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Expansion de la culture du maïs en zone cotonnière du Togo: craintes et espoirs

Kokou DJAGNI
IRCT, Anié, Togo

Résumé. Traditionnellement limité aux seules régions méridionales du Togo, le maïs se cultive actuellement dans les régions septentrionales du pays. Dans ces régions, les surfaces cultivées sont en constante progression. Dans les régions à deux saisons de pluies, le maïs facilite la mise en place et le développement du coton (principale source de revenu monétaire) dans un système de culture bien adapté à ce régime pluviométrique. Pour les exploitations des régions à une saison de pluies, le maïs apparaît comme une solution, d'une part au raccourcissement du cycle pluviométrique, d'autre part au problème du faible niveau de production du sorgho et du mil lié à la baisse de la fertilité des sols, en particulier dans la région des savanes. Le maïs occupe une importante place dans les systèmes de production, sur les plans tant agronomique que social et économique. Toutefois, pour que le maïs puisse véritablement prospérer, il y a des contraintes à lever, parmi lesquelles: l'absence de circuit de commercialisation organisé, la non-disponibilité de crédit pour l'achat des intrants indispensables à la culture du maïs, l'intégration du maïs aux systèmes de culture dans les régions non traditionnellement productrices. Pour relever le défi, l'Etat se doit de définir une politique claire en matière de promotion de la culture du maïs.

Mots-clés. Circuit de commercialisation, crédit de campagne, maïs, système de culture, système de production, zone cotonnière, Togo.

Pendant longtemps, les systèmes de culture au Togo étaient tels que les spécialistes avaient dû distinguer trois aires de culture. l'aire du maïs au sud, l'aire de l'igname au centre et l'aire du mil (sous-entendu mil et sorgho) au nord (figure 1 a). Ce découpage tient compte non seulement de l'importance relative de la surface cultivée d'une culture, mais aussi de son rôle social et économique pour la communauté. C'est le critère socio-économique qui donne du poids à l'igname dans son aire d'influence.

Cependant, le brassage de la population et les actions de vulgarisation menées par les structures de développement pour répondre à certaines attentes des paysans ont entraîné une évolution de cette réalité.

Les statistiques nationales de la Direction des enquêtes et statistiques agricoles (DESA) d'une part, et les travaux de recherche de la section d'agroéconomie de l'IRCT-Togo d'autre part, permettent de montrer que le maïs se cultive de plus en plus hors de sa zone traditionnelle de culture.

Une approche complémentaire et explicative

A travers une «approche système», la section d'agroéconomie de l'IRCT-Togo a mis en place une étude de cas de quelques exploitations agricoles dans la zone cotonnière du Togo, aire d'intervention de la Société togolaise du coton (SOTOCO). Cette étude de cas se veut explicative des mécanismes de fonctionnement des unités de production (UP) ou exploitations agricoles. Sa finalité est de mettre à la disposition des différents partenaires du développement rural des outils d'aide à la décision.

La méthodologie consiste à réaliser un suivi et des enquêtes pluriannuels auprès d'un échantillon réduit d'exploitations: une centaine d'exploitations choisies dans cinq villages, à raison de 20 UP par village et un village par petite région (figure M. La technique d'échantillonnage utilisée est le «choix raisonné», largement décrite dans les documents produits par la section (FAURE ET DJAGNI, 1985).

Figure 1a. Zones climatiques et grandes aires de culture.

Figure 1b. Petites régions du Togo et situation des villages enquêtés.

Quatre des cinq villages sont ainsi suivis de façon régulière depuis une dizaine d'années et constituent un observatoire des transformations du milieu rural. Il s'agit des villages de:

Le premier village se situe dans la zone à pluviométrie bimodale, tandis que les trois autres se trouvent en zone unimodale. Le cinquième village, qui se situait également dans la zone bimodale, a été abandonné, après cinq années de suivi, pour des raisons budgétaires.

Les résultats issus de cet échantillon n'ont pas une représentativité statistique suffisante pour être extrapolés àl'échelle régionale. Toutefois, ils permettent d'expliquer les phénomènes décrits par les cellules de suivi-évaluation (CSE) et la DESA. De ce fait, les travaux de la section sont complémentaires aux enquêtes statistiques menées par ces structures.

Les statistiques nationales des principales cultures vivrières

Les statistiques nationales sur les surfaces cultivées des principales cultures vivrières, récapitulées dans le tableau ci-après, situent le maïs par rapport aux autres cultures (tableau 1). Ces statistiques mettent en évidence deux phénomènes: les zones où le maïs est cultivé et son évolution dans le temps (DESA, 1984 et 1990).

Tableau I. Importance relative (%) des principales cultures vivrières dans chaque région, campagnes 1982-1983 et 1989 1990

  Maritime Plateaux Centrale Kara Savanes
1982 1989 1982 1989 1982 1989 1982 1989 1982 1989
Maïs 83 97 50 62 12 14 5 9 0 4
Manioc 12 4 5 2 11 3 2 2 0 0
Arachide 2 4 2 1 1 1 8 6 8 10
Haricot 3 2 7 1 4 3 0 1 2 1
Igname 0 2 20 8 24 21 24 16 2 0
Sorgho 0 1 10 22 44 55 56 54 36 33
Mil 0 0 0 0 0 0 5 9 46 50
Riz 0 0 6 4 4 3 0 3 6 2
Total 100 100 100 100 100 100 100 100 100 100

Source: Direction des enquêtes et statistiques agricoles.

Les zones de culture

Dans la région maritime et le sud de la région des plateaux, les systèmes de culture ont été simplifiés. Le maïs y est principalement cultivé avec un peu de manioc, d'arachide et de niébé. En fait, le manioc est plus important qu'il n'apparaît sur ce tableau, mais il est pratiqué à titre secondaire.

En revanche, dans le nord de la région des plateaux et dans les régions centrale, Kara et des savanes, plusieurs cultures sont encore pratiquées à titre principal. Mais l'importance du maïs décroît au fur et à mesure qu'on monte vers le nord. Ce sont surtout le sorgho, le mil, l'igname et l'arachide qui y dominent. Tout comme le manioc dans le sud, le niébé y est cultivé sur la quasi-totalité des parcelles, mais à titre secondaire.

Traditionnellement, la culture du maïs était donc principalement limitée aux seules régions méridionales du Togo, très peu pratiquée dans les régions centrales et Kara, et quasiment inconnue dans la région des savanes.

Evolution de la culture du maïs au Togo

Lorsqu'on compare la SCA (surface cultivée dans l'année) de 1989 à celle de 1982, on s'aperçoit que, non seulement le maïs est cultivé actuellement dans toutes les régions du pays, mais aussi, en proportion, sa surface a progressé ces dernières années. Il est ànoter que, du point de vue des superficies brutes cultivées, la quasi-totalité des cultures connaît un accroissement de surface consécutif à l'augmentation de la population (AKIBODÉ, 1993).

La proportion de la surface cultivée en maïs a progressé dans les régions traditionnelles de culture: le maïs est passé de 83 % de la SCA des principales cultures vivrières en 1982 à 87 % en 1989. Il a aussi progressé dans les régions que l'on peut qualifier d'«intermédiaires» et a fait son apparition dans l'extrême nord, où il n'existait pas. La progression du maïs se fait au détriment d'autres cultures.

Dans le sud du pays (anciennement aire du maïs), le manioc se présente comme la culture «sacrifiée»au profit du maïs. En régions centrales (aire de l'igname), la progression du maïs se fait au détriment de l'igname, du manioc et du niébé (plateaux et centrale), de l'igname et du sorgho (Kara). L'apparition et la progression du maïs dans les savanes (aire du mil) s'effectuent au détriment du sorgho et de l'igname, cette dernière étant faiblement cultivée dans la région.

Les données statistiques qui précèdent montrent que la culture du maïs est en extension et couvre toute la zone cotonnière du Togo. Toutefois, elles ne permettent pas d'expliquer les mécanismes qui justifient le développement de cette culture et d'en prévoir le devenir dans les systèmes de production en place.

Les facteurs favorisant l'extension du maïs

Des stratégies paysannes pour s'adapter aux réalités du terrain

Le suivi et les enquêtes réalisés dans les villages ont permis de comprendre les pratiques paysannes en ce qui concerne la culture du maïs et de les classer en trois catégories.

Dans le village de Kpové (région des plateaux), les paysans ont fini par simplifier les systèmes de culture parce qu'ils ont trouvé un assolement qui s'adapte bien au régime pluviométrique bimodal. ils cultivent le maïs en première saison des pluies et sèment le coton sous le maïs arrivé à maturité en deuxième saison. Cette pratique comporte un double avantage pour les paysans. D'abord, le deuxième sarclage effectué sous le maïs constitue en même temps une préparation de sol pour le semis du coton, ce qui réduit le volume du travail du sol. Ensuite, en vue de faire de grandes surfaces de coton, les paysans emblavent d'importantes superficies en maïs. Ce a explique que le maïs et le coton occupent pratiquement les mêmes places dans les systèmes de culture dans la zone (figure 2).

Moins que le climat, ce sont les contraintes foncières qui justifient dans une certaine mesure la progression ou le maintien de la culture du maïs dans les villages de Waragni (région centrale) et Manga (région Kara). La culture de l'igname se fait de façon itinérante sur des parcelles de longue jachère. Or, avec la croissance démographique, les jachères diminuent et leur durée se raccourcit de plus en plus (FAURE ET DJAGNI, 1986). Ce phénomène constitue un facteur limitant pour le développement de la culture de l'igname et explique pourquoi dans ces régions dites «aire de l'igname», les superficies d'igname régressent au profit d'autres cultures, dont le maïs.

A Poissongui (région des savanes), deux facteurs sont à la base de l'introduction et du développement de la culture du maïs. La très forte pression foncière et des pratiques culturales extensives (peu de fumure, monoculture céréalière, variétés locales de sorgho et de mil) ont débouché sur une baisse notable de la fertilité des sols. De plus, les retards de pluies en début de campagne et les arrêts précoces à la fin sont très réguliers. La conséquence en est un raccourcissement de la saison des pluies, incompatible avec les variétés de mil et de sorgho de cycle long traditionnellement cultivées. La production agricole est rendue aléatoire, mettant fréquemment les paysans dans des situations alimentaires précaires. C'est dans ces conditions que le maïs a été introduit dans cette région, d'abord cultivé sur de petites surfaces «fumées» autour des cases. En donnant de bons rendements, le maïs se présente alors comme une solution àces contraintes.

Le phénomène constaté à travers les statistiques de la DESA procède donc de différentes stratégies mises en place par les paysans pour s'adapter à des réalités du terrain.

Le maïs: une culture d'autosubsistance et une source de revenu monétaire

Dans la zone cotonnière, le maïs constitue la principale source de revenu pour les exploitations agricoles ne produisant pas de coton, en particulier au sud du pays. Dans certains cas, même lorsque le paysan produit du coton, on enregistre des ventes de vivriers pour constituer un revenu complémentaire. D'une façon générale, les vivriers (dont le maïs) participent à la formation du revenu des UR Il faut préciser toutefois que les enquêtes sur les flux monétaires des UP étudiées montrent que les recettes agricoles sont constituées en grande partie par la vente du coton dans l'ensemble de la zone cotonnière, à l'exception de la région centrale (figure 3).

En plus des recettes monétaires qu'il procure, le maïs est autoconsommé par les producteurs eux-mêmes, principalement dans le sud du Togo. De plus, le maïs vendu est destiné aux populations des villes du pays et constitue la base de l'alimentation d'une grande proportion de ces populations. Le maïs joue alors un rôle important dans le cadre de la sécurité alimentaire du Togo.

Ainsi, en plus de ses avantages culturaux, le maïs présente également un double intérêt social et économique non négligeable, justifiant une fois de plus l'intérêt des paysans pour sa culture.

Les limites du développement de la culture du maïs

Malgré l'engouement des paysans togolais pour la culture maïsicole, quelques craintes subsistent en ce qui concerne son avenir. Ces craintes sont d'ordre variétal, cultural et économique.

