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III. ACTIVITIES OF FAO AND WFP
III. ACTIVITES DE LA FAO ET DU PAM
III. ACTIVIDADES DE LA FAO Y DEL PMA

9. Inter-agency Relations and Consultations on Questions of Common Interest, including
9. Relations et consultations interinstitutions sur les questions d'intérêt commun, notamment
9. Relacionesy consultas con otros organismos sobre asuntos de interés común, en particular

9.1 Recent developments in the United Nations System of Interest to FAO
9.1 Faits nouveaux survenus dans le système des Nations Unies et qui intéressent la FAO
9.1 Novedades de interés para la FAO registradas en el sistema de las Naciones Unidas

CHAIRMAN: The meeting is called to order. On our order paper we are going to start with item 9, Inter-Agency Relations and Consultations on Questions of Common Interest, including item 9.1, Recent Develop-ments in the UN System of Interest to FAO. The document is CL 79/15. I call on Mr. Régnier to introduce, the subject.

A. REGNIER (Directeur, Bureau des affaires interinstitutions): Monsieur le Président, puisque cfest la première fois que je m'adresse à vous dans mes nouvelles fonctions, je tiens à vous dire que je suis à votre entière disposition et que j'espère entretenir avec votre conseil d'aussi bonnes relations de travail et de coopération que mon distingué prédécesseur M. Walton.

Au cours de ces quelques mots introductifs, je voudrais me borner à mettre à jour et à compléter le document CL 79/15 qui vous est soumis sur les développements récents dans le système des Nations Unies, afin de tenir compte des événements survenus depuis sa rédaction en fin mars dernier.

En premier lieu, je dirai que depuis lors aucun signe de déblocage des négociations globales n'est apparu, et ces incertitudes continuent de faire peser une hypothèque sur les relations économiques internationales.

En avril dernier, le Président de l'Assemblée générale, l'Ambassadeur Rudiger Von Wechmar, en un geste inhabituel et très apprécié, a bien voulu exposer devant le Comité administratif de coordination, le CAC, l'état des pourparlers qu'il mène à ce sujet avec les différents groupes.

Plus tard, les cinq et six mai, il a convoqué une réunion informelle plénière pour approfondir ses consultations. Ces sondages ont montré qu'il n'y avait pas présentement de base d'accord, ni sur les procédures de négociations, ni sur l'ordre du jour. Il semble que ce ne soit pas le contenu du chapitre agricole de la négociation qui constitue vraiment un problème, mais bien celui relatif à l'énergie et aux questions monétaires et financières. Il reste à savoir si les sommets qui se tiendront prochainement en dehors des Nations Unies, au Canada et au Mexique, feront débloquer le processus de la négociation.

Si cette dernière prend corps, le Conseil souhaitera sans doute soutenir l'initiative du Directeur général en vue d'offrir les services, l'expérience et la compétence techniques de la FAO pour les différentes discussions relatives à l'agriculture et à l'alimentation.

Monsieur le Président, j'en viens maintenant à un sujet que les Comités des finances et du programme ont étudié à leur récente session d'avril/mai. Je me réfère à l'examen d'ensemble des orientations, des activités opérationnelles pour le développement.

Les paragraphes 14 à 18 de notre document se rapportent à la résolution 35/81 de l'Assemblée générale qui nous a été transmise par les Nations Unies et apparaît à l'Annexe A. J'attire votre attention en particulier sur les paragraphes 7, 8, 9 et 11 de cette résolution.

Le paragraphe 7 invite à mobiliser des ressources additionnelles pour le développement, ce qui est parfaitement conforme aux efforts du Directeur général pour attirer des fonds extra-budgétaires, notamment en faveur des programmes d'action spéciaux. Le Conseil souhaitera peut-être noter que c'est l'intention du Directeur général de continuer cette pratique dans l'avenir.

Les paragraphes 8 et 9 appellent à accroître l'efficacité et à réduire les coûts.

Le Conseil notera au paragraphe 16 de notre document les mesures que le Directeur général a déjà prises dans ce sens. Il notera aussi l'appréciation exprimée par les Comités du programme et des finances sur les efforts incessants déployés à cet égard par le Directeur général. Peut-être voudra-t-il rappeler qu'à sa précédente session le Conseil avait déjà souligné la responsabilité et la compétence exclusives des organes directeurs de la FAO de juger du bon déroulement et de la gestion de la totalité des activités de l'Organisation, qu'il existe par ailleurs déjà des dispositifs perfectionnés de coordination ainsi que d'importantes informations disponibles sur les activités de la FAO pouvant satisfaire les besoins en matière d'information et de rapport.

Le paragraphe 11 traite de la cohérence et de 1'intégration efficace à l'échelon national des actions entreprises conformément aux objectifs et priorités des gouvernements intéressés. Ici encore, le Directeur général estime qu'il a fait tous les efforts possibles pour s'assurer que l'action de la FAO coîncide avec les objectifs et priorités des gouvernements qui sont eux-mêmes les responsables de la coordination au niveau national. Le Conseil souhaitera peut-être donner au Directeur général les orientations nécessaires pour lui permettre de lui faire connaître sa position aux Nations Unies sur cette résolution.

Monsieur le Président, en ce qui concerne les aspects interorganisations du développement rural, je me bornerai à signaler les paragraphes 12 à 16 du document soumis à votre attention, décrivant les orientations et le programme de travail que l'équipe du CAC sur le développement rural entend poursuivre à la suite de l'évaluation d'ensemble des activités qu'elle a entreprises récemment. Ce rapport d'évaluation a fait l'objet d'un examen par le Comité consultatif pour les questions de fonds qui en a endossé les propositions.

Le Comité pour le programme et la coordination des Nations Unies à sa session de mai 1981 s'est éga-lement penché sur cet aspect interorganisations et a recommandé qu'une nouvelle évaluation des progrès accomplis par l'équipe d'étude soit présentée à l'ECOSOC à travers lui en 1984.

Me référant à la question des urgences, je voudrais vous faire part d'une décision de grande impor-tance prise en avril dernier par le CAC pour renforcer la capacité du système des Nations Unies de faire face à des situations d'urgence exceptionnelles. Je précise qu'il s'agit ici de situations d'urgence exceptionnelles comme celle du Kampuchea. Pour les autres, en effet, le CAC a estimé unanimement que les procédures existantes étaient adéquates et que les organisations directement concernées étaient facilement identifiables. Celles-ci d'ailleurs ont en règle générale agi efficacement, conformément à leur mandat, et ont collaboré fructueusement entre elles. Il arrive cependant que des situations excep-tionnelles d'une grande ampleur et d'une grande complexité exigent que des arrangements spéciaux soient pris pour assurer la nécessaire coopération. C'est de ces cas seulement qu'il s'agit dans ladite décision du CAC.

Les dispositions arrêtées par celui-ci stipulent qu'en cas de besoin des consultations auront lieu à l'initiative du Secrétaire général des Nations Unies ou d'un chef d'agence pour déterminer s'il y a ou non situation exceptionnelle appelant des arrangements particuliers. Lorsqu'une situation d'exception aura été ainsi reconnue, le Secrétaire général désignera, après consultation des organisations concernées, une entité pilote. Celle-ci pourra être soit une organisation, soit un représentant spécial désigné à cette fin. Le CAC a chargé le Comité consultatif pour les questions de fond (opération) de déterminer le rôle et le mandat de cette entité pilote. Le CAC a toutefois beaucoup insisté sur le fait que des ressources adéquates étaient la condition première pour le système des Nations Unies pour répondre efficacement aux situations d'urgence exceptionnelles. Ce n'est bien souvent pas le cas maintenant dans la réalité des choses. Des appels aux donateurs pourront être lancés.

Je terminerai sur ce point en rappelant que 1 ' ECOSOC, dans sa session d'été, discutera également de la question des urgences sur la base notamment d'un rapport spécial qu'il a requis du Secrétaire général des Nations Unies.

En venant maintenant aux paragraphes 33 à 36 de notre document, je voudrais dire que la Conférence internationale sur l'assistance des réfugiés en Afrique tenue à Genève les 9 et 10 avril dernier, a donné des résultats positifs. Les contributions annoncées totalisent 560 millions de dollars. On peut ainsi espérer, qu'au moins dans l'immédiat, les besoins les plus urgents pourront être satisfaits, et qu'une base solide aura été jetée pour couvrir les nécessités à plus long terme, car, comme l'a souligné le groupe africain, cette Conférence n'est pas une fin en soi, mais bien le départ d'une entreprise de plus longue haleine pour trouver des solutions durables au problème des réfugiés. Des incertitudes demeurent cependant car la grande masse des donations n'a pas été allouée spécifiquement par la Conférence pour telle ou telle action ou attribuée à telle ou telle organisation. Le choix et la préparation des projets est aussi de grande importance. A ce stade, les arrangements pratiques sont toujours en voie d'élaboration, et tout développement sera communiqué au Conseil ou à la Conférence en novembre prochain.

Quoi qu'il en soit, et le Directeur général l'a indiqué il y a quelques semaines à peine au Comité des politiques et programmes d'aide alimentaire, la FAO et le PAM sont disposés à jouer le role qui leur revient dans cet effort collectif, le PAM étant le mieux placé pour assurer un acheminement rapide et contrôlé dans l'aide alimentaire. Pour les actions à plus long terme qui visent à la réintégration des réfugiés dans les pays d'origine, ou leur insertion définitive dans les pays d'accueil, la FAO a déjà des programmes en cours et d'autres pourraient être débutés de suite si les ressources nécessaires lui étaient allouées.

Monsieur le Président, dans le domaine de la science et de la technique, aux paragraphes 28 à 32 du document, je souhaiterais souligner que le Comité intergouvernemental de la science et de la technique lors de sa troisième session à New York du 26 mai au 5 juin a adopté une recommandation approuvant un plan d'opérations pour la mise en oeuvre d'un programme d'action adopté par la Conférence de Vienne sur la science et la technique au service du développement. Cette résolution, disponible sur demande, qualifie le plan d'opérations de cadre de référence pour les actions futures. Les paragraphes 2 à 9 sur lesquels j'attire votre attention revêtent une signification toute particulière pour la FAO.

Le paragraphe 2/A confirme le concept d'agence pilote à désigner en fonction des actions à entreprendre. Cette mesure nous paraît entériner le point de vue de la FAO sur la nécessité de renforcer avant tout les activités sectorielles des organisations du système des Nations Unies.

Le paragraphe 9 se réfère aux ressources, question cruciale en effet puisque les ressources actuelles du Fonds intérimaire atteignent à peine, comme vous le savez, le sixième de l'objectif de 250 millions de dollars fixé à la Conférence de Vienne. Sans un accroissement substantiel des ressources, on voit mal comment le plan d'opération pourra être pleinement mis en oeuvre. Pour sa part, la FAO s'est engagée depuis sa création, et de par son mandat, d'aider aux opérations visant au transfert de la science et de la technique. Elle a soumis de nombreux projets à l'examen du Fonds intérimaire et elle est prête à les mettre en oeuvre dans la mesure où des moyens lui seront donnés.

Monsieur le Président, parmi les récents événements non mentionnés dans le document qui vous est soumis, je voudrais me limiter à signaler la septième session du Conseil mondial de l'alimentation tenue à Novi Sad, en Yougoslavie, du 25 au 29 mai dernier. Vous avez eu l'occasion d'entendre un message du Président du Conseil mondial de l'alimentation à cet égard. Cette session a été l'occasion d'un échange de vues sur l'ensemble de la situation mondiale et sur les mesures politiques à prendre. Elle a appelé une modification des ressources en faveur du développement agricole. Le Conseil a réitéré son appui aux mesures entreprises par divers pays pour mettre en oeuvre une stratégie de développement rural. Il a été souligné de même le besoin d'accroître l'autonomie collective des pays en développement. Une libéralisa-tion aussi poussée que possible du commerce a été possible en faveur des pays en voie de développement. D'autre part, le Conseil a accordé une importance considérable à la sécurité alimentaire mondiale. Il a exhorté la communauté internationale à conclure dès que possible un nouvel accord international sur le blé et à renouveler la Convention de l'aide alimentaire pour une plus longue période au niveau minimum de 10 millions de tonnes. Il a également appelé les pays donateurs traditionnels et potentiels à un effort accru pour les objectifs de contribution et que la recherche alimentaire internationale puisse compter de manière ferme sur les engagements d'au moins 500 000 tonnes. Enfin, le Conseil a appuyé les travaux en cours au Comité des politiques et programmes d'aide alimentaire ainsi que tous les problèmes de la FAO relatifs à la production et à la sécurité alimentaire.

