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Revue bibliographique

CONSERVATION EDUCATION IN AMERICAN SCHOOLS. (L'Enseignement sur la conservation des ressources naturelles dans les écoles américaines). American Association of School Administrators. 1952. 527 pages. Washington, D.C. $4,00 E.-U.

Ce livre est l'annuaire pour 1951, de l'Association américaine des administrateurs d'écoles, qui groupait à la fin de 1950, 734 membres. Mais les, deux tiers de ces 527 pages sont consacrées à un problème qui ne petit laisser indifférent attente forestier: celui de l'éducation du public, et principalement de la jeunesse, en matière de, conservation des ressources naturelles.

Ce problème est naturellement traité ici dans le cadre du système d'éducation des Etats-Unis, mais les principes qui sont à la base de l'education en général et de l'éducation en matière de conservation, sont valables partout. Mais bien qu'ils insistent longuement et avec raison sur les efforts des Etats-Unis eu matière de conservation, tels que celui fourni par les travaux du «Comité des études et de l'éducation des régions dit Sied»(Committee on, Southern Regional Studies and Education), et sur les résultats obtenus, les auteurs reconnaissent (tue, même aux Etats-Unis il reste infiniment à faire dans (ce domaine, comme aussi dans la plupart des pays die monde, et dans, beaucoup, aucun effort n'a encore été, fait pour résoudre ce problème. C'est pourquoi ce livre a une portée qui dépasse de beaucoup les frontières du pays pont, lequel il a été écrit.

Certains peuvent même se demander si la conservation des ressources naturelles, renouvelables on non est vraiment, une matière d'enseignement scolaire. Mais si l'on considère qu'elle et un rôle important à jouer dans le relèvement dit niveau de vie des populations, si l'on considère qu'elle doit (page 62): «a) aider les (citoyens, et prendre plus pleinement conscience des problèmes de la société et b) étudier (ces problèmes en ayant en vue l'amélioration des condition de vie et de leur façon de vivre», alors il est clair que la conservation des ressources naturelles est titi sujet qui doit entrer ait programme des écoles de toutes (catégories, puisque, plus peut-être qu'aucun des autres facteurs dui contribuent au bas niveau de vie de l'ensemble de l'humanité, «le gaspillage des ressources humaines (ci naturelles, soit par abandon, soit par destruction, prive la société de ses possibilités de mieux-être et petit même condamner les générations futures à la pauvreté et, à la misère».

L'école petit, ainsi devenir le, point de départ d'une nouvelle (conception de vie pour la communauté toute entière. Tous les forestiers savent bien que la politique forestière la plus soigneusement étudiée, la meilleure législation, le service forestier le mieux organisé, ne peuvent que peu de chose sans le soutien d'une opinion publique éclairée.

Partant de ces principes, le chapitre 3 indique un certain nombre de concepts de base, qui doivent obligatoirement figurer dans tout, programme de conservation. Parmi les concepts énumérés, les forestiers reconnaîtront aisément ceux qui soutiennent leur - action journalière et qui ont, servi de base à la récente recommandation de la FAO aux Etats-Membres concernant les «Principes de politique forestière». Citons-en quelques-uns, et d'abord le premier, le plus important à notre sens, car le mot de «conservation» est souvent compris dans un sens trop étroit, qui implique la conservation pour elle-même.

«La conservation des ressources naturelles signifie l'utilisation rationnelle des ressources naturelles pour le plus grand bénéfice dit plus grand nombre d'hommes pour le temps le plus long possible»,

Puis:

«On doit considérer ressources naturelles plutôt comme mie entité, que comme autant, de catégories, séparées. Elles sont liées les unes aux autres, dépendantes les unes des autres Cette unité, réalisée par l'étroite interdépendance dit sol, de Veau, des minéraux, des végétaux, dés animaux et de l'homme, est le tissu sans couture de la nature».

Pour que toutes les idéologies puissent, adhérer pleinement à ces concepts, il conviendrait peut-être de magnifier quelque peu le rôle de l'homme dans cette association avec le sol, Peau, les minéraux, les végétaux et les animaux et de dire que si l'homme ne petit modifier les lois naturelles, il doit les étudier si soigneusement et les appliquer si judicieusement qu'une véritable transformation de la nature elle-même ait bénéfice de l'homme entre dans le cadre tic ses possibilités futures.

