Previous Page Table of Contents Next Page


LIST OF ANNEXES

ANNEX 1

CECAF AD HOC WORKING GROUP ON THE DEMERSAL RESOURCES

OF THE CENTRAL GULF OF GUINEA DIVISION

6-10 May, Limbé, Cameroon

LIST OF PARTICIPANTS

Collins A. ANGWEResearch Assistant,
Chemical Oceanographer at Fisheries
Research Station, Limbe.
Michael ANSA-EMMIMCoordonnateur Technique du COPACE
Projet COPACE
Dakar, SENEGAL.
Mme Amélie AZIABLEBiologiste
Direction des Pêches
Cotonou, BENIN.
Victor Latévy BODYLAWSONResearch Technician
Fisheries Research Station, Limbe.
Mme Pauline BOUNDJIATechnicienne de Recherche
SRHL
Cosme DIKOUMEProfesseur IPD. Douala.
Théodore DJAMATechnician,
Fisheries Research Officer, Limbe.
George D. EYABI EYABITechnician,
Food Technologist
Fisheries Research Station, Batoke-Limbe.
Charles GABCHEResearch Technician,
Fisheries Research Station, Limbe.
Equile IKOME FLAVIUSBiologiste/Chercheur
Station de Recherches Halieutiques,
Limbe.
Jacques KONANOcéanographe/Biologiste
Centre de Recherches Océanographiques
Abidjan, COTE D'IVOIRE.
Joseph KOUOH SOPPOChef de Service Provincial des
Pêches du Littoral - Douala
Rita LAZZERINI IKOMEDoctor in Chemistry
Research Assistant
Fisheries Research Station, Limbe.
Ludowig Kofele MAKAKAResearch Technician
Limbe.
Thomas MUABEResearch Technician
Fisheries Research Station, Limbe.
Jean-Calvin NJOCKChef de Station, Limbe
Océanographe, Biologiste.
Su Edward NKANGWENResearch Technician
Fisheries Research Station, Limbe.
Lucy NKUMBEResearch Assistant, Biologist
Fisheries Research Station, Limbe.
Joe Epie NZEGGETechnician,
Oceanography Operations, Limbe
Schadrack ONDOUA EKOTTOChef de Service Provincial des
Pêches du Sud-Ouest - Buea.
Frits ROESTBiologiste,
Projet COPACE, Dakar, SENEGAL.
George W. SSENTONGOFishery Resource Officer
FIRM
FAO, Rome, ITALY.
Martin VAN DER KNAAPBiologiste,
Projet COPACE, Dakar, SENEGAL.


ANNEX 2

AD HOC WORKING GROUP ON THE DEMERSAL RESOURCES

OF THE CECAF CENTRAL GULF OF GUINEA DIVISION (34.3.5)

(6–11 May 1985, Limbe, Cameroon)

ANNOTATED AGENDA

  1. OPENING

  2. ADOPTION OF THE AGENDA

  3. ELECTION OF CHAIRMAN AND RAPPORTEUR

  4. DESCRIPTION OF THE FISHERY

    The artisanal and industrial fisheries for demersals and shrimps in Cameroon and Nigeria are to be described, including possible changes over time : size and characteristics of the fleets, fishing areas and seasons, gears and mesh sizes used, target species and by-catch.

  5. STATISTICAL DATA

    Time series of catches, catches per unit of effort and fishing effort are to be presented, with a description of trends in catches and effort, and a discussion of the usefulness of the catches per unit effort as abundance indexes. Discards, species and length composition.

  6. BIOLOGICAL DATA

    All biological data on the demersal fish and shrimp species are to be summarized, including : length-weight relationships ; size/age of 50 % maturity. Sex-ratio ; spawning period and area ; recruitment ; migrations, geographical distribution and stock separation ; length or age composition of catches ; growth parameters ; mortality rates ; description of oceanographic processes ; selectivity of gears.

  7. STOCK ASSESSMENT

    7.1 Global production and analytical models

    7.2 Surveys made in the area : acoustic, trawling, other.

  8. RECOMMENDATIONS FOR RESEARCH AND MANAGEMENT

  9. ADOPTION OF THE REPORT

ANNEX 3

LA PECHE ARTISANALE DEMERSALE CAMEROUNAISE

par

J.-C. Njock*

1. GENERALITES

Répartie sur l'ensemble de la côte, la pêche artisanale camerounaise se pratique généralement dans la zone des 2 milles. Le gros de l'activité se concentre dans les estuaires et les criques, sur des fonds peu profonds (1–20 m).

Principale occupation des populations rurales de la zone littorale, cette activité est cependant mal connue. Très peu d'études lui ont été consacrées, la plus importante étant celle publiée par MONOD en 1928. Les statistiques sont inexistantes et les chiffres souvent avancés sont basés sur des estimations empiriques. La première enquête cadre a été conduite en 1983 par la Station de Recherches Halieutiques de Limbé (Njock, sous presse).

Au cours de cette étude, la côte a été divisée en cinq régions statistiques correspondant au découpage administratif : le Ndian, le Fako, le Wouri, la Sanaga Maritime et l'Océan (Figure 1). Les principaux résultats de l'enquête sont donnés ci-aprés :

-Nombre de points de débarquement visités: 57
-Nombre de pirogues: 6011
-Taille des pirogues: 4–12 m
-Pourcentage de motorisation: 33 %
-Nombre de pêcheurs: 18615
-Pêcheurs immigrants: 91 %
-Origine des pêcheurs par ordre d'importance Nigérians, Ghanéens, Béninois.: 
- Métiers pratiqués: 
- Pêche pélagique : filets maillants pour capture des ethmaloses (E. fimbriata) et des sardinelles (S. maderensis); sennes tournantes.
- Pêche démersale : filets à crevettes, filets dormants, lignes.


* Station de Recherches Halieutiques de Limbé - PMB 77 - Limbé, Cameroun

Il a été par ailleurs constaté que les espèces pélagiques sont les plus pêchées. La pêche démersale ne représente qu'un pourcentage d'apports variant entre 20 et 30 % selon les points de débarquement. Généralement présente dans tous les campements, elle est pratiquée de façon intensive dans les estuaires au nord de la parallèle passant par l'embouchure de la rivière Sanaga. Les plus grandes pêcheries sont le secteur Bimbia - Rivière Cameroun et le Rio del Rey.

2. LES PIROGUES

Les pirogues en bois sont creusées dans un tronc d'arbre ou construites à partir d'assemblage de planches. Leur taille varie entre 4 et 12 m. Elles sont très peu motorisées. A Mabeta par exemple, (centre spécialisé dans la pêche des crevettes) toutes les pirogues (73) sont mues à la pagaie ou à la voile. L'équipage comprend 2 à 4 personnes. Les engins utilisés sont la ligne (pirogue de 4–6 m), le filet dormant (pirogue de 7–8 m) et le filet à crevettes (pirogue de 10–12 m).

3. LES ENGINS

Trois engins sont principalement utilisés :

3.1. Les filets dormants

Ce sont des filets maillants de fond de 100–300 m de long et 2–3 m de chute. Leur maillage étiré varie entre 35 mm et 90 mm. Les principales espèces capturées sont le bossu (P. elongatus), bar (P. typus) et le capitaine (Polydactylus quadrifilis). En raison des conflits qu'elle connaît avec la pêche industrielle dont les bateaux travaillent quelquefois à proximité des côtes, cette pêche connaît une certaine désaffection de la part des artisans.

3.2. Les lignes

Ce sont généralement des palangres plus ou moins longues (100–500 m). Les hameçons sont fixés sur des hameçons de 60 cm séparés les uns des autres par un intervalle de 1,5 m (60–300 hameçons par ligne). Ces engins (1 à 2 par bateau) sont utilisés sur les fonds de 10–20 m. Les espéces recherchées sont les mâchoisons (Arius spp.) et les capitaines (P. quadrifilis).

3.3. Les filets à crevettes

Ce sont des filets à forme conique localement appelés “ngoto” (Port de Mabeta). Ils sont de deux types :le grand “ngoto” : 6,5 m et le petit “ngoto” : 2,8 m. Ce dernier est le plus utilisé. Il est monté sur un cerceau de 1,5 m de diamètre lui-même fixé sur un pieu long de 8–10 m. Les engins sont plantés à l'embouchure du fleuve, contre le courant. On peut en dénombrer 15 à 20 par pirogue. Leur maillage est de 10 mm.

4. LES ESPECES

Les espèces les plus fréquemment recontrées sont pour les poissons les représentants des familles ci-après : Sciaenidés, Polynémidés, Ariidés, Cynoglossidés. Pour les crevettes les captures sont composées de Palaemon hastatus.

5. LES SAISONS DE PECHE

Les poissons et les crevettes sont capturés à longueur d'année, les meilleures saisons se situant dans la période Avril-Octobre pour les poissons et Octobre-Décembre pour les crevettes.

6. PRODUCTION

Les données de production ne sont pas disponibles actuellement. Toutefois pour la crevette elles sont connues pour le Port de Mabeta qui, armant 73 pirogues a débarqueé de Juillet 1984 à Mars 1985 (9 mois) 976 tonnes de produits pour un effort de 85 jours de pêche.

7. CONCLUSION

En ce qui concerne les poissons la composante démersale ne contribue que très modestement à la production de la pêche artisanale. Pour cette raison la priorité de nos recherches a été axé sur la composante pélagique et les crevettes plus importantes.

8. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Monod, Th., 1928 L'industrie des pêches au Cameroun. 509p.

