Bonjour à tous,
je me réjouis d'être invité à contribuer à cette question très importante et remercie toute l'équipe du FSN.
La place qu'occupe les femmes dans certains systèmes agricoles est en train d'être reléguer second plan maintenant en comparaison aux années antérieures. Dans les systèmes dominées par la culture du cacao dans la zone forestière en Côte d'Ivoire, une reconversion est entrain de s'opérer. les jeunes commencent à s'intéresser aux cultures pratiquées dans les bas-fonds à savoir le riz et les maraichers.
Les jeunes commencent à s'affirmer et s'épanouir économiquement par les revenus de cette exploitation de bas-fonds, pendant que la tendance actuelle des femmes est d'être utilisées comme main d’œuvre (pour le désherbage) dans les parcelles de riz des jeunes hommes de plus en plus grandes.
Elles réduisent ainsi les superficies de leurs propres parcelles. Certes, elles gagnent de l'argent mais reste vulnérables et sous la dépendance des ces jeunes agriculteurs.
L'idéal pour nous c'est de pouvoir promouvoir la mécanisation et surtout l’utilisation optimale des produits phytosanitaires aux populations des zones rurales très souvent analphabètes. Car ces populations pensent à tord que les produits phytosanitaires sont inefficaces.
Les politiques agricoles dans les pays e développement devrait beaucoup plus s'accentuer sur la formation des jeunes et des femmes aux techniques agricoles les plus rentable et sur l'utilisation des intrants phytosanitaires.
Merci à tous, cordialement Franck KONAN
Sr. Franck Boni Konan