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Annexe 2: Méthodes d’analyse de contenu de presse (audiovisuelle)


LE CAS DE LA RADIO - GUIDE à L’INTENTION DES CONSULTANTS

préparé par Jean-Pierre ILBOUDO, Ph.D

Spécialiste de la communication - Service de la vulgarisation, de l’éducation et de la communication - Division de la recherche, de la vulgarisation et de la formation - Département du développement durable

I. DEFINITION DE L’ANALYSE DE CONTENU

A. Notions restrictives et notions larges

Il s’agira de donner un échantillon des définitions les plus courantes et non de faire ici une épistémologie de la problématique.

Généralement, l’on définit l’analyse de contenu “comme une technique de recherche pour la description objective, systématique et quantitative du contenu manifeste de la communication”. Cette définition de Berelson[1], la plus connue postule que l’analyse de contenu soit: “objective”, “exhaustive”, “méthodique” et “quantitative”.

Elle est considérée aussi comme “un ensemble disparate de techniques” (Pierre Henry et Serge Moscovici)[2].

C’est également “l’examen objectif, exhaustif, méthodique, et si possible, quantitatif, d’un texte (ou d’un ensemble d’informations, en vue de tirer ce qu’il contient de significatif par rapport aux objectifs de la recherche” (Mucchieli).

D’autre part, et découlant de la définition précédente, Albert Kientz dit que l’”analyse de contenu est un instrument de recherche scientifique aux multiples usages. Les procédés qu’elle utilise varient en fonction des objectifs de la recherche”.

Enfin pour G. Lindzey, c’est “la technique qui consiste à définir des descriptions trop approximatives et subjectives pour mettre en évidence la nature et les forces relatives des stimuli que subit le sujet”[3].

Toutefois, et en tout cas, il faut retenir que l’objet de l’analyse est donc une communication quelconque, écrite, orale ou audiovisuelle, mais transposée en texte verbal.

C’est comme le disent Jean-François Brieu et Mireille Lebas[4], “un discours” en tant qu’unité de textes au-delà de la phrase. L’analyse est un moyen permettant d’accéder au sens, à travers le texte, le discours manifeste... C’est un instrument qui permet de dépasser le stade de la description, pour chercher les causes ou les effets d’une communication, les sources d’un texte, etc..., et pour établir des inférences.

Inférer (ou faire des inférences) pose ce que nous appelons la question de l’analyse qualitative. Sur ce point, nous nous opposons à Berelson quand il affirme que seul le “contenu manifeste” doit être l’objet de l’analyse, ainsi que le dit l’expression “description sémantique” de A.J. Greimas.

Pour nous, la nécessité d’inférer au-delà du contenu manifeste s’impose ou alors on pêche par “incomplétude”, par “partialité”; sans cela (le droit d’inférer), on n’”analyse” pas vraiment, comme le disait Klaus Krippendorf. Il faudrait selon nous, dépasser les données pour atteindre quelque chose “au-delà”, en rapport avec les données.

Loin de vouloir verser dans l’herméneutique, nous pensons une fois encore que le contenu manifeste ne permet qu’une phase de l’analyse et non son intégralité en termes de: Qui émet? (La nature de l’émetteur). Pour quels objectifs? (les enjeux). Dans quelles circonstances? (Les rapports de production) et vers qui (les destinataires, leur position sociale, quels usages font-ils des messages émis?).

D’où la nécessité d’inférer.

LES CHAMPS D’APPLICATION

a) Les sciences sociales

Sous ce volet, nous regrouperons diverses disciplines:

Champ très vaste, nous ne saurions terminer sans mentionner la discipline des sciences sociales qui nous interpelle ici:

b) L’information et la communication

Dans les sciences de l’information et de la communication, l’analyse de contenu s’applique à trois types de messages:

1. Les messages oraux (discours, émissions radiophoniques)

2. Les messages écrits (la presse notamment)

3. Ou encore les messages visuels (images, peinture, publicité).

Parmi ces trois types de messages, les messages écrits à travers l’analyse de presse furent les plus étudiés. Les travaux de Leswell[5], Cartwright, Janes[6], Kayser[7], Violette Morin[8], Berelson, Kientz et Evelyne Sullerot[9] font autorité dans le domaine de l’analyse de presse.

Comme nous[10] l’écrivions ailleurs, “les recherches en Sciences de l’Information et de la Communication dans le domaine de l’analyse de contenu se sont orientées pour l’essentiel vers l’analyse ou l’étude de presse, en ce qu’elles ont considéré beaucoup plus l’analyse rédactionnelle de la chose imprimée que le message oral radiodiffusé et télévisuel.

