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DE L'USAGE DE L'APPROCHE AXÉE SUR LES PROCESSUS DE GROUPE EN APPUI À LA MISE À JOUR DES PROGRAMMES DE FORMATION DANS LES ÉCOLES FORESTIÈRES D'AFRIQUE CENTRALE

JOACHIM BILE ALLOGHO i et JEAN-CLAUDE NGUINGUIRI ii


Les institutions de formation forestière d'Afrique centrale éprouvent d'énormes difficultés pour mettre à jour les programmes. La formation dispensée risque d'être en déphasage par rapport à l'évolution des idées et des pratiques. Certaines institutions ont déjà initié la révision de leurs programmes de formationiii D'autres, comptent le faire dans la mouvance de la revue institutionnelle en cours dans plusieurs pays de la sous-régioniv Au delà des efforts individuels, un processus de groupe a été initié au niveau sous-régional.

Cette démarche complémentaire présente l'avantage de sortir les institutions de formation de leur situation d'isolement, d'échanger les expériences, de stimuler la volonté de performance et favoriser les comparaisons, de renforcer les capacités, de créer les conditions d'apprentissage et de découverte, etc. Dans cet exposé, nous présentons, dans un premier temps, le cheminement suivi pour initier ce processus de groupe. Ensuite, nous restituons les résultats obtenus à la suite d'un premier test qui a porté sur l'élaboration des modules de gestion participative. Sur la base des leçons apprises de ce test, un mécanisme de renforcement de la collaboration entre les institutions de formations forestière et environnementale de la sous-région en vue d'améliorer les programmes de formation a été mis en place.

1. L'INITIATION DU PROCESSUS

Le déclic est venu d'un constat réalisé dans le cadre des travaux initiés par la CEFDHACv sur la mise en cohérence des politiques et lois forestières des pays d'Afrique centralevi Il est apparu que les programmes de formations ne suivent pas toujours, à un rythme approprié, l'évolution des idées et des pratiques en gestion forestière. Cette situation est d'autant plus préoccupante étant donné que le domaine de la formation ne figure presque pas dans le champs d'action des multiples initiatives d'appui à la gestion durable des écosystèmes forestiers dans la sous-région, d'une part, et les institutions de formation présentent des faibles capacités d'anticipation, d'autre part. Il se pose, par conséquent, un problème d'adaptation de la formation au contexte de la gestion durable des écosystèmes forestiers.

Face cette situation, la CEFDHAC, en tant que forum de réflexion, a offert aux institutions de formations un cadre de concertation afin qu'elles débattent des options stratégiques à mettre en œuvre en vue d'améliorer leurs contributions à la gestion durable des écosystèmes forestiers. C'est dans cette optique qu'une réunion des responsables de programmes de formations a organisé, à Douala, du 25 au 27 avril 2000. Les institutions suivantes ont pris part à cette réunion:

Le concept de besoins en formation implique trois situations, à savoir:

  • une situation actuelle correspondant à ce qui est, à ce qui se fait;
  • une situation idéale référant à ce qui devrait être, ce qui devrait se faire;
  • l'écart qui existe entre les deux situations précédentes représente le besoin.

Le besoin en formation peut se définir comme l'écart existant entre la situation actuelle et la situation désirée.

IPD-AC, 1999. Manuel de formation de formateurs

En orientant les travaux dans cette direction, l'atelier a porté essentiellement sur les points suivants:

L'atelier a permis de constater que:

Les principaux problèmes communs identifiés sont:

Les axes stratégiques jugées prioritaires sont:

Cet exercice a permis aux participants non seulement de se rencontrer, d'échanger leurs expériences, d'identifier les problèmes communs, de rechercher ensemble les solutions, mais aussi de débattre de la suite réservée à cette réflexion et de convenir ensemble des axes stratégiques à explorer. Les responsables des programmes de formations se sont ainsi engagés dans un processus dénommé «Processus collectif de mise à jour des modules de formation dans les écoles forestières et environnementales d'Afrique centrale ».

