Partenariat de collaboration sur les forêts

Indonesia ©FAO/Valerie Wayte

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Fondée en 1944, la Banque mondiale est l'un des principaux bailleurs mondiaux d'aide au développement. La Banque, qui a fourni 19, 5 milliards de dollars E.-U., sous forme de prêts, aux pays qui ont recours à ses services durant l'exercice 2002, aide maintenant plus de 100 pays en développement, en leur fournissant à la fois des fonds et des idées pour améliorer les conditions de vie et éliminer les formes les plus extrêmes de pauvreté.

Le principal objectif de la Banque mondiale est d'aider les gens et les pays les plus pauvres, mais pour tous ses clients, la Banque souligne la nécessité de:

  • Investir dans les populations, en particulier à travers la santé et l'éducation de base;
  • Se concentrer sur les éléments clés de la réduction de la pauvreté, à savoir le développement social, l'inclusion, la gouvernance et le renforcement des institutions;
  • Mettre les gouvernements mieux à même de fournir des services de qualité, de manière efficace et transparente;
  • Protéger l'environnement;
  • Soutenir et encourager le développement des entreprises privées;
  • Promouvoir des réformes pour créer un environnement macro-économique stable, propice à l'investissement et à la planification à long terme.

Compte tenu de son domaine de compétences, la Banque mondiale entend centrer ses activités de collaboration et de coordination au sein du PCF, sur les éléments de programme du FNUF relatifs aux ressources financières destinées aux forêts et aux aspects économiques des forêts. La Banque mondiale a récemment élaboré son Document de politique et de stratégie forestières qui définit de manière plus approfondie ses interventions dans le secteur forestier et leur place dans ses activités.

Membre d'un réseau de 16 centres Future Harvest distribués à travers les pays en développement ainsi que du Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (GCRAI), le CIFOR a pour mission de contribuer au bien-être durable des populations des pays en développement, et plus particulièrement des régions tropicales.

Pour y parvenir, il effectue des recherches conjointes, stratégiques et appliquées et encourage le transfert et l¿adoption de nouvelles technologies et de systèmes sociaux adaptés au développement national.

Le CIFOR a soutenu plusieurs éléments de programme du FNUF, et fait office de centre de liaison pour les éléments ci-après:

  • connaissances scientifiques liées aux forêts;
  • santé et productivité des forêts;
  • critères et indicateurs de la gestion forestière durable;
  • conservation des forêts et protection des types de forêts uniques et des écosystèmes vulnérables;
  • remise en état et régénération des terres dégradées et promotion des forêts naturelles et plantées.

Centre mondial d'agroforesterie fait partie d'un réseau de 16 centres Future Harvest disséminés dans le monde en développement et a pour mission d'améliorer les conditions de vie des populations en réduisant la pauvreté, en renforçant la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et en accroissant  la résistance de l'environnement dans les zones tropicales.

L'ICRAF  se concentre sur quatre thèmes principaux:

  • Systèmes agroforestiers  propres à renforcer la fertilité des sols et à régénérer les terres dégradées;
  • Systèmes d'arboriculture basés sur le marché propres à  libérer les ruraux démunis de la pauvreté et à améliorer leur état sanitaire et nutritionnel;
  • Systèmes agroforestiers propres à renforcer les fonctions écologiques, telles que la protection des bassins versants; la conservation de la biodiversité et le piégeage du carbone; 
  • Renforcement des capacités  en matière de recherche et de développement agroforestiers.

L'ICRAF partage avec les membres du PCF ses compétences et son objectif de renforcement de la coordination, pour les éléments de programme suivants du FNUF: Connaissances scientifiques liées aux forêts;  Remise en état et régénération des terres dégradées  et Promotion des forêts naturelles et plantées.

Les activités humaines libèrent des gaz à effet de serre dans l'atmosphère. L'augmentation de ces gaz modifie d'ores et déjà le climat. D'après les projections du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) la température de la planète augmentera de 1,4 à 5,8 degrés d'ici à l'an 2100. Le changement climatique aura probablement un impact significatif sur l'environnement mondial à cause de l'élévation du niveau de la mer qui débordera et causera des inondations, une augmentation des précipitations, des événements météorologiques extrêmes et des déplacements des zones climatiques qui seront préjudiciables pour les forêts, les déserts, les parcours et les autres écosystèmes. Les sociétés humaines verront leur sécurité alimentaire, leurs ressources hydriques, leurs infrastructures matérielles et leur santé menacées par de nouveaux risques et une pression accrue.

La communauté internationale s'appuie sur la CCNUCC pour faire face à ce défi. L'objectif ultime de la Convention et des instruments juridiques connexes, comme le Protocole de Kyoto est de:

"stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique. Il conviendra d'atteindre ce niveau dans un délai suffisant pour que les écosystèmes puissent s'adapter naturellement aux changements climatiques, que la production alimentaire ne soit pas menacée et que le développement économique puisse se poursuivre d'une manière durable."