Quand la recherche a eu à se pencher sur ce dernier aspect de l’information et de la communication, ce fut alors pour faire appel à des cadres référentiels relevant de l’étude de presse. Des nuances tendant à adapter ces cadres à l’étude des émissions radiophoniques et télévisées ont donné naissance à des grilles dont la nouveauté s’illustre à travers la spécificité même des sujets et des objets étudiés”.

c) Méthodes et démarches relatives à l’analyse de contenu des émissions radiophoniques

i) Objet de la recherche

Pourquoi analyser les programmes(émissions) radiophoniques? Dans quel but? Et comment y parvenir? Voilà trois questions qui montreront l’objet de la recherche.

Le pourquoi?

Généralement, les radios rurales ne remplissant pas correctement leur rôle de radio de proximité, ces difficultés se traduisent par un niveau de qualité de travail de la radio rurale dont le contenu des émissions semble être marqué par une certaine vision de la communication verticale et un didactisme monologique.

L’analyse de contenu des principales productions devra aider à résoudre ce problème de verticalité et se situer dans la perspective de l’étude de l’auditoire.

Dans quels buts?

L’objectif de cette analyse est triple:

Il s’agit pour parvenir à une bonne analyse de contenu, de vérifier l’hypothèse suivante: “Les programmes radiophoniques diffusés à l’intention des auditrices et auditeurs, sont-ils porteurs d’éléments leur permettant la maîtrise totale de leur environnement (notion de développement) ou au contraire concourent-ils à aggraver (s’ils ne les reproduisent et aggravent) les inégalités sociales existantes?”

Autrement dit, les programmes (émissions) en question évoluent-ils du point de vue du contenu en fonction du concept de développement en général et du concept du développement rural en particulier, tel qu’ils sont conçus par les promoteurs de la radio qu’en fonction d’une recherche de “thématique générative”, liée à l’organisation sociale, aux activités, aux besoins et aspirations des communautés elles-mêmes?

La thématique est-elle identifiée sur la base de méthodes participatives?.

Comment y parvenir?

Dans un premier temps, il faut partir d’une perspective que l’on pourrait qualifier de purement technique, vu qu’elle sera quantitative, en analysant le contenu de ces différentes émissions dont il faudrait retenir un «corpus» significatif.

L’étude se fera en fonction des rubriques, des thèmes, de la durée de ces éléments.

Ensuite, il faut chercher à saisir le contenu latent, implicite, la saisie des enjeux qui sous-tendent la production d’un certain type de discours (le contenu des émissions), la mise en rapport de la thématique et de l’environnement. Il s’agit ici de vérifier l’hypothèse de départ.

Enfin, il faut aller chercher l’évolution du concept de développement dans les plans ou schémas directeurs du développement qui ont soutenu ou guidé la politique de développement rural du champ étudié(en l’occurrence le Cameroun avec la politique en matière de population), en interrogeant ces plans et schémas quant à ce qu’ils contiennent de thématique générative des éléments et genres radiophoniques destinés aux communautés rurales.

Ces éléments et genres radiophoniques seront mis en adéquation avec la situation des communautés concernées.

APPLICATION SYSTEMATIQUE DE LA TECHNIQUE AUX EMISSIONS

a) Les informations en langues nationales

L’étude du contenu des émissions destinées aux communautés rurales, pose d’une part la question de l’analyse quantitative du discours radiophonique et d’autre part celui de son analyse qualitative.

Comme nous le disions plus haut, «les recherches en sciences de l’information dans le domaine de l’analyse de contenu, se sont orientées pour l’essentiel vers l’étude de presse en ce qu’elles ont considéré beaucoup plus l’analyse rédactionnelle de la chose imprimée que le message oral radiodiffusé et télévisuel.

Quand la recherche s’est penchée sur ce dernier aspect de l’information et de la communication, ce fut pour faire appel à des cadres référentiels relevant de l’étude de presse. Des nuances tenant à adapter ces cadres à l’étude des émissions radiophoniques et télévisées, ont donné naissance à des grilles dont la nouveauté s’illustre à travers la spécificité même des sujets et objets étudiés. Ainsi pourrait-on dire qu’à chacune de ces études correspond un modèle d’analyse de contenu portant un modèle de grille d’analyse».

Serions-nous alors en face d’une difficulté de systématisation de la technique en question?