C'est encore dans (ce, chapitre 3 qu'on trouvera des guides précieux pour l'éducation de la conservation:

«Ces programmes du, la conservation doivent partir de la considération dit milieu et des besoins de la (communauté, puis s'étendre de là et la (considération des aspects de chaque Etat, de chaque région, de la Nation et des aspects internationaux».

Et: «Le,, écoles doivent coopérer avec les organismes officiels et non officiels des municipalités, des états, des régions et de la nation qui sont, intéressés à l'utilisation des ressources naturelles».

La question est discutée de savoir si l'enseignement de la conservation doit faire l'objet de cours spéciaux ou bien être relié ou intégré aux programmes généraux des écoles. Il y est répondu en faveur de cette deuxième solution. Avec raison semble-t-il car, par cette intégration, l'idée de conservation est rendue plus familière et plus omniprésente aux élèves.

L'intérêt du chapitre sur lequel on s'est si longuement étendu ne (toit pas empêcher de conseiller la lecture attentive des autres. On y trouve d'utiles suggestions sur les «matériaux» qui peuvent servir à l'enseignement de lei conservation, manuels, journaux (car cet enseignement doit aussi fou cher les adultes), films, projections, dont un choix est donné, programmes de radio, et sur les, qui doivent présider ait choix des matériaux les mieux adaptés à chaque classe. On y trouvera aussi des suggestions s'appliquant plus particulièrement aux écoles rurales et d'autres aux écoles urbaines. Deux importants chapitres traitent de la formation des maîtres et de la responsabilité en cette matière des directeurs d'écoles.

FOREST ENGINEERING - ROADS AND BRIDGES. (Ot iv rages d'art forestiers Routes et ponts) par James L. Harrison. 366 pages. Oliver et, Boyd, Edimbourg et Londres. 1951. 30 shillings.

L'auteur, ancien membre die Service forestier des Indes, traite des problèmes concernant les routes et les ponts que doivent résoudre les ingénieurs forestiers routes qui n'entrent pas dans la catégorie des voies de grande communication, mais sont des voies de moindre importance, adaptées aux charges et aux méthodes clé vidange de cette région et des ponts qui ne sont pas de puissantes constructions d'acier et de béton, mais des ouvrages plus simples dans lesquels le bois, que l'on trouvé sur place à profusion, petit être employé.

Dans ces travaux forestiers, la nécessité et les avantages d'un plan bien compris, la connaissante des matériaux employés, le choix de méthodes de construction et de procédés techniques rationnels ont ait moins aussi important, que lorsqu'il s'agit d'ouvrages plus imposants. Le penchant, de l'auteur pour (ce, qui est simple et économique, pour l'utilisation, la plus complète des, matériaux indigènes se trouvant à proximité dit chantier, le tout joint à une technique rationnelle, sont à l'origine d'un ouvrage spécialement destiné, à l'ingénieur forestier qui (toit résoudre des problèmes (concernant les routes et les ponts forestiers relevant de soit service, et devrait l'aider à réaliser des ouvrages durables.

FOREST ENTOMOLOGY (Entomologie forestière) par Samuel Alexander Graham. 351 pages. Série forestière américaine. McGraw-Hill Book Co. Inc. New-York, Toronto, Londres. 1952. $ 6,00 E.-U.

Pendant ces dernières années, L'entomologie forestière a largement dépassé le stade du recensement et de la description des insectes forestiers. La mise au point d'insecticides synthétiques et leur application par avion a ouvert la voie aux vastes opérations de lutte, jusque là impraticables. D'importance au moins égale, la connaissance de l'écologie des insectes, des caractéristiques des peuplements forestiers et des arbres pris individuellement qui les rendent vulnérables ou résistants aux attaques des insectes, ont fait de l'entomologie partie intégrante de la sylviculture et de l'aménagement. Les reconnaissances et les photographies aériennes ont permis de réaliser des recensements entomologiques véritablement satisfaisants.

Comme notre époque est une ère d'exploitation et de progrès rapides tant dans les principes que dans là pratique de la lutte, cette publication, bien qu'étant une troisième édition, est en réalité un ouvrage nouveau. Certaines espèces d'insectes sont étudiées moins pour elles-mêmes que pour illustrer les méthodes de lutte directe à l'aide de produits chimiques, les méthodes de lutte indirecte par les parasites et les prédateurs, et par les pratiques sylvicoles.

