Systèmes Agroalimentaires

Dialogue d’apprentissage entre pays sur l’agrotourisme comme moyen de transformer les systèmes agroalimentaires

09/07/2024 Explorer les approches alternatives pour un programme relatif à des systèmes agroalimentaires plus inclusifs et plus résilients

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L’agrotourisme s’est beaucoup développé dans la région méditerranéenne ces vingt dernières années, aidant ainsi à redynamiser les zones rurales et à stimuler les économies locales. Selon Fortune Business Insights, le marché mondial de l’agrotourisme était estimé à 69 milliards d’USD en 2019, et devrait atteindre les 197 milliards d’ici 20321. Le changement de comportement des agriculteurs des quatre coins du monde vis-à-vis de l’entrepreneuriat durable influe sur l’évolution du secteur de l’agrotourisme. Par ailleurs, cette croissance a été et devrait continuer à être stimulée par un intérêt mondial pour les voyages durables, les échanges culturels, les expériences rurales authentiques et l’alimentation comme moteurs du tourisme. L’appui fourni par les pouvoirs publics et par les organisations, sous la forme de politiques de formation, de financement et d’agrotourisme, a aidé non seulement à améliorer les revenus ruraux mais aussi à préserver les traditions agricoles et à encourager la durabilité environnementale. Situé à l’intersection entre agriculture, commerce de détail alimentaire, tourisme et patrimoine culturel, l’agrotourisme a le pouvoir d’appliquer une approche systémique visant à influencer les différentes dimensions, économique, environnementale et sociale, de la durabilité. Une telle approche holistique de l’agrotourisme crée des opportunités pour améliorer la durabilité des systèmes agroalimentaires locaux, qui favorise le développement des moyens de subsistance ruraux, la préservation du patrimoine culturel et culinaire et la protection des espèces indigènes et de la biodiversité.

À propos du dialogue

Dans le cadre de la Plateforme SFS-MED, la Division des systèmes agroalimentaires et de la sécurité sanitaire des aliments (ESF) de la FAO a organisé un dialogue, à l’occasion duquel 55 responsables politiques et spécialistes de 14 pays de la région méditerranéenne et d’ailleurs2 ont pu échanger sur la manière dont les approches alternatives de l’agrotourisme pouvaient favoriser la mise en place d’un programme relatif à des systèmes agroalimentaires plus inclusifs et plus résilients. Ce dialogue a suscité des réflexions sur l’adaptation des connaissances tirées d’initiatives uniques mises en œuvre sur le terrain à différents contextes locaux. Les principaux thèmes et schémas ressortant du dialogue sont présentés ci-dessous.

La Plateforme SFS-MED est une initiative multipartite en faveur de l’instauration de systèmes agroalimentaires durables dans la région de la Méditerranée financée par le Ministère des affaires étrangères et de la coopération de l’Italie et codirigée par la FAO, le Centre International de Hautes Études Agronomiques Méditerranéennes (CIHEAM), le Partnership for Research and Innovation in the Mediterranean Area (PRIMA) et l'Union pour la Méditerranée (UpM). Ce dialogue s’inscrit dans le cadre du Programme d’apprentissage sur le changement systémique, une nouvelle initiative de l’ESF qui vise à renforcer les capacités et l’engagement en faveur de la transformation des systèmes agroalimentaires par l’apprentissage collectif.

Enseignements tirés de la pratique

Le potentiel de l’agrotourisme pour la redynamisation des communautés rurales et la préservation du patrimoine culturel agroalimentaire face aux défis modernes. L’une des questions pressantes abordées à l’occasion de ce dialogue concernait le dépeuplement rural, un phénomène confirmé par des données d’Eurostat datant de 2021, selon lesquelles la population rurale de l’UE ne s’élève qu’à 21%. Entre 2015 et 2020, la population des régions à prédominance rurale a baissé de 0,1% en moyenne chaque année3. En Afrique du Nord, depuis les années 1950, la population urbaine a connu une croissance beaucoup plus rapide que la population rurale4. Ces données mettent en évidence l’urgence de s’attaquer au problème de l’exode rural, ce qui nécessite du courage pour aller à contre-courant des migrations vers la ville. Ce dialogue a souligné le potentiel de l’agrotourisme pour lutter contre le dépeuplement rural, appuyer les économies locales et favoriser le développement durable. Relier les touristes aux pratiques agricoles et aliments traditionnels, ainsi qu’à la tranquillité de la vie rurale qu’ils et elles apprécient, leur fait apprécier davantage la nature et la durabilité, un élément essentiel pour mobiliser et motiver les parties prenantes à faire face aux problématiques systémiques en comblant le fossé entre la société moderne, un environnement en bonne santé et une alimentation saine.

