1. Sans nul doute, les zones directement touchées, et plus généralement l’Afrique de l’Ouest fera les frais en termes d’insécurité alimentaire et nutritionnelle en relation avec la maladie à virus Ebola. Les personnes les plus vulnérables, (pauvres, vieillards, femmes, enfants, personnes vivant avec un handicap), etc.
2. A défaut de la viande de brousse, on pourra explorer d’autres voies d’accès aux protéines comme le poisson, produits laitiers, le soja et autres produits à fort potentiel de protéines (haricot, moringa, etc.).
3. La maladie aura une conséquence néfaste sur la chaine de production-transformation-commercialisation-consommation. Ebola brisera cette chaine et cela risque de se traduire par des cassures dans la production, l’accès à la nourriture, l’insécurité alimentaire, le alentissement de la croissance économique, la brisure des relations humaines, etc.
4. Les dommages collatéraux seront nombreux : la marginalisation (des personnes infectées), l’autarcie : on notera un repli sur soi et une remise en cause des processus d’intégration régionale (Conseil de l’Entente, l’UEMOA, la CEDEAO, etc.), la perte des forces de travail, des dépenses de prise en charge. En conséquence, l’accès à la nourriture en quantité et qualité deviendra une gageure. Il y aura donc la cherté de la vie, l’apparition de conflits (dans les contextes difficiles, c’est le chacun pour soi). La solution viendra donc de la mobilisation de la communauté internationale, la sensibilisation de toutes les parties prenantes sur les tenants et aboutissants de la maladie, la constitution de réserves de nourriture pour les moment de soudure, etc.
5. Toutes les organisations inter-étatiques, ONG, OING, les Organisations internationales, de coopération, etc. doivent travailler en collaboration, coopérer avec l’OMS et le PAM (qui doivent travailler en synergie) afin de mener à bien la lutte contre Ebola et l’insécurité alimentaire.
6. Les plate-formes nationales doivent s’informer sur le virus Ebola, ses enjeux (tenants et aboutissants) pour espérer en parler (sensibiliser les cibles) de façon la plus juste possible. Ensuite, il faudra une mobilisation générale afin de mener le combat contre Ebola et l’insécurité alimentaire et la malnutrition, avec les autres acteurs (ceux décrits au point 5, par exemple).
Il s’agira pour ces plate-formes d’intégrer dans leurs actions, au quotidien, les défis que pose cette maladie afin de trouver des issues coordonnées et cohérentes contre la pandémie. Elles doivent par ailleurs faire le plaidoyer pour que des subventions soient accordées aux petits producteurs travaillant pour la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest.
1. Sans nul doute, les zones directement touchées, et plus généralement l’Afrique de l’Ouest fera les frais en termes d’insécurité alimentaire et nutritionnelle en relation avec la maladie à virus Ebola. Les personnes les plus vulnérables, (pauvres, vieillards, femmes, enfants, personnes vivant avec un handicap), etc.
2. A défaut de la viande de brousse, on pourra explorer d’autres voies d’accès aux protéines comme le poisson, produits laitiers, le soja et autres produits à fort potentiel de protéines (haricot, moringa, etc.).
3. La maladie aura une conséquence néfaste sur la chaine de production-transformation-commercialisation-consommation. Ebola brisera cette chaine et cela risque de se traduire par des cassures dans la production, l’accès à la nourriture, l’insécurité alimentaire, le alentissement de la croissance économique, la brisure des relations humaines, etc.
4. Les dommages collatéraux seront nombreux : la marginalisation (des personnes infectées), l’autarcie : on notera un repli sur soi et une remise en cause des processus d’intégration régionale (Conseil de l’Entente, l’UEMOA, la CEDEAO, etc.), la perte des forces de travail, des dépenses de prise en charge. En conséquence, l’accès à la nourriture en quantité et qualité deviendra une gageure. Il y aura donc la cherté de la vie, l’apparition de conflits (dans les contextes difficiles, c’est le chacun pour soi). La solution viendra donc de la mobilisation de la communauté internationale, la sensibilisation de toutes les parties prenantes sur les tenants et aboutissants de la maladie, la constitution de réserves de nourriture pour les moment de soudure, etc.
5. Toutes les organisations inter-étatiques, ONG, OING, les Organisations internationales, de coopération, etc. doivent travailler en collaboration, coopérer avec l’OMS et le PAM (qui doivent travailler en synergie) afin de mener à bien la lutte contre Ebola et l’insécurité alimentaire.
6. Les plate-formes nationales doivent s’informer sur le virus Ebola, ses enjeux (tenants et aboutissants) pour espérer en parler (sensibiliser les cibles) de façon la plus juste possible. Ensuite, il faudra une mobilisation générale afin de mener le combat contre Ebola et l’insécurité alimentaire et la malnutrition, avec les autres acteurs (ceux décrits au point 5, par exemple).
Il s’agira pour ces plate-formes d’intégrer dans leurs actions, au quotidien, les défis que pose cette maladie afin de trouver des issues coordonnées et cohérentes contre la pandémie. Elles doivent par ailleurs faire le plaidoyer pour que des subventions soient accordées aux petits producteurs travaillant pour la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest.