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3. FACILITES DE L'ECLOSERIE

L'établissement d'une écloserie de Clarias est soumis a un certain nombre de conditions, à savoir:

  1. une disponibilité en eau adéquate en quantité et en qualité.

  2. un climat qui assure une température d'eau optimale et stable.

  3. une superficie suffisante pour la construction des bâtiments, des bassins, etc;….

  4. une force électrique disponible, en permanence et adaptée aux besoins.

  5. des facilités de communication et de transport.

  6. de la main d'oeuvre qualifiée.

En République Centrafricaine toutes ces conditions préalables ont été réunies à la station piscicole de Bangui-Landjia.

Une écloserie polyvalente adaptée à la technique de propagation induite et à l'alevinage de C.lazera est construite à cette station piscicole de Bangui-Landjia depuis 1981. La capacité productive de l'écloserie est comprise entre 1 et 2 millions d'alevins d'environ 1 g par an. (agés de 40 à 50 jours).

Puisque la technologie de la propagation artificielle des poissons est fondamentalement identique pour la plupart des éspèces, on pourrait donc multiplier d'autres éspèces, notamment la carpe commune (Cyprinus carpio) et les grandes carpes chinoises comprennant la carpe de roseau ou carpe herbivore (Ctenopharynodon idella), la carpe argentée (Hypohthalmichthys molitrix) et la carpe à grosse tête (Anstichthys nobilis). Il est intéressant de mentionner que récemment, toutes ces éspèces ont été introduites en R.C.A. par la coopération bilatérale chinoise au stade de fingerlings et subissent actuellement un test d'adaptation à la ferme agricole de Boyali.

3.1. Bâtiment de l'écloserie

Le plan de l'écloserie est repris dans la figure 1. Ce bâtiment (25 × 10 m) est construit en dur avec un toit en tôle d'aluminium. L'interieur est pourvu de l'électricité.

Le bâtiment comporte un bureau (13 m2), un laboratoire (11 m2), deux magasins de 7 m2 chacun et une salle de reproduction artificielle servant également au premier alevinage (écloserie proprement dite).

Le bureau est muni de deux meubles, d'une bibliothéque, d'un réfrigérateur, d'un tiroir classeur et d'un climatiseur.

Le laboratoire est équipé d'un évier en inox avec l'eau courante, d'une étuve, d'un microscope, d'un binoculaire, d'une table de travail placée le long du mur et d'étagères de rangement.

Un magasin d'entrepot de petit matériel est équipé d'étagères, le deuxiéme magasin n'a pas été aménagé et sert de lieu de stokage du gros materiel et de l'aliment importé.

Deux rigoles de vidange unies par deux tuyaux enterrés ont été construites pour l'évacuation des eaux usées.

3.2. Bacs d'élevage

Tous les bacs d'élevage importés sont des bacs rectangulaires en polyester, renforcés de fibre de verre. En raison de l'utilisation du systéme d'élevage en eau courante, tous ces bacs d'élevage sont équipés à leur extrémité d'un robinet d'entrée d'eau. A l'autre extremité, l'eau est évacuée par un trop-plein réglable. La vidange se fait par les rigoles d'évacuation. Tous les bacs d'élevage sont placés deux par deux, séparés par une passerelle.

On utilise plusieurs bacs des trois types suivants: 1) Incubateurs type bac californien. Chaque incubateur (50 1) 2.1 × 0.4 × 0.2 m à fond plat, est équipé de quatre paniers d'incubation dont le fond est constitué d'une plaque perforée, d'acier inoxydable (maille 1.0 mm). Ces paniers sont concus pour permettre à l'eau courante de traverser la crépine-écran par dessous (fig.2). Un treillage en nvlon à maille appropriée est placé avant le trop plein. Des incubateurs, au nombre de quatre, sont utilisés pour l'incubation des oeufs fécondés, l'éclosion et le premier élevage des larves.

