CFS:2004/INF/8 |
COMITÉ DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MONDIALE |
Trentième session |
Rome, 20-23 septembre 2004 |
RAPPORT SUR LES INITIATIVES DE LA FAO EN MATIÈRE DE LUTTE CONTRE LA FAIM |
II. ALLIANCE INTERNATIONALE CONTRE LA FAIM
A. PROGRAMME DE LUTTE CONTRE LA FAIM
D. StratÉgies NATIONALES POUR LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE ET LE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE
1. La Conférence, à sa trente-deuxième session tenue en 2003, a pris note des initiatives de la FAO dont le résumé figure au document de Conférence C 2003/16 – Vers une plus grande cohérence des Initiatives de la FAO en matière de lutte contre la faim, soit:
2. La Conférence a aussi “demandé qu’un rapport annuel soit soumis au Comité de la sécurité alimentaire mondiale (CSA) présentant une analyse concrète et quantitative des activités entreprises dans le cadre des huit initiatives décrites dans le document,..."1. En conséquence, la présente note d’information contient une brève mise à jour sur les quatre dernières initiatives (e, f, g et h) mentionnées dans le document de Conférence, les points a, b, c et d étant couverts séparément par d’autres documents établis pour la présente session.
3. En 2003, le CSA a décidé d’inscrire l’Alliance internationale contre la faim à son ordre du jour au titre de point permanent. Un document de travail spécifique (CFS: 2004/7 – Alliance internationale contre la faim) a donc été préparé pour la treizième session.
4. Le Programme de lutte contre la faim est une proposition du secrétariat qui définit les domaines prioritaires d’investissement requis pour atteindre l’objectif du Sommet mondial de l’alimentation et fournit une estimation des coûts. Il préconise une double approche, associant la stimulation de la croissance agricole rapide, faisant intervenir les petits agriculteurs et des programmes ciblés afin de fournir un accès direct à la nourriture aux plus nécessiteux. Les pays qui ont suivi cette approche en constatent les avantages.
5. Ces politiques mettent l’accent sur une large participation au niveau décisionnel. Pour que les investissements fondés selon l’approche double obtiennent les résultats escomptés, les gouvernements nationaux des pays en développement ainsi que la communauté internationale doivent créer un environnement propice à une croissance économique à large assise. Il faut pour cela au niveau international, des mesures visant à promouvoir la paix, la stabilité politique et économique ainsi qu’un environnement commercial, en particulier pour les produits agricoles, qui protège et favorise les intérêts des pays en développement en matière de développement et de sécurité alimentaire. À l’échelle nationale, cela veut dire des politiques macroéconomiques qui fournissent la stabilité requise pour encourager l’épargne et l’investissement. Dans la plupart des cas, les crédits affectés au développement agricole et rural devront être augmentés.
6. Les principaux projets et programmes contre la faim sont élaborés et détaillés conformément au cadre conceptuel et théorique du Programme de lutte contre la faim. L’approche double présentée dans ce Programme a été largement acceptée, en particulier par l’Atelier sur la faim des Nations Unies. Il n’y a donc pas d’activités distinctes à signaler au titre de ce concept de programme.
7. Depuis 1998, le Secrétariat fait le point tous les ans sur les activités du SICIAV dans un document d’information qu’il présente au CSA. Cette procédure sera maintenue pour la treizième session du CSA. Le document présente un bref résumé des activités entreprises au titre de cette initiative.
8. La présente session consacrera un point de l’ordre du jour tout entier à l’examen des directives volontaires à l’appui de la concrétisation progressive du droit à une alimentation adéquate dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale (Droit à la nourriture). Cette question faisant l’objet d’un document distinct (CFS: 2004/6) n’est pas reprise dans le présent document.
9. Au Sommet mondial de l’alimentation de 1996, les pays participants se sont engagés à réduire de moitié le nombre des personnes sous-alimentées d’ici à 2015. Dans le cadre de la suite donnée au Sommet, 150 Stratégies nationales en matière de sécurité alimentaire et de développement agricole: Horizon 2010 ont été élaborées avec le soutien de la FAO. Après le Sommet mondial de l’alimentation: cinq ans après, et l’adoption des Objectifs du Millénaire pour le développement, de nouveaux efforts sont déployés pour revoir et mettre à jour les Stratégies nationales en matière de sécurité alimentaire et de développement agricole, renforcer la volonté politique et promouvoir l’investissement dans la sécurité alimentaire et la réduction de la faim.
