1) Le Directeur général, dans son Examen des programmes, structures et politiques de l’Organisation, a présenté un ensemble de réformes au Conseil de la FAO en mai 1994. La décentralisation est devenue l’un des « principes directeurs » de cette réforme, constituant ainsi la base des propositions destinées à rendre l’Organisation plus dynamique et plus efficace. Les principes directeurs envisageaient « La décentralisation la plus vaste possible des activités techniques aux niveaux régional, sous-régional et national … Le Siège de la FAO est trop éloigné des populations rurales d’Asie, des petits États insulaires du Pacifique, des problèmes considérables des pays fragiles de l’Afrique, des questions spécifiques intéressant l’Amérique latine et les Caraïbes, le Proche-Orient et l’Europe orientale. Il faut absolument que l’Organisation demeure pertinente et visible et qu’on la voie agir à proximité des problèmes. Les résultats positifs d’une politique active de décentralisation résident dans l’emploi amélioré des capacités nationales, sous-régionales et régionales, des économies substantielles en ce qui concerne les modalités de mise en place et une réduction du temps écoulé entre le moment où les États Membres font part de leurs besoins et celui où l’Organisation les satisfait »32.
2) Le processus de renforcement de la décentralisation en cours depuis 1995, a été mis au point et adapté au fil de l’expérience. Un certain nombre de mesures ont été prises, notamment:
- renforcement des effectifs techniques des bureaux régionaux desservant les cinq régions en développement;
- création et dotation en personnel d’une Sous-Division de l’assistance en matière de politiques dans chacun des bureaux régionaux, s’occupant également de l’élaboration du Programme de terrain;
- établissement d’unités administratives de soutien régionales, pour la fourniture de services administratifs et des ressources humaines aux bureaux régionaux et au Programme de terrain;
3) La Direction de la FAO a jugé que huit ans après la décision de décentraliser certaines fonctions importantes de l’Organisation, le moment était venu de dresser un bilan complet et indépendant des résultats obtenus jusqu’à présent. La nécessité d’une telle évaluation a également été soulignée par les organes directeurs33, ainsi que par le Commissaire aux comptes34 et le Corps commun d'inspection.
4) Les fonctions décentralisées dont il est question sont celles qui sont exécutées en dehors du Siège de la FAO, c’est-à-dire dans les bureaux régionaux, sous-régionaux, de pays et de liaison. Les rapports entre les structures et les fonctions centralisées et décentralisées, et entre ces dernières, seront examinés. Une évaluation sera faite des fonctions pouvant être centralisées ou décentralisées de la façon la plus efficace. Cette analyse et les conclusions tirées tiennent compte du fait que l’exécution des fonctions au niveau central et par le biais de bureaux décentralisés est un processus non pas statique, mais qui évolue en fonction des nouveaux besoins des États Membres, des progrès technologiques et des ressources dont dispose la FAO.
5) Conformément à l’orientation donnée par le Cadre stratégique de la FAO, l’évaluation sera formative, son objectif premier étant d’indiquer comment accroître les bénéfices de la décentralisation pour les pays Membres tout en corrigeant les éventuels impacts négatifs et en garantissant un meilleur rapport coût-efficacité. Par conséquent, le but central de l’évaluation sera de favoriser les objectifs contenus dans les principes directeurs mentionnés ci-dessus, tout en assurant la cohérence de la FAO en tant qu’organisation unitaire, pour accroître:
6) L’évaluation consistera essentiellement à dégager les points forts et les points faibles de la décentralisation par rapport aux structures, fonctions et procédures organisationnelles telles qu’elles ont été établies à ce jour. Les différentes étapes du processus de décentralisation seront examinées, mais l’évaluation veillera tout particulièrement à identifier les ajustements importants à apporter à la décentralisation, au stade actuel, afin de mieux satisfaire les besoins à l’avenir.