Njock, J.-C., 1985 Répertoire des centres de débarquement de la pêche artisanale maritime camerounaise. Manuscript pour publication dans la Revue Science et Technique (Mars 1985), 55p.

ANNEX 4

PECHE DEMERSALE INDUSTRIELLE EN REPUBLIQUE POPULAIRE DU BENIN

par

A. Aziablé
Direction des Pêches, Cotonou

I. FLOTTILLE NATIONALE ET ETRANGERE PECHANT DANS LES EAUX BENINOISES ET EVENTUELLEMENT NIGERIANES

A. INTRODUCTION

Avant Octobre 1972, de nombreux chalutiers et chalutiers-crevettiers pêchaient dans les eaux béninoises et nigérianes et avaient leur port d'attache à Cotonou, notamment des chalutiers et chalutiers-crevettiers français, italiens, grecs. Mais depuis 1973 ces armateurs privés, craignant une éventuelle nationalisation, crainte injustifiée d'ailleurs, ont commencé par déserter notre port pour aller se baser ailleurs.

Ce mouvement a connu son apogée en 1976, année au cours de laquelle le monopole d'importation et de commercialisation des poissons a été retiré aux privés et confié à la SONAPECHE (Société Nationale d'Armement et de Pêche) qui venait d'être créée. Il faut noter que cette société n'ayant pas pu faire ses preuves a été dissoute en 1983 par un office OBEPEP (Office Béninois des Produits d'Elevage et de Pêche).

B. ETAT DE LA FLOTTILLE BENINOISE 1981–1984

Aprés le départ massif des chalutiers et crevettiers étrangers, la SONAPECHE a acquis donc deux vieux chalutiers, qui avec quelques unités de l'armement Evangelistria (nationalité grecque) ont depuis 1980 essayé tant bien que mal de ravitailler le port de pêche de Cotonou. Mais, déjà en 1981, vu leur état assez vétuste, les 2 bateaux de la Société Nationale Béninoise n'ont pas pu remplir leur contrat. Au cours de cette même année 1981, un petit crevettier DANIKA transformé en chalutier a été loué par la BELIPECHE (Société Mixte Bénino-Lybienne de Pêche) toujours dans le cadre de la production nationale pour essayer de palier à la pénurie sévère en denrèes halieutiques fraiches. En 1982, la production a été fournie surtout par le chalutier DANIKA les 2 unités de l'armement Evangelistria qui ont intervenu aussi n'ont pas fait des sorties régulières.

En 1983, c'est le DANIKA seul qui a pratiquement contribué à la production nationale. Les quelques bateaux qu'on a enregistrés par la suite, ont débarqué du poisson pour pouvoir se ravitailler en carburant.

En 1984, en plus du chalutier DANIKA nous avons enregistré la mise en service d'un petit chalutier de 12 m, SOGEMO I appartenant à un privé béninois. Au mois de Décembre 1984, deux chalutiers neufs de 18 m ont été livrés à la BELIPECHE. Notons que ces 2 bateaux ont commencé par effectuer leurs premières sorties en Décembre 1984.

Actuellement de nombreuses demandes de licences pour pêcher dans nos eaux sont enregistrées. Nous espérons à l'avenir un regain d'activité au port de pêche de Cotonou qui d'ailleurs s'annonce déjà.

II. DONNEES STATISTIQUES DE LA PECHE DEMERSALE INDUSTRIELLE 1981–1984

Depuis des années, la Direction des Pêches a mis au point un système de collecte de données statistiques de la pêche industrielle à la Halle des marées.

Les poissons démersaux fréquemment débarqués sont les : otolithes, les daurades, les faux capitaines, les carpes, les raies, les soles, les ceintures, les congres, les requins, les fritures, etc… (voir Tableau).

A. EVOLUTION DES PRISES TOTALES

Les prises effectuées par ces chalutiers sont en nette diminution depuis quelques années, comme le montre d'ailleurs la période 1981 à 1983. En 1984, une légère augmentation des prises s'observe. Cela est dû aux premières sorties de deux nouveaux bateaux de la BELIPECHE.

Ces ressources démersales industrielles représentent :

en 1981 : 83,46 % des prises totales
en 1982 : 90,2 % des prises totales
en 1983 : 86,71 % des prises totales
en 1984 : 98,16 % des prises totales

B. EVOLUTION DE L'EFFORT DE PECHE

Le nombre de bateaux considéré étant très insignifiant, d'une part, d'autre part du fait de leur taux d'activité décroissant à cause de leur vétusté, le nombre total de jours de mer est nettement en diminution. Le nombre de sorties est également en baisse :

en 1981 : 388 jours de mer
en 1982 : 376 jours de mer
en 1983 : 296 jours de mer
en 1984 : 268 jours de mer

C. EVOLUTION DES PUE (EN TONNES/JOUR DE MER)

Les PUE en 1981 : 0,78 t/j.m.
1982 : 0,76 t/j.m.
1983 : 0,73 t/j.m.
1984 : 0,82 t/j.m.