Il a été convenu de commencer par tester cette approche axée sur les «processus de groupe». Au cas où le test est concluant, les leçons apprises devront aider à organiser, avec confiance, la poursuite du processus. De ce point de vue, il ne s'agit pas d'un processus classique consistant en une séquence d'étapes planifiées à l'avance et qui évolue de façon linéaire. Il est question, au contraire, de chercher à atteindre des objectifs «partagés» en procédant par une démarche souple et itérative qui permet de revoir sans cesse les dispositions prises à un moment donné au vu de l'expérience acquise. Mais, avant de s'y aventurer, l'initiative a été soumise à la 3ème CEFDHAC (Bujumbura, du 05 au 07 juin 2000). Les participants à cette conférence ont recommandé à l'UICNvii de poursuivre l'appui à ce processus.

2. LA FACILITATION DU PROCESSUS

Le défi que l'UICN s'est fixé de relever, après la 3ème CEFDHAC, consiste à stimuler la dynamique de groupe au sein du cercle des institutions de formations forestière et environnementale, mais aussi au niveau du cercle des partenaires potentiels. La responsabilité pour accompagner un tel processus a été confiée au Coordonnateur du Projet de cogestion en raison notamment de l'expérience de ce projet en facilitation des processus de groupeviii mais aussi parce que ce projet est appelé à transférer vers les programmes de formation les expériences capitalisées au niveau des sites d'apprentissage du Réseau cogestion des ressources naturelles dans le Bassin du Congo.

En pratique, les deux défis à relever, correspondent à la facilitation d'un processus d'apprentissage et à la création des synergies entre les institutions d'appui.

2.1. La Facilitation Du Processus D'apprentissage

Le rôle du Projet de cogestion s'apparente ici à la promotion du développement des capacités d'autopromotion des différentes institutions de formations. Dans cette optique, la démarche d'intervention la plus appropriée renvoie au respect du principe de subsidiarité: «le projet ne prend pas tout en main, mais est appelé à fournir un appui et à donner des impulsions». L'action du projet ne peut avoir un impact réel (durable) que si elle s'inscrit dans un processus d'apprentissage. Cette démarche paraît adéquate dans la mesure où les institutions de formations s'engagent pour une première fois dans un processus de groupe au niveau sous-régional. Elles s'investissent sur un terrain inexploré et, par conséquent, qui offre des opportunités d'apprentissage.

Pour être en adéquation avec les résultats attendus du Projet de cogestion, le thème sur lequel le test devrait être réalisé est la gestion en partenariat des ressources naturelles. Ce thème correspond à l'une des préoccupations exprimées au cours de la réunion de Douala. Il a été choisi pour faire «d'une pierre deux coups»: répondre aux attentes des institutions de formations et répondre à celles du projet de cogestion. Cette association d'objectifs qui concourent à un même résultat a été couramment utilisée, comme nous le verrons par la suite.

2.1.1. Identification du besoin en formation sur la gestion participative

Un premier atelier dit de «formation des formateurs sur la gestion en partenariat des ressources naturelles» a été organisé au Gabon en novembre 2000. Dans le souci d'inciter les institutions de formations à s'approprier le processus, l'atelier a été accueilli par l'École Nationale des Eaux et Forêts (ENEF) au Cap-Estérias (Gabon). Dans le même sens, la modération de l'atelier s'est appuyée sur la création des conditions de découverte et d'apprentissage. En plus, les objectifs d'apprentissage ont été identifiés pendant l'atelier par les participantsix En procédant de cette manière, on associe les participants à la définition de l'orientation de l'atelier. Les trois objectifs d'apprentissage identifiés (connaissances en cogestion, aptitudes et aspects didactiques) ont balisé le champs d'action de l'atelier. Le dernier objectif d'apprentissage a été abordé sous l'angle de la détermination des besoins en formation sur la gestion participative pour chaque niveau (techniciens, ingénieurs, etc.). Celle-ci s'est appuyée sur la définition de compétences.

