Les participants ont été informés que cette proposition était à l'examen en vue de sa finalisation par les parties intéressées, et le cadre proposé pour sa mise en oeuvre a été exposé.
Quelques participants étaient déjà au courant de l'existence de cette proposition, car leurs institutions avaient reçu la visite d'une mission de la FAO, en 1978 et 1979, et un bon nombre de personnes sont intervenues au cours des divers débats, à la fois pour avoir plus d'informations sur l'état d'avancement de la proposition et pour demander instamment que le projet soit rapidement mis à exécution. Ces interventions ont témoigné du grand intérêt que les institutions participantes portent à ce projet et du rôle de catalyseur qu'il pourrait jouer pour promouvoir le développement de l'aquaculture dans les pays de la Méditerranée (voir recommandation COPRAQ/79/5).
Au cours de la discussion qui a suivi, on a fait remarquer plusieurs fois que le COPRAQ pourrait et devrait compléter les activités du Projet en favorisant l'échange d'informations techniques entre les pays participants et le déplacement de chercheurs et d'experts pour faciliter leur collaboration en ce qui concerne les problème d'intérêt commun. Le COPRAQ et le Projet proposé pourraient également collaborer aux recherches adaptatives nécessaires en ce qui concerne le transfert de différentes technologies d'un pays à l'autre, car le Projet lui-même ne dispose pas d'un nombre suffisant d'experts pour pouvoir s'en charger.
