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L'immobilisation d'un animal sauvage change le comportement du groupe

Götz Schürholz

Götz Schürholz forestier et biologiste spécialiste de la faune, travaille au bureau régional de la FAO pour l'Amérique latine, à Santiago du Chili.

Une biche appartenant à une harde socialement bien définie de cerfs communs a été immobilisée à plusieurs reprises pour certains tests. On a constaté que son comportement social et sexuel changeait pendant le temps où elle était sous l'influence de l'injection. L'auteur a noté ses observations et avance quelques explications possibles.

Au cours d'une expérience effectuée au printemps de 1972, on a dû immobiliser la même biche à plusieurs reprises. On a pu aussi constater des changements dans l'attitude des autres animaux du groupe à l'égard de cette biche comme dans l'organisation sociale du groupe tout entier.

Il s'agissait d'enregistrer les activités des animaux. Afin de pouvoir attacher un appareil enregistreur au cou de l'animal par un collier, il fallait capturer la biche au moyen d'une fléchette contenant un tranquillisant, tirée avec un fusil ou pistolet spécial. La biche choisie comme sujet vivait avec cinq autres cerfs communs dans une réserve de six hectares située dans la Forêt-Noire, en République fédérale d'Allemagne. Le groupe comprenait un cerf de 23 ans, une biche de 22 ans, une biche de 10 ans qui avait perdu son faon au cours de l'hiver précédent, une biche de trois ans accompagnée de son faon, et un cerf d'un an et demi.

Dans les bandes de cerfs communs, socialement organisées, la position des individus au sein du groupe est généralement définie en fonction d'une hiérarchie bien établie (Gossow, 1971; Buetzler, 1970, Schloeth, 1966). Le droit à occuper un rang donné est déterminé par un ensemble de facteurs d'ordre physique, comme le sexe, l'âge, le poids, la taille et la forme des bois, ou l'état général, ou d'ordre psychologique, comme la prédisposition à l'infériorité ou à l'agressivité. L'expérience montre que les privilèges individuels, que le cerf doit constamment défendre pour maintenir sa position propre au sein de l'organisation sociale du groupe, correspondent au rang occupé par chaque animal à un moment donné. Il faut donc que chaque individu soit constamment prêt à affirmer sa domination.

Dans une société à hiérarchie linéaire bien définie - et tel était le cas de ce groupe - cette défense du rang se manifeste par de multiples attaques dirigées la plupart du temps contre des animaux de rang inférieur. L'agressivité s'exprime par des attitudes menaçantes, des morsures sournoises, des coups de sabot, des poursuites. L'analyse quantitative et qualitative de ces confrontations sociales fait apparaître le type de hiérarchie en question. Un cerf vétéran demeure l'animal du rang le plus élevé tandis qu'une biche du même âge se voit reléguée au dernier rang du groupe (Schürholz, 1972). Le vieux cerf, en effet, immédiatement reconnu comme chef, l'alpha, n'a pas à faire la preuve de sa primauté comme les autres membres du groupe. Cet avantage lui permet d'être le premier aux aires d'alimentation, d'y rester aussi longtemps qu'il lui plaît, alors que les autres animaux attendent impatiemment de pouvoir accéder aux mangeoires en manifestant les uns vis-à-vis des autres un comportement extrêmement agressif pendant cette période de tension psychologique. Ainsi, le vétéran, bien nourri, ne donnait aucun signe de faiblesse physique. En revanche, une biche très âgée (il ne s'agit pas du sujet visé) se faisait bousculer et chasser de la mangeoire par tous les autres membres du groupe. Un jeune faon participait même à cette manifestation de discrimination, encore que ce soit par jeu. La vieille biche prenait grand soin de garder ses distances au sein du groupe, mais son instinct social était si fort qu'on la voyait rarement en dehors de l'aire d'évolution des autres animaux.

Si l'on compare les confrontations agressives au sein d'un groupe vivant dans une enceinte fermée, comme celui-ci, avec celles qui se produisent dans un groupe de même dimension mais totalement libre, on constate que la fréquence et l'intensité de ces manifestations sont bien moindres chez les animaux en enclos. Cela tient peut-être au fait que ces derniers finissent par bien se connaître, et n'ont donc pas besoin de se livrer à de pareilles épreuves de force comme les animaux vivant en liberté totale, chez lesquels, pour diverses raisons, la structure sociale du groupe change constamment. Le deuxième rang, bêta, au sein du groupe en enclos, était occupé par un cerf d'un an et demi couronné de dagues, le troisième par une biche de dix ans, le quatrième par une jeune biche accompagnée d'un faon. La biche de dix ans a été choisie comme sujet en raison de sa bonne intégration au sein du groupe, où elle occupait une position moyenne bien définie dans la hiérarchie sociale. C'est là un aspect très important pour des études comme celle-ci: l'expérience en effet montre que le moindre signe de faiblesse chez un membre d'un groupe peut immédiatement provoquer une réaction d'agressivité chez les animaux de rang inférieur. On a pu observer ce comportement à maintes reprises au cours de l'expérience, lorsqu'on a vu la biche de trois ans et son faon maltraiter le sujet alors sous l'influence du tranquillisant. Ils s'approchaient avec précaution de l'animal étendu, la biche la première, cou très allongé. Puis ils décrivaient un cercle autour de la biche immobilisée tout en reniflant le sol, allaient jusqu'à elle et la frappaient alors cruellement avec les pattes de devant jusqu'à ce qu'on les sépare de l'animal sans défense.