La contrainte variétale

Pendant longtemps, les paysans du sud du Togo ont très peu adopté les variétés améliorées. En effet, jusqu'au milieu des années 80, peu de variétés améliorées mises à disposition par la recherche vivrière togolaise répondaient au goût (dureté de la graine, aptitude à la pâte) des consommateurs que sont les producteurs eux-mêmes. Ceux-ci ont continué à cultiver des variétés locales avec un potentiel de productivité faible: les rendements «paysans» sont souvent en dessous d'une tonne à l'hectare.

Dans le nord du pays, les paysans ont eu à cultiver uniquement des variétés améliorées que les développeurs y ont introduites. Cependant, ils renouvellent rarement les «semences». Certains se contentent de puiser sur la production de l'année précédente. D'autres vont chercher les «semences» chez le voisin. Ainsi, lors des enquêtes sur les variétés de maïs cultivées, plus de 75 % des parcelles avaient été déclarées ensemencées en variétés «locales».

Figure 2. Importance relative de la surface cultivée en coton et maïs dans les systèmes de culture en zone cotonnière au

Figure 3. Recettes agricoles des UP, campagne 1989-1990.

Dans tous les cas, le fait de maintenir les variétés locales dans les systèmes de culture au sud et de ne pas renouveler les semences au nord constitue un frein pour l'augmentation des niveaux de production, même en cas d'utilisation des engrais. Il faut noter toutefois que la persistance des variétés locales n'est pas totalement négative, car elle permet d'avoir une diversité variétale.

Le maïs une culture exigeante en éléments minéraux

Une estimation des bilans minéraux, élaborée par CRETENET au Mali en 1987, montre que le maïs exporte beaucoup d'éléments minéraux du sol, en particulier l'azote (N) et le potassium (K20). Les éléments exportés sont surtout stockés dans les parties végétatives. Ils s'accroissent avec l'augmentation des niveaux de rendement (tableau 11).

Le suivi des parcelles a montré que les paysans apportent rarement de la fumure sur les cultures vivrières (dont le maïs). Lorsque la fumure est apportée, les doses sont très faibles et ne compensent pas les exportations. Les raisons évoquées par les paysans pour justifier ces pratiques sont de deux ordres:

Il n'est cependant pas rare de voir des paysans détourner volontairement de l'engrais destiné à la culture cotonnière pour l'apporter au maïs. Cela montre que le besoin de fumer le maïs existe. C'est l'absence de mécanisme de financement pour l'achat des engrais en cours de campagne qui justifie dans une certaine mesure la non-fertilisation du maïs. La mise en place d'un système efficace de crédit de campagne pourrait pallier cette lacune.

Cette situation est d'autant plus grave (surtout dans la région des savanes) que toute la production végétale est exportée, y compris les cannes. La dégradation des sols risque d'y être accélérée. De plus, d'introduction plus récente dans cette région, le maïs est cultivé à part. Il va se poser à très brève échéance le problème de son intégration aux systèmes de culture en place, lorsqu'il sera appelé à couvrir des superficies plus importantes.

Les difficultés de conservation et de commercialisation du maïs

Un autre facteur qui est susceptible de freiner le développement de la culture du maïs est l'absence de circuit organisé de commercialisation de la production. Bien entendu, des circuits informels existent et fonctionnent d'ailleurs très bien. Cependant, ces circuits ne permettent pas d'avoir un prix stable pour l'achat du maïs-grain aux producteurs. Selon les relevés effectués chaque année, le prix d'achat aux producteurs peut varier du simple au double pour la même année, comme l'indique la figure 4 (DESA, 1991). En effet, il n'existe aucun mécanisme de régulation du marché. Le prix est au plus bas quand presque tous les paysans ont du maïs à vendre (période des récoltes). Et quand il est meilleur, rares sont ceux qui possèdent encore du maïs en stock.

En matière de stockage du maïs, les paysans connaissent d'énormes difficultés de conservation. Plusieurs parasites de maïs en stock, recensés par ATCHIKITI en 1985 dans le village de Kpové (région des plateaux), causent d'importantes pertes aux paysans. Ceux-ci tentent de lutter contre ces parasites en utilisant de l'insecticide pour coton mélangé à de la cendre domestique. «Par contre, les rongeurs constituent des ravageurs contre lesquels les paysans n'ont aucun moyen de lutte» (ATCHIKITI, 1985).