A mesure que s'élargit le champ de l'entomologie forestière, il devient de plus en plus indispensable que les forestiers apprennent les nouvelles méthodes et leurs répercussions, en particulier comment utiliser les coupes pour augmenter la résistance des arbres et peuplements réservés.

TEXTBOOK OF WOOD TECHNOLOGY (Manuel de technologie du bois). Vol. 2. H.P. Brown, A.J. Panshin et C.C. Forsaith, 1952. 783 pages. Mo-Graw-Hill Book Co., Inc. N. Y., Toronto, Londres. $ 10,00 E.-U.

Ce second volume, depuis longtemps attendu, évoque le profond regret qu'inspire à tous les chercheurs la mort de H.P. Brown, l'une des autorités les plus éminentes dans le domaine de la technologie du bois. Il complète un ouvrage dont le premier volume constituait également le première volume de la fameuse «American Forestry Series» paru en 1934, sous le titre Identification of the Commercial Timbers of the United States (Identification des bois commerciaux des Etats-Unis), et qui fut le manuel d'avant-garde de ce genre d'édition.

Ce second volume, dont le sous-titre est «The physical, Mechanical and Chemical Properties of the Commercial Woods of the United States» (Les propriétés physiques, mécaniques et chimiques des bois commerciaux des Etats-Unis) résume sous une forme concise les résultats des recherches modernes sur ces sujets.

Après la discussion des propriétés physiques - densité, relation avec l'humidité, la chaleur, le son, la lumière et l'électricité - suit un court chapitre sur l'assemblage et le finissage du bois, puis une étude des propriétés mécaniques du bois, comportant une discussion approfondie des propriétés mécaniques du bois massif, des pièces d'assemblage du bois et des produits lamellés, une analyse des contraintes, les méthodes d'essais et des tables pratiques des charges admissibles, L'écartement des pièces d'assemblage, etc.

La troisième partie, «Chemical Properties of Wood» (Propriétés chimiques du bois), n'est, en comparaison de la deuxième partie, qu'une introduction à la composition des parois cellulaires et des éléments étrangers du bois, son traitement chimique, ses réactions thermiques et sa décomposition par des agents biologiques.

Le choix d'un nombre limité de références pour chaque chapitre ainsi que l'exposition détaillée de problèmes définis et de leurs solutions, aidera à introduire l'utilisation moderne et économique du bois dans tous les pays.

LOGGING MECHANIZATION IN THE U.S.S.R. (Mécanisation de l'exploitation en U.R.S.S.) A. Koroleff. 158 pages, illustré. Institut de Recherche de la pâte et du papier du Canada, Montréal. 1952. $5,00 E.-U.

Ce livre réunit une étude critique détaillée de l'équipement et des techniques d'exploitation mécanisée, tels qu'on les utilise dans beaucoup de régions forestières de l'U.R.S.S., et l'historique d'une industrie du bois retardataire, reposant sur le travail manuel d'ouvriers occasionnels et sur la vidange à l'aide de chevaux, qui, en moins de douze ans, s'est transformée en une industrie fortement mécanisée, comparable à celle des Etats-Unis et du Canada.

L'auteur est particulièrement qualifié pour traiter ce sujet. Diplômé de l'Institut forestier impérial de St-Pétersbourg (actuellement Académie de technologie forestière de Leningrad), l'une des écoles forestières les plus anciennes d'Europe (fondée en 1803), il fut chargé de mission par le gouvernement Kerensky pour étudier la mécanisation du débardage sur le continent Nord-américain. Il ne retourna pas en Russie, mais poursuivit ses études spécialisées à Yale et à l'université de Washington. Depuis plusieurs années, il est Directeur de la Division de recherches sur les bois, de l'Institut de recherches de la pâte et du papier du Canada.

La documentation qui sert de base à ce livre provient d'une centaine environ d'articles techniques, traduits par l'auteur lui-même, publiés depuis 1947 dans le Journal mensuel russe du Commerce du bois (Lesnaya Promysnlennost, Industrie forestière), organe officiel du Ministère des Industries forestières de l'U.R.S.S. L'auteur a fait également quelques emprunts à Unasylva. Quoique deux tiers de ce livre soient consacrés à la description et à l'étude des machines et autre matériel mécanique d'exploitation, ce livre n'intéresse pas uniquement les ingénieurs spécialisés dans l'exploitation forestière. En fait à l'exception de 13 appendices, traitant de certains appareils spéciaux tels que le nouveau tricoteur électrique de débardage, les gazogènes fonctionnant au bois vert, etc., le livre contient un grand nombre de renseignements d'un intérêt général pour les exploitants, les aménagistes forestiers et les forestiers.

