Une des questions était comment faire pour exploiter cette ressource si l'on ne dispose pas de technologies appropriées et de l'énergie requise? Tant que ces conditions ne sont pas réunies, on ne peut rien faire. Par contre, si une approche participative est adoptée avec les bénéficiaires (agriculteurs, éleveurs, communautés concernées), il n'y a pas de raison que cela ne puisse pas se faire. Les moyens pourront être mobilisés à divers niveaux. Mais avant cela, il faut que la rentabilité soit évaluée. Si ce n'est pas économiquement rentable, ce n'est pas la peine.
Effectivement au Bénin, les données existent sur ces ressources à la Direction de l'Eau. nous ne pouvons pas demander à un agriculteur qui est peut-être analphabète de se renseigner sur les potentialités de sa zone. L'important c'est de développer des actions collectives, pour que tout le monde puisse en profiter.
S'il est possible de faire un forage, avec des extensions qui couvrent plusieurs fermes ou exploitations agricoles, les différents propriétaires peuvent s'associer et commander la réalisation de l'ouvrage. Ils pourraient même revendre une partie de cette eau, pour les autres besoins des populations.
Quant au mode de gestion, il peut être confié aux utilisateurs, avec un appui technique et un suivi assuré par les services déconcentrés de l'Eau et de l'Agriculture qui ont des compétences dans le domaine. Pour assurer cette durabilité, s'il s'agit d'un projet qui veut mettre ces infrastructures à disposition des bénéficiaires, alors ces derniers devraient participer à tous les niveaux (conception, financement, exécution,suivi et évaluation). En s'investissant pleinement, on est sûr d'une bonne utilisation et d'une bonne gestion de leur part.Aussi, il faudrait signer un contrat avec eux, cela permettra à chaque partie de s'engager et servira pour régler les éventuels conflits.
Une des questions était comment faire pour exploiter cette ressource si l'on ne dispose pas de technologies appropriées et de l'énergie requise? Tant que ces conditions ne sont pas réunies, on ne peut rien faire. Par contre, si une approche participative est adoptée avec les bénéficiaires (agriculteurs, éleveurs, communautés concernées), il n'y a pas de raison que cela ne puisse pas se faire. Les moyens pourront être mobilisés à divers niveaux. Mais avant cela, il faut que la rentabilité soit évaluée. Si ce n'est pas économiquement rentable, ce n'est pas la peine.
Effectivement au Bénin, les données existent sur ces ressources à la Direction de l'Eau. nous ne pouvons pas demander à un agriculteur qui est peut-être analphabète de se renseigner sur les potentialités de sa zone. L'important c'est de développer des actions collectives, pour que tout le monde puisse en profiter.
S'il est possible de faire un forage, avec des extensions qui couvrent plusieurs fermes ou exploitations agricoles, les différents propriétaires peuvent s'associer et commander la réalisation de l'ouvrage. Ils pourraient même revendre une partie de cette eau, pour les autres besoins des populations.
Quant au mode de gestion, il peut être confié aux utilisateurs, avec un appui technique et un suivi assuré par les services déconcentrés de l'Eau et de l'Agriculture qui ont des compétences dans le domaine. Pour assurer cette durabilité, s'il s'agit d'un projet qui veut mettre ces infrastructures à disposition des bénéficiaires, alors ces derniers devraient participer à tous les niveaux (conception, financement, exécution,suivi et évaluation). En s'investissant pleinement, on est sûr d'une bonne utilisation et d'une bonne gestion de leur part.Aussi, il faudrait signer un contrat avec eux, cela permettra à chaque partie de s'engager et servira pour régler les éventuels conflits.