Nous pensons que non, car il est des éléments de base communs à toute analyse de contenu, éléments empruntés à l’étude de presse et provenant des diverses contributions qui, bien que différentielles, nourrissent le sujet d’étude qu’est l’analyse de contenu, en richesse circonstanciée.

Le tableau suivant répertorie les unités analogiques de l’analyse de contenu de presse et de celle en radiotélévision.

ETUDE DE PRESSE

ETUDE EN RADIO-TELE

I. FORME

I. FORME

Les titres de première page

Le chapeau/le générique

Les illustrations

Les bobineaux (interviews, discours)

Les jingles ou flashs musicaux


La typographie plus ou moins serrée

La présentation: intonation,

(mise en page)

les silences, les changements de ton

Le nombre de pages

La durée de l’émission

Eléments de lisibilité

Eléments facilitant l’écoute et la compréhension

II. LE FOND

II. LE FOND

Les sources d’information

Les sources d’information

Surface publicitaire et rédactionnelle

part de discours et musique (durée)

Surface et nombre des différents thèmes

Durée de chaque thème

Les surfaces occupées par les différentes rubriques

Recensement des différentes rubriques et leur durée (national/international/local)

Eléments sur la conception des informations

Eléments sur la conception des informations

L’étude de presse a souvent concerné l’étude des journaux d’information. Aussi ce tableau serait plus apte à être appliqué dans l’analyse de contenu d’émissions d’information dans la presse écrite et audiovisuelle.

Ces éléments schématiques n’ont pas pour objectif de rendre compte d’une matière exhaustive de la technique d’analyse de contenu; ce qu’il faudrait retenir, c’est la perspective d’élaboration de grilles simples et fonctionnelles qu’ils permettent de faire.

Ainsi, des tableaux de typologie peuvent en sortir en fonction:

A) des rubriques:

Local

National

Africaine

Internationale





Par local, il s’agit des informations provenant des localités couvertes par la radio.

Par national, nous entendons les informations relevant de la scène politico-administrative du champ étudié; en fait, c’est l’information institutionnelle, officielle; les nouvelles locales (régionales ou villageoises) n’ayant droit de cité que lorsqu’il y a généralement présence d’une autorité officielle.

La rubrique africaine regroupe toute information qui prend forme hors des frontières du champ étudié; elle peut se circonscrire au continent africain ou hors du continent; mais dans ce dernier cas, elle concerne un pays du continent. A caractère généralement officiel comme dans le cas précédent (national), cette information peut être spectaculaire.

Le volet international correspond aux informations relatives au reste du monde (champ des champs); ce sont généralement le Proche et le Moyen-Orient, les Amériques, l’Europe et l’Asie géographiquement. D’un point de vue thématique, ce volet concerne les problèmes internationaux que reflètent les conférences des grandes institutions et organismes: les conflits localisés, etc...

N.B.: Les justifications de cette typologie prennent en compte l’état actuel de la conception que l’institution radiophonique a de la compartimentation et de la hiérarchisation des nouvelles, c’est donc un constat. Il faudrait souligner que cette compartimentation ressemble curieusement à celle qu’utilisent les agences “mondiales” d’information telles l’AFP et le Reuter; l’organisation des “desks” de ces agences ont sûrement influencé cette typologie des rubriques.

B) Des thèmes:

Politique

Economique

Social

Sports

Sciences et techniques

Culturel

Faits divers








Remarques: Il apparaîtra quelquefois des difficultés de «taxonomie» thématique: une certaine information pourrait être à cheval entre le politique et l’économique ou le social et le culturel, etc... Dans ce cas, il s’agira de choisir en fonction des éléments dominants de la nouvelle; il y a aussi notre système de normes et de valeurs qui guidera ce choix; d’où une part “d’arbitrage”.

Ces deux grands genres de classification permettent une analyse quantitative du contenu des informations; les grilles A et B permettent ainsi un tri à plat des éléments diffusés.

Vers une analyse qualitative

En introduisant des éléments tels que la durée de chaque rubrique et la durée de chaque thème, on s’aperçoit des tendances entrant en ligne de compte pour une étude qualitative. On peut se rendre à l’évidence du type information privilégiée. A partir de là, l’on se demandera pourquoi telle rubrique occupe plus de temps de diffusion que telle autre, pourquoi tel thème est plus développé que tel autre?

Les éléments de réponse contiendront nécessairement des problématiques allant de la signification latente implicite de ce choix à la lecture en terme de questionnement critique du discours sous ses deux formes (explicite et implicite).