C'est dans le domaine du développement de l'énergie et de ses applications que ce livre présente un intérêt technique de premier ordre Le principe fondamental est que la forêt devrait fournir l'énergie nécessaire à son exploitation. A l'heure actuelle environ 10 pour cent du bois exploité en Russie, y compris une partie des rémanents, sont utilisés comme combustible pour la production de l'énergie. Ce pourcentage doit être accru d'une manière substantielle. On estimait «qu'à la fin de 1950, 70 pour cent au moins des camions et tracteurs employés au débardage devraient fonctionner au gaz de bois». L'électricité est considérée comme la source d'énergie la plus avantageuse, et on favorise l'installation de centrales électriques en des points stratégiques afin de produire l'énergie nécessaire pour l'abattage, le débardage (par câbles ou tracteurs), le chargement etc. Là où l'électrification est impossible, on utilise le gaz de gazogène, et un matériel mécanique, comprenant des tracteurs fonctionnant au bois vert, a été mis au point dans ce but. En réalité, ce qui, autrement, serait du bois gaspillé, est utilisé pour produire de l'énergie, sous forme d'électricité ou de gaz. Cette évolution a naturellement permis le débardage d'arbres entiers vers les centres de production d'énergie, et un travail considérable a été accompli pour la mise au point des techniques de débardage des arbres non ébranchés.

Il est particulièrement intéressant de noter que, tandis que le tracteur «Tomcat» du Service forestier des Etats-Unis n'est pas de fabrication courante aux Etats-Unis, des tracteurs d'un type semblable, conçus spécialement pour le débardage des grumes, sont fabriqués en série en U.R.S.S., un camion de 2 tonnes, utilisé dans les coupes marquées en abandon, un tracteur de 5 ou 6 tonnes utilisé pour le débardage dans les conditions propres aux peuplements comportant 23 à 30 cords par acre (203 à 268 st par hectare), et un tracteur de 10 à 12 tonnes pour les arbres de grandes dimensions. Des scies à chaînes ont été mises au point, elles sont alimentées par un groupe électrogène mobile et ne pèsent que 18 lbs. (8 kgs).

Ce livre remplit un but très utile: familiariser les exploitants forestiers des autres pays avec la situation, les progrès et les tendances de l'industrie de l'exploitation en U.R.S.S. renseignements qu'il est très difficile d'obtenir. Le sujet est traité d'une manière critique, mais avec une réserve et objectivité, présenté d'une manière intéressante et facile à lire. La leçon que l'auteur cherche tirer pour son propre pays est que, en dehors de certaines prétentions extravagantes, le taux d'accroissement de la productivité des exploitations en U.R.S.S. est élevé, et que cet accroissement est dû aux efforts énergiques portant sur la mécanisation de l'exploitation et de l'aide apporté à la recherche. Si d'autres pays doivent conserver leur position de premier plan comme exportateurs de bois, les recherches dans le domaine de la mécanisation et du rendement des exploitations doivent être considérablement intensifiées.

THE TROPICAL RAIN FOREST. An Ecological Study (La «rain forest tropicale: étude écologique). P.W. Richards. 450 pages, illustré. Cambridge University Press. Londres et New York. 1952. $12,50 E.-U.

Toute étude écologique d'un type ou d'un ensemble de types de forêts présentant une valeur commerciale même si, peut-être, elle n'intéresse pas les exploitants forestiers, ni le commerce du bois, est, dans ce cas du moins, importante pour les forestiers et les autres scientifiques qui s'intéressent à l'aménagement et aux recherches concernant les rain-forests tropicales du monde entier. L'auteur, puisant dans son expérience brève mais approfondie des forêts tropicales d'Amérique du Sud, d'Afrique, de Malaisie et de Bornéo, ainsi que dans la bibliographie existante, ne traite pas des aspects économiques des forêts tropicales, mais aborde son sujet sous l'angle «d'une association végétale, ou d'un milieu». Il destine son ouvrage, non seulement aux forestiers et aux botanistes, mais aussi aux zoologistes et aux géographes - en d'autres termes aux techniciens -. Toutefois, par son style et son mode de présentation, ce livre plaira à «tous ceux qui n'ont pas reçu une formation de botanistes professionnels».