2) Bacs d'alevinage. Ces bacs (300 1), 10 au total, ont les mêmes largeur et longueur que les bacs californiens mais ils sont deux fois plus haut, 40 cm au lieu de 20 cm. Les bacs d'alevinage comme les incubateurs sont placés sur un support à environ 75 cm du sol pour faciliter les manipulations et les observations. Ils sont groupés par deux. Un éclairage adéquat constitué par une réglette (60 cm, 40 W) est placé à 20 cm au-dessus des bacs jumeaux, à 30–40 cm du trop plein. L'élevage des jeunes poissons, éclos dans les incubateurs commence dans ces bacs (fig. 2).

3) Bacs à reproducteurs. Ces bacs, au nombre de 20, ont une dimension de 3.6 × 0.8 × 0.7 m et une capacité maximale de 1750 l. Un fond cylindrique légerement incliné vers le trop plein, (fig. 3) favorise l'autonettoyage du bac. Tous les deux bacs se trouve une source de lumiere (tube néon de 120 cm, 60 W). Ces bacs servent à maintenir les reproducteurs en etat, (4 bacs) ou à élever les alevins (18 bacs). Tous les bacs jumeaux sont équipés d'un récipient individuel contenant une solution désinfectante de Benzalconium chloride 1% (= Hyamine). On utilise des seaux de 10 1 pour les bacs d'alevinage et les incubateurs et des demi-fût en plastique de 60 l pour les bacs à reproducteurs. Ces récipients servent à la désinfection des épuisettes et autre matériel de manipulation des poissons et sont placés devant leur bac respectif le long du couloir central.

3.3. Aquaria.

On dispose de 10 aquaria de 120 litres qui sont placés sur une table en bois rouge, à une hauteur de 90 cm du sol. Chaque aquarium est pourvu d'un trop plein, et d'un robinet d'eau. Les aquaria sont réservés à la recherche.

3.4. Entonnoirs.

6 entonnoirs (15 litres) du type bouteille de Zoug (ainsi nommé d'aprés le lac de Zoug, en Suisse, où ils furent pour la premier fois employés), fabriqués en fibres de verre, sont placés sur une table, construite et adaptée à cet effet.

Ces entonnoirs peuvent être utilisés comme récipient pour l'incubation des kystes d'Artemia (aliment de démarrage) ou comme incubateur pour des oeufs non collants de poissons. Ces jarres sont munies d'un robinet d'eau à partir duquel l'eau entre par le fond et sort par l'extremité supérieure de l'entonnoir. La figure 4 illustre cette description.

3.5. Eau.

3.5.1. Alimentation en eau.

L'eau nécessaire à l'écloserie provient d'un barrage en dur, construit sur la rivière Landjia à environ 400 m en amont de la station. Un canal en terre, équipé de deux déversoirs, amène l'eau en tête de la station, dans un petit bac de décantation, (1.5 × 2 × 1.5 m) à trois compartiments. A cet endroit il se partage en deux tranches bétonnées: l'une vers les étangs B1, B2, et les séries A et F, l'autre vers L11, les bacs de stokage et le reste de la série B. Le barrage, le canal d'amenée, le bac de décantation ainsi que le fonctionnement et l'entretien de ces infrastructures, sont décrits en details dans le document technique No 13 achevé au projet (Mievis, 1984).

3.5.2. Qualité de l'eau.

L'eau de l'écloserie est prise dans le canal d'amenée de la station, juste aprés l'étang L 11. L'eau a les caractéristiques suivantes:

- Température mensuelle moyenne comprise entre 24 et 26 °C; En janvier la température peut descendre jusqu'à 20–23 °C (fig. 5).

- Taux d'oxygéne dissous, compris entre 7.5 et 8.5 mg/l.

- PH aux alentours de 5.5–6.0

- taux d'amonium (NH4+), nitrite (NO2-) et nitrate (NO3-) néant

- Chargée gros déchets organiques, d'alluvions et de poissons (Tilapia, Hemichromis, Clarias, Gymnallabes)

- Indemne de produits chimiques, de gaz d'organismes plantoniques et d'algues.