Nous pouvons dire que les PUE sont restées stables pendant la période considérée, excepté la lére augmentation notée en 1984.

D. COMPOSITION SPECIFIQUE DES PRISES

La composition des prises (voir Tableau) permet de noter la prédominance des faux capitaines, des otolithes, des fritures, des soles, des raies, et des carangues, viennent ensuite les autres espèces comme les daurades grises, les disques, les brochets, congres, ceintures et pageots. Dans le Tableau des captures, on note l'absence, pour la période 1981–1984, des balistes qui sont souvent rejetés en mer par les pêcheurs.

La fermeture permanente de l'embouchure depuis quelques années a interrompu le cycle biologique des crevettes. Ce qui entraine cette absence de données sur les crevettes.

III. DONNEES BIOLOGIQUES

Les moyens très modestes dont nous disposons pour collecter les données statistiques de cette pêche démersale industrielle ne nous permettent pas d'axer nos efforts sur l'étude biologique de ces poissons démersaux et crevettes. Ces données ne sont donc pas disponibles.

Données statistiques des ressources démersales industrielles de 1981 à 1984 (Bénin)

ANNEE/ESPECES1981198219831984
Otolithes68 193,540 52423 41339 140
Capitaines Polynemus1 794924,5667,5758,8
Machoirons1 045,52 311,51 1041 267
Soles (+ langue de chat)47 12925 363,518 9865 550
Daurades grises2 440,53 5183 229,54 811,2
Daurades roses2 380,568650259,5
Disques (+ St. Pierre)4 1755 9326 43013 004
Carangues (+ plapla + chinchard)18 76116 901,515 5819 658,5
Raies7 066,514 64713 118,527 515,1
Requins2 2121 8601 107,5490,5
Fritures1 00090 009,539 61464 406
Crevettes-32--
Langoustes41,5---
Seiches47,5-72-
Brochets5 291,22 0881 969,53 775,8
Mérou4 761--389
Ceintures3 4543 786,51 3244 813,4
Congres3 9094 804,54 759560,5
Rouget-18,835225
Balistesrejet en merrejet en merrejet en merrejet en mer
Carpe303,5753146,5
Thon8059073-
Pageot2 412,54 4938 725,253 525
Faux capitaines Galeoides81 88169 462,575 65239 895
Turbot46 7244,5-30,5
TOTAL (en kg)305 828,3287 721,3216 443,75220 221,3


ANNEX 5

EFFORT NOMINAL DE LA FLOTTE CREVETTIERE

IVOIRIENNE PECHANT AU NIGERIA (1970–1974)

par

Jacques Konan

Depuis l'année 1969 où la flotte crevettière a commencé à se constituer, les patrons de pêche de cette flotte ivoirienne ont pris l'habitude d'aller pêcher dans les eaux avoisinantes. C'est ainsi qu'ils ont souvent visité les fonds à crevettes du Libéria, du Ghana, du Bénin, de la Sierra-Léone et du Nigéria.

S'agissant de ce dernier pays, les crevettiers ivoiriens y ont pêché de façon active de 1970 à 1974. Dès l'année 1974 le choc pétrolier a rendu moins rentable la pêche effectuée loin des bases. C'est ainsi que s'est établi le désintérêt pour le Nigéria. Conséquemment l'effort exercé y a chuté brutalement pour s'annuler complètement l'année d'après en 1975.

Le Tableau (1) ci-après montre l'évolution de cet effort nominal. A partir de l'année 1972 seuls restent pratiquement en lice les 6 crevettiers de la SICRUS.

Ces mêmes crevettiers de la SICRUS à partir de 1974 se borneront à travailler en Côte-d'Ivoire et aux environs immédiats jusqu'à l'effondrement du stock ivoirien et à la cessation de pêche en 1980–81. C'est alors que ces crevettiers s'établiront au Libéria et peut-être au Nigéria.

Les données des prises ivoiriennes de crevettes effectuées au Nigéria ne sont fiables que pour l'année 1973 où la flotte de la compagnie SICRUS avait été bien suivie. A titre indicatif elles sont données dans le Tableau 2.