10. Ce processus qui se déroule actuellement a pour objectif de: i) réfléchir une nouvelle fois sur la vision stratégique nationale à long terme en repoussant le terme des stratégies existantes à l’Horizon 2015 pour tenir compte de l’évolution du contexte national et international et de la nouvelle priorité donnée au secteur rural; ii) définir les principes de la planification des ressources et les mesures qui permettront de répondre aux besoins alimentaires et nutritionnels des populations gravement sous-alimentée.
11. Lancé au début de 2003, le processus d’actualisation comporte les points suivants: i) élaboration et diffusion d’un Cadre conceptuel pour les Stratégies nationales en matière de sécurité alimentaire et de développement agricole; ii) réalisation d’une enquête de pays (réalisée en février 2003) et établissement d’un classement des pays en fonction de la situation des processus stratégiques et politiques; iii) élaboration de Profils de pays en matière de politiques faisant le point sur les politiques et les stratégies en ce qui concerne la sécurité alimentaire et le développement agricole; iv) fourniture d’une assistance technique pour l’examen et l’actualisation des Stratégies -Horizon 2015, sur la base de directives qui tiennent compte de la diversité des situations nationales en ce qui concerne les ajustements politiques et stratégiques nécessaires et de l’état d’avancement des processus internes qui y sont liés.
12. Le processus d’actualisation des politiques et des stratégies a démarré dans toutes les régions. Au total, 105 Profils de pays en matière de politiques ont été élaborés, qui font le point sur les stratégies et les politiques en matière de sécurité alimentaire et de développement agricole et déterminent le soutien nécessaire pour procéder à leur examen et à leur actualisation.
13. L’analyse des Profils de pays en matière de politiques a contribué à déterminer les possibilités de renforcer la formulation de politiques et de stratégies et la mise en œuvre des processus dans les États Membres avec le soutien et l’assistance de la FAO ou d’autres partenaires de coopération en cas de demande et de disponibilité des ressources.
14. En ce qui concerne l’Afrique, l’examen des politiques et des stratégies était lié au grand cadre pour le développement que les pays africains ont adopté récemment - le Programme détaillé pour le développement de l’agriculture africaine du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD). Compte tenu du calendrier des manifestations organisées dans le cadre du NEPAD, l’examen et l’actualisation des Stratégies nationales en matière de sécurité alimentaire et de développement agricole – Horizon 2015 ont été accélérés, afin de définir un cadre stratégique permettant de fixer les priorités et de formuler des programmes d’investissement à moyen terme et des profiles de projet d’investissement susceptible de bénéficier d'un concours financier dans chaque pays.
15. À l’appui de la préparation des Stratégies nationales, 47 résumés de stratégies - Horizon 2015 ont été élaborés en Afrique et se trouvent à divers stades de mise au point par les gouvernements.
16. En outre, près de 80 projets FAO financés par le Programme de coopération technique de la FAO, le PNUD ou des Fonds fiduciaires sont mis en œuvre dans le monde, avec au moins une composante à l’appui de la formulation, de l’actualisation et de la mise en œuvre des politiques et des stratégies pour la sécurité alimentaire et le développement agricole dans les pays membres.
17. L’interdépendance entre les économies nationales et les économies régionales et internationales a conduit ces dernières décennies à la création d’un nombre croissant d’Organisations économiques régionales parmi les pays développés et les pays en développement. Elles ont notamment pour objectif de favoriser l’intégration économique, de bénéficier d’économies d’échelle, ainsi que d’éradiquer la pauvreté et de renforcer la sécurité alimentaire, le développement agricole et les progrès socio-économiques.
18. En principe, les Organisations économiques régionales prennent l'initiative de stratégies, de programmes et de projets régionaux axés sur des questions qui sont mieux traitées au niveau régional. La suppression des obstacles au niveau régional et les possibilités accrues d’échanges régionaux et internationaux permettent de renforcer les politiques nationales.
