La mise en œuvre et le succès de l’Action commune dépendent des efforts conjugués des organes subsidiaires, des organes constitués, ainsi que des entités opérationnelles du Mécanisme financier de la CCNUCC, des Parties et observateurs et des parties prenantes concernées. Un tel dispositif offre de nombreuses possibilités, car il renforce les liens entre la science, les politiques et la pratique, et peut permettre d’encourager l’action en matière de sécurité alimentaire, de vulnérabilité de l’agriculture au changement climatique et les modalités pour réduire la contribution de l’agriculture au changement climatique.

Organes subsidiaires

• L’Organe subsidiaire de conseil scientifique et technologique (SBSTA) prête un soutien technique sur des questions liées à la Convention.
• L’Organe subsidiaire de mise en œuvre supervise la mise en œuvre de la Convention.

Les organes constitués mettent à disposition des avis, des contributions techniques et des connaissances spécialisées sur:

• le renforcement des capacités;
• la coordination et la mobilisation
• des financements; la promotion du renforcement des mesures sur le partage des connaissances;
• l’assistance technologique et le transfert de technologies en faveur des pays en développement.

Le Mécanisme financier et d’autres fonds apportent des financements et décident des priorités et des critères d’admissibilité:

• Fonds pour l’environnement mondial (FEM)
• Fonds vert pour le climat (FVC)
• Fonds d’adaptation (FA)
• Fonds pour les pays les moins avancés (FPMA)
• Fonds spécial pour les changements climatiques (FSCC)

Pays, observateurs et parties prenantes

• La FAO a le statut d’observateur auprès de la CCNUCC.
• Les pays prennent les décisions importantes en matière d’action pour le climat lors des réunions de la COP, qui est l’organe de décision suprême de la CCNUCC.