Tableau 1 : Effort de pêche des crevettiers ivoiriens au Nigéria (1970–1975) (jours de mer)
Nom du Navire et Puissance.197019711972197319741975
Cevennes300 cv60/////
La Vague250 cv13118////
Hippomère320 cv76286////
Barbara400 cv10135/// 
Patricia300 cv6286////
Christine Thierry120 cv2525////
Touch coic200 cv/57////
Sera220 cv/10////
Persistant400 cv/114////
Rostellec400 cv/9453///
Quercy300 cv/4516///
Dolmen360 cv/32////
Sicrus I380 cv//1709210/
Sicrus II//1245322/
Sicrus III//14985//
Sicrus V//199109//
Sicrus VI//15797//
Sicrus VII//9778//
 364902965514320


Tableau 2 : Production en crevettes entières des crevettiers ivoiriens au Nigéria - Année 1973 (en kg)
Catégories DatesU.S16/2021/2526/3031/3536/4041/5051/6061/7071/90TOTAL
30– 3 Mars26014607600    9320
28–4 Avr6001080900   39606000
2–5108013201260960   2004820
12–564088014802500   27808280
12–5 Mai140520220200   53206400
1–6 Juin9205401600480   6804220
12–6901802109048027099060138003750
12–6902403004204204501440240174021607500
19–6066013801080036081027602730192011700
29–6 Juin60510780900756030870120210138012420
4–71170027090033048012007650010920
19–714107501290300132090042003303720014220
30–75709305404807201230105045024004208790
30–7 Juillet21609099009301470300014702010012120
4–8240510480390780870174005610141012030
8–8 Août42072013501801140105015002850009210
           141700


ANNEX 6

ECOLOGICAL AND BIOLOGICAL CHARACTERISTICS OF DEMERSAL FISH SPECIES JOINTLY EXPLOITED BY THE ARTISANAL INSHORE FLEETS
AND THE INDUSTRIAL FLEETS OF NIGERIA AND CAMEROON (Ssentongo, Ajayi and Ukpe, 1983)

Family nameScientific nameCommon nameEcological habitat occupiedPreferred food itemsExploited by
Sea/depthBrackischwter, lagoon, estuaries and creeks.CameroonNigeria
AriidaeArius heudelotiSea catfishX 0–50 mXBenthic organismsXX
BagridaeChrisichtys nigrodigitatus,Brackishwater catfishX 0–20 mXBenthic organismsXX
CynoglossidaeCynoglossus browniNigerian tongue soleX(12–15 m) Small benthic invertebratesXX
Cynoglossus canariensisCanary tongue-soleX(15–300 m) Small benthic invertebratesXX
Cynoglossus monodiGuinea tongue-soleX(10–25 m) Small benthic invertebrates  
Cynoglossus senegalensisSenegalese tonguesoleXXSmall benthic invertebrates  
LutjanidaeLutjanus agennesAfrican red snapperX 0–50 mXFishes and crustaceaXX
Lutjanus goreensisGorean snapperX 0–50 mXVoracious predator for fishes and invertebratesXX
PolynemidaeGaleoides decadactylusSmaller African threadfinX 0–50 mXVarious benthic invertebratesXX
Pentanemus quinquariusRoyal threadfinX 0–20 mXVarious benthic invertebratesXX
Polydactylus quadrifilisGiant African threadfinX 0–100 mXVarious benthic invertebratesXX
PomadasyidaeBrachydeuterus auritusBigeye gruntX 10–100 m Crustancea and molluscsXX
Parapristipoma octoli-neatumAfrican striped gruntX (0–50 m)XCrustacea and molluscs X
Pomadasys jubeliniSompat gruntX 0–50 mXCrustacea, molluscs, wormsXX
RajidaeRaja miraletusSkatesX 0–100 mXBivalves, crustacea, wormsXX
DasyatidaeDasyatis pastinacaStingrayXXBivalves, crustacea, worms X
SciaenidaePseudotolithus (F.) elongatusBobo croakerXXShrimps & other small crustaceaXX
Pseudotolithus (Pinnacorvina) epipercusGuinea croakerX (0 - 70 m) Mainly benthic invertebrates X
Pseudotolithus senega-lensisCassava croakerX (0 - 70 m) Mainly benthic invertebratesXX
Pseudotolithus (P.) typusLongneck croakerX (0 - 150 m) Mainly benthic invertebratesXX
Pteroscion peliBoe drumX (0 - 200 m) Mainly benthic invertebratesXX
SerranidaeEpinephelus aeneusWhite grouperX (0 - 200 m)XFish, cephalopods, crustaceaXX
Epinephelus alexandrinusGolden grouperX (10 -300 m) Fish, cephalopods, crustacea  
Epinephelus caninusDogtooth grouperX (30 - 300 m) Fish, cephalopods, crustacea X
Epinephelus guaza (= E. gigas)Dusky grouperX (10 - 200 m)XFish, cephalopods, crustacea X
SparidaeBoops boopsBogue seabreamX (0 - 250 m) Small invertebrates especially crustacea X
Dentex angolensisAngola seabreamX (0 - 300 m) Crustacea, molluscs, worms and fish X
Pagellus bellottii (= P. coupei)Red pandoraX (0 - 250 m) Crustacea, worms, cephalopods and fish X
Sparus pagrus pagrusCommon seabreamX (0 - 250 m) Crustacea, fish and molluscs X
Crustacea Palaemonidaepalaemon (Nematopalaemon) hastatusEstuarine white shrimpX 0 - 10 mXBenthic organismsXX
Crustacea PenaeidaeParapenaeopsis atlanticaGuinea shrimpX (10 - 60 m) Benthic organisms X
Penaeus notialisPink shrimpX 0 - 100 mXBenthic organismsXX