L'auteur décrit la structure, la régénération, le développement et le comportement des arbres et de la végétation associée; le climat, le microclimat, les variations saisonnières et les conditions édaphiques, comme étant les principaux facteurs du milieu; la composition des différentes associations forestières et - des forêts mélangées en tant que climax; les stades primaires de l'évolution dans les stations sèches et humides, et parle de l'évolution le long des côtes, sur les rivages sableux ou envasés. Il consacre une attention particulière aux rain-forests, aux forêts à feuilles caduques et aux savanes, aux rain-forests tropicales, à leurs limites altitudinales supérieure et inférieure, ainsi qu'à leurs frontières septentrionale et méridionale, et compare les conditions extrêmes, tant en altitude qu'en latitude. Il traite brièvement aussi de l'évolution secondaire consécutive à l'action de l'homme, telle que défrichement pour obtenir des terres propres à la culture et incendie, et à l'action des tempêtes.

Dans les dernières pages, que l'auteur appelle «post-scriptum», il discute de l'avenir de la rain-forest tropicale. C'est plus exactement l'expression de la crainte que, par suite du rythme et des méthodes d'exploitation adoptés en beaucoup de régions, la rain-forest tropicale ne vienne à être totalement détruite. Il plaide pour la mise en réserve d'importants secteurs de rain-forests tropicales dans un but scientifique - et ce but ne devrait certainement soulever aucune opposition sérieuse. Mais c'est précisément là que le forestier devrait jouer son rôle en établissant sur la base d'une documentation écologique semblable à celle fournie par le Dr Richards, une sylviculture qui assurerait la perennité de la rain-forest tropicale - non pas comme un inviolable laboratoire de plein air mais comme la source inépuisable d'importants produits forestiers.

LES Nations qui adhèrent au présent Acte, à développer le bien-être général par une action particulière et collective, afin:

d'élever le niveau de nutrition et les conditions de vie des populations placées Sous leur juridiction respective,

d'améliorer le rendement de la production et l'efficacité de la répartition de tous les produits alimentaires et agricoles,

d'améliorer la condition des populations rurales,

et de contribuer ainsi à l'expansion de l'économie mondiale,

constituent par les présentes l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture... par laquelle les Membres se tiendront mutuellement informés des mesures prises et des progrès accomplis dans les champs d'activité énoncés ci-dessus.

Préambule de l'Acte constitutif de l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture

Etats Membres de la FAO

AFGHANISTAN

ETATS UNIS D'AMÉRIQUE

NORVÈGE

ALLEMAGNE

FINLANDE

NOUVÉLLE-ZÉLANDE

ARABIE SAOUDITE

FRANCE

PAKISTAN

ARGENTINE

GRÈCE

PANAMA

AUSTRALIE

GUATEMALA

PARAGUAY

AUTRICHE

HAÏTI

PAYS-BAS

BELGIQUE

HONDURAS

PÉROU

BIRMANIE

INDE

PHILIPPINES

BOLIVIE

INDONÉSIE

PORTUGAL

BRÉSIL

IRAK

RÉPUBLIQUE DOMINICAINE

CAMBODGE

IRLANDE

ROYAUME-UNI

CANADA

ISLANDE

SALVADOR

CEYLAN

ISRAËL

SUÈDE

CHILI

ITALIE

SUISSE

COLOMBIE

JAPON

SYRIE

CORÉE

JORDANIE

THAÏLANDE

COSTA RICA

LAOS

TURQUIE

CUBA

LIBAN

UNION SUD - AFRICAINE

DANEMARK

LIBÉRIA

URUGUAY

EGYPTE

LUXEMBOURG

VENEZUELA

EQUATEUR

MEXIQUE

VIET-NAM

ESPAGNE

NÉPÂL

YOUGOSLAVIE

ETHIOPIE

NICARAGUA


La revue UNASYLVA est rédigée par la Division des Forêt et est publiée par la FAO au siège de l'Organisation à Rome (Italie). Elle paraît en français, anglais et espagnol. Conformément aux usages de la FAO les unités de mesures sont toujours données avec les chiffres de l'auteur, les équivalents en unités métriques étant ajoutés entre parenthèses le cas échéant. On peut se procurer UNASYLVA VA auprès des dépositaires dont la liste figure au des de la couverture. Abonnement annuel 2,50 dollars (E.-U.), prix du numéro 0,65 dollar (E.-U.). Ces prix Sont payables en devises locales si les commandes sont passées par l'intermédiaire des dépositaires locaux.


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