Les forêts ont une incidence majeure sur le climat. Elles sont un important réservoir de carbone, contenant environ 80 % de la totalité du carbone emmagasiné dans la végétation terrestre, et environ 40 pour cent du carbone stocké dans le sol. De grandes quantités de carbone sont émises dans l'atmosphère lors des changements d'affectation des terres, en particulier dans les régions tropicales, or certains écosystèmes terrestres, comme les forêts tempérées et boréales, compensent à peu près les émissions dues à ces activités dans ces zones. La Convention et le Protocole de Kyoto reconnaissent le rôle potentiel des forêts dans l'atténuation du changement climatique.


http://unfccc.int

La Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification a pour objectifs de combattre la désertification et d'atténuer les effets de la sécheresse dans le cadre de Programmes d'action nationaux qui sont des orientations de politique à long terme formulées par les pays touchés, dans ce domaine. La Convention, entrée en vigueur en 1996, repose sur les principes de la participation, du partenariat et de la décentralisation. L'approche participative, partant de la base a garanti des changements durables et réels sur le terrain. En luttant contre la désertification, la Convention vise aussi à éliminer la pauvreté et à prévenir l'exode rural dans les zones arides. La désertification est un problème mondial qui menace les moyens d'existence de plus de 1,2 milliards d'individus et touche plus de 110 pays dans le monde entier.

La Convention fait une très large place à la conservation des forêts, qui sont cruciales pour protéger les sols contre l'érosion éolienne et hydrique - l'une des principales causes de désertification. Le boisement et le reboisement font partie des activités préconisées pour remettre en état les terres dégradées. C'est pourquoi la Convention a renforcé sa collaboration et sa coordination avec le FNUF et avec d'autres membres du PCF.

La Convention sur la lutte contre la désertification fait office de centre de liaison, avec la FAO et l'ICRAF, pour la remise en état et la régénération des terres dégradées, et pour la promotion des forêts naturelles et plantées.

La CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) est un accord international entre gouvernements. Son objectif est d’assurer que le commerce international de spécimens d’animaux et de plantes sauvages ne menace pas leur survie. Étant donné que le commerce des animaux et des plantes sauvages traverse les frontières entre les pays, l’effort de le réglementer exige une coopération internationale permettant de protéger certaines espèces de la surexploitation. La CITES a été conçue dans l’esprit d’une telle coopération. Aujourd’hui, elle compte 183 parties et offre divers degrés de protection à plus de 36 000 espèces d’animaux et de plantes. 

Suite à sa longue collaboration avec les membres du PCF et à son rôle croissant dans la gestion des produits forestiers de valeur économique, tels que le bois d’œuvre, la CITES s’est associée en 2018 au Partenariat de collaboration sur les forêts (PCF).

Au moment de son entrée en vigueur en 1975, la CITES réglementait le commerce international de 18 espèces d’arbres. Au cours des dernières années, les parties ont soumis plus de 900 espèces d’arbres aux contrôles de la CITES, reconnaissant que la CITES peut soutenir efficacement un commerce légal, durable et traçable du bois et d’autres produits forestiers. La CITES est de plus en plus impliquée dans gestion durable des forêts, et dans la lutte contre la perte de biodiversité en garantissant que le commerce international des espèces sauvages se fasse de manière légale et durable, et en combattant la surexploitation et le commerce illégal. La CITES contribue ainsi à plusieurs domaines thématiques d’action du plan stratégique des Nations Unies pour les forêts 2017-2030 (UNSPF).




La CDB est l'accord juridiquement contraignant sur la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique, signé à la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement (CNYED), à Rio de Janeiro (Brésil) en 1992. La diversité biologique - ou biodiversité - s'entend de la variabilité entre les organismes vivants provenant de toutes les sources et incluit la diversité au sein de chaque espèce, entre les espèces et la diversité des écosystèmes.

La CDB a trois objectifs principaux: la conservation de la diversité biologique; l'utilisation durable des éléments qui la composent; et le partage juste et équitable des avantages découlant de l'utilisation des ressources génétiques.

Le Secrétariat de la CDB fait office de centre de liaison du PCF pour la diversité biologique forestière, ainsi que pour les Connaissances traditionnelles dans le domaine des forêts. En outre, la CDB soutient plusieurs éléments de programme du FNUF, en particulier les Connaissances traditionnelles dans le domaine des forêts.

http://www.cbd.int

 

Le FEM aide les pays en développement à financer des projets et des programmes qui protègent l'environnement mondial. Etabli en 1991, le FEM est le mécanisme de financement officiel des accords internationaux sur la biodiversité, le changement climatique, et les polluants organiques persistants. Le FEM soutient aussi des projets axés sur la lutte contre la désertification et la protection des eaux internationales et de la couche d'ozone.