“Je me suis lancée dans cette aventure il y a dix ans, alors que tout le monde quittait la campagne albanaise, allait dans la direction opposée. À l’époque, tout le monde pensait que j’étais folle, parce que tout le monde partait. Mais moi, je sentais que je devais réparer quelque chose, corriger une erreur. Je suis donc retournée sur les terres familiales, complètement abandonnées, et j’ai tenté de leur redonner vie. Je pensais être la seule, jusqu’à ce que nous nous unissions. Aujourd’hui, nous sommes 200 entrepreneurs et entrepreneuses à faire de même sur l’ensemble du territoire national.”
Elona Bejo, fondatrice de l’exploitation et maison d’hôtes familiale Grand Albanik, Albanie 

Le pouvoir transformateur de la collaboration par rapport à la concurrence pour bâtir des économies rurales solides. Les participants et participantes ont usé de différentes stratégies pour favoriser l’émergence d’écosystèmes coopératifs et appuyer le développement rural. L’un des fils conducteurs de la conversation portait sur l’engagement à s’efforcer d’atteindre une rémunération et des transitions écologiques justes. Les personnes présentes ont exprimé un sens profond de la responsabilité consistant à aligner leurs actions sur leurs valeurs personnelles, soulignant l’importance des pratiques éthiques et durables pour l’agrotourisme. Elles ont abordé notamment la mise en œuvre du modèle commercial de la fourche à la fourchette, qui suppose de collaborer avec les petits exploitants et les artisanes pour créer un marché prospère pour les produits locaux. Préférant la collaboration à la concurrence, elles ont souligné l’importance des efforts de coopération pour surmonter les difficultés économiques et améliorer la durabilité. Le rôle central joué par les coopératives dans l’agrotourisme, qui favorisent l’action collective entre producteurs et leur permettent de mettre en commun leurs ressources, de partager leurs connaissances et d’accéder plus facilement aux marchés, a été reconnu. Les partenariats entre agriculteurs, entreprises et institutions locales ont par ailleurs été reconnus comme essentiels pour stimuler le développement régional et préserver le patrimoine local.

Le dialogue a montré qu’en travaillant en collaboration et en restant fidèles à leurs valeurs, les communautés rurales pouvaient bâtir des économies durables qui respectent leurs racines agricoles tout en tendant à la justice et aux pratiques éthiques.

“Le principe de collaboration, préféré à celui de concurrence, signifie que nous pouvons travailler ensemble pour rétablir notre économie agricole et tisser des liens avec les utilisateurs finaux.”
Rakan Mehyar, fondateur de l’exploitation de permaculture et du restaurant Carob House, Jordanie

“Mais le problème est que les coopératives s’organisent autour d’une activité ou d’un produit en particulier. On a les apiculteurs d’un côté, les producteurs de céréales de l’autre, et les coopératives d’élevage plus loin. L’idée que nous testons aujourd’hui consiste à laisser les coopératives s’unir dans le cadre d’une plateforme unique. Les agriculteurs se rendent dans un endroit unique où ils peuvent prendre des ressources et investir dans des infrastructures, des ressources et des services qui peuvent réduire leurs coûts et investissements individuels et accroître leur effet de levier opérationnel.”
Christian Jochnick, directeur de la ferme régénératrice et du centre alimentaire Juntos Farm, Espagne

Trouver un équilibre dans l’utilisation des technologies. Toutes les personnes présentes se sont accordées sur l’importance d’une approche prudente et équilibrée vis-à-vis de l’utilisation des technologies, en particulier pour les agriculteurs de la région méditerranéenne, par exemple, l’importance du recours à des systèmes de suivi de l’humidité du sol ou l’adoption d’applications web pour atteindre de nouveaux marchés et de nouvelles clientèles. Elles ont toutefois exprimé leur inquiétude quant aux risques d’éclipsage des connaissances autochtones par les pratiques technologiques industrielles. Un consensus s’est dégagé sur le fait que les technologies devaient être considérées comme une arme à double tranchant capable à la fois d’améliorer et de perturber les pratiques agricoles. Si certains ont exprimé le souhait d’étudier et d’intégrer les technologies dans leurs exploitations, d’autres ont alerté contre la perte de lien avec la terre et plaidé pour des innovations qui appuient les processus environnementaux plutôt que de les remplacer.

Le dialogue a souligné l’importance des technologies pour compléter et améliorer les méthodes agricoles traditionnelles tout en garantissant que les avancées appuient la durabilité et l’équilibre écologique.

