a finalement démarré en octobre 2003, trois ans après avoir été approuvé par le Fonds (septembre 2000). Les retards dans la mise en oeuvre du projet s’expliquent par les difficultés pour trouver un agent d’exécution ayant les capacités techniques, organisationnelles et financières voulues pour gérer un projet régional en Asie. Le Bureau des Nations Unies pour les services d’appui aux projets (UNOPS) – Malaisie, a été désigné comme agent d’exécution et bénéficie d’une assistance technique de la Division de la production et de la santé animales de la FAO (AGAP).
12. Tel qu’il a été présenté à la dix-huitième session du Groupe, ce projet de trois ans concerne la transformation de la viande à l’échelle régionale, en Asie et dans le Pacifique, et met l’accent sur une amélioration de l’utilisation et de la commercialisation de la viande et des produits carnés transformés de diverses espèces animales. Son premier objectif consiste à examiner les enjeux régionaux concernant le traitement de la viande, y compris les problèmes graves liés à l’hygiène et aux technologies, qui provoquent d’importantes pertes économiques et ont une incidence sur la sécurité sanitaire des produits.
13. Le projet est basé aux Philippines, au Centre de développement des produits animaux (Animal Products Development Centre - APDC) avec des antennes au Bangladesh, au Myanmar et à Samoa. La nature régionale du projet renforcera les éléments technologiques, sanitaires, commerciaux et environnementaux du développement du secteur de la viande, dans les pays relativement avancés, et contribuera à déclencher ces mécanismes dans les pays les moins avancés.
14. Une réunion de mise en route du projet a eu lieu à Manille en septembre 2003, à laquelle ont participé des représentants du Fonds, de la FAO, de l’APDC et de l’UNOPS. Il a été décidé de lancer des activités sur les antennes six mois après le démarrage du projet pour permettre à l’APDC de se concentrer sur le renforcement ou la mise en route d’activités au centre de formation régional. Cela leur a permis d’utiliser efficacement les fonds affectés par la FAO à la formation qui devaient expirer à la fin de 2003.
15. Le projet a bien démarré et bénéficie d’un personnel qualifié et enthousiaste à l’APDC ainsi que de l’appui du Gouvernement des Philippines qui s’est engagé à fournir près de 900 000 dollars EU de fonds de contrepartie. La plus grande difficulté rencontrée depuis la mise en oeuvre a été l’incapacité de l’UNOPS de fournir un appui cohérent au projet sous la forme de personnel de projet à plein temps affecté à la surveillance. Ce problème devrait être résolu dans un proche avenir lorsque l’UNOPS aura achevé sa réorganisation.
16. Approuvé en novembre 1998 par le Groupe, le projet a été définitivement entériné par le Comité consultatif du Fonds en juillet 2001, adopté par le Conseil d’administration du Fonds en octobre 2002, et la mise en oeuvre a commencé en septembre 2003. Ce projet de 4 ans, qui dispose d’un budget de 6,2 millions de dollars EU et qui est mis en oeuvre par l’ILRI en sa qualité d’agent d’exécution, a un caractère régional et englobe Costa Rica, Guatemala, Honduras et Nicaragua. Il s’agit d’un projet coopératif auquel participent des institutions régionales comme l’Institut interaméricain de coopération pour l’agriculture (IICA), le Centre international d’agriculture tropicale (CIAT), les Services internationaux pour le développement des entreprises (SIDE), et le Secrétariat permanent du Traité général d’intégration économique de l’Amérique centrale (SIECA). En outre, l’Office allemand de la coopération technique a affecté au projet un expert technique.
17. L’objectif du projet consiste à relever les revenus des petits éleveurs de bétail pauvres: 1) en augmentant la productivité du bétail par l'amélioration des technologies de l’alimentation et de la santé au niveau de l’exploitation; et 2) en améliorant les résultats du secteur de la viande de boeuf en mettant l’accent sur les normes et le contrôle de la qualité et de la sécurité sanitaire, moyennant une formation aux systèmes de classement des carcasses. La première mission de supervision a été menée en novembre 2003 avec la participation du représentant du Fonds et d’un spécialiste du bétail du bureau régional de la FAO. On a souligné en particulier le besoin de détails plus précis sur les activités prévues et d’un recentrage de l’objectif principal du projet de manière à faire une plus large place aux agriculteurs pauvres. Le projet devrait bien démarrer, géré par une équipe compétente et expérimentée qui a de bons liens avec les institutions de la région. Il n’y a pas de retard dans les activités.