Pour terminer, je voudrais rappeler l'imminence des deux questions majeures auxquelles la FAO attache une très grande importance et à la préparation desquelles elle est intimement mêlée. Le document qui vous est soumis en fait d'ailleurs brièvement le point à. cet égard. Je me réfère à la Conférence des Nations Unies sur les sources d'énergie nouvelles et renouvelables qui se tiendra à Nairobi en août et à la Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés, à Paris, en septembre. Le Directeur général souhaitera sans doute en faire rapport durant notre prochain Conseil ou durant la Conférence. Je me limiterai à souligner l'excellence des relations de travail que la FAO entretient avec les secrétariats respectifs en vue de la préparation de ces conférences. Je me tiens à la disposition du Conseil pour toute information additionnelle.

CHAIRMAN: Thank you very much, Mr. Régnier. You are very welcome to your new post, and I have no doubt that you will cooperate with the Council Programme and Finance Committees in the discharge of your duties, as your predecessor did so well.

Now, both the Programme and Finance Committee considered certain aspects of this subject, especially General Assembly Resolution 35/81 on the comprehensive policy review of operational activities for development, and I will call first on the Chairman of the Programme Committee to say a few words on the views or comments of his Committee on this subject.

M. TRKULJA (Chairman of the Programme Committee): I will speak very briefly indeed, since on the order of the day, reference was made only to document CL 79/15. I wanted merely to remind Council of our views on the matter of Resolution 35/81. On Resolution 35/01, we studied only this aspect of document CL 79/15; it is pages 24 and 25 of the English text, paragraphs 2.207 to 2.210. We of course studied this very carefully. We first of all realized that certain paragraphs of the operational part of the Resolution were of direct relevance to FAO and we studied three sets of the interrelated editions.

First of all, one dealt with resources for the General Assembly for the increased resources for the development in the system. As the Resolution says, it is an increasingly predictable, continuous, and assured basis. Naturally the Programme Committee considered that the conclusions were fully in line with the views of the last Session, as well as previously, and in fact in full accordance, of course, with the views expressed by the Council on various occasions - especially with regard to FAO field activities. In that context we underscore resource bases for special investigation.

The second issue is related to economies in relation to support costs in field activities, and the Committee noted the concern of the General Assembly and fully shared their concern.

We also share the Council's views of the opinion expressed in the conclusions of the Committee, and ask the Director-General to take any measure necessary to increase economies in this respect. The Council was also satisfied with the continued efforts of the Director-General in this direction.

Finally, the third set of issues relate to the problem of reporting, and cooperation in general, and the Committee simply agrees with the views of the Council at its last session as shown in Paragraphs 89, 94, and 189. Of course, the Committee felt that the Director-General should positively postpone calling the General Assembly, having in mind the basic views expressed by the Committee itself and by the Council at its last Session.

M. BEL HADJ AMOR (President du Comité financier): Je serai très bref, surtout que d'après le calendrier présenté je vais infliger au Conseil ma présence pendant toute la journée. Je n'ai pas de commentaires à ajouter à ce qui vient d'être dit. Je me limite à attirer l'attention du Conseil sur les paragraphes 3.115 à 3.120 du Rapport du Comité financier, reflétant les opinions du Comité. A cet régard, je voudrais rappeler simplement que la nature de cette question a toujours présenté un vif intérêt pour le Comité.

Je tiens à confirmer les conclusions du Comité contenues dans son 46ème Rapport (septembre 1980) et dont l'esprit est illustré au paragraphe 3.117.

En guise de conclusion, je voudrais insister sur le fait que le Comité se préoccupe chaque fois que l'Organisation se trouve contrainte, par certains événements extérieurs, à fournir des travaux supplémentaires non prioritaires ou essentiels qui engendrent des dépenses imprévues et non nécessaires.

CHAIRMAN: Thank you, Chairman of the Finance Committee. Now the subject is open for discussion.

G. BULA HOYOS (Colombia): Fue muy útil la presentación hecha por nuestro buen amigo André Regnier, quien después de haber compartido con nosotros su condición de activo y competente delegado de Bélgica, ha pasado ahora a la Secretaría y ha sido llamado a ocupar esa alta posición que bien merece.

Al intervenir sobre este tema eminentemente político, experimentamos cierto desaliento por tener que constatar una vez más y reiterar nuestra preocupación por la difícil situación que existe en la Comunidad Internacional. Las Resoluciones de la Asamblea General que aparecen como Apéndice del documento 15 demuestran que, cito: "las contribuciones financieras para el desarrollo no han aumentado sustancial-mente ni han alcanzado los objetivos establecidos por los órganos competentes".

Indican esas Resoluciones que los aportes de los países desarrollados no guardan relación con su capaci-dad y se les pide a esos países que aumenten sustancial y realmente la corriente de recursos. Esta reacción de las Naciones Unidas es apenas natural ante el hecho evidente de que los países desarrollados siguen entreteniendo a los países en desarrollo con metas y objetivos que nunca se alcanzan por absoluta carencia de voluntad política.

La delegación de Colombia opina que esto debe constar en nuestro Informe. La eliminación del hambre y la malnutrición para fines del presente siglo es una de las consignas de la última estrategia aprobada a fines del año pasado por la Asamblea General de las Naciones Unidas; estrategia en la que nuevamente se consigna la misma meta del 4 por ciento para el crecimiento en la producción agrícola en los países en desarrollo. Además, ahora se nos está ilusionando con las llamadas negociaciones globales. Nosotros consideramos demasiado hipotético el acuerdo sobre las negociaciones globales. Si la experiencia nos demuestra que no hemos logrado acuerdo en campos específicos, ¿como vamos a esperar ahora que a través de esas negociaciones globales se pretenda regular el comportamiento de todos los factores que integran la economía de más de 150 países del mundo?

Este pesimismo está demostrado en el documento 15 y en los hechos conocidos. El mismo señor Regnier se refirió con cierta timidez al estancamiento de esas negociaciones globales. La última Asamblea General ni su prolongación pudieron resolver las dificultades existentes para iniciar las negociaciones globales sobre la cooperación económica internacional para el desarrollo.

Ni siquiera se ha acordado el Programa de las Negociaciones Globales ni los procedimientos a seguir. Este Consejo, en opinión de nuestra delegación debe consignar en nuestro informe esa preocupación porque afecta notoriamente el campo agrícola que está en relación directa con los trabajos de la FAO. De todos modos estamos en el juego y habrá que seguirlo. Por tanto, este Consejo debe apoyar los esfuerzos del Director General de la FAO para que en el Programa definitivo de las Negociaciones Globales, si algún día se llega a acordar este Programa, se mantenga como ya aparece en el Programa Provisional, el capítulo sobre la alimentación y la agricultura con referencias especiales al aumento de la producción y a la seguridad alimentaria.

Pensamos que el Director General de la FAO debe seguir ofreciendo todo el material y la cooperación indispensable para que la agricultura y la alimentación ocupen el lugar destacado que les corresponde dentro de esas negociaciones globales. Pensamos también que este Consejo debe acoger favorablemente el llamado que se ha hecho a los órganos rectores de las Agencias, en el sentido de hacer sugerencias para tratar de obtener mayores recursos para las actividades operacionales para el desarrollo, en forma cada vez más previsible, permanente y segura, según dice el texto de la Resolución que aparece como Anexo del documento 15.

Por lo tanto, pedimos que este Consejo respalde los esfuerzos del Director General en ese sentido y le pida que intensifique sus propósitos. Al mismo tiempo, en nuestro Informe debemos instar a los países desarrollados a que, particularmente en el campo de la FAO, ofrezcan cada vez mayores recursos para el Programa Ordinario de esta Organización, para los fondos fiduciarios, para los Programas Especiales de Acción y para toda actividad que sobre bases continuas y seguras permita a la FAO planificar acciones en favor de los países en desarrollo.

En los párrafos 16 y 17 del documento 15, se contienen algunas referencias sobre prácticas que se están llevando a cabo en el seno de la FAO. A nosotros nos complace que eso tenga lugar en nuestra Organización. Una observación marginal; tal vez conviene que en el futuro se trate de redactar esos hechos en forma un poco más sobria, para evitar que como en el párrafo 16, se dé la impresión de incurrir en comparaciones, ya que generalmente, las comparaciones suelen suscitar reacciones.

En general, la delegación de Colombia está de acuerdo con la forma como se describe en este documento la participación de la FAO en las diversas Conferencias de temas diversos, tal como lo explicó el señor Regnier.

Nos parece muy bien que en los aspectos especializados cubiertos por nuestra Organización, la FAO, ofrez-ca su colaboración en asuntos de interés común para la Comunidad Internacional. Esto confirma la orienta-ción amplia y acertada que se ha dado a la FAO en los últimos años, y que nosotros venimos compartiendo. Los problemas de la agricultura y de la alimentación no pueden tratarse aisladamente. Están relacionados y hay que reconocer esa relación con los demás factores que integran la economía mundial. Celebramos por ello, que el Director General hable siempre con decisión y firmeza contra el proteccionismo y señale la carga desproporcionada que los países desarrollados hacen recaer sobre los países en desarrollo.

Sobre el Anexo A, la Resolución de las Naciones Unidas acerca de políticas operacionales para el desarrollo, la delegación de Colombia considera que en nuestro informe debemos recomendar al Director Gene-ral que intensifique la práctica de confiar cada vez más a los Gobiernos y a las instituciones de los países en desarrollo, las responsabilidades de la ejecución de los proyectos para contribuir eficazmente a la capacitación del personal nacional.

El señor Régnier y también los presidentes de los Comités del Programa y de Finanzas hicieron referencia a la Resolución 35/81. La delegación de Colombia en principio apoya la última frase del párrafo 2.2.10 del Informe del Comité del Programa, documento CL 79/4, en el cual se dice con razón que: "sólo los órganos rectores de la FAO son responsables y competentes para juzgar la utilización y gestión de la tota-lidad de las actividades de la FAO".

Decimos en principio, porque sin embargo pensamos que la FAO debe actuar con cierta flexibilidad en esa materia. No creo que ni el Director General ni los órganos rectores, debamos encontrar en el contenido de esa Resolución algo que nos merezca un rechazo definitivo. Creo que podríamos actuar con flexibili-dad si la eficacia con que la FAO deba llevar a cabo su gestion, puede ser difundida en el seno de las Naciones Unidas, y puede contribuir a que esa misma gestion mejore en otros organismos. Está pues bien, naturalmente, y en esto estamos de acuerdo con el Comité del Programa de Finanzas, que en todo caso se debe preservar la soberanía de la FAO y su independencia, así como la labor esencial de nosotros como órganos rectores.

Finalmente, quiero expresar aquí la preocupación de la delegación de Colombia sobre un órgano y una agencia de las Naciones Unidas dentro de este tema que hace referencia a lo que está sucediendo en el contexto general de nuestra Organización madre; en primer lugar, queremos referirnos al Consejo Mundial de la Alimentación. Asistimos a la 7a sesión ministerial que tuvo lugar el mes pasado en Novi-Sad (Yugoslavia) y sentimos cierta frustración; pensamos que tal vez fue el peor de los períodos de sesiones que ha llevado a cabo hasta ahora el Consejo Alimentario Mundial, esperábamos que se pudieran obtener mejores resultados, sin embargo el desarrollo de esa 7 sesión estuvo afectada, a nuestro juicio, por dos hechos fundamentales. El primero, y a el se ha referido el Director General con más autoridad que yo, fue la actitud asumida por representantes de importantes países del mundo; actitud negativa, conservadora y hasta egoísta, podríamos decir, según la cual parece que se hubiera dicho: sálvese quien pueda, nosotros tenemos nuestras reservas y el país que las necesite que venga a pedírnoslas. Naturalmente son condicionamientos políticos y cada país debe establecer sus propias reservas: Como si nos estuvieran diciendo algo nuevo, y todos sabemos que es nuestro interés, que es nuestra intención constituir tales reservas; pero el hecho evidente es que nuestros recursos, nuestras condiciones no nos permiten todavía constituir esas reservas y, por lo tanto, necesitamos la asistencia de esas reservas que se nos vienen negando sistemáticamente.

