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AUTRES QUESTIONS (POINT 8 DE L’ORDRE DU JOUR)

REUNIONS DES PRESIDENTS DU CODEX

46. Le Représentant de l’Amérique du Nord a signalé qu’une réunion informelle utile des Présidents du Codex avait eu lieu pendant la vingt-deuxième session de la Commission pour échanger des données d’expérience sur la meilleure façon de résoudre les problèmes qui se posent pendant les sessions des Comités du Codex, notamment sur la façon dont on pouvait identifier l’existence d’un consensus. Le Représentant a proposé que des réunions analogues soient organisées à l’avenir, lorsque l’occasion se présenterait, afin de faciliter les travaux de la Commission.

47. Le Comité exécutif s’est félicité de cette initiative, mais a souligné que ces réunions devaient rester informelles et sans ordre du jour officiel et qu’elles ne devraient pas être interprétées comme constituant une nouvelle instance ou un nouveau forum au sein de la structure du Codex.

48. Il a été suggéré que la prochaine occasion pour une réunion de ce type serait sans doute la prochaine session du Comité sur les Principes généraux.

IRRADIATION DES ALIMENTS A FORTE DOSE

49. Le Repésentant de l’OMS a signalé qu’un Groupe d’étude mixte FAO/OMS/AIEA s’était réuni à Vienne en septembre 1997 pour examiner l’innocuité des aliments irradiés à des doses supérieures à 10 kGy, limite actuelle fixée par la norme Codex. Le Groupe d’étude avait conclu que les aliments irradiés à une dose appropriée pour atteindre l’objectif technologique poursuivi étaient à la fois sans danger pour le consommateur et satisfaisants sur le plan nutritionnel[17]. On a noté que les conclusions du Groupe d’étude pourraient conduire à une révision de la norme générale Codex pour les aliments irradiés et d’autres textes.

SERVICES DE DOCUMENTATION[18]

50. Le Comité exécutif a noté qu’en raison de la modification des structures de coût et de la réduction des services assurés par le personnel, il était désormais à la fois plus rapide et plus commode de distribuer tous les documents du Codex à tous les services centraux de liaison et les organisations internationales intéressées, plutôt que de tenir à jour des listes de distribution différentes selon la nature du document ou sa teneur. Ceci entraînerait certaines limitations dans la distribution des documents, mais en même temps les documents seraient en général plus largement disponibles et il serait fait un usage plus fréquent de la transmission électronique des documents, soit par le biais de la liste de distribution par courrier électronique Codex-L, soit par l’intermédiaire du site du Codex sur World Wide Web.[19] Le Comité exécutif s’est félicité de cette évolution.


[17] WHO, Weekly Epidemiological Record, Vol. 98, No 3, 16 janvier 1998.
[18] CX/EXEC 98/45/11.
[19] http://www.fao.org/es/esn/codex.

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