19. Dans ce contexte, douze organisations économiques régionales2, en collaboration avec la FAO, ont élaboré des programmes régionaux pour la sécurité alimentaire afin d’améliorer la production et la sécurité alimentaires et de renforcer les échanges et les politiques agricoles de manière durable grâce à une approche pluridisciplinaire et participative dans leurs pays membres. Ces programmes régionaux ont été présentés par les organisations économiques régionales aux différentes parties prenantes, en particulier la communauté des donateurs et les institutions de financement, durant le Sommet mondial de l’alimentation: cinq ans après. Ces présentations ont suscité un grand intérêt.
20. Plusieurs Organisations économiques régionales ont exprimé le souhait de poursuivre le dialogue constructif entamé lors du Sommet mondial de l’alimentation: cinq ans après avec les institutions de financement et les donateurs qui sont actifs dans leurs régions respectives. Des réunions régionales de haut niveau ont été organisées conjointement en Afrique, en Asie, en Amérique latine et au Proche-Orient par les Organisations économiques régionales, les institutions internationales concernées, la FAO et les banques régionales de développement comme la Banque interaméricaine de développement, la Banque africaine de développement, la Banque asiatique de développement (BAsD) et la Banque islamique de développement. Ces réunions ont constitué des tribunes de haut niveau pour déterminer les questions de priorité régionale, formuler et mettre en œuvre des programmes régionaux pour traiter ces questions et ces problèmes, et établir des partenariats entre les parties prenantes.
21. La mise en œuvre des programmes régionaux pour la sécurité alimentaire a commencé dans plusieurs régions. L’Union économique et monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) a affecté 4 millions de dollars des États-Unis de ses propres ressources au lancement du programme régional, complétés par des fonds de la FAO. Le Gouvernement italien a engagé près de 5 millions de dollars EU chacun au programme régional pour la sécurité alimentaire du forum des Caraïbes (CARIFORUM) et à celui du Forum des îles du Pacifique (PIF). L’Organisation apporte aussi des fonds complémentaires pour la mise en œuvre de ces Programmes dans le cadre de son Programme de coopération technique.
22. Outre le soutien apporté aux douze organisations économiques régionales mentionnées ci-dessus, l’Organisation aide actuellement la Ligue des États arabes (LEA), l’Organisation de coopération économique et le Conseil de l’Unité économique arabe (CUEA) à formuler des projets de programmes régionaux pour la sécurité alimentaire, y compris la préparation de projets susceptibles de bénéficier d’un concours financier.
23. Suite à une demande du Secrétariat du NEPAD, la FAO a fourni une assistance pour la formulation du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture africaine (PDDAA) qui a été approuvé par les ministres africains de l'agriculture avant soumission à l’Assemblée des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine, qui s’est aussi tenue au Sommet de Maputo en juillet 2003.
24. Au Sommet de Maputo, les chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine ont adopté la Déclaration sur l’agriculture et la sécurité alimentaire qui apportait un fort soutien politique au PDDAA. Les principaux engagements de la Déclaration sont notamment les suivants: i) mettre en œuvre d'urgence les PDDAA et affecter au moins dix pour cent des ressources budgétaires nationales au secteur agricole; ii) assurer la préparation de projets d’investissements dans le cadre du PDDAA pour la mobilisation des ressources; et iii) assurer l’établissement de systèmes de réserves alimentaires au niveau régional, y compris des stocks, en fonction de la production de l’Afrique.
25. La FAO, en coopération avec le Secrétariat du NEPAD et l’Union africaine, a accueilli deux séries de réunions dans le cadre de la suite donnée à la Déclaration de Maputo en septembre et en décembre 2003 pour examiner la préparation des Programmes nationaux à moyen terme et formuler des projets d’investissement.
26. La FAO a affecté 7 millions de dollars EU à 49 pays pour le présent exercice (dont 6 millions de ses propres ressources au titre du Programme de coopération technique et près de 1 million venant d’un Fonds fiduciaire italien). Ce processus est bien engagé et devrait être terminé avant la fin de 2004.
27. La FAO a aussi entrepris des consultations avec différents partenaires (Secrétariat du NEPAD, Banque mondiale, FMI, OCDE, Banque africaine de développement) pour étudier les possibilités d’établir un mécanisme permettant de suivre les affectations de ressources budgétaires dans le pays africains. Ces questions ont été débattues lors d’une réunion qui s’est tenue en février 2004.