ANNEX 7

DONNEES SUR CROISSANCE ET MORTALITE DU BOSSU
(Pseudotolithus elongatus)

par

J.-C. Njock et T. Djama*

Les données sur la croissance et les mortalités exposées ci-après (Tableaux et Figures) sont extraites d'une publication en préparation:

1. CROISSANCE PAR ANALYSE DES FREQUENCES DE TAILLE

Paramètres déterminés selon les méthodes de Cassie, Petersen et de Ford-Walford :

L∞ : 60 cm (Total length, lower cm)

K = 0,29

to = -0,79 (Pauly, méthode empirique)

2. MORTALITES

  1. Calcul de Z :

  2. Calcul de M :

M = 0,6

Z = M + F → F = 0,8

* Station de Recherches Halieutiques de Limbé - PMB 77 - Limbé, Cameroun

Table 1 : Length frequency, composition of the industrial catches of P. elongatus
Length cmNumber%LengthNumber%
91.00327893.4
102.0136873.0
111.0547093.1
254.2454892.1
3196.963671.6
44692.073011.3
58453.782481.1
613045.79204.9
714956.540174.8
814156.2189.4
912125.92106.5
2013005.7383.4
110994.8476.3
210834.7545.2
311535.0622.1
412005.2721.09
510364.5811.05
69174.0910.04
77763.4507.03
87173.113.01
96022.621.00
307953.533.01
17303.542.01
   52.01


Table 2 : Cumulative percentages used in Cassie's method
LengthNumbers N∑ N∑ N %
911.00
1023.01
11114.06
25468.80
31962641.1
44697333.2
584515786.9
61304288212.6
71495437719.1
81415579225.3
91212700430.6
201300830436.3
11099940341.1
210831048645.9
311531163950.9
412001283956.2
510361387560.7
69171479264.7
77761556868.1
87171628571.2
96021688773.9
307951768277.3
17301841280.5
27891920183.9
36871988887.0
47092059790.1
54892108692.2
63672145393.8
73012175495.2
82482200296.2
92042220697.2
401742238097.9
1892246998.3
21062257598.7
383265899.1
4762273499.4
5452277999.6
6222280199.7
7212282299.8
8112283399.9
9102284399.92
5072285099.95
132285399.97
212285499.97
332285799.98
422285999.99
5222861100.00


Table 3 : Length frequency data (P. elongatus, 1984), Length converted catch curve
LengthNumberCumulative Number CCumulative %%LogeCLoge (L∞ - 1i)D t
9122861100.0010.03.9.6
10222860100.0110.03.9.6
1112286899.9.0510.03.9.7
2542284799.9.2410.03.9.8
31962279399.7.910.03.8.8
44692259798.82.010.03.8.9
58452212896.83.710.03.8.9
613042128393.15.79.93.81.0
714951997987.46.59.93.81.1
814151848480.86.29.83.71.2
912121706974.75.99.73.71.3
2013001585769.45.79.73.71.4
110991455763.74.89.63.71.5
210831345858.94.79.53.61.6
311531237554.15.09.43.61.7
412001122249.15.29.33.61.8
510361002243.84.59.23.61.8
6917898639.34.09.13.51.9
7776806935.33.49.03.52.0
8717729331.93.18.93.52.1
9602657628.82.68.83.42.3
30795597426.13.58.73.42.4
1730517922.63.58.53.42.5
2789444919.53.48.43.32.6
3687366016.03.08.23.32.7
4709297313.03.18.03.32.9
548922649.92.17.73.23.0
636717757.81.67.53.23.2
730114086.21.37.23.13.3
824811074.81.17.03.13.5
92048593.8.96.83.03.6
401746552.9.86.53.03.8
1894812.1.46.22.94.0
21063921.7.55.92.94.1
3832861.2.45.72.84.3
476203.9.35.32.74.5
545127.6.24.82.74.8
62282.4.14.42.65.0
72160.3.094.12.65.3
81139.2.053.72.55.5
91028.1.043.32.45.8
50718.08.032.92.36.2
1311.05.012.42.26.5
218.03.002.12.16.9
337.03.011.91.97.4
424.02.011.41.88.0
522.01.01.71.68.6


Figure. 1

Figure 1 : Length composition of the P. elongatus catches in 1984

Figure. 2

Figure 2 : Cassie's probability paper method

Figure. 3

Figure 3 : Year classes from Cassie's method (P. elongatus for 1984)

Figure. 4

Figure 4 : Modal progression analysis, on yearly basis (Pauly)