También se dijo allí que no había que pensar en un nuevo Convenio sobre el Comercio del Trigo, lo cual ya anticipa desde ahora el resultado que va a lograrse la semana próxima en la reunión del Consejo Internacional del Trigo en Madrid.

El segundo factor que en nuestra opinión afectó las deliberaciones del CMA en Yugoslavia, fue la actitud terca e intransigente de la Secretaría del CMA que insiste en abstraerse a la acción de los gobiernos y en actuar con rueda suelta. Todo esto conduce a que se logre una preparación muy deficiente que afecta a la propia sesión ministerial. Cuatro o cinco días antes de la sesión ministerial, los representantes de los Gobiernos recibimos una mezcla híbrida, mezcla híbrida, repito, de un informe narrativo que prepara el Relator de unas conclusiones, entre comillas, que presenta el Presidente, cuyo texto ni siquiera conocemos, que debemos oírlo y aplaudirlo. Finalmente la opinión del Grupo de los 77, todo lo cual no tiene ninguna utilidad y por lo tanto no prestará servicio a la sesión ministerial.

Nosotros esperamos que el nuevo Presidente del CMA, a quien el Gobierno de Colombia reitera su apoyo y respeto, logre reencauzar la labor del CMA por senderos positivos para que algún día pueda demostrar que ese organismo en realidad es verdaderamente útil a la Comunidad Internacional.

El último punto se refiere al FIDA, al Fondo Internacional de Desarrollo Agrícola. El Director General en su Declaración introductoria se refirió en dos ocasiones al FIDA. El Comité del Programa en la Sección sobre Inversiones, también en el párrafo 2.27 de su informe, del documento CL 79/4, hace una breve referencia al problema de la reposición de los fondos del FIDA. Nosotros pensamos que está bien que eso se trate aquí en el seno de nuestra Organización, si bien el FIDA tiene su Junta Ejecutiva y su Consejo de Gobernadores en el cual presentaremos serias reservas sobre el FIDA en enero de 1982.

Creemos que los órganos rectores de la FAO por ser ésta la Organización dedicada a la agricultura y a la alimentación, tienen que preocuparse de esas Agencias de las Naciones Unidas, ya que además es el único organismo internacional de crédito dedicado exclusivamente a la agricultura. El FIDA y el CMA son hermanos gemelos, y nacieron ambos por recomendación de la Conferencia Mundial de 1974, y es natural que a nosotros nos preocupe lo que sucede en estos organismos.

La Delegación de Colombia expresa su preocupación por la actitud de los países donantes en el FIDA y también por la actividad débil y desencantadora del señor Abdelmushin Al-Sudeary, Presidente del FIDA. En la última reunión del Consejo de Gobernadores, cuando tratamos el problema de la reposición de los fondos, nos dio la impresión que el señor Abdelmushin se contentaba con que el FIDA dispusiera de recursos suficientes para pagar la burocracia, aunque no se lograsen los objetivos para el cual fue establecido ese importante organismo. En una fugaz lectura de la lista de oradores, me dio la impresión de que usted habló de las intervenciones de los observadores del FIDA, después no oí al observador de ese organismo, seguramente desapareció, ya que ellos viven allá en un corral de piedras aislados de los contactos con los representantes de los gobiernos. Quisiera pedirle a usted, señor Presidente, que si lo considera oportuno, en momento adecuado, se pidiera aquí si hay alguien del FIDA que explique a este

Consejo cómo va la reposición de fondos, y cuál ha sido la actitud de las categorías una y dos y qué está haciendo el Presidente del FIDA para lograr que una adecuada reposición de fondos salve el presti-gio y la función esencial de ese organismo.

CHAIRMAN: It was not the observer from IFAD who wanted to take the floor last time, it was the Observer from the International Federation of Agricultural Producers.

B. KOUESSEN (Cameroun) : Je voudrais avant tout remercier le secrétariat pour le document qu'il nous a pré-senté (CL 79/15) ainsi que de l'introduction qui en a été faite. Nous sommes ainsi mis au courant des derniers développements dans le cadre du système des Nations Unies. Ce serait trop long pour moi de chercher à répondre point par point ou à présenter des observations sur chacun des points relatés dans ce document, mais je dirai tout de même ma préoccupation de voir que les négociations globales entamées dans le système des Nations Unies restent continuellement bloquées. Ma délégation forme l'espoir que les prochains sommets, notamment ceux du Canada, du Mexique, de Paris ainsi que d'autres pourront sortir de cette impasse.

Ma délégation a noté également avec intérêt les paragraphes 14 à 18 du document qui se réfèrent aux activités opérationnelles et surtout aux points de vue qui ont été exprimés par le Comité du programme et le Comité des finances. Je fais ici référence aux paragraphes 207 à 210 de leur rapport ainsi qu'aux paragraphes 315 à 320 du même rapport. Je voudrais, sur ce point, me borner à appuyer ce qui est dit dans ce rapport.

Dans la déclaration d'introduction de M. Régnier, j'ai noté qu'on a traité ici du problème des réfugiés venant au Cameroun, qui est un des pays qui, actuellement, a à souffrir de la présence des réfugiés sur son territoire. Ma délégation ne pourrait que souhaiter que les autres négociations actuellement entamées connaissent la réussite de la dernière conférence de Genève sur les réfugiés et que les différents pays qui participent à ces négociations fassent preuve de beaucoup plus d'initiative et de volonté politique d'aboutir aux aides que les pays les moins avancés sont en droit d'attendre d'eux.

Ma délégation espère que les ressources additionnelles promises lors de cette conférence arriveront rapidement pour permettre à ces pays de sortir des difficultés dans lesquelles ils sont actuellement empêtrés.

La Conférence sur les pays les moins avancés qui se tiendra à Paris est également l'une des conférences dont nous attendons beaucoup de résultats; ces pays les moins avancés étant pour la plupart presque en totalité africains, nous comprenons qu'il soit actuellement nécessaire que, sur le plan international, en même temps qu'on parle de problèmes généraux de développement, on se préoccupe beaucoup plus des pays les moins avancés qui, actuellement, sont ceux qui, loin d'être sur la voie du développement, sont bien plus engagés dans la voie d'un sous-développement beaucoup plus prononcé, à moins que l'aide internationale ne leur permette de se remettre au moins au point zéro pour commencer une marche ascendante.

En ce qui concerne, dans le document 79/15, les relations interorganisations, ma délégation a noté avec satisfaction que, dans les problèmes du développement rural qui sont assurément beaucoup plus vastes que les problèmes simples de l'agriculture, la FAO a continué à être maintenue comme chef de file des différentes organisations du système des Nations Unies qui interviennent dans ce problème: FAO, OIT, ONU, PNUD, Banque mondiale, FIDA et peut-être d'autres encore qui n'ont pas été citées ici. Le rôle de chef de file pour les problèmes de développement rural reconnu à la FAO est une décision judicieuse dans la mesure où notre organisation est à coup sûr la plus expérimentée, la plus compétente, je dirai peut-être même la plus dévouée dans les problèmes qui concernent le développement du monde rural en général.

Ce rôle de chef de file, également, est de nature à éviter que des organisations interviennent sur le terrain en ordre dispersé parallèlement et parfois même contradictoirement. Donc, nous faisons confiance ici au Directeur général pour que notre Organisation continue à être le leader dans tout ce qui concerne les problèmes de développement rural dans le monde.

Pour terminer, je voudrais me féliciter de l'initiative prise par notre Directeur général d'avoir adressé un message spécial au Secrétariat des Nations Unies sur les problèmes de l'apartheid; bien que cela ne constitue pas un domaine concernant très directement notre Organisation, nous pensons qu'actuel-lement tout ce qui, dans le monde, concerne ces problèmes - que ce soit la colonisation qui ne finit pas entièrement, surtout en Afrique, ou les problèmes de l'apartheid qui sont autant de questions bien sûr politiques - empêche les peuples d'être pleinement responsables de leur devenir et de s'organiser pour se développer. Je pourrais même dire que les questions de colonisation et d'apartheid sont des préliminaires aux problèmes du développement. Sur ce point, ma délégation se félicite que notre Directeur général ne se soit pas tenu en reste et, de concert avec toutes les bonnes volontés du monde, ait pris contact avec le Secrétariat des Nations Unies pour qu'il traite de ces problèmes en vue de leur élimination totale dans le monde.

R. MEIRA-FERREIRA (Portugal): En analysant le document CL 79/15 qui se réfère aux faits nouveaux survenus dans le système des Nations Unies et qui intéressent la FAO, ma délégation se doit de sou-ligner 1'importance de l'approbation par la trente-cinquième Assemblée générale des Nations Unies de la résolution 35/56 qui a proclamé la troisième décade du développement des Nations Unies et a adopté la Stratégie internationale du développement pour cette décade.

Ayant comme objectifs prédominants l'eradication de la faim et de la malnutrition jusqu'à la fin de ce siècle, en comprenant l'autosuffisance et la sécurité alimentaires, la Stratégie internationale prévoit que la production agricole dans les pays en développement puisse présenter un taux de croissance de 4 pour cent.

Etant donné que de tels objectifs nous semblent, au moins dans le moment présent, très difficiles à atteindre en face de l'atmosphère de crise qui sévit pour tout le monde et que le Directeur général a bien signalée dans son discours d'ouverture, ma délégation pense qu'il sera indispensable, comme elle l'a déjà déclaré dans sa première intervention devant ce Conseil, tant pour les pays développés que pour les pays en développement, donateurs ou récepteurs d'aide alimentaire, que s'accroisse et se perfectionne avec un sens prioritaire l'aide technique afin de permettre aux pays en développement de profiter de leurs propres ressources naturelles et de les développer de façon à se libérer de la dépendance à laquelle ils se trouvent actuellement soumis et à atteindre 1'autosuffisance et la sécurité alimentaires.

On peut dire que l'opinion que nous avons avancée fait preuve d'un certain pessimisme envers les hommes et les institutions, mais ceci est dû aussi aux difficultés déjà signalées ici par la trente-cinquième Assemblée générale de l'ONU, afin d'arriver à un accord au sujet de négociations mondiales sur la coopération économique internationale pour le développement, quoique le chapitre du projet de négociation concernant l'alimentation et l'agriculture, notamment la production et la sécurité alimentaires, semble ne pas soulever de grandes difficultés.

De toute façon - et c'est vraiment très préoccupant - on a donc besoin de faire un grand effort pour surmonter ces difficultés et cet effort, à notre avis, dépend surtout de la responsabilité des pays en développement bien qu'on doive accepter comme valable que ces pays cherchent des solutions justes et équilibrées.

Nous aimerions faire aussi quelques commentaires sur les paragraphes du document qui concerne l'examen d'ensemble des orientations des activités opérationnelles pour le développement, étant donné l'impor-tance de la résolution 35/81 de la trente-cinquième Assemblée générale des Nations Unies, notamment des paragraphes opératifs 7 à 11.

Ces paragraphes font appel aux différents organismes du système des Nations Unies pour examiner et créer de nouveaux moyens concrets de mobiliser des ressources accrues et invitent ces organismes à faire des recommandations concrètes dans le sens d'une réduction des dépenses d'administration et d'autres dépenses d'appui d'une amélioration des modalités d'exécution des programmes et des projets qui devraient être donnés dans une mesure croissante aux pays bénéficiaires.

Quoique conscients de l'indépendance qui dans ce domaine appartient à la FAO, et des mesures d'épargne faites par le Directeur général dans l'esprit de la résolution, nous sommes conduits à observer qu'une telle indépendance doit être vue dans le cadre plus ample du système des Nations Unies dans lequel la FAO est insérée et qui fait que tous ses organismes sont de plus en plus interdépendants si on veut atteindre le point optimal dans la coordination de leurs activités. Nous pensons qu'à cet égard, il faut une certaine flexibilité comme cela a été dit il y a quelques instants.