Le FEM coordonne plusieurs questions liées aux forêts au sein du PCF et du FNUF, notamment les éléments sur les ressources financières destinées aux forêts.

Le Fonds vert pour le climat (GVC), le fonds climatique le plus important au monde, a pour mandat d’appuyer les pays en développement à renforcer leurs ambitions climatiques et mettre en œuvre leurs contributions nationales déterminées (CDN) en vue d’un développement résilient et pauvre en carbone. Le fonds a été établi sous l’égide du mécanisme de financement de la CCNUCC et sert à mettre en œuvre l’Accord de Paris.

À travers les forêts, l’usage des terres et d’autres secteurs connexes tels que les écosystèmes et services écosystémiques, le FVC représente l’une des plus grandes sources de financement pour les forêts au niveau mondial. Avec plus de 200 entités accréditées et partenaires y compris de nombreux membres du Partenariat de Collaboration pour les Forêts, le fonds soutient les efforts d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques dans les pays en développement grâce à une panoplie d’instruments financiers tels que les dons, des prêts, du capital d’investissement, des garanties et des paiements aux résultats.

Les forêts sont depuis 15 ans, une question prioritaire sur les agendas politiques internationaux. À la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement (CNUED) de 1992, la question des forêts la été la plus controversée, sur laquelle s'est polarisée l'attention des pays développés et en développement. Après le Sommet de Rio en 1992, le Groupe d'experts intergouvernemental sur les forêts (GIF), de 1995 à 1997, puis le Forum intergouvernemental sur les forêts (FIF), de 1997 à 2000, l'un et l'autre sous les auspices de la Commission du développement durable des Nations Unie, ont été les principales instances intergouvernementales pour l'élaboration des politiques forestières internationales pendant ces huit ans.

Le FNUF a été établi par l'ECOSOC au titre d'un nouvel arrangement international sur les forêts pour prendre en charge les processus du GIF et du FIF. Le Rapport de la première session du FNUF décrit le Plan d'action et le Programme de travail pluriannuel du FNUF. Le FNUF et ses pays membres comptent dans une large mesure sur le Partenariat de collaboration sur les forêts pour le soutien technique, l'analyse et la mise en oeuvre des Propositions d'action du GIF/FIF.

Le PNUD est le réseau mondial de développement dont dispose le système des Nations Unies. Il prône le changement et relie les pays aux connaissances, expériences et ressources dont leurs populations ont besoin pour améliorer leur vie. Présent sur le terrain dans 166 pays, le PNUD les aide à élaborer leurs propres solutions aux défis nationaux et mondiaux en renforçant leurs capacités locales. Les dirigeants du monde se sont engagés à atteindre les Objectifs de développement pour le Millénaire, notamment le plus important qui est de diminuer de moitié la pauvreté d'ici à 2015. Le PNUD s'est attaché à aider les pays à élaborer et à partager des solutions dans les domaines suivants:

  • Gouvernance démocratique;
  • Réduction de la pauvreté;
  • Prévention des crises et relèvement;
  • Energie et environnement ;
  • Technologies de l'information et des communications;
  • VIH/SIDA.

Le PNUD aide les pays en développement à mobiliser et utiliser l'aide internationale efficacement. Dans toutes ses activités, il encourage la protection des droits de l'homme et favorise l'émancipation des femmes.

Compte tenu du rôle majeur que jouent les forêts dans la réduction de la pauvreté et la protection de l'environnement, le PNUD a centré ses efforts sur la promotion de la participation du grand public, au niveau national, dans le processus du FNUF, et est le centre de liaison du PCF pour cet élément.

La mission du PNUE est d'être le chef de file et d'encourager des partenariats dans le domaine de la protection de l'environnement en inspirant, informant et aidant les nations et les peuples à améliorer la qualité de la vie sans compromettre celle des générations futures.

Ses domaines prioritaires sont les suivants: Information, évaluation et recherche relatives à l'environnement, y compris capacité d'intervention en cas d¿urgences écologiques et renforcement des fonctions d'alerte rapide et d'évaluation; Renforcement de la coordination des travaux entrepris au titre des conventions sur l'environnement et mise au point d'instruments de politique; Eau douce; Transfert de technologies et industrie et Aide à l'Afrique.

En raison de ses capacités techniques, le PNUE est le centre de liaison du PCF pour les éléments suivants: Lutte contre le déboisement et la dégradation des forêts; Conservation des forêts et protection des types de forêts uniques et des écosystèmes fragiles; et Stratégies de remise en état et de conservation pour les pays à faible couvert forestier.


http://www.unep.org




L’Organisation internationale des bois tropicaux (OIBT) est une organisation intergouvernementale promouvant la gestion et la conservation durables des forêts tropicales ainsi que l’expansion et la diversification du commerce international des bois tropicaux issus de forêts gérées de manière durable et légalement exploitées.