7) L’évaluation analysera également la validité et l’efficacité de la stratégie de décentralisation par rapport à l’environnement mondial en pleine évolution et aux besoins changeants des pays Membres, en mettant l’accent sur les changements pertinents de ces besoins. Le fonctionnement des structures décentralisées est considéré comme ayant un rôle essentiel à jouer dans chacune des six stratégies de la FAO pour aborder les questions intersectorielles35.
8) Cette évaluation tiendra compte des vues des pays Membres sur les services demandés et reçus, leur qualité et leur efficacité. L’expérience d’autres organisations du système des Nations Unies, notamment d’autres institutions spécialisées, sera également prise en considération.
9) Un élément clé de la réussite de la décentralisation est l’ajustement des processus, des procédures et de l’infrastructure d’appui, notamment pour la technologie de l’information. Divers examens, en cours ou déjà conclus, ont été effectués par des groupes de travail internes concernant les procédures administratives et financières, les niveaux décisionnels, les liaisons hiérarchiques, le remboursement des dépenses d’appui, les besoins en personnel et en technologie de l’information, et cela principalement mais pas exclusivement, en relation avec l’élaboration et l’exécution du Programme de terrain. Des rapports du Bureau de l’Inspecteur général se sont également occupés des Représentants de la FAO et des bureaux régionaux. L’évaluation n’examinera donc pas ces aspects d’une façon détaillée, mais elle s’appuiera sur les travaux de ces groupes pour former son jugement.
10) Il s’agira d’une évaluation d’ensemble, mais au cours de ses travaux l’équipe responsable définira et se concentrera sur les domaines dans lesquels il y a lieu à son avis de renforcer certains points forts et de pallier certaines faiblesses. Dans le cadre de son mandat, l’équipe d’évaluation jouira donc de l’indépendance voulue et d’une certaine souplesse pour explorer de façon plus approfondie les questions jugées importantes.
11) La démarche adoptée pour l’analyse consistera à identifier les principaux besoins et problèmes, dans un contexte de ressources limitées ne permettant pas de répondre à toutes les attentes. Le degré de satisfaction des pays Membres et les travaux menés avec les partenaires de développement seront évalués, dans la mesure du possible, aussi bien pour la FAO dans son ensemble que séparément, pour le Siège et les structures décentralisées. Les dispositifs mis en place dans d’autres institutions constitueront une référence utile. Les facteurs à examiner pour l’évaluation de la pertinence et de l’efficacité générales de la décentralisation, sont notamment les suivants:
- l’identification de leurs besoins et la priorité donnée à leur satisfaction;
- la fourniture de services de coopération technique;
- la planification préalable et les interventions en cas d'urgence;
- l’assistance pour l’élaboration de programmes et la participation aux travaux de planification et de mise au point de stratégies dans les pays, tels que les processus CCA/PNUAD et PRP;
- l’analyse technique et des politiques, les avis et le dialogue au niveau national et régional (y compris les questions internationales);
- la fourniture et la diffusion de l’information;
- la promotion et la mise en place d’un cadre pour le dialogue à l’échelon national, régional et mondial;
- le soutien pour une intégration politique et économique régionale et sous-régionale;
- la mobilisation de ressources.
- les exigences des pays Membres;
- la capacité de délivrer le service et son accomplissement effectif, en termes de qualité et d’efficacité de prestation (y compris les capacités du personnel, les systèmes, les modalités de travail internes et l’infrastructure);
- le coût et autres considérations d’efficience.
- la structure organisationnelle;
- la clarté des fonctions, des rôles et des responsabilités;
- les dispositions concernant la planification, la programmation et la budgétisation pour le programme ordinaire et pour les activités extrabudgétaires;
- les niveaux décisionnels et la souplesse;
- les contrôles (techniques, financiers et administratifs);
- la coordination générale, la gestion, les flux d’information et la communication;
- d’autres aspects des systèmes et des procédures.