Nous ne voudrions pas terminer cette brève intervention sans mentionner l'importance que revêt ou peuvent revêtir dans le domaine spécifique de la FAO les décisions des différentes conférences mondiales. Parmi ces résolutions, au-delà de celles qui s'occupent des questions primordiales pour l'Afrique, continent auquel nous sommes si étroitement liés, nous voudrions signaler que nous attendons avec intérêt les résultats de la Conférence des Nations Unies sur les sources d'énergie renouvelables, puisque de ces conclusions on pourra obtenir des informations importantes pour la constitution et la programmation du nouveau réseau coopératif européen pour les sources renouvelables d'énergie comme cela a été suggéré dans la décision de la Conférence régionale pour l'Europe et qui doit être mise en route dans un très bref délai.

A. RENAUD (Canada): Je voudrais seulement ajouter quelques mots à notre débat assez tranquille avant qu'on ne commence à s'endormir, en nous référant toujours au document CL 79/15 que l'ai lu dans les deux langues avec un très grand intérêt. J'avoue que l'édition anglaise est beaucoup plus facile à lire, à cause de sa disposition typographique. Je souhaite que de temps on temps on se serve égale-ment de ce caractère gras pour d'autres documents; cela facilite la lecture.

Tout d'abord, je voudrais répéter ici le rôle joué par le gouvernement du Canada. Nous avons apporté notre appui aux négociations globales et notre Ambassadeur auprès des Nations Unies a joué un rôle également avec le Groupe des amis du Président.

Puisqu'on a mentionné le sommet qui doit avoir lieu, je voudrais souligner que notre Premier Ministre, nonobstant ses problèmes constitutionnels, accorde énormément d'importance à cette série de sommets, dont le premier se tiendra à Ottawa, dans le but d'acheminer plus de volonté politique pour éventuelle-ment aboutir aux négociations globales. Nous souhaitons tous que ces sommets soient vraiment positifs.

La résolution 35/81 de l'Assemblée générale des Nations Unies nous tient beaucoup à coeur car elle souligne une situation critique, comme l'a dit notre honorable et éloquent collègue de Colombie.

Nous sommes heureux de lire dans le document CL 79/15 que bien avant cette résolution, le Secrétariat, sous l'impulsion du Directeur général, avait déjà trouvé le moyen d'augmenter les ressources et de faire des économies. Il se peut que nous ne soyons pas toujours en mesure d'appuyer certaines de ses initiatives, mais d'une manière générale cela est certainement dans la ligne de la résolution.

Pour ce qui est maintenant de la coordination et de l'intégration des activités sectorielles, c'est un problème qui évidemment ne sera pas résolu demain. Par ailleurs, étant donné la pénurie de fonds dont disposent les organisations et les pays tant développés qu'en développement, vous vous rendez compte que nous empruntons à coups de milliards pour financer nos opérations et nous devrions peut-être couper nous aussi, mais enfin.

La coordination et l'intégration sont certainement requises. Il est intéressant de voir dans la première page du document que l'on parle de meilleure cohérence et d'une intégration efficace, conformément aux objectifs et priorités des gouvernements. Il reste quand même que les différentes organi-sations des Nations Unies, tout en prenant leurs directives de leurs conférences générales respectives, doivent quand même s'entendre entre elles et nous tous, qui faisons partie respectivement de bureaucraties différentes, savons que ce n'est pas toujours facile.

Nous sommes donc heureux que l'administrateur du PNUD et le Directeur général aient signé une lettre conjointe demandant à leur personnel à l'extérieur de travailler ensemble en soulignant les avantages de cette collaboration. Nous espérons que cette lettre a eu des effets certains car au Canada nous continuons à supporter le PNUD comme l'agence centrale et à reconnaître le rôle de coordination, au moins administrative, des représentants du PNUD et des agents officiels nouvellement nommés avec un nouveau titre, les coordinateurs nationaux.

Enfin, ce n'est pas sans intérêt que j'ai lu le paragraphe 18 qui se réfère aux difficultés de la coordination. Il est certain que dans l'optique des économies que le Directeur général est en train d'opérer depuis plusieurs mois, sinon des années, la redistribution des ressources est plus importante que de nouveaux exercices compliqués et improductifs de coordination. Nous le comprenons très bien, mais il reste quand même, comme nous en sommes convenus à la 78ème réunion, qu'il faut trouver des moyens de collaboration possible à meilleur marché. Il faut voir de quelle manière les dépenses rapportent.

Le développement que nous a rapporté M. Régnier sur le succès de la Conférence internationale sur l'appui aux réfugiés d'Afrique nous réjouit grandement, et nous espérons, comme l'a dit M. Régnier, que ce n'est qu'un commencement et que, sous l'initiative de l'Organisation pour l'Unité africaine, une solution va être trouvée à long terme pour ce problème des réfugiés. Nous sommes également très heureux du succès de l'opération Kampuchea. Si nous obtenons, dans la communauté internationale, des succès de ce genre, nous pourrons vivre de façon plus confortable.

Dans la même ligne, le Canada attend beaucoup de la Conférence qui se tiendra à Paris sur l'assistance aux pays les plus dépourvus. Nous y travaillons de notre mieux et nous espérons que les problèmes logistiques et autres seront résolus bientôt. Les problèmes politiques devront disparaître en face de la réalité qu'il s'agit d'améliorer.

Sra. Doña M. IVANKOVICH DE AROSEMENA (Panamá): Nuestra delegación desea referirse al documento CL 79/15 titulado "Acontecimientos recientes en el sistema de las Naciones Unidas de interés para la FAO".

Subrayamos con complacencia lo expuesto en el párrafo 16 en el sentido de que la FAO, dentro de las distintas organizaciones del sistema de las Naciones Unidas, mantiene en forma excepcional un sistema de estimación de gastos que se ha demostrado registra el porcentaje más bajo de gastos de apoyo entre los organismos de ejecución comprobable. Por lo tanto, apoyamos lo expuesto en el párrafo 18, en el sentido de la fundamentalidad que tiene la utilización de recursos para el desarrollo más que en actividades de coordinación.

Igual importancia le concedemos a lo señalado en los párrafos 24 y 25 sobre medidas conjuntas que tienen que ver con el desarrollo rural, y muy en especial lo previsto en la segunda frase del párrafo 25 sobre la colaboración de los nuevos Centros Regionales de Desarrollo Rural.

En torno al contenido de los párrafos 37 al 42 del documento CL 79/15 que se relaciona con los preparativos para la Conferencia de las Naciones Unidas sobre fuentes de energía nuevas y renovables a efectuar en Nairobi del 10 al 25 de agosto del presente año, expresamos nuestra total identificación con lo que a este respecto ha adelantado la FAO. Esto lo hacemos en base ya no a la preocupación, sino a los esfuerzos que vienen adelantando nuestros países en vías de desarrollo, entre éstos, el nuestro, Panamá, el cual se viene preparando para esta actividad.

Ahora, señor Presidente, deseo referirme a la Resolución 35/81 que llama la atención de los organismos especializados y a sus dirigentes para que tomen varias medidas. Me complace que la FAO esté haciendo todo lo que está a su alcance para llevar a cabo las varias directrices que se señalan en la Resolución. En consecuencia, mi delegación apoya las conclusiones de los Comités del Programa y en particular del Comité de Finanzas al discutir este asunto en su reciente reunión, y recomendaríamos que nuestro informe recoja las conclusiones hechas por los dos Comités.

R. SORENSON (United States of America): I would first of all like to thank Mr. Regnier for his excellent presentation, which we very much appreciated.

With respect to paragraphs 33 through 36 of the document that is before us, my Government was fully supportive of the General Assembly Resolution 35/42, which called for an international conference to mobilize assistance for refugees in Africa. My Government attended the April 1981 meeting in Geneva and we pledged $285 million in assistance over the next two-year period. We are specially grateful to FAO for the interest it has shown in this conference and specially for its efforts to assist African refugees. We think that the Director-General's efforts in this area have been most commendable; we thank him and hope that he will continue these efforts.

With respect to preparations for the United Nations Conference on the Least Developed Countries, paragraphs 43 through 47, again my Government is appreciative of the work that FAO has done in preparing for the conference. The United States Government recognises the importance of the agricultural sector in the development of least developed countries and we are anxious that FAO should provide continuing support which is so urgently necessary in this area.

With respect to paragraphs 48 through 53, Preparations for the Second United Nations Conference on the Exploration and Peaceful Uses of Outer Space, again the United States supports the purposes of the Conference on the Exploration and Peaceful Uses of Outer Space and we support the contributions being made to its preparation by FAO.

In concluding I would like to say that I agree completely with my colleague from Colombia when he said that arrogance has no place in our discussions. We feel that insolence has no place in these discussions either and personal attacks on individuals such as the distinguished President of IFAD have no place in deliberations among gentlemen. In our view the distinguished President of IFAD deserves our warm praise and commendation for doing an excellent job in difficult circumstances.

J. MONTAÑO (México): Solamente una muy breve mención a lo señalado en el documento CL 79/15 y muy estrechamente vinculado a lo mencionado por un distinguido delegado hace un momento.

La delegación de México tiene la impresión de que el juicio sobre los procedimientos y el funcionamiento del Consejo Mundial de la Alimentación han resultado demasiado severos. En rigor, creemos que la reunión de Novi Sad, en la cual estuvieron presentes poco más de 45 Ministros de Agricultura de todo el mundo, en donde se establecieron bases para un diálogo e intercambio de puntos de vista sumamente importantes, ya esto en sí constituye un avance, quizá no tan optimista como el que quisiéramos, pero de cualquier suerte es un avance importante para los trabajos que corresponde llevar a cabo al Consejo Mundial de la Alimentación.

No compartimos en esta ocasión con nuestro muy querido amigo el embajador de Colombia su desaliento por los resultados de la reunion. Nosotros creemos que el hecho mismo de la presencia de un numero tan elevado de distinguidos Ministros de Agricultura le da una dimension tan importante al contenido de los trabajos. Por otra parte, creemos que corresponde a los Estados Soberanos, y este no es el momento de discutir los documentos del CMA, corresponde, digo, a los Estados Soberanos, a nosotros, el hacer mayor énfasis y tener mayor participación también dentro de lo que es la elaboración de nuestros documentos.

En este sentido comparto la opinion del delegado que me precedió en el uso de la palabra en tanto que quizás convendría reconocer el trabajo que hacen otros órganos, y no exclusivamente personalizar el aportamiento de la crítica a otras personas; de tal suerte que mi delegación desearía que quedara tam-bién, como lo pidió el delegado de Colombia, inscrito en nuestro informe nuestras convicciones de que, independientemente de que nuestro Ministro de Agricultura sea el Presidente del Consejo, hay la absoluta profunda convicción de que se logró un avance y que estamos realmente en la pista correcta para un desarrollo más fructífero de los trabajos del Consejo Mundial de la Alimentación.

P.KANGA (Angola): C'est la première fois que ma délégation prend la parole en tant que membre du Conseil. Je profite de cette occasion pour présenter nos félicitations aux trois Vice-Présidents et à ceux qui nous ont élus. Nous félicitons aussi le Secrétariat pour la qualité des documents qui nous sont présentés.

Le document 79/15 rappelle la résolution no. 35 de l'Assemblée générale des Nations Unies qui a adopté un plan selon lequel elle appelle les Etats Membres à intensifier leurs efforts pour cesser toute collaboration politique, militaire et économique avec l'Afrique du Sud.

Comme pays de la ligne de front qui donne son appui total, nous croyons que certains pays, malgré cette résolution, continuent à intensifier leurs rapports avec un régime odieux de racisme. Le peuple nami-bien souffre de la haute pression militaire de l'Afrique du Sud et de la dilapidation systématique de ses richesses ainsi que des richesses fiscales, surtout de la part des multinationales de l'Occident capitaliste. Que l'on cesse avec cette exploitation et avec cette collaboration car l'Afrique du Sud raciste n'opprime pas seulement le peuple namibien mais essaie de déstabiliser tous les pays de la ligne de front tels que: le Mozambique, le Botswana, la Zambie, et l'Angola.

C'est aussi avec satisfaction que nous avons appris la déclaration de son Excellence M. François Mitterrand, Président de la République française,concernant son intention de réduire les relations avec l'abominable régime de l'Afrique du Sud. Nous espérons que d'autres pays suivront ce bel exemple. Nous sommes reconnaissants à la FAO pour l'aide précieuse qu'elle fournit au peuple de l'Angola qui souffre de l'apartheid. Nous adoptons le paragraphe du Rapport 3.117.

