23. La Commission a examiné les comptes de l'exercice finissant le 31 décembre 1965. Le montant des crédits pour 1965 (y compris le report de 1964) s'est élevé à 154 572 dollars. Le total des dépenses a atteint, pour l'exercice considéré, 105 236 dollars. La Commission note donc qu'un solde de 49 336 dollars a été reporté sur l'exercice 1966. Les crédits restant au Fonds de dépôt No 40 sont utilisés en 1966/67 en conformité des reccomandations faite par la Commission pour la distribution des documents, les publications et d'autres services la concernant.
24. La Commission a appris que, en plus des crédits précités du Fonds de dépôt No 40, les organes directeurs de la FAO et de l'OMS avaient approuvé l'inclusion des montants ci-après dans les budgets ordinaires des deux Organisations pour l'exercice 1966–67: FAO - 170 000 dollars; OMS - 54 000 dollars. Le montant total des crédits dont le Programme sur les normes alimentaires disposera pour l'exercice 1966–67 s'élèvera approximativement à 274 000 dollars (non compris certaines augmentations obligatoires relatives au même exercice). Cette somme a été divisée en deux fractions annuelles égales de 137 000 dollars pour 1966 et 1967 respectivement.
25. En tenant compte des recommandations du Comité exécutif, la Commission a examiné les estimations budgétaires relatives au Programme faites par les Directeurs généraux pour 1968 et 1969. Elle a appris que ces estimations seraient inscrites dans les projets de budgets ordinaires de la FAO et de l'OMS à soumettre à l'approbation des organes directeurs des deux Organisations. Dans son projet de budget ordinaire, la FAO proposera, pour l'exercice 1968–69, une augmentation de 130 000 dollars (non compris les augmentations obligatoires relatives à l'exercice 1966–67) par rapport au montant de 170 000 dollars approuvé dans le budget de 1966–67. L'OMS, de son côté inscrirait une somme de 42 000 dollars dans son projet de Budget ordinaire pour l'exercice 1968 à soumettre à l'approbation de son organe directeur. L'Assemblée mondiale de la Santé a approuvé une somme de 27 000 dollars pour 1966 et 1967 respectivement; le Directeur général de l'OMS ne peut cependant pas préjuger des crédits budgétaires qui pourraient être proposés pour 1969 à l'organe directeur de l'Organisation. Le montant total des crédits dont le Programme pourrait vraisemblablement disposer en 1968, sous réserve d'approbation par les organes directeurs, atteindrait donc 192 000 dollars (non compris les augmentations obligatoires relatives à l'exercice 1966–67). Après avoir comparé ce montant à celui des crédits qui avaient été accordés au Programme en 1966 et en 1967, la Commission conclut que, malgré une augmentation totale de 55 000 dollars, le soutien des activités du Programme se heurtera sans doute à quelques difficultés en ce qui concerne les services nécessaires pour les réunions ainsi que l'interprétation, la traduction et la reproduction des documents, si l'expansion du programme de travail de la Commission et de ses organes subsidiaires se maintenait à son rythme actuel. La commission note en outre que le Comité du Programme de la FAO a déjà exprimé une opinion semblable et que le Conseil de la FAO, à sa quarante-septième session a invité le Directeur général à mettre les services de traduction et de reproduction nécessaires à la disposition du Programme sur les normes alimentaires. Compte tenu de la décision finale des organes directeurs de la FAO et de l'OMS quant aux budgets de 1968 et de 1969, la Commission décide de revoir son programme de travail et celui de ses organes subsidiaires afin de s'assurer que les activités seront réparties en fonction des fonds dont disposera le Programme. La Commission recommande, en outre, que le Directeur général de la FAO, en accord avec le Directeur général de l'OMS, prévoie une meilleure répartition entre les deux Organisations des dépenses communes du Programme en proposant que la contribution de l'OMS pour 1969 soit supérieure à celle qui est envisagée pour 1968.