Figure. 5

Figure 5 : Monthly length-frequency data available for P. elongatus, 1984

Figure. 6

Figure 6 : Ford Walford Plot L ∞ = 60 cm K = 0.29 yr-1

Figure. 7

Figure 7 : Jones and Van Zalings method (estimation of Z from a catch curve)

Fig. 8

Figure 8 : Modified Jones and Van Zaligns method (estimation of Z from a catch curve)

ANNEX 8

LES PECHES DEMERSALES DU TOGO

par

K. Amégavie*

1. INTRODUCTION

Le Groupe de travail ad hoc sur les ressources démersales de la division COPACE Golfe de Guinée Centre (34.3.5) convoqué à l'aimable invitation du COPACE a pour objet d'évaluer le niveau d'exploitation des stocks démersaux du secteur Golfe de Guinée Centre (34.3.5). Cette évaluation ne saurait se limiter au seul secteur précité car les bateaux opérant dans l'Atlantique Centre-Est, ont une grande liberté de manoeuvre. Ainsi on assiste souvent aux débarquements des bateaux opérant dans l'Atlantique Centre-Est dans les ports qui sont en dehors de leur zone d'activité.

Le présent rapport voudrait faire le point de la situation de la pêcherie démersale au Togo, et participer au travail d'évaluation du Groupe de travail ad hoc du Golfe de Guinée Centre en lui fournissant toutes les informations disponibles sur les bateaux étrangers opérant dans la division 34.3.5 et débarquant au Togo.

2. DESCRIPTION DE LA PECHERIE

2.1 Pêche maritime artisanale

Le Togo a une ancienne tradition de pêche surtout artisanale. Le secteur le plus important est celui de la pêche maritime artisanale qui assure près de 80 % de la production nationale. Elle utilise diverses sortes de filets (senne de plage, senne tournante, filets maillants) et des lignes. L'embarcation principale est la pirogue monoxyle, motorisée ou non.

La pêche artisanale ne capture pratiquement que des espèces pélagiques (sardinelles, anchois notamment); mais dans ses débarquements on note des espèces démersales. Ceci est le fait surtout des filets maillants et de la pêche à la ligne. La pêche à la ligne a lieu sur la barrière de corail située entre 52 et 56 m d'isobathe. Quant à la pêche aux filets, elle est littorale.

Il n'existe pas de zones de pêche, mais les pêcheurs sont unanimes à reconnaître que la zone à l'Est de Lomé est plus poissonneuse que celle à l'Ouest de Lomé, ce qui pourrait s'expliquer par les effluents de l'usine de phosphate de Kpémé.

La saison de pêche s'étend de Juin à Novembre, ce qui correspond à l'upwelling saisonnier qui a lieu au Togo. Bien que saisonnière, l'activité de pêche se poursuit toute l'année.

* Direction des Productions Animales, Lomé, Togo

2.2 La pêche industrielle

La pêche industrielle, malgrè les efforts du gouvernement en la dotant d'infrastructure susceptible de l'aider à se développer, est restée au stade embryonnaire. Ce secteur est caractérisé par la faiblesse des ressources disponibles sur le plateau continental. Actuellement, seul un chalutier l'exploite pour le compte de la Société Togolaise Arabe Lybienne de Pêche (STALPECHE).

Des bateaux étrangers grecs, chypriotes, opérant dans la région, utilisent le port de Lomé pour des opérations de transbordement de leurs captures, crevettes notamment, à destination de l'Europe.

La taille de la flottille, les débarquements totaux sont indiqués dans les Tableaux du paragraphe 3 (Données Statistiques). Notons que les chiffres élevés de 1981 et 1982 sont dûs à des débarquements de chalutiers ghanéens ayant pêché en dehors du plateau continental togolais.

On dispose des données de captures par espèce ou groupe d'espèces pour les chalutiers LOME et HAMBOURG de 1968 à 1977. On constate avec regret qu'il n'existe pas une suite historique de telles données pour aider les chercheurs dans les évaluations de stocks.

Cependant des dispositions sont prises pour assurer la collecte de toutes les informations pertinentes concernant la pêcherie togolaise.

3. DONNEES STATISTIQUES

Elles regroupent toutes les informations disponibles de pêche artisanale et de la pêche industrielle.

Tableau 1: Evolution du parc piroguier
AnnéeNbre total de pirogues.Pirogues motorisées.Pirogues non motorisées.% de motorisation.
196512161155
662553322223
673885528316
683869429224
6941610231424
19702379714041
7154513041524
7255915540428
7355017337731
7454022131941
7560325434942
76----
772592053479
78346---
79----
19802351647170
81----
822021406269
8346232313970


Taille de la flottille de pêche industrielle

On distingue dans la composition de la flottille, les bateaux munis d'une licence et qui pêchent dans les eaux togolaises et ceux qui sont autorisés à débarquer du poisson pêché en dehors des limites de la juridiction nationale.