L’OIBT :

  • Formule des principes directeurs et des normes convenus au niveau international pour encourager d’une part la gestion durable des forêts (GDF) et d’autre part les industries et le commerce durables des bois tropicaux.
  • Aide les pays membres tropicaux à adapter ces directives et normes aux conditions locales et à les mettre en œuvre sur le terrain par le biais de projets et d’autres activités.
  • Collecte, analyse et diffuse des données sur la production et le commerce des bois tropicaux.
  • Promeut des chaînes d’approvisionnement durables en bois tropical.
  • Aide à développer les capacités en foresterie tropicale. 

L’OIBT avec plus de 30 ans d’expérience est une organisation privilégiant l’action et les interventions sur le terrain. Elle a financé et collaboré à la mise en œuvre de plus de 1 200 projets et autres activités concernant les nombreux aspects de la gestion durable des forêts, tels que la restauration des forêts, l’utilisation efficace du bois, la compétitivité des produits du bois, la connaissance du marché et la transparence dans le commerce des bois tropicaux et les chaînes d’approvisionnement en bois tropicaux, l’application des lois forestières et la gouvernance, l’exploitation illicite des forêts, la conservation de la biodiversité, l’atténuation et l’adaptation au changement climatique, les contributions des produits forestiers non ligneux et des services environnementaux, et les moyens de subsistance des communautés tributaires de la forêt. 

Les membres de l’OIBT représentent environ 90 % du commerce mondial des bois tropicaux et plus de 80 % des forêts tropicales du monde. 

Site Web : www.itto.int 

Abonnez-vous aux ressources OIBT suivantes :

Tropical Timber Market Report
Tropical Forest Update
Tropical Forest News (e-newsletter)
ITTO’s project search

La FAO a été fondée en 1945 dans le but d'améliorer l'état nutritionnel, le niveau de vie, la productivité agricole et la condition des masses rurales. Aujourd'hui, la FAO est la plus grande institution spécialisée du système des Nations Unies et son organisation chef de file pour l'agriculture, les forêts , les pêches et le développement rural.

La FAO est une organisation intergouvernementale, qui regroupe 183 États Membres plus une organisation membre - la Communauté européenne. La FAO est le centre de liaison du PCF pour les éléments suivants:

  • formulation et mise en ouvre des programmes forestiers nationaux;
  • santé et productivité des forêts;
  • critères et indicateurs de la gestion forestière durable;
  • suivi, évaluation et établissement de rapports, et concepts, terminologie et définitions ;
  • remise en état et régénération des terres dégradées et promotion des forêts naturelles et plantées;
  • coopération internationale pour le renforcement des capacités, et le transfert de technologies rationnelles et accessibles pour appuyer la gestion durable des forêts.

Le PCF est présidé par la FAO.

L'IUFRO est un réseau international non gouvernemental, à but non lucratif, de scientifiques forestiers, qui encourage la coopération mondiale dans le domaine de la recherche forestière et améliore la compréhension des aspects écologiques, économiques et sociaux des forêts et des arbres. L’IUFRO est «le» réseau mondial pour la coopération en science forestière.

L’IUFRO a pour mission de développer l’excellence en matière de recherche et le partage des connaissances, et d’encourager le développement de solutions scientifiques pour relever les défis liés aux questions forestières, au profit des forêts et des populations du monde entier.

Les activités de l’IUFRO sont organisées par 280 unités spécialisées au sein de 9 divisions permanentes, et couvrent des domaines clés de la recherche forestière. L’IUFRO comprend plus de 15 000 chercheurs appartenant à environ 650 organisations membres provenant de 125 pays.

L’IUFRO dirige et coordonne une initiative conjointe au sein du PCF, à savoir les Groupes mondiaux d’experts forestiers (GMEF).

L’IUFRO est aussi le centre de liaison du PCF, conjointement avec le CIFOR et l’ICRAF, pour les connaissances scientifiques liées aux forêts.

L'IUCN , fondée en 1948, rassemble des États, des institutions gouvernementales et diverses organisations non gouvernementales dans un partenariat mondial exceptionnel: plus de 980 membres au total, répartis sur quelque 140 pays. L'UICN a pour mission d'influencer, d'encourager et d'aider les sociétés du monde entier à conserver l'intégrité et la diversité de la nature et à garantir l'utilisation équitable et écologiquement durable des ressources naturelles.

Les forêts sont un écosystème majeur couvert par le mandat de l'UICN, qui s¿est auto-désignée comme institution de soutien du PCF pour des éléments comme la conservation et la remise en état des forêts.


http://www.iucn.org