Le domaine des ressources en eau souterraine est-il bien connu ?
En Afrique de l’Ouest en général et au sahel en particulier le domaine des ressources en eau souterraine est presque méconnu par la population lambda (agriculteur et éleveurs). Cependant, ces ressources sont belles et bien connues par les services techniques de l’Etat qui ont réalisé plusieurs études et enquêtes dans le domaine hydraulique.
Où et comment peut-on disposer des informations y afférentes ?
Ces informations sont disponibles auprès des directions départementales, régionales et nationales de l’hydraulique et de l’environnement.
Comment extraire l’eau souterraine si on ne dispose pas des technologies appropriées et de l’énergie requise?
Pour l’exploitation de ces eaux souterraines qui souvent sont à des centaines de mètres, il faut :
volonté politique affichée des gouvernants à l’image du programme de la renaissance du Président ISSOUFOU du Niger qui met l’accent sur la mobilisation des eaux souterraines pour asseoir une agriculture durable ou le nigériens nourrissent les nigériens.
Mettre en place des unités de production de l’énergie à grande échelle (développer des centrales nucléaires civils car l’uranium, le charbon, le pétrole, le gaz, le soleil et le vent sont disponibles) ;
Former et éduquer les producteurs (agriculteurs) sur la gestion rationnelle des ressources en eau par la mise en place des réseaux californien, le goutte à goutte..etc.
Capitaliser les expériences des pays développés par le transfert des compétences.
Quels modes de gestion des infrastructures pour garantir la viabilité et la durabilité des projets d’irrigation à travers l’amélioration de la productivité des cultures et de l’eau ?
Comme je l’ai indiqué plus haut, il faut sensibiliser, éduquer et former les utilisateurs des eaux qui sont les agriculteurs. Il faut initier et développer le système de goutte à goutte, le réseau californien pour maitriser la gestion de l’eau
Faut il un appel à l’action pour un alignement et une harmonisation des différentes initiatives, tenant compte des objectives et priorités nationales en vue d’une approche commune de mise en œuvre par les acteurs du développement de l’irrigation au Sahel ?
A mon sens , il est urgent de convoquer une réunion ou un atelier de haut niveau qui regroupera tous les acteurs de l’espace CEN-SAD pour engager des discussions pour mieux harmoniser et intégrer les actions en vue d’une exploitations des eaux souterraines et leurs utilisations optimales. Ce qui est sur chaque pays , chaque acteur intervenant dans le domaine a son approche propre à partager avec les autres. La mise en commun de ces approches permettra une bonne harmonisation des actions.
En Afrique de l’Ouest en général et au sahel en particulier le domaine des ressources en eau souterraine est presque méconnu par la population lambda (agriculteur et éleveurs). Cependant, ces ressources sont belles et bien connues par les services techniques de l’Etat qui ont réalisé plusieurs études et enquêtes dans le domaine hydraulique.
Ces informations sont disponibles auprès des directions départementales, régionales et nationales de l’hydraulique et de l’environnement.
Pour l’exploitation de ces eaux souterraines qui souvent sont à des centaines de mètres, il faut :
Quels modes de gestion des infrastructures pour garantir la viabilité et la durabilité des projets d’irrigation à travers l’amélioration de la productivité des cultures et de l’eau ?
Comme je l’ai indiqué plus haut, il faut sensibiliser, éduquer et former les utilisateurs des eaux qui sont les agriculteurs. Il faut initier et développer le système de goutte à goutte, le réseau californien pour maitriser la gestion de l’eau
A mon sens , il est urgent de convoquer une réunion ou un atelier de haut niveau qui regroupera tous les acteurs de l’espace CEN-SAD pour engager des discussions pour mieux harmoniser et intégrer les actions en vue d’une exploitations des eaux souterraines et leurs utilisations optimales. Ce qui est sur chaque pays , chaque acteur intervenant dans le domaine a son approche propre à partager avec les autres. La mise en commun de ces approches permettra une bonne harmonisation des actions.