Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture

Le Fonds de partage des avantages

Ressources Financières du Fonds pour le Partage des Avantages

Depuis le lancement du Fonds pour le partage des avantages du Traité international en 2009, il a reçu des contributions d’un montant de près de 30 millions de dollars, ce qui a entraîné des résultats importants pour la biodiversité agricole, la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans le monde.

Les deux principales sources de financement du BSF sont les contributions volontaires et les revenus basés sur l’utilisateur du Système multilatéral pour l'accès et le partage des avantages du Traité international (Système multilatéral).

Les contributions volontaires versées au BSF proviennent d'un grand nombre de sources, y compris les Parties contractantes au Traité international, le secteur privé, les organisations philanthropiques, les mécanismes internationaux et les fonds provenant de sources et de mécanismes innovants.

Les revenus basés sur l’utilisateur du Système multilatéral sont générés par les profits découlant de certaines variétés de cultures qui ont été développées à l'aide de matériel du Système multilatéral. Une partie des bénéfices est versée au BSF, générant une source raisonnable de revenus durables et prévisibles pour le Fonds. Cela permet à son tour aux petits agriculteurs, aux scientifiques et aux obtenteurs des pays en développement d’utiliser le pool génétique mondial du Traité international pour mener des recherches en vue de développer de nouvelles variétés de cultures.

Contributions historiques

Les contributeurs au Fonds pour le partage des avantages sont l'Australie, l'Autriche, l'Allemagne, la Commission européenne, l'Inde, l'Indonésie, l'Irlande, l'Italie, les Pays-Bas, la Norvège, l'Espagne, la Suède et la Suisse. D'autres contributions ont été apportées par l'Association européenne des semences, la Fédération internationale des semences, le FIDA, l’interprofession des semences et plants SEMAE (anciennement Groupement national interprofessionnel des semences), ProSpecieRara Hauptsitz et une initiative norvégienne visant à verser un pourcentage de la valeur de leurs ventes nationales annuelles de semences au Fonds pour le partage des avantages. En plus de ces contributions volontaires, le cinquième cycle de projet au titre du Fonds pour le partage des avantages (BSF-5) a également reçu des revenus basés sur les utilisateurs du Système multilatéral d'accès et de partage des avantages du Traité international.

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