Global Forum on Food Security and Nutrition (FSN Forum)

TRADUCTION FRANÇAISE CI-DESSOUS

Today, some 54% of Africa's working force relies on the agriculture sector for livelihoods, income and employment. The vast majority of this includes smallholder producers and family farmers. Access to larger markets certainly has huge potential for farmers everywhere, yet I would like to focus my contribution on perspective of the small holder farmer and the need for support in participation within trade deals.

Beyond economic stimulation and agricultural develpoment, if the objective is to increase food security (and reduce rural poverty), it is essential that both the AfCFTA along with regional and national policies that acompany the trade deal ensure that strategies will be put in place to include and support small holder producers and especially those that may be more marginzed (including producers that are more vulnerable to food insecurity).

Trade liberalization will not result in increased food security unless domestic producers and traders (including small scale producers and family farmers) are able to participate in increaseing trading opportunities. 

When we look at Argentina, one of the world's biggest agricultural export countries, the vast majority of production in done through large scale production (up to 100,000 hectares or more). This may seem like a strange example when comparing to Africa where the majority of producers are small scale, yet let's keep in mind that opportunities to access the export market are much easier for large and medium scale producers. Having more accessible (including affordable) food imported into a given country can certainly lead to greater food security but let's not forgot about the small holder producers that may not be able to keep up with lower priced produce flowing in and who often loose their livelihoods in this process.

Therefore, developing national needs assessment with regards to the inclusion of small holder farmers, including more marginalized producers (pastoralist, those relying on the labour of their children, ingigenous peoples, youth and more) would seem essential. 

Important considerations, including recommended practices with regards to international trade deals and food security can be found in the FAO publication: Agriculture trade policy and food security in the Carribean (http://www.fao.org/3/a1146e/a1146e00.htm)

Aujourd'hui, environ 54% de la main-d'œuvre africaine dépend du secteur agricole pour ses moyens de subsistance, ses revenus et son emploi. La grande majorité de cela comprend les petits producteurs et les agriculteurs familiaux. L'accès à de plus grands marchés a certainement partout un énorme potentiel pour les agriculteurs, mais j’aimerais centrer ma contribution à la perspective du petit agriculteur et le besoin d'un soutien pour participer aux accords commerciaux.

Au-delà de la stimulation économique et du développement agricole, si l'objectif est d'accroître la sécurité alimentaire (et de réduire la pauvreté rurale), il est essentiel que la ZLECAf et les politiques régionales et nationales qui accompagnent l'accord commercial garantissent que des stratégies seront mises en place pour inclure et soutenir les petits producteurs et en particulier ceux qui peuvent être plus marginalisés (y compris les producteurs plus vulnérables à l'insécurité alimentaire).

La libéralisation du commerce n'entraînera pas une sécurité alimentaire accrue à moins que les producteurs et commerçants nationaux (y compris les petits producteurs et les agriculteurs familiaux) soient en mesure de participer à l'augmentation des opportunités commerciales.

Quand on regarde l'Argentine, l'un des plus grands pays exportateurs de produits agricoles au monde, la grande majorité de la production est une production à grande échelle (jusqu'à 100 000 hectares ou plus). Cela peut sembler un exemple étrange lorsqu'on compare à l'Afrique où la majorité des producteurs sont des petits exploitants agricoles, mais gardons à l'esprit que les opportunités d'accéder au marché d'exportation sont plus faciles pour les grands e moyens producteurs. Le fait d'avoir des aliments plus accessibles (y compris abordables) importés peut conduire à une plus grande sécurité alimentaire, mais les petits producteurs ne pourraient pas être en mesure de suivre les produits à bas prix qui sont mis en marché et perdent souvent leurs moyens de subsistance dans ce processus.

Par conséquent, le développement d'une évaluation des besoins nationaux en ce qui concerne l'inclusion des petits exploitants agricoles, y compris les producteurs plus marginalisés (pasteurs, ceux qui dépendent du travail de leurs enfants, les peuples autochtones, les jeunes etc.) semble essentiel.

Des considérations importantes, y compris les pratiques recommandées en ce qui concerne les accords commerciaux internationaux et la sécurité alimentaire, figurent dans la publication de la FAO: Politique commerciale agricole et sécurité alimentaire dans les Caraïbes (http://www.fao.org/3/a1146e/a1146e00.htm)