28. Lors de la vingt-troisième Conférence régionale pour l’Afrique qui s’est tenue à Johannesburg en mars 2004, la FAO a fait le point sur un certain nombre d’activités entreprises en 2003 dans le cadre de la mise en œuvre du NEPAD. L’état d’avancement de ces activités est le suivant:
29. Trois projets PCT ont été approuvés pendant la période 2003-2004 à l’appui des activités du NEPAD pour un montant total de 933 468 dollars EU
30. La FAO a lancé le Programme spécial pour la sécurité alimentaire (PSSA) en 1994, deux ans avant le Sommet mondial de l’alimentation de 1996, comme le programme phare pour aider les pays en développement membres de l’Organisation à réduire l’incidence de la faim et de la malnutrition. Le PSSA a été conçu sur le principe que les petits agriculteurs dans les pays en développement pourraient obtenir d’importants gains de production grâce à des modifications simples, peu onéreuses et durables de la technologie. De cette façon, ils pourraient non seulement améliorer leurs propres moyens de subsistance et stimuler la croissance de l’économie rurale locale mais aussi créer des excédents qui contribueraient à la sécurité alimentaire nationale. Le programme ciblait au départ les pays à faible revenu et à déficit vivrier (PFRDV) où des activités pilote ont été démarrées, pour servir ultérieurement de base à la planification et à la mise en œuvre de programmes de sécurité alimentaire à l’échelle nationale.
31. La croissance du PSSA a été rapide et le nombre des pays participants est passé de 15 en 1995 à 101 en juin 2004 (Voir Annexe - tableau 2). En outre, pendant la même période, le montant indicatif des fonds mobilisés est passé de 3,5 millions à 650 millions de dollars EU, dont plus de 60% ont été engagés par les pays en développement sur leurs propres ressources. Les ressources extra-budgétaires mobilisées, auprès des donateurs bilatéraux et multilatéraux et des Institutions internationales de financement, à l’appui du PSSA représentaient 23% du montant total des fonds mobilisés. Un point fort du PSSA, c’est la participation croissante des pays en développement à revenu intermédiaire au financement des activités du Programme qui affectent une part non négligeable de leur budget national, principalement dans le cadre d’arrangements de fonds fiduciaires unilatéraux avec la FAO, comme par exemple, le Nigeria, le Mexique, l’Afrique du Sud, le Venezuela etc.
32. L’une des particularités du PSSA, c’est la place limitée qu’il fait aux modèles traditionnels d’assistance technique qui ont été largement remplacés par la coopération Sud-Sud. À ce jour, 28 accords de coopération Sud-Sud ont été signés, et près de 700 coopérants sont sur le terrain, dont la plupart vivent et travaillent dans des communautés agricoles, partageant leurs compétences et expériences pratiques.
33. Le PSSA a été l’objet d’une évaluation externe indépendante en 2001/2 qui a approuvé l’approche du programme et noté ses points forts particuliers, à savoir: promotion du contrôle national des programmes; accent mis sur les problèmes d’agriculture, d’alimentation et de nutrition; utilisation des processus participatifs pour donner les moyens d’agir aux ménages, et une approche à facettes multiples pour réduire l’insécurité alimentaire. Perçu au départ comme un programme à forte composante technologique, à approche descendante, et avec une gamme d’interventions relativement étroite, le PSSA s’est orienté davantage sur une dynamique participative et a élargi son domaine d’intervention. Le PSSA soutient maintenant avec énergie l’application des processus participatifs d’enseignement et d’évaluation dans le but de donner les moyens aux participants d’articuler leurs demandes relatives aux services et de renforcer leur autonomie lorsqu’il s’agit de faire face aux situations d’insécurité alimentaire.
34. Aujourd’hui, on compte trente pays mettant en œuvre le PSSA, qui élaborent des programmes nationaux de sécurité alimentaire complets, s’appuyant sur l’expérience pilote de PSSA ainsi que sur d’autres initiatives contribuant à améliorer la sécurité alimentaire. Conformément aux concepts du Programme contre la faim (voir plus haut), ces programmes nationaux s’attaquent aux contraintes de la production vivrière et de l’accès aux denrées alimentaires, et associent l’investissement aux réformes politiques et institutionnelles.
