Dans ce genre de catastrophe les difficultés majeures rencontrées proviennent du manque de coordination permettant de mettre en place rapidement des dispositifs pluridisciplinaires. Dans un deuxième temps, nous devrons d'élaborer un plan qui permettra de gérer l'après catastrophe. Le tout, en respectant et faisant respecter les règles et dispositifs préconisées.
Notre devoir est d'agir vite et bien.
Seul l'efficacité doit guider nos actions A ce titre, que faire aujourd'hui pour combattre les dommages collatéraux liés à la fièvre hémorragique Ebola?
Je pense qu'en cours de crise comme c'est le cas, et en complément aux mesures opérationnelles en place, des dispositifs de types "micro entreprise" peuvent être efficient face à la crise.
C'est, à mon sens, les actions que nous pouvons et devons mener rapidement.
Dans chaque Région et sous Région agissons courageusement et efficacement L'analyse des besoins est déjà faite et se trouve relativement identique pour chaque pays.
Notre savoir faire en matière nutritionnelle et alimentaire nous implique et nous impose d'agir.
Que chacun d'entre nous propose immédiatement une action dans son domaine. Je sais que c'est déjà le cas pour beaucoup.
Le travail déjà mis en place est remarquable et la mobilisation internationale très forte.
Peut être que c est a cause du risque majeur que représente la possible propagation de la fièvre hémorragique Ebola dans le monde mais seule l'implication et le résultat compte.
La mission d'information est primordiale et, elle semble être particulièrement difficile.
Faire comprendre à des populations de ne pas manger les animaux de la Forêt quand celles-ci manquent de nourriture est le paradoxe le plus fou.
Malgré les couloirs humanitaires et les actions menées par les Pouvoirs publics comme les ONG, il y a des difficultés d approvisionnement pour les zones touchées surtout celles qui ont subit initialement ce fléau.
C'est personnellement ce qui me revient de Guinée et principalement de Macenta.
Déjà, ces axes de travail me semblent réalisable.
D'autre part, il faut savoir que les autorités internationales mettent des freins à ceux qui souhaitent se déplacer vers les zones a risque pour participer aux aides ?
Dans ce genre de catastrophe les difficultés majeures rencontrées proviennent du manque de coordination permettant de mettre en place rapidement des dispositifs pluridisciplinaires. Dans un deuxième temps, nous devrons d'élaborer un plan qui permettra de gérer l'après catastrophe. Le tout, en respectant et faisant respecter les règles et dispositifs préconisées.
Notre devoir est d'agir vite et bien.
Seul l'efficacité doit guider nos actions A ce titre, que faire aujourd'hui pour combattre les dommages collatéraux liés à la fièvre hémorragique Ebola?
Je pense qu'en cours de crise comme c'est le cas, et en complément aux mesures opérationnelles en place, des dispositifs de types "micro entreprise" peuvent être efficient face à la crise.
C'est, à mon sens, les actions que nous pouvons et devons mener rapidement.
Dans chaque Région et sous Région agissons courageusement et efficacement L'analyse des besoins est déjà faite et se trouve relativement identique pour chaque pays.
Notre savoir faire en matière nutritionnelle et alimentaire nous implique et nous impose d'agir.
Que chacun d'entre nous propose immédiatement une action dans son domaine. Je sais que c'est déjà le cas pour beaucoup.
Le travail déjà mis en place est remarquable et la mobilisation internationale très forte.
Peut être que c est a cause du risque majeur que représente la possible propagation de la fièvre hémorragique Ebola dans le monde mais seule l'implication et le résultat compte.
La mission d'information est primordiale et, elle semble être particulièrement difficile.
Faire comprendre à des populations de ne pas manger les animaux de la Forêt quand celles-ci manquent de nourriture est le paradoxe le plus fou.
Malgré les couloirs humanitaires et les actions menées par les Pouvoirs publics comme les ONG, il y a des difficultés d approvisionnement pour les zones touchées surtout celles qui ont subit initialement ce fléau.
C'est personnellement ce qui me revient de Guinée et principalement de Macenta.
Déjà, ces axes de travail me semblent réalisable.
D'autre part, il faut savoir que les autorités internationales mettent des freins à ceux qui souhaitent se déplacer vers les zones a risque pour participer aux aides ?
Courage à tous
Alain Gramon