On pourrait faire une approche contextuelle du discours lu: lecture en rapport avec l’environnement social, avec la situation des couches et classes sociales en présence dans le champ où prend forme l’information, avec les intérêts de l’émetteur, détenteur des médias (donc dominant) et les attentes qu’il semble considérer comme primordiales du côté du récepteur (dominé) pour lui tenir un certain type de discours. Les éléments d’analyse recensés plus haut comme les sources d’information, la part de la musique par rapport à celle du discours, l’intonation, apportent un éclairage supplémentaire ´à l’analyse qualitative: les sources d’information montrent le détenteur du pouvoir d’informer, la nature de ce détenteur de pouvoir par rapport à celui à qui il destine l’information, ses objectifs, les sphères décisionnelles. La part de la musique par rapport à celle du discours, peut être symptomatique d’une carence d’explication de l’information, elle peut aussi signifier un effort d’aération de l’émission, un apport de compréhensibilité. L’intonation révèle ce sur quoi l’ion insiste, ce à quoi l’on accorde peu d’importance; en somme c’est le style de présentation, de dire la nouvelle, le conseil. La connotation est un élément qualitatif du discours.

Tableaux combinés ou grilles fonctionnelles

Nous avons dit tout au début de ce rapport que son objet était de mettre sur pied des grilles simples ou fonctionnels. Pour ce faire, la combinaison des tableaux A concernant les rubriques et B concernant les thèmes donne une grille bidimentionnelle capable de saisir les éléments essentiels d’une analyse de contenu:

Rubriques/Thèmes

National

Africaine

International

Politique




Economique




Social








On peut faire entrer d’autres éléments dans cette perspective combinatoire et avoir d’autres grilles

Rubriques

Contenu des éléments d’information

Durée des éléments d’information

Pourcentage par rapport à l’ensemble de l’émission

Locale




Nationale




Africaine




International




Méthodes d’utilisation des grilles: du quantitatif au qualitatif:

Après avoir jeté les bases schématiques de ce que pourrait être l’analyse de contenu des émission radiophoniques et plus précisément les informations (bulletins d’information, journaux parlés), nous nous proposons de montrer la méthode que nous suivrons pour faire une analyse quantitative de contenu afin d’aboutir à l’analyse qualitative.

Dans un premier temps, nous utiliserons les grilles suivantes:

Rubriques

Contenu

Durée

Pourcentage

Local




National




Africaine




International




Thèmes

Contenu

Durée

Pourcentage

Politique




Economique




Social




Qu’est-ce que ces deux grilles nous permettent de saisir?

1. Le volume numérique des éléments d’information selon les rubriques et selon les thèmes.

2. Le volume en temps de chaque rubrique et de chaque thème, voir même sous-thèmes.

3. La quantité d’éléments d’information ayant trait à la vie de l’état, de la société; l’orientation thématique des informations.

Ce dernier point ouvre la perspective d’une analyse qualitative qui partira dans un second temps de grilles quantitatives.

Il s’agira d’opérer un tri à plat. Nous prendrons chaque émission d’information que nous disséquerons sur un tableau à double entrée (thèmes/rubriques).

Rubriques/thèmes

Local

National

Africaine

International

Politique


X



Economique



X

XXX

Social





Sports



X


Ce tableau à double entrée a pour but de comptabiliser finement pour chaque bulletin d’information le nombre de sujets traités selon les thèmes et dans chaque rubrique.

Cette mise à plat indiquera les tendances dominantes des informations retenues pour le bulletin. L’information est-elle à dominante politique sociale ou économique, etc....? L’information politique est-elle à dominante locale, nationale, africaine ou internationale? Pour chaque thème, on pourra vérifier cette hypothèse.

L’analyse qualitative posera ensuite la question du rapport, de la relation entre les fonctions officielles, manifestes de la radio et l’élément de la tendance dominante afin de voir si le médium que son rôle à travers les émissions d’informations? Cette même relation sera vérifiée entre les fonctions latentes, idéologiques que l’on aura préalablement décelé tout au long de la lecture du “discours” (par exemple en émettant une hypothèse d’adéquation et d’inadéquation entre la thématique des messages émis et l’environnement (en faisant une étude sociologique des agents composant cet environnement) et la ou les tendances dominantes de l’information.

Nous ferons une synthèse puis une conclusion sur le rôle et les objectifs que poursuivent l’émetteur à travers son système d’information et ses éléments d’information.

b. Les autres genres radiophoniques: (magazines, microprogrammes, causeries-débats, chroniques, émissions publiques)

D’abord, il faut déterminer:

1. La durée de l’émission

2. La ou les langues de diffusion

3. La composition de l’émission (identifier les éléments sonores/bobineaux utilisés en termes d’interviews, de sketchs, de plages musicales).