Tableau 2 : Taille de la flottille et sa composition par nationalité.
AnnéeNombre de chalutiersRépartition par nationalité
19826 chalutiers4 Ghana
1 Togo
1 Grèce
19835 chalutiers2 Togo
2 Grèce
1 Chypre
19841 chalutier1 Togo
19854 chalutiers1 Togo
3 Grèce


De 1971 à 1975 deux chalutiers appartenant à l'ex Office National des Pêches (O.N.P.) “La Togolaise des Pêches” avaient opéré sur le plateau continental.

Tableau 3 : Production nationale (en tonnes) de 1978–1984
Année1978197919801981198219831984
Pêche artisanale4.4204.0487.2524.9389.09210.06812.476
Pêche industrielle1365327981.8871.838496201


Remarque : La pêche artisanale débarque aussi des espèces démersales mais en proportion très inférieure par rapport à celle de la pêche industrielle. Ces espèces sont capturées par les lignes et les filets dormants.

Une étude récente (Août 1983 à Février 1984) réalisée par l'ORSTOM, fait ressortir les pourcentages suivants:

Tableau 4: Capture per deux types d'engins (%)
Filet dormantPseudotolithusGaleoidesIlishaDoradeLutjanusPageotAutres
29%2412---35
Ligne---6025132


On a entrepris la répartition par espèces depuis 1977. La répartition des espèces démersales figure au Tableau 5.

Tableau 5: Répartition annuelle des espèces démersales (tonnes)
Année19771978197919801981198219831984
Crevette0.03-0.067.0---0.14
Pageot8.014.431.723.876.91.8-15.4
Friture38.535.044.547.0144.738.6-7.0
Dorade12.028.020.0119.046.227.421.015.7
Mérou7.511.99.08442.65.62.55.5
Seiche0.411.90.214.7-0.4-0.2
Lutjanus1.73.08.39751.88.63.85.6
Sole0.35.06.346---0.9
Pristipoma4.35.02.07.0-2.00.25.2
Bar11.98.3552.0105.037.623.08.15.7


On dispose également des données de prise, d'effort et de prise par unité d'effort des chalutiers de la Société Togolaise Arabe Lybienne de Pêche (STALPECHE) : Tableau 6.

Les Tableaux 7, 8 et 9 font ressortir les résultats de prise et de prise par unité d'effort de quelques engins de pêche artisanale qui capturent des espèces démersales.

Tableau 6 : Captures, effort, prise par unité d'effort des chalutiers de STALPECHE
AnnéeCaptures (Tonnes)Nbre de chalutierEffort, Heure de pêche.Capture par unité d'effort t/h
19821.22924.2850.29
198325314.7830.05
198420113.3390.06


Prises par unité d'effort des engins de pêche artisanale pêchant des espèces démersales.

Tableau 7 : Ligne
Critère MoisP.U.E. kg/10h et par sortie.Production mensuelle (Tonnes).Nbre de sortie.Nbre de lignes de 10h/équipe.Nbre d'enquêtes.
Novembre15.2  5.312
Décembre14.5  6.535
Janvier11.60.346.221


La P.U.E est kg/10 hameçons.

Tableau 8 : Filet Tonga (F. dormant) (Valeurs valables pour le village d'Aglomé
Critère MoisP.U.E. kg/100m de filet.Production mensuelle d'1 équipe en Tonnes.Nbre de sortie /mois pour 1 équipe.Nbre de filets paréquipe (de 100 m).Nbre d'enquêtes.
Novembre2.10.510.722.817
Décembre1.40.411.3224.917
Janvier10.2924.315
Février0.70.16.222.813


Tableau 9 : Valeurs valables pour l'ensemble de la façade
Critère MoisP.U.E. (kg/sortie)Production mensuelle d'1 équipe (en TonnesNbre de sortie/moisNbre d'enquêtes
Août380--10
Septembre278--12
Février790.67.342


Les exportations de crevettes et autres crustacés et coquillages sont résumées au Tableau 10.

Tableau 10.
ESPECES ANNEESCrabes + Crevettes. En kg.Autres crustacés.
 ImportExport 
19802824.415 
1981220- 
1982293- 
19832.1294.337 
1984970- 


A propos des rejets, il est difficile à l'état actuel d'en apprécier l'importance. On envisage une étude sur ce problème.

4. DONNEES BIOLOGIQUES

Les données dont on dispose sont fragmentaires et ne permettent pas de disposer de tous les paramètres désirés. Cependant on mesure les longueurs des Pagellus et des Brachydeuterus.

5. EVALUATION

On a entrepris en 1983 et 1984 une campagne de chalutage sur le plateau continental. Le document final est disponible. La biomasse totale a été estimée à 2.600 tonnes. Le potentiel exploitable a été évalué à 800 tonnes par an dont 600 tonnes commerciales.


Previous Page Top of Page Next Page