W. H. TARZI (United Nations): Mr. Chairman, I am a newcomer to Inter-Agency affairs, a field which is full of potential and challenge, but also has its share of problems and frustrations. However, when I look at recent developments I can be quite optimistic about the future as far as international coope-ration in this vast area of economic and social development is concerned. I have in mind a growing emphasis on an inter-disciplinary multi-sectorial approach on the restructuring of the United Nations economic and social sectors, the constant review and streamlining of the ACC machinery, and the two major conferences which will take place later this year to which Mr. Regnier has referred, the one in Paris on least developed countries and the one in Nairobi on renewable sources of energy.

Attending this distinguished forum and other fora it is fully recognized the importance of developing and establishing frameworks towards which the international community must move. The principles, the objectives, the new and bolder approaches, such as the New International Economic Order, they are essential, they have to be there.

But what perhaps might need a little more attention - - and this has come up more vividly in recent times - - is the need for implementation, the need for quick action. The Director-General mentioned the other day the magnitude of malnutrition. One billion, I believe, was mentioned. At a meeting of UNESCO some time ago the point was made that the magnitude of illiteracy by the end of this century would again reach the one billion mark. So as time goes by, the need for forceful action becomes more urgent.

I have read with great interest and with a great deal of gratification the excellent document on relations within the system and the very fine cooperation which exists between the United Nations and the FAO.

I might clarify the few points relating to operational activities in the relevant General Assembly Resolution. I am sure it is quite clear that it is in the nature of a request and that this could not be and is not an attempt in any way to impose something on the FAO or to diminish in any way the autho-rity, the independence and the responsibility of this Organisation. Also, as has been pointed out by other speakers, it is by means of inter-agency coordination, the established machinery, ACC, where FAO fully participates and makes a significant and valuable contribution.

I also would like to recall a very relevant and valid point made by a speaker a little while ago based on the experience and some of the exceptional steps which FAO has taken, such as the cost measurement system, the system as a whole very well can benefit. At the same time the Director-General's concern is understandable, that when you are making all these efforts to reduce costs and to be more efficient, unnecessary coordination does become a burden, that is of course understandable.

Finally, I would like to mention that these are difficult times that we face, the Direetor-General forcefully described the situation, but when I look at the activities, the very serious deliberations of this Council, and at the dynamic and dedicated leadership of Dr. Saouma, I feel gratified that that degree of idealism which is essential for a better future can be sustained.

CHAIRMAN: I will now call upon Mr. Regnier if there is anything he wants to add or respond to before we move on the next item.

A. REGNIER (Directeur, Bureau des Affaires interinstitutions) : Je voudrais très rapidement remercier tous les membres du Conseil qui ont bien voulu prendre la parole sur ce débat extrêmement intéressant et je suis persuadé que pour le Directeur général et pour les membres du Secrétariat ceci est extrêmement encourageant.

Je voudrais personnellement remercier au passage M. Bula Hoyos pour les aimables paroles qu'il a prononcées à mon égard. Je ne crois pas avoir entendu des questions spécifiques auxquelles j'aurais à répondre. Il m'a semblé au contraire qu'il y avait un consensus sur un très grand nombre de points. Je désirerais peut-être commenter deux points majeurs que je crois devoir retenir de ce débat.

Le premier est celui-ci : On a évoqué l'avis de plusieurs membres, et cela a été certainement l'avis général, sur la situation économique difficile dans laquelle nous nous trouvons et, par implication, la situation difficile dans laquelle le système des Nations Unies, se trouve également entraînée Je tiens à vous assurer que le Directeur général de la FAO suit cette question de très près et que lui-même a dit dans son discours d'ouverture au Conseil qu'il était extrêmement préoccupé par cette situation et il fait certainement de son mieux pour attirer toutes les ressources possibles dans le secteur agricole pour le développement des pays pauvres. Le Directeur général appréciera certainement l'expression de cette préoccupation que le Conseil a manifestée ce matin.

D'autre part, le Directeur général suit également avec une grande attention le développement, dans le cadre du système des Nations Unies, des grandes conférences qui viennent d'avoir lieu et, là également, la FAO participe à la préparation de ces conférences dans toute la mesure du possible. On a parlé de la conférence prévue en Afrique; on a également parlé de la conférence sur l'énergie, de la conférence sur les pays en voie de développement les plus pauvres, et également de la conférence sur l'espace. Certainement, le Directeur général est très conscient de l'importance de ces conférences et la FAO participe à leur préparation dans toute la mesure du possible. C'était le point que je voulais souligner. J'ai noté au passage l'intérêt d'un certain nombre de délégations pour la résolution 35/81 dont le document vous avait donné copie en Annexe A. Il m'a semblé également noter un grand intérêt sur l'expression du point de vue du Conseil selon lequel le Directeur général pourra donner un maximun d'efficacité aux ressources limitées dont il dispose. Je voulais remercier les membres du Conseil pour cette expression d'appréciation.

On a parlé également du besoin d'insister sur la coordination au niveau des pays en voie de développement et je crois que le Directeur général, à plusieurs reprises a dit et écrit combien il attachait une importance à ce point et je crois que cela aussi doit être souligné. Les ressources doivent également aller aux opérations d'urgence et dans une période de difficultés ou de contraintes budgétaires ceci est plus important que jamais. Je n'ai pas à revenir sur les autres questions mais je tenais à souligner ces deux points sans vouloir, Monsieur le Président, empiéter sur votre prérogative. Le Directeur général aurait, je crois, apprécié ces deux points soulignés par les membres du Conseil.

CHAIRMAN: This is a subject in which the FAO is involved with other agencies in the UN system and therefore the points which have been raised are not points which we can just decide or do it in our own way, but as mentioned by some delegates, we have to respect the other agencies and their governing bodies and their officials, and we will not reflect some of the things said by a delegate in our report which refers to other agencies in a way which should not be, because we would not like this Council or me, as the Chairman of the Council, to be referred to in not pleasant terms or in very bad ways, so that will not appear in our report. I do not think there is very much we can do about a lot of the things except back the Director-General, which is what you have done, so that he can speak for the FAO with our backing.

8. World Food Programme.
8. Programme alimentaire mondial
8. Programa Mundial de Alimentos

8.1 Sixth Annual Report of the Committee on Food Aid Policies and Programmes
8.1 Sixième rapport annual du Comité des politiques et programmes d'aide alimentaire
8.1 Sexto informe anual del Comité de Políticas y Programas de Ayuda Alimentaria

TRIBUTE TO G.N. VOGEL
HOMMAGE AM. G.N. VOGEL
HOMENAJE A G.N. VOGEL

CHAIRMAN: Before we go on to 9.2 of Item 9, the JIU Reports, I would like to call on Mr. Brito to introduce the Sixth Annual Report of the Committee on Food Aid Policies and Programmes of the WFP, which was mentioned to you yesterday by the Secretary-General, because Mr. Brito who is the Acting Executive Director, has to travel apparently, but before I call on Mr. Brito, I am sure that Members are aware or have heard that the former Executive Director, Mr. Vogel, died about a month ago. This is a great blow to the Organization and to the world community as a whole, because Mr. Vogel was a very dedicated international official who did not spare himself in responding to and going personally to disaster areas, to member countries in order to get food aid to those who needed it most.

Therefore, in honour of Mr. Vogel, I will ask you to observe one minute's silence.

One minute of silence
Une minute de silence
Un minuto de silencio

B. de A. BRITO (Executive Director ad interim, World Food Programme): As you just mentioned, Mr. Chairman, the World Food Programme suffered a great loss a few months ago. It was the death of Gerry Vogel which was a great loss for the World Food Programme, for all the countries which the World Food Programme attempts to assist. He was a man of great courage, of great virtues, a man who dedicated the last years of his life, of a very busy life, very productive life, to make human suffering a little less acute, making development a little more possible through the use of food aid. He believed in the Programme, he was a great leader of the Programme, he was a great help for all of us. We in the Programme very much miss him and I see that all of us miss him.

I very much regret that I shall not be able to be present here in the Council next Monday when the Council is going to discuss the items on the World Food Programme, particularly the policies and programmes. I have to attend the ACC Meeting in Geneva, and have no choice. I am therefore very grateful to you, Mr. Chairman, and the Council members, for the opportunity to speak to you today. Of course, my colleagues in the Programme will be here on Monday to answer any questions you might have on our report.

It gives me particular satisfaction to be here with you today to present to the Council the report of the Committee on Food Aid Policies and Programmes on the activities of WFP in 1980. As the report speaks for itself, I shall confine my remarks to certain broad policies and issues of particular interest to the Council. To bring these matters into proper prospective, it may be useful, nevertheless, to provide some information on the magnitude and coverage of the Programme's current activities.

In 1980, WFP delivered nearly 1.5 million tons of food commodities. This was a record level, of which about 1.3 million tons consisted of shipments from WFP's own resources, including contributions under the Food Aid Convention and International Emergency Food Reserves. The remaining 200,000 tons were delivered on behalf of bilateral donors as part of close working arrangements which in most cases cover not only transport services but also monitoring of projects or emergency arrangements by WFP staff in the field.

Virtually all of the increase in WFP shipments in recent years has gone to emergency operations which absorbed over 400,000 tons of foodstuffs in 1980. This is also a record level, reflecting in part the needs of the Kampuchean relief operation. Close to 30 percent of WFP assistance now goes to food relief operations, particularly to meeting the increasing requirements of refugees and displaced persons.

This is a very positive response of the international community to human suffering, but nonetheless it constitutes a drain on the resources which would otherwise be available, at least in part, to promote development. In fact, the Programme deliveries to development projects were maintained at an annual rate of about 900,000 tons over the last few years. This suggests that competition for scarce resources is now very real indeed.

Resource constraints are obvious. They affect the International Emergency Food Reserve, which has not yet in any single year reached the minimum target of 500,000 tons of grains set by the United Nations General Assembly in 1975. This Reserve should be strengthened and its resources placed on a guaranteed basis.

Supplies available to the Programme in support of development projects are subject to similar constraints. The pledging target for 1979/80 biennium was not met, and the prospects for the current biennium are not very encouraging. Only $740 million have been pledged so far, against a $1 billion target for 1981/82. The picture is somewhat more promising as regards additional resources channelled through the Programme under the Food Aid Convention. The FAO has been extended for two more years, with firm annual commitments of 7.6 million tons of food grains. But it is doubtful that additional contributions from this source will be sufficient to restore momentum to the Programme so that it can meet the rapidly growing needs for project food aid.

Project food aid of the type provided by the World Food Programme will have to increase 5-fold between now and 1985 if estimated requirements for that kind of aid by the middle of the decade are going to be met. Even now, WFP commitments to perfectly sound and urgently needed new development projects could easily be doubled if sufficient resources were available. Present constraints are compelling us to adopt cautious programming procedures, and in fact to discourage many project requests which would normally fall within the Programme's established priorities. It will be said, perhaps, that WFP finds itself in the same position as other development assistance agencies, which are now operating under severe resource constraints. But, Mr. Chairman, you will undoubtedly agree with me that such limitations are difficult to justify and to accept when they affect development activities in direct support of the poorest people in the low-income countries, as in the case of WFP.

The resources picture which I have just described has led the Programme to give even greater emphasis to priorities and selectivity. In line with the Guidelines and Criteria for Food Aid, which the Council endorsed two years ago, an increasing proportion of WFP resources is being channelled to the low-income, food-deficit developing countries. These countries have received 80 percent of new commitments to development projects in the past four years. This proportion is expected to increase further this year. The Programme is also trying to ensure the maximum possible development impact for its assistance within its present resource availabilities. In line with the priorities and strategies of recipient countries an increasing share of the Programme's resources is being directed to a broad category of projects in support of agricultural production and rural development.

The Programme's efforts to get more "mileage" from its resources and development activities have been translated into a number of initiatives which I feel deserve the attention, and which I am confident will also get the full support, of the Council. Wherever possible and appropriate, WFP combines external food aid resources with the local and regional food supplies. In some cases recipient countries add their own foodstuffs to the Programme's food basket. In others, limited food purchases are made by WFP, preferably within the same region. This has the double advantage of reducing operatio-nal costs and, at the same time, supporting agricultural production and food self-sufficiency within a given region. Such triangular transactions open interesting possibilities for regional programming of food aid.