Ces caractéristiques sont favorables pour la reproduction artificielle et l'alevinage de Clarias en écloserie.

La température de l'eau représente un facteur important, (tous les processus biologiques des poissons, animaux à sang froid, en dépendent.) La figure 5 reprend la temperature mensuelle durant l'année. La température optimale pour la croissance de C.lazera est de 30 °C (alevins) et de 27 °C (adultes) (Hoge ndoorn, 1983). La capacité élevée de l'eau de conserver la chaleur ne permet pas de changements thermiques rapides. La température journalière la plus élevée est observée le soir vers 15–17 h et la plus basse vers 6–8 h le matin. L'écart enregistré par jour est de 2 à 3 °C.

Une grille de protection placée dans le canal d'amenée d'eau en tête de station supprime une grande partie des déchets organiques et les plus gros dépots (gravier) à condition qu'elle soit nettoyée tous les jours.

Un bac de décantation de grande taille a été construit peu avant l'écloserie, pour enlever ce qui reste du matériel organique et des alluvions (petit gravier, sable, boue). Ce bac de décantation est composé de deux compartiments en béton armé de 10 m × 5 m × 1 m et de deux collecteurs couverts. L'entrée d'eau de chaque bac est aménagée de façon à ce que le courant d'eau soit réduit au maximum. L'entrée d'eau se trouve au fond du bac. De cette façon la turbulence est minime et on obtient un courant laminaire de l'eau, sur toute la largeur du bac. Il est nécessaire de faire fonctionner les deux bacs paralléles, en même temps, pour obtenir un temps de décantation le plus long possible, et donc une meilleure décantation. Le plan et le fonctionnement du bac de décantation sont illustrés dans la figure 6. Chaque bac doit être nettoyé fois tous les deux mois. Il est conseillé d'exécuter ce nettoyage à jour fixe, pour ne pas oublier de le faire.

La prise d'eau du bac de décantation se situe au niveau de l'étang B3. Le niveau d'eau dans le canal d'amenée de la serie B4-7 est monté à l'aide d'une série de planchettes. IL ne faut jamais enlever la derniere planchette pour augmenter le debit en eau des bacs de stokage. Si l'on enléve cette planchette, on coupe l'alimentation en eau de l'écloserie (fig. 7). Sans renouvellement d'eau, les larves et les alevins meurent dans les 2 à 6 heures qui suivent. Pour augmenter le débit en eau pour les bacs de stokage pendant les jours de vidange et/ou de stokage d'alevins, il suffit de diminuer la consommation en eau de l'écloserie. Cette consommation est réduite en fermant les robinets qui alimentent les bacs en fonction de leur contenu en poisson. Cette décision est prise en commun accord avec le responsable de l'ecloserie.

Il est conseillé d'utiliser un des deux compartiments du bac de décantation pour le stokage des alevins de Tilapia. En fonctionnant sur un compartiment, le temps de décantation est diminué de moitié et l'eau à l'écloserie est poluée d'alluvions, ceci est gênant pour l'élevage des larves et l'alevinage.

A l'origine le bac de décantation était aménagé comme filtre à sable. Il a fonctionné difficilement en tant que tel, pendant un an. (difficultés de lavage du sable et développement d'un systéme biologique gros consommateur d'oxygéne: taux d'oxygéne à la sortie du bac aux alentours de 4 mg/l). Par contre, le bac de décantation fonctionne avec beaucoup d'efficacité. La sortie d'eau est oxygénée à 100 pour cent et ne contient aucun solide en suspension, cependant aprés une forte pluie, la sortie d'eau est chargée de latérite colloidale pendant un à deux jours, de la même façon que lorsque on l'utilisait comme filtre à sable. Ceci parait uniquement nuisible pour l'éclosion des larves et l'élevage des larves vésiculées. L'eau utilisée à l'écloserie n'est pas traitée au départ avec des produits chimiques.