- les mesures d’incitation, le statut et la structure du système de rétribution, la pratique et les conceptions, et les implications au niveau de la coopération, de la concurrence et du style de gestion;
- les répercussions au niveau des liaisons hiérarchiques, des flux d’information et de la communication;
- les politiques, procédures et pratiques relatives aux ressources humaines;
- les comportements face à l’apprentissage organisationnel et au changement.
12) L’équipe d’évaluation étudiera la validité des critiques et des suggestions émanant des examinateurs internes et externes, y compris le Corps commun d'inspection et le Commissaire aux comptes.
13) Les recommandations seront classées par ordre de priorité et indiqueront clairement les améliorations susceptibles d’être apportées sans ressources additionnelles. Des indications concernant les coûts et les économies seront données pour les changements proposés (si possible sur la base d’un scénario).
14) Une condition préalable pour la réalisation des objectifs de l’évaluation est que celle-ci soit non seulement indépendante, mais aussi transparente et que la participation des parties prenantes soit assurée tout au long du processus.
15) L’évaluation sera précédée d’un examen sommaire de toute la documentation disponible.
16) Le processus d’évaluation sera essentiellement consultatif et fera l’objet d’échanges de vues avec l’Équipe d’évaluation. Il prévoit:
17) Aucun examen par des pairs n’est envisagé car l’évaluation sera conduite par des consultants externes et prévoit un groupe de travail.
18) Selon la pratique habituelle, lorsque l’évaluation sera terminée, la Direction de la FAO préparera une réponse officielle aux conclusions et aux recommandations de l’équipe, qui sera transmise aux organes directeurs, conjointement avec le rapport d’évaluation.
Chefs d’équipe
David Sands Smith (Royaume-Uni) a travaillé tout au long de sa carrière auprès du Département du Royaume-Uni pour le développement international (DFID) en Afrique et en Asie, occupant les fonctions suivantes: Chef du Département du DFID pour le développement de la Communauté européenne (et représentant du Royaume-Uni pour les questions de développement à l’occasion des négociations de Lomé); Directeur du bureau régional du DFID pour l’Afrique orientale, à Nairobi; représentant du Royaume-Uni auprès des institutions des Nations Unies basées à Rome; Chef du bureau du DFID en Écosse et Chef des services centraux (poste prévoyant notamment la responsabilité des fonctions administratives et de gestion du personnel du DFID). Il a achevé sa carrière au DFID en qualité de Chef du Département des politiques d’aide au développement.
Mary Chinery-Hesse (Ghana) est actuellement Membre du Groupe de haut niveau du Secrétaire général des Nations Unies chargé d’étudier les menaces, les défis et les changements nécessaires. Elle occupait précédemment les fonctions suivantes: Directrice générale adjointe de l’OIT; représentant résident du PNUD (Sierra Leone, Tanzanie, Seychelles et Ouganda); et au Ghana, premier Secrétaire du Ministère des finances et de la planification économique, et Secrétaire du Conseil national de planification économique. Elle a également assuré les fonctions de Présidente du Comité consultatif des Nations Unies pour les questions relatives aux programmes et aux activités opérationnelles, du Groupe d’experts éminents du Commonwealth sur l’ajustement structurel et les femmes, et du Groupe de personnalités éminentes pour l’examen des progrès réalisés dans l’exécution du Programme en faveur des pays les moins avancés. Mme Chinery-Hesse a été membre du Comité des conseillers africains de la Banque mondiale, du Groupe consultatif de personnalités éminentes de l’Union africaine, du Groupe de haut niveau sur le financement du développement (Commission Zedillo) et de la Commission de la fonction publique internationale.
Consultants régionaux
Adel Aboul-Naga (Égypte) a quitté son poste de Représentant de la FAO au Pakistan à la fin de 2003. Auparavant, il avait été le représentant de son pays auprès des institutions des Nations Unies basées à Rome pendant cinq ans, période au cours de laquelle il a également été membre du Comité du Programme de la FAO, et président du Groupe des 77 et du Groupe pour le Proche-Orient. Au moment de sa nomination à ce poste, il exerçait les fonctions de Sous-Secrétaire à la production animale en Égypte, poste qui l’appelait à sillonner la région du Proche-Orient. Dr. Aboul-Naga est titulaire d’un doctorat en zootechnie.