Our efforts to use maize currently available in Zimbabwe in WFP-supported projects in Southern and Eastern Africa is a case in point. The advantages are considerable in terms of economy of operations, timely deliveries, adjustment of the food aid basket to local requirements and, equally important, support for regional cooperation and regional food security. Cash resources are needed, however, for such purposes, and one of our present concerns is to ensure that our limited and overstrained cash funds are always deployed in the most effective way.

Cash is an essential input for the streamlining of the Programme's operations in some of the most critical areas, particularly in Africa. Cash is needed to move food supplies through a costly transport network. Cash is also needed to purchase complementary foodstuffs when overseas supplies prove too difficult or too onerous to transport. Cash is finally needed to help some of the poorest countries to overcome critical bottlenecks in the internal system of food distribution and management. While WFP is a food aid programme, one should not forget that it is also a project-orientated, development assistance agency. The Programme's food deliveries must be seen as investment operations. The success of these operations will depend in large measure on correct project design and the right mix of resources - food commodities, financial resources and equipment, project management and technical assistance - as each particular case may require.

I have already mentioned the progressive concentration of the Programme's commitments on new develop-ment projects in the broad category of agricultural production and rural development. Within this category, a great variety of WFP-supported projects can be found. The Programme continuously strives to develop project models and designs better suited to the particular conditions of each country and region. In some cases, afforestation and soil conservation are urgently required. In others, resettler-ment of population and the opening of new lands to cultivation seems the best solution. In some countries, particularly in Africa, a monoculture pattern of production has to be rectified to ensure that food is available side by side with cash crops. In some cases, an increase in the milk supply is urgently needed to raise the animal protein intake of villages and towns and to raise employment and income in rural areas. Carefully planned security reserves and price stabilisation schemes supported by food aid can also become essential elements in the recipient countries' drive towards food self-sufficiency. Using their development and strategies and plans as a basic parameter, recipient countries are finding new ways of using projects food aid.

The search for new projects and new modalities of utilisation of food aid is probably most noticeable at this juncture in Africa, where many countries are facing rapidly rising food deficits. WFP has been endeavouring not only to increase its level of assistance to the area but also to carefully develop project designs and project procedures which can best fit the specific requirements of the various countries of the regions. Our policy in this case is to shift whenever possible from emergency aid to well conceived and well planned development projects which will add to food availabilities while at the same time promoting food production.

Nearly 60 percent of the new commitments to development projects approved by the CFA last month were for projects in African countries south of the Sahara. Thus, our programming efforts in that continent are beginning to bear fruit. This redeployment of the Programme's resources in favour of agricultural production and rural development is both an accomplishment and a challenge. We are only too well aware that even the best designed projects can be imperilled by logistical and management shortcomings. We are particularly conscious of the need for WFP-assisted projects to receive adequate technical and managerial support. We also share the concern of recipient countries to have their transport systems improved as an integral part of their food strategies. Our experience has shown that some of the most critical problems linked with food aid arise from inadequate food distribution systems. This is true in most of the developing world.

For these reasons, WFP is making additional efforts to dovetail its assistance with infrastructural development programmes financed by the World Bank and the regional banks in areas where transport and storage deficiencies are particularly acute.

The experience of the Programme in 1980 to which I have just referred indicates clearly that the opportunities for project food aid of the type provided by WFP are fast increasing. By contrast, our resource endowment is practically stagnant. As a result the allocation of resources among competing and often equally valid claims is becoming an almost possible task. While this is true, it is equally true that we are not living in easy times and that economic stringencies presently plague most of the countries of the world.

Having all this in mind, I have proposed a pledging target for the Programme of $ 1.2 billion for the biennium 1983/84. Taking into account expected price rises, the proposed target will in all probability barely permit deliveries to be maintained at their current level. The same realism that pre-vented me from proposing a higher figure also prevented me, therefore, from proposing a lower figure. A preliminary discussion on this subject was held last month at the 11th Session of the Committee on Food Aid Policies and Programmes. I very much hope that the CFA will reach agreement on my proposal when it meets again next October, so that I can bring their recommendation on this critical matter for your approval when the Council meets again in November.

This is a broad overview of the current status of the World Food Programme. I shall not dwell on figures and details since they can be found in the report now before you. To summarize, in a period of resource constraints we are emphasizing quality in the projects that receive WFP assistance. We are concentrating on the poorest of the poor; and we are aiming at the maximum impact on food production and rural development. I am confident that this approach coincides with the broad policy guidance of this Council. For this reason I am also confident that the Council shares my concern regarding the urgent need to provide the programme with the resources to fulfill the role assigned to project food aid in international development strategy for the Third United Nations Development Decade.

CHAIRMAN: Thank you very much, Mr. Brito, for the introduction of this subject. We are not going to discuss this item until we get to it in accordance with our adopted timetable, and therefore this is just to give an opportunity for the Acting Executive Director to introduce the item. This has been done and I again thank Mr. Brito on behalf of all of you and wish him a safe journey to Geneva.

9. Inter-Agency Relations and Consultations on questions of Common Interest, including (continued)
9. Relations et consultations interinstitutions sur les questions d'intérêt commun, notamment (suite)
9. Relaciones y consultas con otros organismos sobre asuntos de interés común, en particular (cont inuación)

9.2 Joint Inspection Unit Reports
9.2 Rapports du Corps commun d'inspection
9.2 Informes de la Dependencia Común de Inspección-

(a) Status of Women in the Professional Category and Above: A Progress Report
(a) Situation des femmes dans la catégorie des administrateurs et dans les catégories supérieures:: rapport intérimaire
(a) Situación de la mujer en el cuadro orgánico y las categorías superiores: informe sobre losprogresos realizados

(b) Evaluation of the Translation Process of United Nations Organizations
(b) Evaluation de la traduction dans les organismes des Nations Unies
(b) Evaluación del proceso de traducción en el sistema de las Naciones Unidas

(c) Work Programme of the JIU for 1981
(c) Programme de travail du Corps commun d'inspection pour 1981
(c) Programa de trabajo de la Dependencia Común de Inspección para 1981

M. TRKULJA (Chairman of the Programme Committee): : I am obliged to be as brief as the part of the report of the Programme Committee dealing with expressing our views on the three reports of the JIU. You will find the views of the Programme Committee reflected on page 24 of document CL 79/4 ; indeed, three very brief paragraphs. The first deals with the status of women in the professional category and above, a progress report; the Committee very briefly discussed the whole matter and, by and large, agreed with the comments of the Administrative Committee on Coordination. In that context the Committee recalled its previous debate on the same document and was again pleased that the Council approved fully the views of the Committee on that occasion. We expressed our satisfaction with the progress made by the Director-General in increasing the representation of women on the professional staff of FAO. We again felt that it would be unrealistic to establish any strict target, bearing in mind the specific situation and circumstances surrounding FAO, as it was agreed by the Council on the basis of our views when we discussed the regional document. Nevertheless the Committee urged the Director-General to continue his efforts to increase further the number of women in the professional category and above.

As regards the second JIU report on the evaluation of translation process in the United Nations Organizations, we again considered and studied the report, without losing sight of the views of ACC. On the whole we again agreed with the views expressed by the inspectors, as was in fact the case with the general views of ACC. The Committee underscored the fact that FAO's translation service compared fairly favourably with that of other United Nations organs with regard to - as we said in our report -efficiency, speed, accuracy and economy.

Lastly, the third report of the Joint Inspection Unit is the work programme of JIU and, in keeping with the tradition, the Committee simply took note of this programme without expressing any particular view as to what they plan to work on this year.

M. BEL HADJ AMOR (President du Comité financier); - Les commentaires du Comité des finances concernant le rapport du Corps commun d'inspection à propos de la situation des femmes dans la catégorie des administrateurs et les catégories supérieures figurent dans les paragraphes 3.101 et 3.102.

A cet égard, je voudrais rappeler que le Comité a déjà examiné à sa 41ème session un rapport similaire. A la suite de ce rapport, ayant pris connaissance de l'évolution qui a eu lieu depuis, le Comité a apprécié les efforts déployés par la FAO pour mettre en oeuvre les recommandations du Corps commun d'inspection.

Néanmoins, le Comité continue à estimer qu'il n'est pas réaliste, pour des raisons pratiques, de quantifier un objectif et que l'on ne peut sous-estimer les conséquences financières de certaines recommandations, d'où la nécessité d'une application prudente et mesurée.

A propos du deuxième rapport du Corps commun d'inspection ayant trait à l'évolution de la traduction dans les organismes des Nations Unies, le Comité fait figurer ses commentaires dans les paragraphes 3.103 à 3.106.

En général, il a souscrit aux observations du CAC. Cependant, il estime nécessaire de mieux mettre en relief certains aspects de la pratique de notre Organisation. Je résume très brièvement ces aspects. Il s'agit de l'utilisation de la traduction sous contrat à la FAO qui, d'après le secrétariat, a atteint déjà le plafond. De même, on a signalé au Comité que la traduction sous contrat doit être revisée par le personnel permanent. Le troisième aspect, 1'autorévision, est déjà assez pratiquée par l'Organisation, même si elle demeure restreinte. De même, il y a la création d'un service commun informatisé de terminologie et de recherche. Le Comité estime que cela nécessite de la prudence et n'exclut pas le besoin d'un service de technologie limité selon la nature des activités des organisations. Enfin, le Comité a noté que depuis 1978 le coût des services de traduction a augmenté. Il estime, comme toujours dans ces cas, qu'une souplesse s'avère utile dans l'application des recommandations du Corps commun d'inspection.

A propos du troisième rapport du Corps commun d'inspection concernant le programme de travail, le Comité, comme il l'a déjà fait dans ses études précédentes relatives aux activités du Corps commun d'inspection, attire, dans le paragraphe 3.107, de nouveau l'attention sur les dépenses encourues par l'Organisation pour sa participation accrue aux travaux du Corps commun d'inspection. Une économie de temps, et donc de ressources, est plus que souhaitable. En outre et ce sans le mentionner explicitement dans son rapport, le Comité dans ses débats a évoqué comme auparavant la question du choix des sujets et la nécessité pour la FAO de donner son avis sur les questions auxquelles elle porte un intérêt prioritaire, surtout que l'Organisation s'avère être parmi les plus importants contributeurs du Corps commun d'inspection.

CHAIRMAN : We will take all the three documents together. The last document CL 79/17 is really for information, that is the work programme of the JIU.

J. GOMES PEDRO (Portugal) : Referring to the well elaborated document, CL 79/14 that deals with the situation of women as staff members of the United Nations bodies and their access to the highest administrative posts, it suggests to the Portuguese delegation the following statement : it is our understanding that sex must not be a matter of discrimination regarding the professional exercises of tasks or functions. Accordingly only the individual ability to cope with those tasks must be taken into consideration while judging personal capabilities. In general sex discrimination is only acceptable when the feminine condition shows in a crisis to cope with certain personal tasks.

Our delegation is much in favour of the women's opportunity for employment, promotion and in fulfilling their careers judged only by their merits, on competence and ability, and, of course, in parity with men.

Sra. Doña M. IVANKOVICH DE AR0SEMENA (Panamá): Al considerar el tema 9 de nuestro programa de tra-bajo quisiéramos referirnos al punto 9.2 Informe de la Dependencia Común de Inspección, Situación de la Mujer en el Cuadro Orgánico y las Categorías Superiores e Informe sobre los Progresos realizados.

Un análisis del documento nos demuestra que el mejoramiento de la representación de la mujer en el Cuadro Orgánico y Categorías Superiores dentro del sistema no ha sido tan rápido como nosotros quisiéramos y, por lo tanto, esperamos que las distintas organizaciones sigan haciendo esfuerzos para lograrlo.

Al enumerar el documento CL 79/14 las medidas para mejorar la contratación, compartimos lo expresado en el punto B al instar a los estados miembros a que asuman su parte de responsabilidad con miras al logro del objetivo de una representación más equitativa mediante la presentación de más candidatas.