A la fin de l'atelier, les participants se sont engagés à produire un kit de formation sur la gestion participative qui devra comprendre un jeu de modules et un guide sur les méthodes pédagogiques. Pour marquer le caractère inachevé de l'œuvre, les engagements pris par les participants ont été «formalisés», pendant la cérémonie de clôture de l'atelier, par la signature d'un document intitulé «Contrat entre nous».

2.1.2. Élaboration des modules de formation sur la gestion participative

La démarche qui a été adoptée pour la suite du processus renvoie à l'organisation d'une réunion restreinte consacrée à la production d'une version préliminaire des modules de formation en cogestion, l'animation d'un débat par courrier électronique sur les résultats de la dite réunion et l'organisation d'un atelier destiné à finaliser les modules.

La réunion restreinte a été accueillie par l'École des Eaux et Forêts de Mbalmayo (Cameroun) du 08 au 11 mai 2001. Les critères de choix des cinq participants ont été définis avec l'objectif d'avoir une équipe pluridisciplinaire. Les compétences recherchées concernent les domaines suivants:

Les travaux de la réunion restreinte ont permis de choisir la méthodologie d'élaboration d'un programme de formation par objectifs. Pour faciliter l'usage de cette méthodologie, une matrice a été développée; elle permet de mettre en exergue la finalité des modules, les objectifs globaux, les objectifs spécifiques, les objectifs d'enseignement et les objectifs d'apprentissage. Pour chaque objectif d'apprentissage, les contenus de la formation, les méthodes pédagogiques, les techniques d'évaluation et la durée approximative. En se référant aux compétences spécifiques à chaque niveau de formation dressées au Cap Estérias en novembre 2000, il est apparu plus pratique d'élaborer les modules selon les niveaux (ingénieur, technicien, agent technique). Pour des raisons de temps, les participants ont à peine ébauché les grandes lignes des modules.

Les résultats de cette réunion restreinte ont été largement diffusés, tant dans le cercle des institutions de formation que dans le milieu de la recherche et de la conservation des ressources naturelles. Les remarques et suggestions reçues ont été prises en compte dans la finalisation de ce travail, pendant l'atelier organisé à l'ENEF (Gabon) du 30 juillet au 03 août 2001.

Ce dernier atelier a été consacré au développement des modules. Les participants ont été choisis parmi les enseignants pressentis pour animer la formation sur la gestion participative. Pour atteindre les objectifs de l'atelier dans le temps imparti et tout en veillant à la dynamique de groupe et à la création des conditions d'apprentissage et de découverte, l'équipe de facilitation a introduit les travaux par la définition des «règles de jeu». Après examen des commentaires et suggestions reçus, il a été convenu d'élaborer un seul cours pour les trois niveaux (ingénieur, technicien, agent technique) et de laisser aux enseignants la possibilité de l'adapter, pendant un atelier pédagogique, en fonction des objectifs de formation de leur institution respective. La structure du cours devra reprendre les éléments développés à Mbalmayo (Cameroun) en les intégrant dans un kit de formation qui comprendra six modules et des accessoires pédagogiques.

Le contenu de ces modules a été défini pendant les séances de travail en groupes en s'inspirant de l'approche dite de la «pédagogie par objectif». Les modules sont subdivisés en séquences, sessions et séances. Pour chaque séquence, un objectif d'apprentissage a été formulé. Le contenu de la séquence a été identifié sur la base de l'objectif d'apprentissage.

Les participants ont débattu aussi de la poursuite du processus. Une dizaine d'engagements a été pris, parmi lesquels on note la rédaction des syllabus des modules par les participants à l'atelier, la mise en forme et la diffusion du kit de formation et le renforcement de la collaboration entre les écoles forestières sur la base des leçons apprises. En optant pour la rédaction des syllabus, les enseignants concernés se sont investis dans un exercice d'apprentissage qui s'est révélé efficace sur le plan de l'amélioration des compétences.