“Je veux étudier et appliquer la technologie à mon exploitation, parce que c’est tout ce qu’il y a de plus important à l’heure actuelle. Et je pense que cela me sera vraiment bénéfique.”
Fabjona Lile, ferme et maison d’hôte Lile, Albanie

“Je me méfie de la technologie, mais je me rends bien compte qu’il est important de l’accepter. Mais je pense que nous devons faire passer un message très, très clair aux scientifiques et entrepreneurs du secteur des technologies: il est fondamental que vous inventiez des technologies qui nous intègrent dans la nature, pas qui nous en éloignent.”
Christian Jochnick, directeur de la ferme régénératrice et du centre alimentaire Juntos Farm, Espagne

Identité territoriale et pratiques autochtones en harmonie avec la nature. L’accent a été mis sur le potentiel de renouer avec les méthodes agricoles traditionnelles et les variétés locales pour redynamiser les économies rurales et préserver le patrimoine culturel. Les récits partagés portaient sur le souhait de fournir aux générations futures des aliments nutritifs cultivés grâce à des pratiques ancestrales, les efforts visant à redonner vie aux exploitations abandonnées grâce à des techniques ancestrales, et la résurrection de la viticulture locale grâce à des variétés de raisins indigènes. Il est essentiel de retrouver et de préserver les pratiques autochtones, qui non seulement contribuent à la durabilité agricole mais revêtent aussi une importance culturelle, qui enrichit l’identité communautaire et favorise la résilience environnementale. Les personnes présentes ont par ailleurs insisté sur le besoin de protéger les savoirs traditionnels transmis de génération en génération, reconnaissant leur valeur dans la préservation de la biodiversité et l’adaptation aux conditions environnementales changeantes.

Le dialogue a montré comment le fait d’assumer une identité territoriale et des pratiques autochtones pouvait stimuler la productivité agricole, la cohésion communautaire et la durabilité environnementale.

“Plus j’approfondis mes recherches et plus je lis, plus je réalise que nous avons subi un lavage de cerveau qui nous a fait perdre nos pratiques agricoles autochtones.”
Rakan Mehyar, fondateur de l’exploitation de permaculture et du restaurant Carob House, Jordanie

“Les exploitations sont susceptibles de ne pas se développer pendant de longues périodes à cause de problématiques liées à la propriété foncière. La façon la plus efficace pour elles de commercialiser leurs produits est d’attirer les touristes vers l’exploitation, de vendre leurs produits frais directement sur place ou d’en accroître la valeur en les transformant et en les cuisinant de manière traditionnelle. Cette approche est essentielle puisqu’elle aide à préserver les variétés locales, les méthodes de production traditionnelles et les pratiques culturelles liées à l’alimentation et aux rites locaux.”
Petrit Dobi, directeur exécutif de l'ONG RASP, Albanie

“Si nous souhaitons être compétitifs sur le marché crétois, tout en étant durables, nous devons composer avec ce que nous offre l’île, c’est-à-dire des variétés indigènes. Et nous avons beaucoup de chance, parce que nous en avons au moins 11 sur le territoire crétois. La demande est aujourd’hui à l’authenticité et à la consommation de produits qui ont une identité. Lorsque l’économie locale est fière du produit que lui offre la terre, les choses se passent beaucoup mieux.”
Nicos Miliarakis, président de Wines of Crete, Grèce

Le rôle fondamental du soin, y compris autoadministré, dans la transformation des économies rurales par la justice sociale et environnementale. Les aspects émotionnels et spirituels liés aux pratiques agricoles ont été abordés, présentant l’agrotourisme comme étant bien plus qu’un simple moyen de survie économique. Il est apparu comme une occasion d’autonomiser les initiatives commerciales locales recherchant la durabilité environnementale et économique et intégrant le soin de la communauté, de la planète, et de l’individu. S’il existe des exemples où l’agrotourisme naît du désespoir en dernier recours des agriculteurs contre la concurrence du marché, son potentiel unique de transformation des systèmes agroalimentaires a également été reconnu. Les personnes présentes ont reconnu son rôle dans la réduction des chaînes de valeur, l’octroi d’une rémunération juste aux producteurs locaux et la naissance d’un sentiment de dignité et de bien-être au sein des communautés rurales. En payant une somme beaucoup plus élevée que le prix moyen du marché pour les produits, les initiatives d’agrotourisme illustrent une approche holistique, qui permet aux communautés rurales de prospérer sans se sentir contraintes au tourisme. Par ailleurs, l’écoféminisme et le plaidoyer empathique sont apparus comme des thématiques cruciales. L’écoféminisme, en mettant l’accent sur les liens entre justice sociale et environnementale, souligne le besoin de déconstruire des inégalités systémiques profondément ancrées et de concentrer les efforts sur les contributions des femmes et des groupes marginalisés à l’agriculture durable et au développement rural. Malgré leur rôle central dans les systèmes agroalimentaires de nombreux pays, les femmes jouent en réalité un rôle marginalisé et travaillent dans des conditions moins bonnes que les hommes, marquées par l’irrégularité, le caractère informel, le temps partiel, les faibles exigences en matière de compétences, l’intensité et la vulnérabilité5. Il sera important d’intégrer ces thématiques dans l’agrotourisme pour garantir la prise en compte des dimensions sociales, en appelant à prendre des mesures concrètes pour instaurer un système agroalimentaire plus équitable et plus juste, qui donne la priorité au bien-être des individus et de l’environnement.

