L’eau souterraine constitue une alternative intéressante à condition de disposer des moyens (exhaure, distribution) économiquement supportable.
Pour les grands aménagements en maîtrise totale de l’eau
Sur le plan des ressources en eau de surface, je pense qu’en adoptant de bonnes pratiques (conduite de l’eau à la parcelle, équipements hydromécaniques adaptés), on devrait pouvoir augmenter substantiellement la productivité de l’eau agricole sans trop d’investissements. Cela suppose bien entendu une connaissance : (i) du niveau de besoin des plantes en culture, et (ii) des caractéristiques du sol.
Entre la rigueur du de la conception des réseaux (calcul de lignes d’eau, tour d’eau, etc.) et la pratique courante (absence des vannettes, modules détraqués, non-respect des consignes, etc..), il y a un fossé énorme. Ce qui laisse penser qu’il faut peut-être penser à la professionnalisation de la gestion de l’eau sur les aménagements (séparer la fonction hydraulique et la fonction production agricole).
Pour les petits aménagements privés autonomes
Les exploitants sont confrontés à la mobilisation rationnelle de la ressource en eau (de surface et souterraine). Mais on constate une bonne maîtrise des quantités d’eau délivrées aux plantes (bonne appréciation des besoins des cultures), bonne adaptation des cultures aux types de sols.
À ce niveau, il faudrait pousser les réflexions vers une mutualisation des ressources des dits exploitants pour permettre la mise en place d’une mobilisation performante et efficiente de l’eau, en vue d’une distribution à tous les acteurs concernés.
L’eau souterraine constitue une alternative intéressante à condition de disposer des moyens (exhaure, distribution) économiquement supportable.
Pour les grands aménagements en maîtrise totale de l’eau
Sur le plan des ressources en eau de surface, je pense qu’en adoptant de bonnes pratiques (conduite de l’eau à la parcelle, équipements hydromécaniques adaptés), on devrait pouvoir augmenter substantiellement la productivité de l’eau agricole sans trop d’investissements. Cela suppose bien entendu une connaissance : (i) du niveau de besoin des plantes en culture, et (ii) des caractéristiques du sol.
Entre la rigueur du de la conception des réseaux (calcul de lignes d’eau, tour d’eau, etc.) et la pratique courante (absence des vannettes, modules détraqués, non-respect des consignes, etc..), il y a un fossé énorme. Ce qui laisse penser qu’il faut peut-être penser à la professionnalisation de la gestion de l’eau sur les aménagements (séparer la fonction hydraulique et la fonction production agricole).
Pour les petits aménagements privés autonomes
Les exploitants sont confrontés à la mobilisation rationnelle de la ressource en eau (de surface et souterraine). Mais on constate une bonne maîtrise des quantités d’eau délivrées aux plantes (bonne appréciation des besoins des cultures), bonne adaptation des cultures aux types de sols.
À ce niveau, il faudrait pousser les réflexions vers une mutualisation des ressources des dits exploitants pour permettre la mise en place d’une mobilisation performante et efficiente de l’eau, en vue d’une distribution à tous les acteurs concernés.
Ervé Marcel OUEDRAOGO
Chargé des Ressources en Eau (DSAME)
(Projet Office du Niger)
UEMOA, 380 Avenue du Pr. Joseph KI-ZERBO
01 BP 543 Ouagadougou 01, Burkina Faso