Igualmente consideramos que una medida que contribuiría decididamente a mejorar el status de la mujer en forma programada y estable es la contratación de mujeres jóvenes con la posibilidad de hacer carrera dentro de los organismos.

Apoyamos la sugerencia de incrementar la contratación de mujeres calificadas a niveles superiores. a P-3.

Son importantes también las medidas que aseguran la igualdad de trato, tal como se expresan los párrafos 11, 12 y 13 del documento.

Al revisar el capítulo II del informe notamos con satisfacción que la FAO se encuentra entre los organismos que han progresado con regularidad. Es importante que los organismos internacionales se encaminen realmente hacia los objetivos tomando las medidas necesarias para aumentar el numero de mujeres en los puestos sujetos a distribución geográfica equitativa.

Apoyamos las disposiciones establecidas para controlar la aplicación de la declaración de política y las directrices emitidas por los Jefes Ejecutivos con miras a un riguroso cumplimiento de las mismas, tal como se ha establecido en la FAO y en la OMS.

Para finalizar,compartimos plenamente el llamamiento dirigido a los estados miembros para que presen-ten candidatas dentro de un marco de igualdad de oportunidades que puedan ocupar los puestos que hasta ahora, por discriminación de efecto, han venido ocupando tradicionalmente los hombres dentro del sistema de Naciones Unidas.

J. GODIN (Colombia): La delegación de Colombia desea hacer unas breves observaciones sobre el tema 9.2.

Sobre las observaciones del Comité Administrativo de Coordinación y el informe acerca de traducciones y documento CL 79/13 estamos de acuerdo en que lo esencial es disponer de los medios para mejorar los servicios de la traducción y a la vez estimular a los traductores para que cada vez se obtengan mejores rendimientos y mayor eficacia en sus trabajos.

Creemos que en el caso de la FAO las traducciones se han mejorado, tanto en calidad como en tiempo oportuno de entrega; de todos modos sería conveniente que esta Organización tratara de aplicar, en la medida que lo considere adecuado, la primera recomendación de la Dependencia Común a fin de seguir logrando los resultados más eficaces y racionales.

En el documento CL 79/4, los Comités del Programa y de Finanzas asumen actitudes pasivas en cuanto al estado de las traducciones de la FAO. Creemos que no sólo debemos felicitarnos porque se funcione bien, sino que es necesario procurar mejoras crecientes.

El documento CL 79/14 no contiene ninguna novedad en relación con el informe anterior; y sobre el mismo la delegación de Colombia opina que debe seguirse haciendo esfuerzos para aumentar el numero de las mujeres vinculadas a la FAO, no sólo desde el punto de vista simplemente burocrático, sino también enposiciones de responsabilidad. Convendría que se aplicaran algunas de las recomendaciones de este informe por parte de las organizaciones y también que los gobiernos presenten candidatas calificadas que faciliten el cumplimiento gradual de ese progreso en forma satisfactoria.

Estaría bien que se pensara igualmente en las medias jornadas, jornadas continuadas, u horarios convenientes para permitir trabajar a las mujeres que tengan obligaciones domésticas, pero todo ello teniendo en cuenta que no se menoscabe la eficiencia de la labor de nuestra Organización.

En el seno de la FAO convendría, como hemos acordado, que se presenten informes periódicos en los cuales aparezca la creciente vinculación de la mujer a la labor de esta Organización.

En sus informes los Comités del Programa y de Finanzas alaban el empleo de la mujer en los puestos de la FAO. En el texto del Comité de Finanzas se aclara que el informe de la Secretaría confirmó la mayor utilización de la mujer en la FAO. Hay que seguir por este buen camino.

Al estudiar el documento CL 79/17 que contiene el Programa de Trabajo de la Dependencia Común de Inspección para 1981, la delegación de Colombia observa que para este año la dependencia no hará ningún trabajo que tenga la relación directa con la FAO; hace solo alusión de que muchos de los asuntos de los que se ocupará en el amplio campo de las Naciones Unidas tendrán repercusiones sobre los trabajos de la Organización.

A la luz de nuestras inquietudes anteriores sobre los costos para la FAO de funcionamiento y dedica-ción del tiempo del personal de esta Organización, nuestra delegación quisiera preguntar si en los últimos años la FAO ha solicitado estudios particulares a dependencias y si la Secretaría considera que estos informes tienen validez para nosotros y se ajustan a la relación costo-beneficio. En el documento CL 79/4, el Comité del Programa se limita a tomar nota del programa de trabajo de la Dependencia, mientras que el Comité de Finanzas plantea suavemente alguno de estos interrogantes. Es todo.

Mrs. M. AKHTAR (Pakistan): We have read with a great deal of interest the Joint Inspection Unit's progress report relating to the status of women in the professional category and above CL 79/14 which as rightly pointed out by the Administrative Committee on Coordination contains no new substantive policy recommendations. Therefore, comments are similar to those that were made in 1978. Besides, the executive heads, while recognizing the need for increased participation of women on equal terms with men in the Secretariats, consider that "progress has not perhaps been as rapid as might have been desired."

May I state that we are nothing but disappointed. We feel that it is already too late but nonetheless immediate and effective policies are required to increase women's participation, particularly at the policy making and planning levels so that programmes and projects are prepared to bring women into the main stream of development and more so for the eradication of hunger and malnutrition.

In yesterday's session when the current world food situation was the subject for discussion one of the delegations emphasized, and rightly so, the development of human resources. But let me state that there can be no development of human resources if women are excluded, or only marginally included in the development process.

As you are well aware the targets set have not been achieved, neither will they be in this decade, nor by the year 2000. Therefore, we strongly urge that specific, far-reaching and concrete policies be formulated, challenging targets be laid down in realistic terms and strictly adhered to, and all out efforts be made to recruit women at all levels. Also that these targets should be periodically re-viewed to move towards the target of achieving equitable representation of women. In fact, their inadequate representation should be considered as one of the major factors which hinder progress and effective measures should be taken to improve this situation.

We strongly urge that more training facilities be provided for career development which should also be reviewed from time to time. More part-time jobs should be made available so that women can combine family responsibilities with professional careers.

We also express great concern in that two Organizations, namely ILO and Unesco, have shown a decrease by the end of 1979 in the proportion of women at the professional level. Further, there are only four women out of a total of 206 at D.2 level; only three women Assistant Secretaries-General and no woman has ever been the Executive Head in the United Nations system or a member of ACC. The arguments advanced are that women are less mobile and that they have more family commitments and so on. These are weak arguments indeed and as rightly stated in the report only serve to justify lack of action. I cannot speak for other countries but lack of action is evident from the fact that FAO has only one woman from Pakistan on its professional staff; ILO has one and Unesco has one; a total of three, as given in Annex III.

Surely more qualified and trained women can be recruited from Pakistan and from other countries, particularly those that show a low percentage of women relative to their proportion in the staff and as such, encourage higher rate of participation in such bodies as are concerned with matters of immediate interest to women.

May I state that what is really required is a change in attitudes. There has to be a strong will and FAO must not only act as a pilot but show the leading light as procedures alone will not ensure fairness, impartiality and increased representation. Let me also state that we believe in integration, in .men and women working together towards a common goal, a common objective, and not in segregation or in one substituting the other.

As far as my own Government is concerned efforts are being made to help women acquire the status of equality with men in different fields of national life in accordance with the ideological beliefs, constitutional rights and various United Nations Resolutions. One major step has been the - establishment of a Women's Division under the direct supervision of the President. Women's Coordi-nation Units have also been organized in the Provincial Governments. The Women's Division is working in close cooperation with various agencies of the Federal and Provincial Governments to ensure that the needs and interests of women are adequately met. A network of centres is being laid out throughout the country, particularly in the rural areas, to provide facilities for meeting education, training, health, and income enhancing needs of women. To support and supplement the efforts of other government agencies the development budget for programmes specifically designed to enhance the role of women in development, both as participants and beneficiaries, has been raised from Rs. 20 million in 1979/80 to approximately Rs. 70 million for 1981/82.

The access to institutions of higher education and learning is equally available to women in the country. The enrolment of women students in professional colleges has increased from 10.3 percent in 1950/51 to 20.2 percent in 1976/77. Although the participation of professionally qualified women is concentrated in the education and health fields, women are now increasingly preparing for and entering almost all fields.

Problems and solutions for enhancing women's status and participation in the fields of education, health, local government, and social work, are being identified, so that policies and programmes may be formulated.

May I conclude by saying that we fully support the endeavours of the United Nations system to ensure equality of women in its organizations in matters of recruitment and improvement of service conditions and would extend all possible cooperation to the appropriate services of the organizations in the recuitment of women, including positions in the professional and higher categories.

R. SORENSON (United States of America): My delegation agrees with the delegate of Panama that an increase in employment of women has not been as rapid as one would wish in the United Nations system. At the same time we feel that some commendation is in order for FAO in its efforts to recuit women in professional categories. At least according to the document before us FAO has increased the percentage of women hired in these categories from 1976 to 1979, and we think that they should be commended. Likewise we think that the Director-General's positive action programme introduced in 1977 has been very beneficial and should be supported. While saying that, though, and while perhaps agreeing that the establishment of targets is somewhat artificial we nevertheless feel that without targets the organization is not held up to any standards, any goal towards which it should strive. So we find ourselves in agreement with the delegate of Pakistan in urging the Organization to adhere to a target and in this sense we find that we do not agree with the conclusions of the Finance Committee that setting the target is unrealistic for FAO. We feel that it is an ideal towards which the Organization should strive and without a target it will not do as well as it otherwise would.

J.M. SCOULAR (United Kingdom): I have just two small points, one a suggestion and one a query. First of all, on the employment of women in the United Nations system as a whole, to take up a point made by the delegate of Pakistan about part-time employment, we note from Table 4 of document CL 79/14 that it is restricted to telephone operators and language teachers. We have recently faced a part-time problem in the United Kingdom and we now have a system whereby we split the work schedule between two qualified women candidates. We wonder whether FAO could think about doing this, but at a rather higher professional level.

Secondly, on the question of translation facilities, again in Table 4 we note that a number of United Nations bodies spend a fair amount of translation officer time on précis writing. We do not think that FAO does this at all, but we would just like to clarify the point.

Mlle F. JAIDI (Maroc): Nous avons travaillé énormément et aussi avons-nous besoin d'une récréation. Parlons donc des femmes. Je ne voudrais pas être brève, aussi je me limiterai au document CL 79/14 qui, d'un côté nous satisfait et d'un autre nous désole. Nous estimons que ce programme a été étudié d'une façon claire et positive au sujet de tous les problèmes auxquels les femmes sont confrontées en particulier au paragraphe 15. Nous sommes désolées car la participation féminine est vraiment réduite. Ma délégation est ébahie par le nombre de D-1 et de D-2 féminins. Je reconnais que les gouvernements nationaux ne font pas assez pour s'occuper de ces choses. Nous espérons

cependant que la progression de la promotion du personnel féminin dans les organismes internationaux et en particulier à la FAO sera plus forte dans le futur de façon à ce que nous soyons aussi satisfaites que le Président du Comité du Programme.

Je ne vois pas d'autre part quels sont les problèmes soulevés par les conséquences financières dont le Président du Comité financier a fait part, car ces femmes seront rémunérées d'après le travail accompli. Je tiens à renouveler notre appui à la troisième partie de la Résolution 33/143 de l'Assemblée générale,

S.M. CHOUDHURY (Bangladesh): I will limit my arguments to document CL 79/14, the United Nations joint Inspection Unit Report on the Status of Women in the Professional Category and Above. I find myself in a position to join with the delegate of Pakistan who said that the aims and objectives have been laudible but the performance has been disappointing. From paragraph 14 we notice that between 1976 and 1979 one out of 25 people recruited at the level of Assistant Secretary General has been a woman, one out of twenty-five, and I think that is a very disappointing performance indeed.

Looking at Annex III we notice that the figures given regarding the employment of women from different countries, so far my country has not one in the entire United Nations system as a whole. This is contrary to the policy on the recuitment of women that is now pursued in my country, where we have a separate Ministry for Women's Affairs, which has created more opportunities for looking after the interests of women. We hope that these shortcomings will be improved in the future.