35. Plus récemment, deux pays, le Brésil et la Sierra Leone, se sont fixés comme objectif d’éradiquer la faim d’ici quatre et cinq ans, respectivement et ont fait appel à l’assistance de la FAO dans le cadre du PSSA. Les deux pays ont inscrit cette tâche dans le respect des droits de l’homme, reconnaissent la nécessité de profondes réformes politiques et institutionnelles et ont demandé l’engagement total du gouvernement, de la société civile et des donateurs dans la lutte contre la faim conformément aux principes d’action commune promus par l’Alliance internationale contre la faim (voir ci-dessus).
|
Titre de l’activité ou du projet |
Rôle |
Pays |
Financement |
Dates |
Notes |
1 |
TCP/INT/2905 (T), ACP Secretariat: "Strengthening the Capacity of ACP Secretariat Staff in Agricultural (including Fisheries) Trade Negotiations" |
ATS |
Secrétariat ACP et responsables des pays ACP |
338 752 |
24-27 mai 2004 et septembre 2004 |
Un atelier ayant trait au commerce s’est tenu à Bruxelles du 24 au 27 mai 2004. Un second est prévu en septembre 2004. |
2 |
GCP/RAS/176/GER: "Asia Regional Workshop on Multilateral Trade Negotiations on Agriculture" |
LTU
|
Bangladesh, Bhoutan, Cambodge, Chine, Inde, Indonésie, Corée du Sud, RDP Lao, Maldives, Malaisie, Mongolie, Myanmar, Népal, Pakistan, Philippines, Sri Lanka, Thaïlande, et Viet Nam |
Sommes restantes Fonds fiduciaire allemand et Programme cadre-1 |
fin 2004
|
Atelier sur les négociations commerciales multilatérales |
3 |
GCP/SYR/006/ITA: Capacity building for agricultural policies. Several studies on impact of WTO accession on Syrian agriculture. |
LTU |
Syrie |
Un million de dollars par an |
2003-2004 |
|
4 |
Maghreb: Regional Integration, Trade Development and Food Security in the Maghreb Region |
LTU |
Mauritanie, Maroc, Algérie et Tunisie |
Environ |
2004-2005 |
Un atelier régional de plus haut niveau avec 50 participants |
5 |
TCP/AFG/2902, Promoting Institutional and Human Resources Capacity of Government Institutions in the Agricultural and Rural Sector |
LTU |
Afghanistan |
377 000 |
mai 2004 |
Stage d’une semaine sur la politique commerciale agricole et l’Organisation mondiale du commerce (le stage a coûté environ 10 000 dollars EU) |
6 |
TCP/BKF/2902, Renforcement des Capacités Stratégiques des Organisations Paysannes |
ATS |
Burkina Faso |
338 000 |
mars 2004 |
Stage d’une semaine sur la politique commerciale agricole |
7 |
MYA/01/008/, Myanmar Agriculture Sector Review - Analysis and Investment Strategy Formulation |
ATS |
Myanmar |
874 390 |
mai 2004 |
Stage d’une semaine sur la politique commerciale agricole |
8 |
GCP/RAF/392/FRA, Support to Capacity Building Initiatives Regarding Agricultural Policy Formulation in Southern Africa and RAFP/TCAS Regular Programme |
ATS |
Afrique |
Environ |
04-Nov |
Étude sur le développement agricole et la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne: Constitution d’un dossier pour davantage de soutien et séminaire connexe. |
II) 2003 | ||||||
Titre de l’activité ou du projet |
Partici- |
Pays |
Finance-ment |
Dates |
Notes | |
1 |
TCP/RAS/2906(A): "A Study to Evaluate the Benefits and Costs of WTO Membership for the Food, Agriculture, Fishery, and Forestry Sectors of Small Island Countries in the Pacific" |
LTU |
Îles Cook, Kiribati, Nauru, Niue, Îles Marshall, Palaos, Samoa, Tonga, et Vanuatu |
