Biennale de l’éducation en Afrique, au delà de l’éducation primaire
 

5-9 mai, 2008
Maputo, Mozambique

«L’éducation pour les populations rurales, où en sommes nous?» a été au centre de la présentation donnée par le coordinateur de l’EPR à la plénière de la table ronde sur «les problèmes (questions) d’accès et d’équité». La présentation provenait d’un article publié par la FAO et l’Université d’état de l’Iowa et d’une recherche, co publiée par la FAO et l’université de Rome Tre (Rome) en 2007, qui a montré l’impact énorme et direct de l’éducation primaire sur la sécurité alimentaire en Afrique.

En outre, l’EPR a été présenté à un groupe d’environ 25 journalistes africains, reconnus pour avoir écrit les meilleurs articles sur l’éducation en Afrique.

La présentation provenait des titres suivants:

Lavinia Gasperini, responsable du partenariat EPR et par David Acker de l’Université d’état de l’Iowa , «L’éducation pour les populations rurales, ou en sommes nous?» (Journal of International Agriculture and Extension Education (AIAEE), vol 15, n.1) 2008 Burchi F, De Muro P,
«L’éducation pour les populations rurales et la sécurité alimentaire, une analyse croisé par pays», co publiée par la FAO et l’université de Rome Tre (Rome) en 2007. La Biennale avait pour thème central les opportunités d’apprentissage disponibles aux enfants et aux jeunes qui ont accompli l’école primaire ou l’enseignement supérieur. La pénurie d’opportunités pour les populations rurales de continuer les études à ces niveaux et la nécessité pour les responsables d’éliminer cet écart a été aussi affrontée pendant la Biennale.

La biennale 2008 de l’éducation en Afrique est dans le domaine de la coopération éducative, le rendez-vous le plus important sur le continent qu’organise tous les deux ans l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (ADEA).

A la biennale ont participé les ministres africains en charge de l’éducation et de la formation, les représentants des agences de coopération multilatérale et bilatérale au développement, des organisations non gouvernementales et des organisations de la société civile africaines et internationales, des fondations, des spécialistes, chercheurs et praticiens de l’éducation, ainsi que des professionnels de tous les ordres d’enseignement. Pour la première fois, la biennale a vu la participation des pays d’Afrique du Nord.