Sra. Doña G. SOTO CARRERO (Cuba): A nuestra delegación le complace que una vez este Consejo analice la situación de la mujer en el cuadro orgánico de categorías superiores en el sistema de Naciones Unidas. Como es de todos conocido y recordado en la página 9 del documento CL 79/14, cumplimentando la Resolución 33/143 de la Asamblea General, el Secretario General de las Naciones Unidas publico una circular que contenía las directrices para promover la igualdad de trato de hombres y mujeres en la Secretaría de Naciones Unidas.

Asimismo, la FAO introdujo una serie de medidas como parte de un programa de acción auspiciado por el Director General donde se establecían una serie de acciones muy positivas en favor de una mejor representación de funcionarias dentro de la Organización.

El punto de partida era el establecimiento de una lista de candidatas que permitiera identificar a las mujeres con las calificaciones adecuadas. Consideramos que el documento que nos presenta la Secretaría, nos informa exhaustivamente de los análisis hechos por las organizaciones del sistema de Naciones Unidas, y en especial por la FAO, para mejorar los procedimientos de contratación del personal femenino, así como para mejorar sus perspectivas de carreras dentro de la Organización.

Sin embargo, como ya se ha anunciado por otras delegaciones, todavía puede apreciarse cómo la mayoría del personal femenino de la categoría del cuadro orgánico se concentra en los niveles de P-2 y P-3, encontrándose que los hombres tienen su concentración mayor en los niveles de P-4 y P-5. Consideramos que la responsabilidad de esta situación no corresponde totalmente a las organizaciones del sistema de Naciones Unidas. Nos parece que tal vez debería haber una mayor difusión en los países de las plazas vacantes, especialmente dentro de las mujeres con la calificación requerida para ocupar dichos cargos.

Mi delegación considera acertadas las recomendaciones que aparecen en el acápite 4 del documento que analizamos, ya que entendemos que se mantienen pertinentes y nos permitimos llamar la atención al punto 3, que se refiere a la responsabilidad de los Estados Miembros.

Sólo nos quedaría expresar nuestra satisfacción por los progresos logrados y exhortar tanto a la FAO como a otras organizaciones del sistema y a los Estados Miembros a proseguir los esfuerzos al respecto.

Con relación al documento CL 79/13, nuestra delegación considera que las observaciones del Comité Administrativo de Coordinación, son muy constructivas. Reconocemos la importancia y complejidad de las actividades de traducción y reconocemos los esfuerzos desplegados para encontrar medios de aumentar la producción y la eficacia en los documentos. Consideramos, sin embargo, que debe tratar de brindarse a los traductores una mayor satisfacción profesional y mejores perspectivas de carrera.

RAMADHAR (India): Concerning document 79/13 on Translation within the UN System, my Delegation finds this document very interesting, particularly in view of the increasing quantity and technical quality of the documentations which have been mentioned in the opening paragraph, and we also note that translation accounts for about 7 percent of the regular budget of the UN System, roughly $70 million a year, so I would like to give my full support to the recommendations made in this report with regard to improvement of the translation system within the organization.

Coming to the next document, CL 79/14, on the Status of Women in the Professional Category and Above, we find this document also very useful and informative, though we note with satisfaction that some progress has been made within this Organization to increase the number of women, particularly in the professional category, but the goal is still far off, and I would like to support those speakers who said that we should have realistic and challenging targets in this direction.

I would also like to give my full support to the recommendations made here. One relates to the responsability of national governments to recommend and nominate more and women candidates for professional posts within the organization, and the third recommendation, that the international organizations should conduct special missions for the recruitment of women in the professional category and above. On the whole, I support the recommendations made in this report.

Coming to the Work Programme of the JIU for 1981, we had considered this matter in the Programme Committee also and I find that there are very important items included in the Work Programme for the year 1981, and we fully support them.

G. W. MAHINDA (Kenya): My Delegation would like to support very strongly the views expressed by Pakistan to the effect that there can be no proper development where women are excluded. What is most interesting is the fact that this can be said to be a world-wide problem, the problem of women's participation, but one wonders that in all places people do not agree that women must participate; there is hardly any opposition at any time, anywhere, but yet women's participation is still not there. One wonders what is wrong. It is not enough to talk of women's participation: we must try to find out what is the problem, what is the cause of their not being there. One could perhaps believe there is a systematic discrimination against women, or it can be that women themselves do not come forward to take those jobs, and until we know what the problem is, the solution will remain an imaginary thing. I do not think we are being asked to just have women as a special qualification whereby by virtue of being a woman you are automatically qualified to take a job. We must expect women to come forward as they are qualified for the job they want to do. It is necessary perhaps to get an analysis as to whether such qualified candidates are being excluded by virtue of being women or whether they just are not there.

M. BEL HADJ AMOR (President du Comité financier): Le Comité des Finances a été cité à plusieurs reprises, c'est pour cela que je tiens à clarifier sa position. Je commence tout d'abord par la remarque de la déléguée du Maroc, qui a parlé de conséquences financières. Je ne veux pas du tout faire perdre de temps au Conseil, mais je peux dire que, pas seulement pour ce rapport mais essentiellement pour le premier rapport du Corps commun d'inspection, qui était beaucoup plus étoffé, le Comité des finances a longuement discuté de la question de l'emploi accru des femmes au sein de l'Organisation. Entre parenthèses, je rappelle au Conseil que l'un des membres du Comité des Finances est une dame, donc vous pensez bien que nos débats sont très prudents quand on parle de ce sujet.

En réponse aux questions précises qui ont été posées, je me souviens très bien -et certains des membres qui sont ici s'en souviennent très bien- qu'on nous a dit que très souvent les femmes, pour ce qui est de l'Organisation, sont utilisées dans des services à temps partiel, et tout le monde sait que l'emploi à temps partiel coûte beaucoup plus d'argent à l'Organisation. C'est de là que provient l'idée des conséquences financières.

Si la déléguée du Maroc veut des exemples concrets, cet après-midi j'aurai avec moi le Directeur du personnel ainsi que des représentants du service financier. Nous pourrons lui faire un très joli calcul.

Cela n'empêche que je tiens à préciser qu'au sein du Comité des finances il n'y a pas de mysogines, bien au contraire, je peux vous l'assurer, et ce n'est pas la raison pour laquelle nous n'avons pas poussé l'Organisation à quantifier un objectif. Là encore, nous nous sommes basés sur des faits concrets. Le secrétariat a fourni des réponses précises à nos questions pour ce qui est des candidatures. Par exemple, on demande un spécialiste de la trypanosomiase et autres. Ils nous ont donné certains chiffres qu'ils avaient reçus et je puis vous dire que là il n'y a pas beaucoup de femmes.

On a également attiré notre attention sur le fait que si nous devions lier par une obligation quelconque le secrétariat en ce qui concerne le recrutement de l'élément féminin, nous pourrions courir le risque, pour atteindre cet objectif, de négliger peut-être la qualité. Je ne veux pas dire -qu'on ne se méprenne pas sur mes mots- qu'il n'y a pas la qualité, mais on peut ne pas trouver la spécialité désirée, et vous savez que nous traitons ici avec une organisation technique, même très hautement technique.

En conclusion, je répète ce que j'ai dit tout à l'heure, nous ne nourrissons pas du tout un sentiment quelconque contre l'emploi accru des femmes, mais nous avons, au Comité des finances, tenu compte des réalités spécifiques de l'Organisation. Maintenant, à titre personnel, je peux vous dire que je désire que l'élément féminin soit davantage employé au sein de l'Organisation. J'affirme que j'ai beaucoup de sympathie pour les femmes et je peux vous garantir que, quand il s'agit de parler finances ou administration, je préfère traiter avec une femme beaucoup plus qu'avec les membres du secrétariat que je connais, que j'aime beaucoup, mais c'est vous dire que si jamais nous avons la possibilité d'augmenter cet élément, on pourra le faire.

E. M. WEST (Assistant Director General, Office of Programme, Budget and Evaluation): I am going to leave the question of women, for my colleague, Mr. Skoufis, to deal with, but I must say that I am rather happy to hear some of the comments of the Chairman of the Finance Committee. I'm afraid I can't change my sex for his benefit, not unless you do something drastic to me during the next few days.

I have two very big questions, one of which I will answer on behalf of my colleagues Mr. Sylla and Mr. Savary. That was about precise records in FAO. No, we don't have them, so it doesn't apply.

The other question was from Colombia. He asked if we have asked the JIU to carry out studies in FAO in recent times. The answer is no, and the reason is that we have such difficulties in keeping up with their work programme that we could not possibly invite more work. The list of the items in their work programme will involve a lot of work from us. I have a sheet in front of me recording man hours spent recently on some of their reports: public information activities of the UN system, 121 man hours; methods of determining staff requirements, 54 man hours; management services in services in the UN system, 116 man hours; assistance to regional inter-country technical cooperation institutions, 100 man hours, and so on. There are quite a lot more and they all have to be done rather quickly in response to very short deadlines, and of course this is not the only coordination activity we have, as pointed out elsewhere in the report. We have a constant flow of requests for reports and information from the UN, from the UNDP and other organizations, and we dont?t have the staff to cope with more, so we try to keep up with the flood as best we can rather than inviting more work.

P. J. SKOUFIS (Assistant Director-General, Administration and Finance Department): I can be very brief because I believe the Chairman of the Finance Committee has dealt with many of the issues raised in connexion with the report CL 79/14 on Women. I am covering this subject and trying to respond to some of the other points raised in my capacity as the Director-General's coordinator for the reporting and implementation of his Equal Employment Opportunities Programme, which incidentally the Director-General had started in 1977 before either of the two JIU reports had reached us. In his programme, as already mentioned by one of our delegates here, each of the Assistant Director-Generals of the Organization is charged with conducting a programme of equal opportunities within his own department. I think these statistics contained in the JIU report before you, CL 79/14, reflect the success that has been accomplished in the Organization in expanding the overall numbers of women participants in the professional category and above, and as was reported to the Finance Committee at their recent session in updating those figures at the end of 1980, there were 219 women professionals in the Organization, which was an increase of 53 women since 1975, when the Director-General's programme got under way after his assumption of his responsibilities.

The programme, of course, is a continuing Programme, and each year we monitor the Programme and submit an annual report to the Director-General bringing up to date all the general aspects of the implementation of this equal opportunity.

This includes promotion, participation in advisory boards, recruitment of new staff members, and in each of these areas there has been some slight improvement. It goes without saying that the Director-General himself is not fully satisfied with the overall progress that has been made, but is aware that steady progress in this field is being carried out.

With regard to the targets, I believe the Chairman has explained quite adequately why it has been suggested by the inspectors. I should also highlight the fact that, as the Director-General pointed out in his address to you on Monday, the FAO organization is not a growing organization in terms of its overall staff requirements, in fact it is shrinking, and under these circumstances it is easy to understand why it is difficult to make a dramatic input improvement in the number of women. Also, we have to keep in mind that women also resign and retire and leave the organization, so it is that business of tracking and trying to keep the employment level up which makes it difficult for the department heads and the various division directors to try to maintain the momentum in the equal opportunities programme.

We have looked into, and are continuing to study, expanding the part-time employment programme that we have now. As the delegates pointed out, we do have a progamme in a modified way, but there are definite cost implications. It is not the fact that we cannot split a day and hire two women, just to have a better record, there is an efficiency problem here. It also creates a financial problem, there are constraints here, as we have to open up another set of personnel records, and have an administrative overhead to administer a larger total complement, and if we hire an extra woman to do an extra half-day's work, that is an extra person on our payroll, we have an extra pay cheque that has to be followed through, etc. There is a price stop on this. We are trying to look into this, and trying to expand our part time employment programme where it is appropriate to do so,

I think I have covered most of the points that have been raised, and we welcome the support the delegates have given here in submitting nominations of women for the various vacancies announcements that do circulate amongst them. We are always on the look out for qualified women for the organization, and it would be helpful to have this support from the member governments.

CHAIRMAN: Thank you, Mr. Skoufis. This concludes our discussion on the JIU reports and brings to an end the morning session. During the afternoon session there is an item which will be considered by heads of delegations in a closed session so that heads of delegations know they will be required this afternoon for this particular session. I will adjourn until 2.45 p.m.

The meeting rose at 12.50 hours.
La seance est levée à 12 h 50.
Se levanta la sesión a las 12.50 horas.



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