18. Aucun nouveau projet n’a été soumis à l’approbation du Groupe durant la dix-neuvième session (août 2002). Toutefois, quatre projets distincts ont été soumis au Secrétariat depuis, pour examen: 1) une série de 5 propositions de projet concernant la viande, présentées par le Congo, 2) une demande de financement accéléré1 pour l’organisation d’un atelier axé sur le renforcement des exportations de bétail de la Corne de l’Afrique jusqu’au Moyen-Orient (présenté par la Commission pour le commerce du bétail de la Mer Rouge); 3) la mise au point et l’évaluation de nouvelles méthodes de lutte contre la fièvre aphteuse (soumis par l'ILRI); et, enfin, 4) un projet régional pour le Soudan et l’Éthiopie sur le contrôle de l’hygiène et de la qualité de la viande. La majeure partie des propositions ont été formulées lors de l’une des deux récentes tables rondes régionales sur les produits du Fonds, tenues depuis la dernière réunion du Groupe. Le Secrétariat était représenté aux deux tables rondes: en 2002 la réunion pour l’Afrique s’est tenue au Burkina Faso et en 2003 Cuba a accueilli la réunion pour l’Amérique latine et les Caraïbes.
19. Examen des projets:
20. Compte tenu de ce qui précède, et sur la base des informations fournies sur chaque projet, le Groupe est invité à formuler des observations et/ou des recommandations sur les questions soulevées. En particulier, le Groupe souhaitera peut-être:
Titre |
Valeur (US$) |
Emplacement des activités de projet |
Date de démarrage |
Date d’achèvement
| |
Subvention du Fonds commun pour les produits de base |
Budget total | ||||
1. Projets achevés | |||||
a) Développement et promotion des produits carnés à valeur ajoutée en Afrique subsaharienne |
1 332 147 |
639 222 |
Ouganda, avec formation des participants provenant d’industries régionales de la viande |
Juillet 1999 |
Décembre |
2. Projets en cours | |||||
a) Commercialisation du bétail en Afrique de l’Ouest |
1 551 000 |
950 000 |
Burkina Faso, Mali, Niger, Côte d’Ivoire, Ghana, Nigeria. |
Janvier 1999 |
Septembre 2004 (prolongé trois fois) |
b) Diversification des produits carnés et modernisation des technologies de traitement de la viande en Asie et dans le Pacifique |
2 200 000 |
850 000 |
Philippines, Myanmar, Bangladesh, Samoa |
Octobre 2003 |
Décembre 2006 |
c) Amélioration de la productivité, de la qualité, de la sécurité sanitaire et du commerce de la viande de boeuf en Amérique centrale |
6 200 000 |
3 400 000 |
Costa Rica, Guatemala, Honduras et Nicaragua |
Septembre |
Décembre 2006 |
4) Propositions de projet |
ÉTAT D’AVANCEMENT | ||||
a) Propositions de projet du Congo relatives à la viande (5 propositions) |
4 000 000 |
République du Congo |
Les initiateurs des projets ont été invités à présenter une proposition unique comprenant plusieurs objectifs intégrés/régionaux | ||
b) Renforcement du commerce du bétail entre la Corne de l’Afrique et le Moyen-Orient |
90 000 pour deux ateliers sur le financement rapide |
Représentants de pays de la Corne de l’Afrique et du /Moyen-Orient |
L'agent d’exécution a été invité à mieux cibler et définir les domaines d’intervention éventuels par ordre de priorité | ||
c) Lutte contre la fièvre aphteuse et protection des pays et des zones exempts de la maladie |
8 300 000 |
Aucune région en particulier |
L'agent d’exécution a été invité à définir des activités de développement spécifiques mieux ciblées qui s’inscriraient dans le champ d’action plus vaste du projet de 90 millions de dollars EU | ||
d) Hygiène et contrôle de qualité de la viande |
5 000 000 |
Soudan et Éthiopie |
Présentation du concept du projet au Groupe pour examen |
Profil de projet
Renforcement des mesures d’hygiène et du contrôle de qualité de la viande
au Soudan et en Éthiopie
1. Historique et justification
L’élevage de bétail est une activité économique importante en Afrique de l’Est, notamment au Soudan et en Éthiopie. Ces deux pays ont un fort potentiel d’exportation qui est loin d’être exploité. Plusieurs causes entravent la commercialisation du bétail, notamment les maladies endémiques du bétail, le manque d’information sur les centres de production et de commercialisation des produits animaux, les mauvaises conditions de manutention et l’absence de normes. La qualité et la sécurité sanitaire des aliments ainsi que leur réglementation sont le thème du présent projet. Les deux premières questions, c’est-à-dire la lutte contre les maladies endémiques et l’amélioration de l’infrastructure de commercialisation du bétail, sont traitées dans d’autres projets régionaux, par exemple la Campagne panafricaine de lutte contre les épizooties (PACE) qui vise à maîtriser les principales maladies du bétail.