2.2. La Création Des Synergies Entre Les Institutions D'appui

L'appui aux institutions de formations forestière et environnementale est une action qui est imbriquée dans un système d'appui formé par les différents acteurs et par leurs interactions. Dans ce contexte, il a été indispensable d'identifier ces acteurs (comme des partenaires potentiels) avec l'objectif de les impliquer dans le processus. Les premières observations ont permis de noter que plusieurs institutions d'appui peuvent être intéressées par le processus régional de mise à jour des modules de formation dans les écoles forestière et environnementale. Cependant, certaines d'entre elles ont un champ d'action étroit (limitée à une seule institution), d'autres n'expriment encore que des bonnes intentions.

En procédant de cette façon, on cherche à créer des synergies et, par conséquent, faire de l'appui à ce processus régional de mise à jour des modules de formation, une action conjointe. Cette démarche a l'avantage d'économiser les ressources, d'éviter les duplications et le gaspillage en temps, de renforcer la cohésion des agences d'appui autour d'un objectif commun, d'éliminer la concurrence inutile et l'émergence d'initiatives rivales.

L'action du «projet facilitateur» a consisté à intéresser les agences d'appui identifiées au développement du processus. Pour y parvenir, certaines mesures de mise en confiance ont été indispensables. Celles-ci sont liées, d'une part, au caractère novateur de l'approche et aux premiers résultats atteints. Elles se rapportent aussi à la cohésion, dans cette entreprise de «marketing», qui s'est formée entre le «projet facilitateur», les institutions de formation concernées et les partenaires qui se joints à la facilitation de ce processus, notamment le Projet RENEFx et le Projet FORAFRIxi

Cette démarche a permis ainsi d'impliquer, dans l'appui à ce processus, diverses agences d'appui. Il s'agit particulièrement de la GTZ, de la FAO et du Ministère des Affaires Étrangères (France). Chacune d'elles a apporté un appui, de nature variable, à une étape donnée du processus, avec l'objectif de contribuer non seulement à la réalisation d'une action ponctuelle, mais aussi de l'inscrire dans le processus.

L'implication de toutes ces agences d'appui ne traduit pas nécessairement qu'elles poursuivent les mêmes objectifs. FORAFRI, par exemple, est plus préoccupé par les transferts des connaissances capitalisées, la FAO y voit avant tout une étude de cas qui peut alimenter le débat sur l'enseignement forestier, le Projet RENEF entend de son implication l'intégration de l'ENEF dans les réseaux régionaux et internationaux, le projet de cogestion s'intéresse principalement à l'intégration de la gestion participative dans les modules de formation, etc.

La mobilisation des institutions de formation a été fortement influencée par le rôle de leadership joué par l'ENEF. En se positionnant dans ce rôle, l'ENEF a contribué à l'appropriation du processus par les institutions de formations et au développement du sentiment d'appartenance au groupe.

Ce premier test montre que le dispositif d'appui ne s'est pas contenté d'observer une stratégie prédéfinie pour atteindre les objectifs. La stratégie a été affinée en fonction des évolutions réelles des acteurs concernés face aux situations nouvelles que l'intervention à fait naître. Cela suppose qu'un effort de réactualisation en temps réel a été consenti, comme nous allons le voir.

3. LE SUIVI DU PROCESSUS: UN AVENIR SUR LA BASE DES LEÇONS APPRISES

Le test qui a été réalisé montre que la trajectoire suivie par le processus d'élaboration des modules de gestion participative a été fortement influencée par les dynamiques d'échange, d'apprentissage et d'appropriation. En d'autres termes, le processus est passé par une série de boucles d'apprentissage.Celles-ci correspondent à des moments particuliers pendant lesquels les acteurs concernés se sont demandéss'ils sont sur la bonne voie?». Ces moments particuliers correspondent aux différents ateliers qui ont été organisés. En effet, nous avons vu, qu'après chaque atelier, les participants ont observé le processus et se sont posés la question de savoir «où voulons-nous aller? ». C'est à l'issue des débats sur la poursuite du processus que les activités à mener pendant la prochaine étape ont été identifiées. On peut ainsi remarquer que cet exercice a été réalisé pendant les trois ateliers organisés respectivement au Cap Estérias en novembre 2000, à Mbalmayo en mai 2001 et au Cap Estérias en août 2001. Chacun de ces ateliers a permis de réorienter l'action en fonction des leçons apprises.