PCT |
mars - mai, 2003 |
|
2 |
GCP/RLA/138/SPA, Distance learning course: Proyecto Regional de Cooperación Técnica para la Formación en Economía y Políticas Agrarias y de Desarrollo Rural en America Latina (FODEPAL) |
ATS |
Belize, Costa Rica, Cuba, El Salvador, Guatemala, Honduras, Nicaragua, Panamá et République dominicaine |
Espagne |
annuel 2002-2004 |
Stages de formation par Internet |
3 |
GCP/INT/736/EC: Workshop in Multilateral Trade Negotiations for Central America: FAO/Programa de Cooperación de la Comisión Europea en respaldo a la Seguridad Alimentaria |
LTU |
Belize, Costa Rica, Cuba, El Salvador, Guatemala, Honduras, Nicaragua, Panama et République dominicaine |
UE |
mai - septembre 2003 |
Atelier 1er-5 septembre 2003 |
4 |
GCP/RAF/362/SWE, Workshop: Strengthening capacities for decision making in the process of intensifying economic integration of English speaking LDC countries in Africa |
LTU |
Pour les pays africains les moins avancés |
Suède |
mai 2003 en Afrique du Sud, Pretoria |
Atelier en mai 2003 |
5 |
GCP/INT/591/FRA, Workshop: Renforcement des capacités du secteur public et de la société civile en matière de politiques agricoles régionales dans le cadre d’un processus d’intégration |
LTU |
Burkina Faso Bénin, Burundi, République centrafricaine, Tchad, Comores, Djibouti, Gambie, Guinée, Guinée Bissau, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, Rwanda, Togo |
France |
mai 2003 au Burkina Faso, Ouagadougou |
Atelier en mai 2003 |
6 |
TCP/INT/2902, Support to Economic Cooperation Organization (ECO) for the Preparation of a Regional Programme for Food Security |
ATS |
Afghanistan, Azerbaïdjan, Iran, Kirghizistan, Kazakhstan, Turquie, Turkménistan, Ouzbékistan |
327 000 |
mars 2003 - février 2004 |
|
7 |
TCP/MOR/2905, Renforcement des capacités nationales pour les négociations commerciales sur l’agriculture |
LTU |
Maroc |
260 000 |
mars 2003 - février 2004 |
Négociations pour une zone de libre-échange avec les États-Unis d’Amérique |
RÉGION |
Opérationnel |
Formulé |
En cours de formulation |
À formuler |
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101 |
4 |
9 |
5 |
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||||
AFRIQUE |
42 |
1 |
2 |
2 |
|
|
|
ALGÉRIE* |
|
|
ANGOLA |
|
|
|
|
BÉNIN |
|
|
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BURKINA FASO |
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BURUNDI |
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|
CAMEROUN |
|
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|
CAP-VERT |
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RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE |
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TCHAD |
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COMORES |
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RÉP. DÉMOCRATIQUE DU CONGO |
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RÉPUBLIQUE DU CONGO |
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CÔTE D'IVOIRE |
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DJIBOUTI |
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ÉGYPTE |
|
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GUINÉE ÉQUATORIALE |
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ÉRYTHRÉE |