3.5.3. Distribution.

L'adduction d'eau à l'écloserie se fait par gravité. de cette façon l'écloserie pourra fonctionner d'une maniére indépendante des coupures d'électricité de ville. La pression fournie provient d'une différence de niveau de 1 mètre, entre le collecteur plein et les robinets d'eau. Une pression trop grande pourrait léser les organismes délicats tels que les oeufs et les larves. Le plan de distribution d'eau de l'écloserie est présenté dans la figure 8.

Toutes les tuyauteries et vannes de l'écloserie sont en PVC à l'exception des robinets d'eau qui sont en bronze. A l'extrémité des principaux tuyaux se trouve un tuyau de ventilation (prise d'air) et un robinet d'un pouce et demi. Ces robinets doivent être ouverts une fois par semaine pendant 5 à 10 minutes afin de curer les tuyaux.

L'alimentation en eau des aquaria se fait à l'aide d'une pompe (marque Wilo). Une pompe hydrophore (marque Stork) alimente le laboratoire et la lance de nettoyage.

Le fonctionnement de l'écloserie exige un débit en eau de 10 à 20 l/sec (= 36 à 54 m3/heure) suivant le nombre de bacs utilisés. A l'heure actuelle on utilise environ 7 1/sec pour une production annuelle de 500.000 alevins. La distribution d'eau de l'écloserie se fait d'un commun accord avec le responsable de l'élevage en étangs. Ceci est trés important et doit être réglé à l'avance les jours de vidange, de stokage ou de mise en eau des étangs et pendant la saison séche.

3.5.4. Eaux usées.

Les eaux usées des bacs sont évacuées dans une rigole de vidange qui se vide directement dans la rivière Landjia (saison des pluies) ou dans les étangs L 3 et GB 1-2-3- à l'aide d'un canal d'amenée en terre (saison sèche)

3.6. Air.

Dans une écloserie moderne, un apport d'air est requis pour les raisons suivantes:

- apport en oxygène pour l'incubation des kystes d'Artemia.

- amélioration de l'autonettoyage des bacs d'alevinage.

- possibilité d'accroissement de la durée des traitements préventifs et thérapeutiques des larves et des alevins.

- incubation des oeufs dans l'eau stagnante.

On a besoin d'un grand volume d'air non contaminé, d'une faible pression (maximum 100 m bar = une colonne d'eau de 100 cm). Ainsi une soufflerie qui envoie de l'air sans huile convient mieux qu'un compresseur. (faible volume à forte pression).

On a prévu une soufflerie à l'écloserie dont voici les caracteristiques les plus importantes:

 marque: Rietschle
 type: 245-2
 capacité:170 m3/heure à 0 mbar
  90 m3/heure à 80 mbar
  60 m3/heure à 140 mbar
 moteur: triphasé
 puissance: 0,75 KW; 2,3 Amp
 No de tours: 2850 t/mn

Le plan de distribution de l'air se trouve dans la figure 9. Chaque bac d'alevinage, bac d'incubation; aquarium ainsi que chaque entonnoir doit être pourvu d'un approvisionement adéquat en air. La quantité d'air de chaque bac, entonnoir ou aquarium est réglable par un robinet d'air, fixé dans le tuyau principal (50 mm). De là, un tuyau d'environ 10mm conduit l'air dans les bacs. Les tuyaux placés dans les bacs d'alevinage et les incubateurs sont percés de trous à 1 cm d'intervalle sur la longueur nécessaire avec une aiguille que l'on affile sur une meule fine. Ces trous laissent passer des petites bulles d'air sous pression. Les tuyaux des entonnoirs et des aquaria sont lestés d'une pierre poreuse. Plus les bulles d'air sont petites plus la surface de l'air en contact avec l'eau est relativement grande pour un même volume d'air, ce qui facilite l'absorption de l'oxygéne par l'eau. De plus elles montent plus lentement à la surface ce qui laisse d'avantage de temps à l'oxygéne pour être absorbé.