Il semble que, chez la femelle du cerf commun, la posture tête et cou inclinés - joue un rôle majeur dans l'éveil du rut chez le mule. C'est celle que prend la biche dans les quelques minutes qui suivent l'injection d'un mélange de tranquillisant et de décontractant musculaire utilisé pour l'immobiliser.

Ce comportement démontre que le membre d'un groupe est à chaque instant prêt non seulement à défendre sa propre position sociale, mais encore à saisir la moindre chance qui lui permette de s'élever dans la hiérarchie. Les réactions d'agressivité sont généralement dirigées contre l'individu de rang immédiatement inférieur. Le comportement agressif de la biche occupant la quatrième position contre la biche de troisième rang temporaire ment affaiblie est donc parfaitement compréhensible.

La biche très âgée, située au bas de l'échelle hiérarchique est restée indifférente à l'animal inoculé, tout comme d'ailleurs le cerf vétéran, lequel. vivant en solitaire, n'a jamais manifesté un grand intérêt pour les activités du reste du groupe.

Cependant, le daguet bêta du groupe se comportait différemment. Dès que la biche traitée a montré les premiers signes d'ataxie, c'est-à-dire son incapacité à coordonner les mouvements musculaires volontaires, il a commencé à la poursuivre, en lui flairant continuellement le périnée et en tentant à plusieurs reprises de la monter, mais en vain. Il s'approchait de la biche par derrière, lui léchait le périnée, posait son encolure sur la croupe de la biche, se dressait ensuite sur ses pattes de derrière pour la chevaucher de ses pattes de devant, qui se trouvaient à ce moment juste en avant des pattes de derrière de la biche. Selon Struhsacker (1967), ce comportement est aussi celui de l'élan (Cervus canadensis) en rut. La biche fort effrayée cherchait à lui échapper en se cabrant.

Il fallut séparer le daguet de la biche inoculée pour lui éviter d'être blessée et lui permettre de s'étendre.

Struhsacker (1967) définit le rut d'une espèce comme «un éveil sexuel périodique». Or, chez le cerf commun, le rut se produit généralement en automne. Comme notre étude a été effectuée en mars avril, force nous en est de conclure que ce comportement sexuel hors de la saison du rut doit être attribué à l'action de l'immobilisant. Il est à remarquer que nous n'avons jamais constaté ce genre de comportement à la suite de l'emploi d'autres drogues. L'excitation sexuelle peut avoir été stimulée par divers facteurs biologiques ou chimiques tels que:

- Activation des glandes du périnée à la suite d'une brusque sécrétion hormonale.

- Un phénomène d'hypoxie provenant de la stimulation du centre sexuel cérébral par l'entrée en activité des glandes du périnée.

- La possibilité que la substance inoculée, le Rompun, ait agi comme stimulant sexuel sur le cerf.

D'autre part, cet éveil sexuel s'explique peut-être tout simplement comme le fait Buetzler (1973), lequel a remarqué que certaines postures et mouvements de la biche contribuent puissamment à provoquer le rut chez le mâle (mais uniquement pendant la saison du rut). Il a noté en effet que si la biche se cambre ou courbe l'échine en inclinant la tête et le cou et en relevant la queue, l'impulsion sexuelle est déclenchée chez le cerf en rut. Ce comportement entraîne généralement une série de montes qui aboutissent à la copulation suivie d'insémination. Or, en l'occurrence, la biche inoculée baissait précisément la tête et l'encolure tout en courbant le dos, symptômes spécifiques de l'effet du Rompun et typiques de l'attitude qui stimule l'instinct sexuel chez le cerf.