Tableau II. Exportation d'éléments minéraux par le maïs au Mali (kg/ha).

  N P205 K20 Produit exporté
100 kg de maïs-grain        
Restitution 2,00 0,70 0,50 Graine
Exportation 9,60 + 0,0134 Y 0,80 + 0,0062 Y 7,80 + 0,021 Y Graine + cannes
Exportation (moyenne) 2,60 1,20 2,10 Graine + cannes

*Y = rendement. L'équation est valable pour 1 200 kg/ha < y < 3 200 kg/ha.
Source: CRETENET, 1987.

Figure 4. Prix du maïs sur les marchés locaux, région maritime, 1990.

Ainsi, du fait de la difficulté de conservation et de l'absence de circuits organisés de commercialisation du maïs, les paysans se fixent rarement comme objectif la production de maïs pour la vente:

Conclusion

Le maïs occupe une place importante dans les systèmes de production au Togo: sur le plan agronomique, sa culture constitue une réponse à certaines contraintes liées aux systèmes de culture et, sur le plan socio-économique, il joue un rôle non négligeable. C'est ce qui explique l'engouement des paysans vis-à-vis du maïs. A ce titre, on peut penser que la culture du maïs pourra se développer davantage au fil des ans, à condition que les contraintes actuelles trouvent des solutions.

En ce qui concerne la recherche, un effort est fait pour trouver des variétés améliorées qui prennent en compte les goûts des consommateurs. Cependant, pour les régions d'introduction récente, il y a lieu de penser à court terme aux systèmes de culture qui intègrent rationnellement le maïs.

Les solutions concernant la conservation et la commercialisation du maïs-grain peuvent être envisagées dans le cadre des associations de producteurs. Certains «groupements» mis en place par la SOTCICO et le PDRN (Projet de développement rural de Notsé) ont donné de très bons résultats. Mais ces solutions restent fortement liées à la politique agricole du pays. Une politique de promotion clairement définie permettra de mieux tracer les cadres dans lesquels les regroupements doivent s'effectuer.

Références bibliographiques

AKIBODÉ A. K., 1993. Impact économique et social du programme cotonnier au Togo. Bulletin de l'Association de géographes français, 1993-2: 129-149.

ATCHIKITI A. O., 1985. PrévuIgarisation. Protection des récoltes en greniers traditionnels dans le cadre du projet fédérateur (Kpové). Situation au 30 septembre 1985. Rapport d'activité. Togo, IRAT, 6 p. + annexes.

COUSINIÉ P., DJAGNi K., 1990. Rapport complémentaire 1989-1990: enquêtes recettes-dépenses et évaluation des expérimentations. Togo, station d'Anié

Mono, CIRAD-IRCT 33 p. +annexes

CRÉTENET M., 1987. Rapport de mission au Mali du 20-08 au 30-08-1987. Division d'agronomie. Montpellier, France, CIRAD-IRCT, 18 p.

DESA (DIRECTION DES ENQUÊTES ET STATISTIQUES AGRICOLES), 1984. Recensement général de l'agriculture togolaise, 1982-1983. Lomé, Togo, 387 p.

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Résultats chiffrés. Lomé, Togo, 18 p.

DESA (DIRECTION DES ENQUÊTES ET STATISTIQUES AGRICOLES), 1991. Prix des principaux produits vivriers observés sur les marchés ruraux en 1990. Lomé, Togo, DESA, 61 p.

FAURE G., DJIAGNI K., 1985. Etude de 5 terroirs villageois et suivi d'exploitations agricoles. Région des plateaux. Togo, station d'Anié-Mono, CIRAD-IRCT, 134 p. + annexes.

FAURE G., DJAGNI K., 1986. Etude de 3 terroirs villageois et suivi d'exploitations agricoles. Régions des savanes, Kara et centrale. Togo, station d'Anié-Mono, CIRAD-IRCT, 88 p. + annexes.


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