Minoli Santiapillai (Sri Lanka) a travaillé pendant plus de vingt ans auprès du PNUD dans divers pays d’Asie. Elle a été responsable du suivi par le PNUD des projets de la FAO à Sri Lanka. Plus récemment, elle a travaillé en tant que consultant indépendant pour un certain nombre de clients, y compris du secteur privé, s’occupant en particulier des questions de parité hommes-femmes et de développement social.
Robert Cabral y Bowling (Mexique) a fait une longue carrière dans le monde universitaire et de la recherche auprès de l’Université de Mexico dans le domaine du développement économique et agricole. En tant que conseiller économique pour le Gouvernement mexicain, il s’est notamment occupé de la réforme agraire du Mexique et de l’aide étrangère au secteur agricole. Ancien Directeur général de la planification auprès du Ministère de l’environnement, des ressources naturelles et des pêches, il a été dans une période plus récente le Conseiller principal du Sous-Secrétaire d’État aux hydrocarbures.
Bureaux des Représentants de la FAO et Représentants de la FAO
1) Bien que les fonctions des bureaux de pays de la FAO soient nombreuses, l’évaluation a mis en lumière celles qui sont déterminantes aux fins de l’établissement des compétences de ces bureaux:
2) Aux fins de l’établissement de l’éventail des qualifications requises pour ces bureaux, ces tâches correspondent d’une façon générale aux compétences suivantes:
3) L’équipe d’évaluation est parvenue à la conclusion que, sous réserve de certaines variations selon les besoins et les potentialités des pays desservis, les Représentants de la FAO doivent posséder personnellement l’ensemble des compétences indiquées ci-dessus. Si les capacités de gestion et d’administration solides requises peuvent parfois être en partie compensées par les compétences d’autres éléments au sein du bureau du représentant, cela n’est pas possible en revanche pour les autres capacités.
Fonctionnaires techniques régionaux/sous-régionaux
4) La mise en application des recommandations contenues dans le présent rapport tendra à élargir les responsabilités des fonctionnaires techniques quant aux domaines à couvrir et à leurs rôles politiques et stratégiques à la fois dans le pays desservi et au niveau régional. Ces agents seront également appelés à travailler davantage dans le cadre d’équipes interdisciplinaires. Leur rôle sera donc le suivant:
5) L’éventail des qualifications requises pour l’accomplissement de ces fonctions est le suivant:
Représentants régionaux/sous-régionaux
6) Les responsabilités des représentants régionaux et sous-régionaux seront notamment les suivantes:
7) Pour l’accomplissement de ces fonctions, les compétences requises au plus haut niveau sont notamment les suivantes:
ACP | Afrique, Caraïbes, Pacifique |
ADG | Sous-Directeur général |
AFI | Division des systèmes et des techniques d’information |
ALENA | Accord de libre-échange nord-américain |
CCA | Évaluation conjointe de pays |
CCI | Corps commun d’inspection |
CEI | Communauté des États indépendants |
CNUCED | Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement |
COIN | Réseau d’information des bureaux de pays |
CTPD | Coopération technique entre pays en développement |
DSRP | Document de stratégie pour la réduction de la pauvreté |
ES | Département économique et social |
ESA | Division de l'économie agricole et du développement |
ESC | Division des produits et du commerce international |
FAOR | Représentant de la FAO |
FAS | Système de comptabilité de terrain |
FI | Département des forêts |
FIDA | Fonds international de développement agricole |
FNUAP | Fonds des Nations Unies pour la population |
FPMIS | Système d'information sur la gestion du Programme de terrain |