Le dialogue a souligné que l’agrotourisme était l’une des seules voies vers la transformation des systèmes agroalimentaires, soulignant sa capacité à prendre soin à la fois de la communauté, de la planète et de l’individu.

“La guérison de l’esprit humain et le rétablissement du sol sont étroitement liés. Malheureusement, les agriculteurs ont parfois recours à l’agrotourisme par désespoir.”
Rakan Mehyar, fondateur de l’exploitation de permaculture et du restaurant Carob House, Jordanie

“Pour moi, l’agrotourisme résout le problème de réduction de la chaîne, ce qui la rend beaucoup plus durable, puisque l’argent va directement là où il doit aller: au producteur. Une rémunération juste motive les femmes avec lesquelles je travaille à ne pas quitter la vallée, à élever leurs enfants et à vivre une vie meilleure.”
Elona Bejo, fondatrice de l’exploitation et maison d’hôtes familiale Grand Albanik, Albanie

Les personnes présentes ont souligné l’importance cruciale de favoriser l’apprentissage et l’empathie chez les touristes, les consommateurs et les acheteurs qui ne participent pas directement à l’agriculture. Un fossé important s’est creusé entre ce qui se passe sur une exploitation et ce que les personnes qui manipulent et consomment les aliments savent à ce sujet. Par exemple, une enquête YouGov Cambridge au Royaume-Uni a conclu qu’en 2012, une majorité de personnes (72%) estimaient ne pas avoir beaucoup de connaissances, voire aucune, sur le secteur agricole6. De même, une enquête menée en 2017 aux États-Unis a dévoilé que près de 16 millions d’Américains pensaient que le lait chocolaté provenait de vaches marron7. Le manque de connaissances sur les aliments et les systèmes alimentaires est l’un des facteurs qui favorisent l’émergence de tendances inquiétantes, telles que la hausse du surpoids et de l’obésité dans la région méditerranéenne, comme le montrent plusieurs études. En Méditerranée orientale, la prévalence de l’obésité chez les adolescents varie entre 15 et 45%8. Des études ont montré une plus forte prévalence de l’obésité infantile dans la région méditerranéenne (jusqu’à 20%) que dans le nord de l’Europe9. Des enquêtes menées en Jordanie et au Maroc ont montré que le taux d’obésité était élevé, et en hausse10, 11. Améliorer les connaissances et la compréhension des pratiques agricoles et de la valeur des aliments est essentiel pour combler cette ignorance. Si les connexions et la sensibilisation sont améliorées, les consommateurs peuvent apprécier les défis rencontrés et les efforts déployés dans la production alimentaire, ce qui les poussera à faire des choix alimentaires plus éclairés tenant compte d’aspects tels que l’empreinte environnementale, la valeur nutritionnelle et la contribution à l’économie locale des produits. Cette approche améliore non seulement le caractère durable des choix des consommateurs, mais garantit aussi un système agroalimentaire plus résilient et connecté, fondé sur des rapports de solidarité entre toutes les parties concernées.

Le dialogue a souligné le besoin de renforcer l’empathie et la compréhension de toutes les parties prenantes, dans l’optique d’un engagement plus éclairé et plus solidaire en faveur de la résilience des systèmes alimentaires.