La qualité et la sécurité sanitaire des aliments préoccupent chacun de nous. Ce sont les gouvernements, le secteur d’activité lui-même et les consommateurs qui en sont responsables. Les gouvernements se doivent de faire en sorte que les exigences en matière de qualité et de sécurité sanitaire des aliments soient appropriées, soutenues de manière adéquate dans le cadre de la législation et des réglementations nationales sur la qualité et la sécurité sanitaire des aliments, et clairement communiquées au secteur industriel et aux consommateurs. L’industrie alimentaire doit assurer la qualité et la sécurité sanitaire de ses produits moyennant la mise en oeuvre de programmes de contrôle de qualité, notamment des programmes de sécurité sanitaire des aliments basés sur le système de l’analyse des risques au point critique pour leur maîtrise (HACCP), conçus pour assurer la compatibilité avec toutes les réglementations pertinentes. Les consommateurs doivent adopter des méthodes correctes de manipulation des aliments afin d’éviter les problèmes de qualité et de sécurité sanitaire des aliments au niveau des foyers.
La qualité et la sécurité sanitaire des aliments sont maintenant au centre de l’attention du secteur de l’exportation du bétail. Le Soudan et l’Éthiopie qui sont de gros producteurs de bétail doivent devenir plus compétitifs afin d’exploiter leur potentiel en tant qu’exportateurs régionaux de viande et de produits carnés.
Ils doivent renforcer leurs capacités d’inspection, de surveillance, de normalisation et de certification et cette norme devrait être instituée au niveau international. Ils deviendront plus compétitifs grâce à une meilleure qualité des produits de l'élevage, notamment:
Dans les années 1980, la FAO, appuyée par le Gouvernement néerlandais, a mis en place un centre de formation régional pour l’inspection, l’hygiène et le classement de la viande à Kadaro (Soudan). Le centre est chargé de former les principaux responsables de l’hygiène et de la transformation des produits. Cette activité devrait se poursuivre, mais avec un appui technique important.
Le nouveau programme d'assurance de qualité viendra s’ajouter au travail habituel du centre. Des participants du Soudan, de l’Éthiopie et d’autres pays de la région pourraient recevoir une formation spécialisée concernant différents modèles d'assurance de qualité comme ISO 9000 et le système HACCP sur les moyens de les appliquer.
Toutefois, le projet a été conçu par le Soudan. Il vise à établir un système efficace d'hygiène et de contrôle de qualité de la viande qui permette de répondre aux normes exigées sur les marchés de l’Arabie saoudite et des pays du Golfe, en premier lieu, et également sur d’autres marchés potentiels dans la région (Égypte, Jordanie, Yémen, Libye, etc.).
Au Soudan, l’hygiène et le contrôle de qualité de la viande relèvent de la Direction générale de quarantaine et d’hygiène de la viande du Ministère des ressources animales et des pêches. La Direction assume ses responsabilités par le biais d’un réseau de:
Bien qu'il bénéficie de la vaste expérience acquise par une longue pratique de la profession, ce système est paralysé par le manque de matériel moderne de laboratoire et de contrôle de qualité, et d’équipement pour la formation et le renforcement des capacités.
2. Stratégie concernant les produits:
La promotion des exportations de viande figure en très bonne place dans le programme de développement des gouvernements soudanais et éthiopien. La viande est produite par deux des pays les moins avancés du monde, et qui plus est, elle a un grand potentiel de développement au niveau des exportations; elle est en outre produite par des éleveurs traditionnels qui constituent la couche de population la plus marginale dans les deux pays.
3. Objectifs et justification du projet:
Établissement et normalisation des centres de contrôle de qualité et d’hygiène de la viande dans chacun des deux pays.
La justification du projet réside dans le fait que plus la viande et les animaux vivants soudanais et éthiopiens deviendront compétitifs sur les marchés d’exportation, plus les éleveurs traditionnels auront de chance de commercialiser leurs stocks et d’améliorer leur niveau de vie et plus les deux pays auront de devises fortes pour équilibrer leur balance des paiements.
4. Coûts et financement provisoires
Poste |
Coût (en milliers de dollars EU) |
Bâtiments |
400 |
Équipement sanitaire laboratoires et abattoirs |
2800 |
4 véhicules équipés |
1600 |
Formation et consultants |
200 |
Total |
5000 |
_________________________
1 Un dispositif de financement rapide a été mis en place par le Fonds commun pour les produits de base en 1997 pour le financement de petits projets tels que: études, mini-projets et ateliers. Alors que les projets ordinaires ont besoin de l’approbation du Conseil d’administration du Fonds commun pour les produits de base, les projets de financement rapide peuvent être approuvés par le Directeur général.