Ex: une émission d’animation rurale sera bâtie ou constituée de la manière suivante:

a. Musique (indicatif début)

b. Chronique

c. Microprogramme

d. Interview

e. Microprogramme

f. Chronique

g. Indicatif (musique)

4. Faire la part en pourcentage de la partie parlée et de la partie musicale.

5. Identifier les thèmes et les sous-thèmes contenus dans l’émission.

6. Analyser les occurrences (fréquences d’apparition) des mots-clefs des thèmes identifiés et les co-occurrences (avec quels autres mots, en liaison avec quels autres mots), ils apparaissent.

7. Dégager le sens et l’orientation générale de l’émission: conseils sur quels sujets? Information générale? Sensibilisation?

8. Etudier le débit et l’intonation de l’animateur: articule-t-il clairement; parle-t-il bien?

9. Inventorier les mots et concepts empruntés à la l langue française et non traduits.

10. Inférer: mettre le sens et l’orientation générale de l’émission en rapport avec l’environnement des auditeurs et auditrices. Le contenu est-il pertinent? Répond-t-il à un besoin, à une demande?

11. Qu’en pensent les auditeurs?

12. Quel travail social font-il de l’émission (utilisation pour changer de comportement, d’attitude, pour entreprendre des actions).

BIBLIOGRAPHIE

The analyse of communication content, 1948.

“Problèmes de l’analyse de contenu”, in Langages, 11, 1968, p.36.

The Handbook of Social Psychology, 2ème édition.

Lebas (Mireille), Brieu (Jean-François).- L’analyse de contenu systématique de bibliographie.- Université de Bordeaux III; ILTAM-MSH, no. 9-10, 1978

Laswell (Harold D.).- The politically significant content of the press: coding procedure.- Journalism Quarterly no. 19, 1942, pp. 12-23.

Janes (R.W.)- “Techniques for describing structure through newspaper analysis”.- Social forces, 1958.- no. 37.- pp.102-109.

Kayser (Jacques).- One week’s news: comparative study of 17 major dailies for a seven day period - Paris: UNESCO, 1953.- 102 p.

Morin (Violette).- “Le voyage de Kroutchev en France; essai d’une méthode d’analyse de presse”.- Communication no. 1, 1961.,

Sullerot (Evelyne).- “Une étude de presse; à propos d’un fait divers”.- Temps modernes, 20 (226), 1965.- pp. 1704-1722.

Jean-Pierre Ilboudo.

- Analyse des programmes radiophoniques destinés aux paysans voltaïques. Université de Bordeaux III, 1982

- Modèles de grilles d’analyse de contenu d’émissions radiophoniques et leur application à l’étude des informations en langues nationales de radio Ouagadougou. Rapport d’application méthodologique, ISIC, Université Bordeaux III, 1982.

- La radio rurale au Burkina dans les année 1980. Thèse pour le Doctorat des Sciences de l’information, de la communication et de l’expression. Université de Bordeaux III. 1992.


[1] The analyse of communication content, 1948.
[2] "Problèmes de l’analyse de contenu", in Langages, 11, 1968, p.36.
[3] The Handbook of Social Psychology, 2ème édition.
[4] Lebas (Mireille), Brieu (Jean-François).- L’analyse de contenu systématique de bibliographie.- Université de Bordeaux III; ILTAM-MSH, no. 9-10, 1978.
[5] Laswell (Harold D.).- The politically significant content of the press: coding procedure.- Journalism Quarterly no. 19, 1942, pp. 12-23.
[6] Janes (R.W.)- "Techniques for describing structure through newspaper analysis".-Social forces, 1958.- no. 37.- pp.102-109.
[7] Kayser (Jacques).- One week’s news: comparative study of 17 major dailies for a seven day period - Paris: UNESCO, 1953.- 102 p.
[8] Morin (Violette).- "Le voyage de Kroutchev en France; essai d’une méthode d’analyse de presse".- Communication no. 1, 1961.,
[9] Sullerot (Evelyne).- "Une étude de presse; à propos d’un fait divers".- Temps modernes, 20 (226), 1965.- pp. 1704-1722.
[10] Modèles de grilles d’analyse de contenu d’émissions radiophoniques et leur application à l’étude des informations en langues nationales de radio Ouagadougou. Rapport d’application méthodologique, ISIC, Université Bordeaux III, 1982.

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