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|
ÉTHIOPIE |
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GABON* |
|
|
|
GAMBIE |
|
|
|
|
GHANA |
|
|
|
|
GUINÉE |
|
|
|
|
GUINÉE-BISSAU |
|
|
|
|
KENYA |
|
|
|
|
LESOTHO |
|
|
|
|
LIBÉRIA |
|
|
|
|
MADAGASCAR |
|
|
|
|
MALAWI |
|
|
|
|
MALI |
|
|
|
|
MAURITANIE |
|
|
|
|
MAROC |
|
|
|
|
MOZAMBIQUE |
|
|
|
|
NIGER |
|
|
|
|
NIGÉRIA |
|
|
|
|
RWANDA |
|
|
|
|
|
|
|
SAO TOMÉ-ET-PRINCIPE |
|
SÉNÉGAL |
|
|
|
|
SIERRA LEONE |
|
|
|
|
|
|
|
SOMALIE |
|
AFRIQUE DU SUD* |
|
|
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|
SOUDAN |
|
|
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|
SWAZILAND |
|
|
|
|
TANZANIE |
|
|
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|
TOGO |
|
|
|
|
OUGANDA |
|
|
|
|
ZAMBIE |
|
|
|
|
ZIMBABWE* |
|
|
|
|
|
|
|
|
ASIE |
18 |
2 |
4 |
3 |
|
AFGHANISTAN |
|
|
|
|
|
|
ARMÉNIE |
|
|
|
|
AZERBAÏDJAN |
|
|
BANGLADESH |
|
|
|
|
|
BHOUTAN |
|
|
|
CAMBODGE |
|
|
|
|
CHINE |
|
|
|
|
GÉORGIE |
|
|
|
|
INDE |
|
|
|
|
INDONÉSIE |
|
|
|
|
|
JORDANIE* |
|
|
|
RÉP. POPULAIRE DÉMOCRATIQUE DE CORÉE |
|
|
|
|
|
|
KIRGHIZISTAN |
|
|
RPD LAO |
|
|
|
|
|
|
|
LIBAN |
|
MALDIVES |
|
|
|
|
MONGOLIE |
|
|
|
|
|
|
|
MYANMAR |
|
NÉPAL |
|
|
|
|
PAKISTAN |
|
|
|
|
PHILIPPINES |
|
|
|
|
SRI LANKA |
|
|
|
|
RÉP. ARABE SYRIENNE. |
|
|
|
|
TADJIKISTAN |
|
|
|
|
|
|
|
TIMOR-LESTE |
|
|
|
TURKMÉNISTAN |
|
EUROPE |
2 |
0 |
1 |
0 |
|
ALBANIE |
|
|
|
|
BOSNIE-HERZÉGOVINE |
|
|
|
|
|
MACÉDOINE, EX-RÉP. YOUGOSLAVE |
| |
|
|
|
|
|
Amérique latine |
25 |
1 |
2 |
0 |
|
ANTIGUA-ET- BARBUDA* |
|
|
|
|
|
|
ARGENTINE* |
|
|
BAHAMAS* |
|
|
|
|
BARBADE* |
|
|
|
|
BELIZE* |
|
|
|
|
BOLIVIE* |
|
|
|
|
BRÉSIL* |
|
|
|
|
|
COLOMBIE* |
|
|
|
CUBA |
|
|
|
|
DOMINIQUE* |
|
|
|
|
RÉPUBLIQUE DOMINICAINE* |
|
|
|
|
ÉQUATEUR |
|
|
|
|
|
|
EL SALVADOR* |
|
|
GRENADE* |
|
|
|
|
GUATEMALA* |
|
|
|
|
GUYANA* |
|
|
|
|
HAÏTI |
|
|
|
|
HONDURAS |
|
|
|
|
JAMAÏQUE* |
|
|
|
|
MEXIQUE* |
|
|
|
|
NICARAGUA |
|
|
|
|
PÉROU* |
|
|
|
|
SAINT-KITTS-ET- NEVIS* |
|
|
|
|
SAINTE-LUCIE* |
|
|
|
|
SAINT-VINCENT-ET-LES GRENADINES* |
|
|
|
|
SURINAME* |
|
|
|
|
TRINITÉ-ET-TOBAGO* |
|
|
|
|
VENEZUELA* |
|
|
|
OCÉANIE |
14 |
0 |
0 |
0 |
|
VANUATU |
|
|
|
|
TUVALU |
|
|
|
|
TONGA* |
|
|
|
|
ILES SALOMON |
|
|
|
|
SAMOA |
|
|
|
|
PAPOUASIE-NOUVELLE GUINÉE |
|
|
|
|
PALAU* |
|
|
|
|
NIOUÉ* |
|
|
|
|
NAURU* |
|
|
|
|
ILES MARSHALL * |
|
|
|
|
KIRIBATI |
|
|
|
FIDJI* |
||||
ILES COOK* |
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ÉTATS FÉDÉRÉS DE MICRONÉSIE* |
* NON PFRDV.
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1 C 2003/REP – Rapport de la Conférence de la FAO, trente-deuxième session, 29 novembre-8 décembre 2003, par. 80.
2 Neuf en Afrique: Union maghrébine arabe (AMU), Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (CEMAC), Communauté des États sahariens du Sahel (CEN-SAD), Marché commun d'Afrique de l'Est et d'Afrique australe (COMESA), Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Autorité intergouvernementale pour le développemen (IGAD), Communauté de développement de l’Afrique australe (CDAA) et Union économique et monétaire Ouest africaine (UEMOA); une aux Caraïbes: Forum des Caraïbes (CARIFORUM); une au Pacifique: Forum des îles du Pacifique (PIF); et une en Europe: Coopération économique de la mer Noire (CEMN).