“Nous travaillons beaucoup pour améliorer l’empathie entre les agriculteurs et les chefs cuisiniers. Nous avons fait venir les chefs dans les exploitations, pour leur faire comprendre que leurs menus n’avaient pas besoin d’être identiques toute l’année. Ils ont donc commencé à proposer un menu à base de produits disponibles chez leurs agriculteurs locaux.”
Marianella Feoli, directrice exécutive de Fundecooperación et de l’initiative Tu-MoDeLo, Costa Rica

“J’aimerais insister sur le fait que les touristes sont une partie intégrante du système alimentaire mondial. La participation des agriculteurs et des producteurs au secteur touristique est essentielle pour améliorer la sensibilisation à leur égard.”
Alessandra Villa, coordinatrice de secteur pour les Balkans, Autriche, Suisse, Slow Food International

Pour aller plus loin

  • FAO. 2024. Culture, cuisine et campagne. Exploiter le potentiel de l’agrotourisme pour améliorer les moyens de subsistance ruraux et promouvoir des systèmes agroalimentaires durables en Albanie. Rome, FAO. fao.org/newsroom/story/culture-cuisine-and-countryside/fr

  • FAO. [à paraitre]. L'agritourisme pour la transformation des systèmes alimentaires durables en Méditerranée. Rome, FAO.


[1] Fortune Business Insights. 2024. Taille et part de l’agrotourisme et analyse de l’impact du COVID-19, par type (marché direct, éducation et expérience, événements et loisirs), et prévisions régionales 2020-2032 (Agritourism Market Size, Share & COVID-19 Impact Analysis, By Type [Direct-market, Education & Experience, and Event & Recreation], and Regional Forecast, 2020-2032). Fortune Business Insights. https://bit.ly/4erp5ON

[2] Albanie, Autriche, Canada, Costa Rica, Égypte, Espagne, Grèce, Hongrie, Italie, Jordanie, Maroc, Pays-Bas, Royaume-Uni et Tunisie.

[3] Les régions à prédominance rurale connaissent un dépeuplement. (Predominantly rural regions experience depopulation.) Dans: Eurostat > Nouvelles. Union Européenne. https://shorturl.at/KwqMK

[4] Sandell, R. 2004. Afrique du Nord: la démographie à l’épreuve des faits. (North Africa: Grappling with Demography.) Dans: Elcano Royal Institute > Working papers. Elcano Royal Institute. https://shorturl.at/AawoT

[5] FAO. 2023. La situation des femmes dans les systèmes agroalimentaires. Rome. https://doi.org/10.4060/cc5343fr

[6] Université de Cambridge. 2012. L’agriculture, un sujet apprécié mais incompris. (Farming loved but misunderstood, survey shows.) Dans: University Of Cambridge > Research > News. Université de Cambridge. https://bit.ly/3xebLg5

[7] C. Dewey. 2017. Un nombre surprenant d’adultes américains croient que le lait chocolaté provient de vaches marron (The surprising number of American adults who think chocolate milk comes from brown cows). Dans: The Washington Post > Economic Policy. The Washington Post. https://wapo.st/3XByqxk

[8] Musaiger, A. O. 2004. Surpoids et obésité en Méditerranée orientale: pouvons-nous les contrôler? (Overweight and obesity in the Eastern Mediterranean Region: can we control it?). Dans: Eastern Mediterranean health journal, 10(6), 789–793. Le Caire, OMS. https://shorturl.at/fzzIX

[9] Medina, F. X., Solé-Sedeno, J. M., Bach-Faig, A., et Aguilar-Martínez, A. 2021. Obésité, diète méditerranéenne et santé publique: point de vue socioculturel sur l’obésité dans le contexte méditerranéen (Obesity, Mediterranean Diet, and Public Health: A Vision of Obesity in the Mediterranean Context from a Sociocultural Perspective). Dans: International journal of environmental research and public health, 18(7), 3715. Bâle, MDPI. https://doi.org/10.3390/ijerph18073715

[10] Ajlouni, K., Khader, Y., Batieha, A., Jaddou, H., et El-Khateeb, M. 2020. Prévalence alarmante et en hausse de l’obésité en Jordanie (An alarmingly high and increasing prevalence of obesity in Jordan). Dans: Epidemiology and health, 42. Séoul, epiH. https://doi.org/10.4178/epih.e2020040

[11] H. Nouayti, N.H. Bouanani, J. Hammoudi, H. Mekhfi, A. Legssyer, M. Bnouham et A. Ziyyat. 2020. Surpoids et obésité dans l’est du Maroc: prévalence et facteurs de risque associés chez les lycéens et lycéennes (Overweight and obesity in Eastern Morocco: Prevalence and associated risk factors among high school students). Dans: Journal of Epidemiology and Population Health, 68(5), 295-301. Issy Les Moulineaux, Elsevier. https://doi.org/10.1016/j.respe.2020.06.007