47. Les recommandations ci-après ont été formulées:
Les tableaux 1 et 2 devraient être considérés comme dressant la liste des renseignements et des procédures minimums à inclure dans les certificats et la documentation commerciale harmonisés.
La FAO devrait étudier les moyens d'appliquer aux navires de pêche un code d'identification universel.
Les termes et les codes utilisés dans les certificats et la documentation commerciale pour les espèces, les engins de pêche, etc. devraient être ceux adoptés par le CWP, tandis que les codes de l'Organisation internationale de normalisation (ISO) devraient être utilisés pour les codes de pays.
La FAO devrait mettre au point des formulaires uniformes en consultation avec leurs utilisateurs et sur la base du tableau 1 et des formulaires déjà utilisés. Elle devrait encourager leur utilisation dans les systèmes actuels et à venir.
Il faudrait poursuivre l'effort d'harmonisation des codes tarifaires de produit afin de décrire correctement l'espèce soumise à documentation commerciale. Lorsqu'ils existent, ces codes doivent être intégrés dans les documents commerciaux.
Il faudrait envisager d'exiger de l'État du pavillon qu'il transmette toute l'information figurant dans les certificats ou dans les documents commerciaux à une base de données centrale utilisée par l'organisation régionale de gestion des pêches responsable.
La priorité pour l'élaboration de nouveaux systèmes devrait être donnée aux pêches qui font l'objet ou pourraient faire l'objet d'une pêche illicite, non déclarée et non réglementée importante.
Lorsque les certificats et la documentation exigés en vertu de différents systèmes se recoupent, l'organisation régionale de gestion des pêches devrait tenir des consultations afin de supprimer les documents faisant double emploi et les possibilités de fraude.
Il faudrait poursuivre les recherches sur la faisabilité de systèmes électroniques de production d'informations aux fins de la certification et de la documentation des captures.
En attendant qu'un certificat électronique soit mis au point et utilisé, il faudrait s'efforcer de limiter la taille de chaque document à une page de format A4.
Il faudrait envisager d'aider les pays en développement à s'adapter aux systèmes de certification et de documentation des captures.