La FAO et les femmes, actrices du changement

Du secteur de la pêche et de l’aquaculture, où les femmes représentent la moitié de la main d’œuvre mais occupent la plupart des emplois les plus précaires et les moins rémunérés,  à celui de l’agriculture, où elles effectuent souvent les travaux des champs mais ne possèdent pas leurs terres, en passant par le manque de discernement persistant quant aux besoins nutritionnels spécifiques des femmes et des filles  et les effets sexospécifiques du changement climatique, il ne peut y avoir de sécurité alimentaire à l’avenir sans un élan décisif en faveur de l’égalité des sexes.

Lorsque la FAO a nommé son premier Scientifique en chef il y a deux ans, elle a choisi une femme pour ce poste. La conviction que les femmes peuvent être de remarquables innovatrices, ainsi que des bénéficiaires de l’innovation, est au cœur de la recherche, des pratiques et de la quête globale de l’Organisation visant à corriger les déséquilibres hérités et à transformer les systèmes agroalimentaires.

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