On a pu à deux reprises faire des observations peut-être significatives sur le comportement du daguet après que la biche se fut allongée, se trouvant alors sous le plein effet de la drogue. Le jeune cerf s'approchait lentement de la biche inerte étendue sur le sol en lui flairant l'encolure, la croupe et les flancs, en lui léchant le périnée à petits coups de langue, reniflant le sol avec force pendant cinq minutes en tournant très lentement autour d'elle. Puis, du museau, il lui effleurait doucement le bout des oreilles, attendait un instant, posait le museau délicatement mais fermement entre ses oreilles, attendait encore, lui caressait les yeux puis, après un nouveau temps d'arrêt, retournait derrière elle, cherchant à enfouir le museau entre le train arrière et son ventre. Il recommençait à tâter son périnée du museau, qu'il relevait alors lentement juste au-dessus de l'horizontale, la bouche ouverte, mais sans retrousser ni rétracter les babines, et sans émettre le moindre son. Il gardait cette position pendant plusieurs secondes, immobile, avant de recommencer à flairer le sol tout en tournant autour de la biche étendue et en la taquinant du museau. On l'a vu interrompre son manège 13 fois en 26 minutes pour prendre cette pose caractéristique, la tête levée, qui semble identique au flehmen décrit par Schneider (1930).

Un comportement très analogue a été signalé chez l'élan en rut (Cervus canadensis) par Struhsacker. Ce dernier a constaté cette attitude consistant à rester la gueule ouverte le plus souvent chez des mâles âgés de deux ans et demi ou plus. Ce comportement n'a été remarqué que deux fois chez les daguets. Il se produit après que le mâle ait flairé le sol fréquemment à l'endroit où une femelle était couchée peu de temps auparavant, ou après qu'il ait flairé le périnée d'une biche (Struhsacker, 1967). Ses observations viennent confirmer la thèse selon laquelle certains des paramètres du comportement que l'on vient de décrire constituent de véritables indicateurs de rut chez le cerf.

Nous aimerions revenir un instant sur l'attitude du cerf touchant du museau l'oreille, puis l'œil, puis le museau de la biche et lui pressant le ventre avec la tête. Les biologistes de la faune qui ont l'expérience des immobilisants savent reconnaître la profondeur d'une anesthésie par simple vérification des réflexes de défense de l'animal immobilisé en touchant ses narines, ses oreilles et ses yeux. Ces stimulations tactiles ont généralement pour effet de faire se relever tout animal qui en est capable. En se comportant ainsi, le cerf essayait peut-être aussi de réveiller la biche. A cet égard, on a parfois signalé des cas de forkeln (c'est-à-dire l'emploi par le cerf de ses bois comme arme mortelle) vis-à-vis d'animaux immobilisés (Schürholz, 1972). D'une façon générale cependant, ce qui semble être le forkeln n'est probablement pas une tentative de tuer un animal anesthésié, mais plutôt de le réveiller au moyen d'un stimulant plus vigoureux qu'un simple effleurement de l'oreille, de l'œil ou du museau.

Il est également possible qu'en poussant son museau contre l'abdomen de la biche le cerf ait cherché à la décongestionner. On aisément disparaître la congestion, que l'on constate parfois chez les ruminants drogués, en dressant l'animal jusqu'à lui incliner le poitrail vers le bas tout en maintenant la tête et le cou baissés et en lui massant doucement l'abdomen. Faute de ce traitement, l'animal anesthésié meurt.

De toute manière, aucune confusion n'est possible entre le comportement du daguet et: celui de la biche adulte, accompagnée de son faon. Les sévices évidents infligés par cette dernière traduisaient presque certainement la lutte pour la préséance, dans laquelle la biche de rang secondaire tentait de démontrer sa supériorité sociale sur la biche anesthésiée de rang normalement supérieur.

Dès le rétablissement de la biche, la structure hiérarchique au sein de la harde est redevenue normale, et le comportement sexuel du daguet a cessé immédiatement. Toutefois, bien que la biche n'ait eu aucune difficulté à regagner son rang dans la société, les mêmes aberrations sociales et sexuelles se sont reproduites à chacune des quatre occasions dans lesquelles nous avons assisté ou participé à son immobilisation.

Nous aimerions que l'on nous signale des cas de comportement sexuel ou hiérarchique analogues qui auraient pu être observés à la suite d'une immobilisation chez les cervidés ou d'autres espèces.

L'immobilisant «Rompun»

Les expériences pharmacologiques effectuées avec le Rompun indiquent que ce produit peut avoir une action très spéciale allant de la sédation à un état semblable à l'anesthésie, accompagnée d'une déconcentration des muscles et d'une analgésie générale, qui varie considérablement d'une espèce à l'autre.

Ce produit, également dénommé hydrochlorure de xylasine, se présente sous forme de poudre, avec laquelle il est facile de préparer une solution de la concentration voulue. Mis au point et commercialisé par Bayer, le Rompun peut être administré par voie intramusculaire ou intraveineuse. Sa formule chimique est la suivante: 2 - (2,6-xylidino) - 5,6 - dihydro - 4H - 1,3 hydrochlorure de thiazine. La musculature de la patte postérieure est le point d'inoculation le plus favorable (Bayer, 1971). Le Rompun peut être inoculé par des fléchettes-seringues lancées au moyen d'engins spécialement étudiés à cet effet.

