Les rapports du projet n'ont pas insisté sur les influences negatives des certaines contraintes majeures (évènements politiques, allocation budgétaire, non pertinence du rapport de consultant). Le formulaire de rapport administrif n'y convienne pas toujours à ces types de problèmes.
Bien que les protocoles d'accord signé par l'Office du Niger, la CMDT et l'OEHRN indiquaient leur engagement et leur pleine collaboration, les réalités sont différentes. Seul l'OEHRN collabore pleinement avec le projet. L'ON et la CMDT accordent une priorite absolue à la production du riz et du coton, tandis que l'OERHN et les différents services travaillent en étroite collaboration, car la pisciculture est leur priorité.
L'initiative privée et communautaire dans la vente d'alevins et l'utilisation piscicole des eaux de trop plein des pompes solaires et des emprunts est en émergence spontanée. Ces activités ne sont pas toujours issues des actions de vulgarisation, mais issue de la demande pour le poisson commestible.
Le rôle joué des volontaires (VNU) au sein du projet (formation technique, organisation et suivi des travaux, etc.) est non suelement importante mais absoluement necessaire et digne de plus d'appui de l'organisme de l'éxécution du projet.
Certains membres de l'équipe nationale formés a l'étranger dans le cadre du Projet ont eu peu d'opportunité d'appliquer concrètement leurs nouvelles connaissances aux conditions locales. Leur technicité doit être plus efficacement intégrée dans le travail du terrain.
