De nationalité étasunienne, Eve Crowley possède une vaste expérience en questions institutionnelles, de recherche et de développement dans de nombreux pays et organisations de prestige international.

Elle a été nommée Représentante Régionale adjointe pour l'Amérique latine et les Caraïbes et Représentante de la FAO au Chili, par le Directeur Général de la FAO, José Graziano da Silva, à partir d'octobre 2013.

Depuis son arrivée à la FAO, l'exercice de ses fonctions a été principalement lié à l'éradication de la pauvreté, au renforcement institutionnel, aux moyens de subsistance durables, à l'agriculture et au développement rural durable, ainsi qu'à l'emploi rural.

Etudes

Crowley est diplômée en Gouvernement et Anthropologie au Smith College et titulaire d'un doctorat en anthropologie à l'Université de Yale, New Haven, Etats-Unis.

Vaste expérience au sein de la FAO

Avant d'arriver au Bureau Régional pour l'Amérique latine et les Caraïbes, Eve Crowley était Directrice Adjointe du Genre, Equité et Emploi Rural (ESW) au siège de la FAO à Rome, et responsable et point focal de la FAO pour le développement de l'Agenda post 2015 jusqu'en juillet 2013. De 1998 à 1999, elle a été Responsable des Terres et Ressources Naturelles à la FAO de Rome.

Brillante carrière internationale

Eve Crowley possède une vaste expérience en développement rural, renforcement institutionnel, coordination et conception de projets multidisciplinaires, analyse théorique, élaboration de politiques et en méthodes pour améliorer la sécurité alimentaire et la soutenabilité sociale et environnementale.

1999-2011 : Conseillère technique sur les questions de sécurité alimentaire et de genre au Fonds International pour le Développement Agricole (FIDA).

1994-1996 : Responsable des programmes au Centre Mondial d'Agro Sylviculture (ICRAF) à Nairobi, au Kenya.

1983-1984 : Consultante pour des organisations d'aide intergouvernementales dans divers pays, y compris l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE), l'Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture (UNESCO) et le Centre International de Recherche en Agroforesterie (ICRAF).