Une dizaine de petites pompes à air (marque Rena) permettent l'incubation des kystes d'Artemia dans les entonnoirs en cas de panne d'électricité.

3.7. Electricité.

L'électricité est raccordée au réseau de la ville de Bangui. Un groupe electrogéne d'appoint (marque Lister, capacité 12 KW) peut faire fonctionner l'éclairage, la soufflerie et les autres appareils électriques requis.

3.8. Matériel et accessoires requis.

Dans l'annexe 1, se trouve la liste détaillée par section du matériel et des accessoires nécessaires à l'équipement d'une écloserie fonctionnelle. Tous les accessoires et matériaux que requièrent la propagation artificielle et l'alevinage ne sont pas disponibles sur le marché local. Par conséquent, une partie est fabriquée sur place, et les appareils et matériaux spéciaux ont été commandés à l'étranger. On trouvera en annexe 2 les adresses des fournisseurs de ce matériel.

Il est évident que pour faire fonctionner avec succes toutes les installations, appareils et matériel doivent être entretenus, vérifiés, et nettoyés régulierement, et réparés ou remplacés si cela est nécessaire, de façon à ce que tout soit en permanence dans un parfait état de marche. Il est d'une grande importance que tout le materiel soit manié conformément aux instructions.

3.9. Fabrication du materiel pour l'écloserie.

Tous les bacs sont équipés de couvercles. Les cadres de ces couvercles sont fabriqués en lattes de 4 × 2 cm (bois rouge), les figures 2 et 3 montrent les couvercles pour les incubateurs (ou bac d'éclosion) les bacs d'alevinage et les bacs à reproducteur. Une feuille de plastique noire, assez épaisse est agraffée sur chaque cadre pour créer un milieu de tranquillité et d'obcurité pour les poissons. Les parties non couvertes de feuille de plastique pour les bacs à reproducteurs sont revêtues de grillage à poule. Les cadres pour les grandes épuisettes (carrées et les moyennes, en forme de pelle) sont faits de fer à béton rond de respectivement 8 et 6 mm et attachés sur un manche en bois rouge (sapelli). Une barre de protection est attachée en tête de l'épuisette pour empêcher l'usure accélérée du filet par frottement sur le fond des bacs. Les filets sont manufacturés d'une seine, ou d'un autre filet hors service d'une maille appropriée (0,5 à 2 cm).

Les sorties d'eau des incubateurs et des bacs de premier alevinage sont équipées d'une crépine à tamis placée 10 cm avant le trop plein. Les cadres de ces crépines sont confectionnées dans des lattes de 3 × 2 cm (bois rouge) et pourvue d'une couche de mousse à l'exterieur. Elles sont garnies d'une étamine de fibre syntétiques, on utilise quatre mailles différentes à savoir: 0,5; 1,0; 2,0 et 4,0 mm.

Les tamis utilisés pour rincer et égoutter les kystes d'Artemia sont construits a partir d'un morceau de tuyau PVC de 12 à 15 cm (diametre 200mm). Sur ce cylindre on colle, avec une colle pour fibre de verre, un morceau de toile à plancton (maille 125 microns = 0,125 mm).

Les transporteurs pour grandes distances, jusqu'a 48 heures de transport, sont fabriqués d'une caisse en bois blanc de 80 × 50 × 40 cm, cette caisse est lestée d'un couvercle amovible. A l'intérieur se trouve un bac fabriqué d'une mince feuille d'aluminium quiest isolé par une feuille de polyvinylique. Les joints du bac d'aluminium sont rendus étanches avec de la colle à silicone. La figure 12 illustre ce transporteur dans lequel on peut placer deux sacs en plastique remplis de poissons. (larves ou alevins).


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