GII | Division de l’information |
IFI | Institution financière internationale |
IICA | Institut interaméricain de coopération pour l'agriculture |
LOBR | Bureau de liaison avec l'Union européenne et la Belgique (Bruxelles) |
LOGE | Bureau de liaison avec les Nations Unies (Genève) |
LOJA | Bureau de liaison avec le Japon (Yokohama) |
LONY | Bureau de liaison avec les Nations Unies (New York) |
LOWA | Bureau de liaison pour l’Amérique du Nord |
MSU | Unité administrative de soutien |
NEPAD | Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique |
OCD | Bureau de coordination des activités normatives, opérationnelles et décentralisées |
OCHA | Bureau des Nations Unies pour la Coordination des affaires humanitaire |
OGM | Organismes génétiquement modifiés |
OIT | Organisation internationale du travail |
OMC | Organisation mondiale du commerce |
OMD | Objectifs du Millénaire pour le développement |
OMS | Organisation mondiale de la santé |
ONG | Organisation non gouvernementale |
ONU | Organisation des Nations Unies |
ONUDI | Organisation des Nations Unies pour le développement industriel |
OPS | Organisation panaméricaine de la santé |
OTC | Obstacles techniques au commerce |
OTO | Fonctionnaire technique détaché à l’extérieur |
PAC | Politique agricole commune |
PAM | Programme alimentaire mondial |
PCT | Programme de coopération technique FAO |
PIB | Produit intérieur brut |
PMA | Pays les moins avancés |
PMT | Plan à moyen terme |
PNUD | Programme des Nations Unies pour le développement |
PPRC | Comité chargé de l’examen de programmes et de projets |
PSSA | Programme spécial pour la sécurité alimentaire |
PTB | Programme de travail et budget |
RAF | Bureau régional pour l’Afrique |
RAP | Bureau régional pour l'Asie et le Pacifique (Bangkok) |
REU | Bureau régional pour l’Europe |
RLC | Bureau régional pour l’Amérique latine et les Caraïbes |
RNE | Bureau régional pour le Proche-Orient (Le Caire) |
RP | Programme ordinaire |
RR | Représentant régional |
SAD | Bureau du Conseiller spécial du Directeur général |
SAFR | Bureau sous-régional pour l’Afrique australe et orientale |
SAPA | Bureau sous-régional pour les îles du Pacifique |
SDA | Division du développement rural |
SEUR | Bureau sous-régional pour l’Europe centrale et orientale |
SICIAV | Système d'information et de cartographie sur l'insécurité alimentaire et la vulnérabilité |
SIDA | Syndrome d’immunodéficience acquise |
SLAC | Bureau sous-régional pour les Caraïbes |
SMM | Réunion de direction de haut niveau |
SNEA | Bureau sous-régional pour l’Afrique du Nord |
TCA | Division de l'assistance en matière de politiques |
TCAP | Service de développement du Programme de terrain |
TCAR | Service de coordination des politiques |
TCAS | Service du soutien aux politiques agricoles |
TCE | Division des opérations d’urgence et de la réhabilitation |
TCI | Division du Centre d'investissement |
TCO | Division des opérations de terrain |
TI | Technologies de l’information |
UE | Union européenne |
UNDAF | Plan-cadre des Nations Unies pour l’aide au développement |
Unesco | Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture |
UNICEF | Fonds des Nations Unies pour l’enfance |
VIH | Virus de l'immunodéficience humaine |
_________________________
32 Voir CL 106/2, paragraphe 24 et Résumé d’orientation, paragraphe VI e).
33 Quatre-vingt-sixième session du Comité du Programme et quatre-vingt-dix-septième session du Comité financier.
34 Voir C/2001/5, Comptes vérifiés 1998-99, paragraphe 174.
35 Garantir l’excellence; Promouvoir l’approche interdisciplinaire; Élargir les partenariats et les alliances; Continuer à améliorer le processus de gestion; Assurer un effet multiplicateur des ressources pour la FAO et ses Membres; Diffusion des messages de la FAO.