Les premiers effets se manifestent 10 ou 15 minutes après l'injection. Il importe de ne pas toucher ni approcher l'animal anesthésié avant que l'injection n'ait pleinement agi.

Il se produit parfois chez les ruminants une congestion qui peut être évitée si l'on pratique les soins et traitements prescrits. L'animal est entièrement rétabli au bout de trois à quatre heures, pendant lesquelles il importe de ne pas le laisser sans surveillance. Ce long délai de rétablissement est l'inconvénient principal du Rompun.

Au nombre de ses avantages figurent notamment son action rapide, l'absence d'effet secondaire négatif, le fait qu'il ne nécessite aucun antidote, qu'il est physiologiquement bien toléré et qu'il peut être utilisé plusieurs fois sur le même animal.

Références

BAUDITZ, R., 1972, Sedation, Immobilisation und Anästhesie von Zoo- und Wildtieren mit Rompun. Veterinär-medizinisiche Nachrichten 3(72): 204230.

BUETZLER, W., 1970, Kampf- und Paarungsverhalten, soziale Rangordnung und Aktivitaetsperiodik beim Rothirsch. Dissertation, Université de Gottingue.

FARBENFABRIKEN BAYER AG., 1972, Information paper on Rompun. D17-731/34754. Leverkusen.

GOSSOW, H., 1971, Soziologische und Rangordnungsaspekte bei einer alpinen Rotwild-Population. Allgemeine Forst- und Jagdzeitung, 142(7): 169-173

SCHLOETH, R., 1966, Verwandtschaftliche Beziehungen und Rudelbildung beim Rothirsch. Revue suisse de zoologie. 74.

SCHNEIDER, K.M., 1930, Das Flehmen. Zoologischer Garten, Leipzig, N.F., 314: 183-198.

SCHÜRHOLZ, G., 1972, Vergleich der sozialen Rangordnung und des davon beeinflussten Verhaltens bei zwei gegatterten Rotwildrudeln in Schwarzwald. Rapport à la Forstschutzstelle Süd, Baden-Württembergische Staatsforstverwaltung, 28 p.

SCHÜRHOLZ, G., 1973, Mechanical recording of ruminant activities. Document présenté à la 11e International Conference of Game Biologists, septembre 1973, Stockholm.

STRUHSACKER, T., 1967, Behaviour of elk (Cervus canadensis) during the rut. Zeit-schrift für Tierpsychologie, 24: 80-114.

Coefficients de conversion pour le bois travaillé

Produits

Unité

Volume solide



Mètre cubes

Pieds cubes

1000 board feet

Standards

1. Sciages

Mètre cube

1

35,31

0,424

0,214


Standard

4,672

165

1,98

1


Pied cube

0,02832

1

0,012

0,00606


1000 board feet

2,36

83,33

1

0,505


1000 super feet

2,36

83,33

1

0,505


Tonne de 50 pieds cubes

1,416

50

0,600

0,303

Conifères

1 tonne métrique

1,82

64,3

0,771

0,389

Feuillus

1 tonne métrique

1,43

50,5

0,606

......

2. Traverses

1 tonne métrique

1,28

45,3

0.543

......

3. Contre-plaqués

1 tonne métrique

1,54

54,3

......

......

par 1 mm d'épaisseur

1000 m²

1

35,31

......

......

par 1/8 de pouce d'épaisseur

1000 pieds carrés

0,295

10,42

......

......

4. Feuilles de placages:

1 tonne métrique

1,33

47

......

......

par 1 mm d'épaisseur

1000 m²

1

35,31

......

......

par 1/10 de pouce d'épaisseur

1000 pieds carrés

0,236

8,33

......

......



Tonnes métriques

Mètres cubes

Pieds cubes


5. Panneaux de fibre:






Comprimés

1 m³

0,950

1

35,31



1000 pieds cubes

26,90

28,32

1000


par 1 mm d'épaisseur

1000 m²

0,950

1

35,31


par 1/8 de pouce d'épaisseur

1000 pieds carrés

0,280

0,295

10,42


Non comprimés

1 m³

0,250

1

35,31



1000 pieds cubes

7,08

28,32

1000


par 1 mm d'épaisseur

1000 m²

0,250

1

35,31


par 1/8 de pouce d'épaisseur

1000 pieds carrés

0,074

0,295

10,42


6. Panneaux de particules:

1 m³

0,650

1

35,31


par 1 mm d'épaisseur

1000 m²

0,650

1

35,31


par 1/8 de pouce d'épaisseur

1000 pieds carrés

0,192

0,295

10,42


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