Il a été convenu d'organiser un suivi de processus, d'une autre dimension, auquel les responsables des institutions de formations forestière et environnementale ont été appelés à participer. Celui-ci s'est fait dans le cadre d'une réunion qui a été organisée le 4 et le 5 Octobre 2001 à Libreville. Au cours de cette réunion, les responsables des institutions de formations ont évalué l'état d'avancement du processus et se sont interrogés sur la pertinence de l'approche utilisée. Les questions suivantes ont permis de guider la réflexion:

Ce questionnement s'est avéré indispensable pour tirer les leçons de cette expérience et définir l'action future avec confiance. Les responsables des institutions de formations forestière et environnementale se sont ainsi livrés à une réflexion sur le renforcement de la collaboration entre leurs institutions respectives avec l'objectif d'améliorer les programmes de formation. Les principaux résultats obtenus sont:

CONCLUSION

L'expérience en cours en Afrique centrale montre que l'approche axée sur les processus de groupe semble adaptée au renforcement de la collaboration sous-régionale dans la mise à jour des programmes de formation. Elle a permis à des acteurs qui ne se connaissaient pas auparavant, de convenir d'orientations communes en vue de résoudre les problèmes communs, mais aussi de renforcer les capacités mutuelles à travers l'action collective. La définition concertée des nouvelles actions, notamment à la fin de chaque atelier et après avoir observé l'état d'avancement du processus, s'est révélée efficace sur le plan de l'appropriation de l'initiative par les bénéficiaires et de l'émulation. Cependant, on peut se demander si les formateurs possèdent une culture qui leur permet d'intégrer l'erreur pour construire un nouveau savoir et adopter des nouvelles attitudes. On peut s'interroger aussi, au regard des revendications fortes d'identité tribale ou nationale par les Africains du centre, sur le sentiment d'appartenance à un groupe socioprofessionnel au niveau sous-régional. Quoi qu'il en soit, le processus est appelé à se poursuivre.


i Directeur Général de l'École Nationale des Eaux et Forêts du Gabon

ii Coordonnateur du Projet de cogestion des ressources naturelles dans le Basin du Congo (UICN).

iii Il s'agit, par exemple, de l'École des Eaux et Forêts du Gabon, de la Faculté d'Agronomie et des Sciences Agricoles de l'Université de Dschang, etc.

iv C'est le cas de l'École des Eaux et Forêts de Mbalmayo et de l'École de Faune de Garoua.

v CEFDHAC: Conférence sur les Écosystèmes de Forêts Denses et Humides d'Afrique Centrale

vi cf. Koyo J.P. (1999). Bases pour la mise en cohérence des politiques et lois forestières des pays d'Afrique centrale. UICN-BRAC / CEFDHAC.

vii UICN: Union mondiale pour la nature. Cette ONG assure le Secrétariat de la CEFDHAC.

viii Pour plus d'informations sur l'expérience de ce projet, consulter Borrini-Feyerabend G., Farvar T. M., Nguinguiri J.C. et Ndangang V.: La gestion participative des ressources naturelles. Organisation, négociation et apprentissage par l'action. GTZ & UICN, Kasparek Verlag, Heidelberg. (Notamment l'Annexe 4 sur l'expérience du projet de cogestion), 2000: 82- 91.

ix Les participants viennent des institutions de formation présentes à Douala. A ce groupe, s'est jointe l'École post-universitaire d'aménagement et de gestion durable des forêts tropicales (ERAIFT) basée en RDC. Pour des raisons de financement, il n'a pas été possible d'impliquer l'ISA du Burundi dans cette phase.

x Le Projet de Réhabilitation de l'École Nationale des Eaux et Forêts du Cap-Estérias (Gabon) est promu par la Coopération Allemande au Développement (GTZ).

xi Projet régional de capitalisation et de transfert des résultats des recherches menées dans les forêts denses humides d'Afrique.

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