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Document de travail sur les virus dans les aliments (Point 11 de l’ordre du jour)[16]

122. Le Comité a rappelé qu’à la dernière session, la délégation des Pays-Bas avait proposé de considérer les dangers que constituent les virus pour la salubrité des aliments en vue de l’élaboration de recommandations pour leur maîtrise. Il a été convenu que la délégation préparerait un document de travail pour la 32e session.

123. La délégation des Pays-Bas a présenté le document de travail préparé avec l’aide d’autres pays et a appelé l’attention du Comité sur la recommandation de la section 6.2 qui souligne l’importance de rendre largement accessible les connaissances scientifiques existantes. La délégation a indiqué qu’il n’était pas possible d’élaborer un document sur les “mesures de maîtrise pour les virus d’origine alimentaire” sur le modèle de celui en cours de préparation pour Listeria monocytogenes, et a demandé l’avis du Comité sur la façon de procéder.

124. La délégation des États-Unis a exprimé ses remerciements à la délégation des Pays-Bas et aux autres pays rédacteurs pour leur excellent travail. Tout en reconnaissant que les virus présentaient un important problème de santé publique, elle a déclaré que cette question, notamment la nécessité de recherches, de données épidémiologiques et d’une formation dans ce domaine, serait traitée d’une façon plus appropriée par l’OMS, suggérant que le document préparé soit publié en tant que document OMS.

125. Le représentant de l’OMS a déclaré que l’Organisation mondiale de la santé reconnaissait que la question des virus était un défi pour la santé publique et qu’elle prévoyait d’organiser une consultation d’experts sur ce thème en 2000 ou 2001. Ces travaux pourraient compléter ceux de la Consultation ad hoc d’experts examinés dans le cadre du point 2 de l’ordre du jour. La délégation du Japon a déclaré qu’à son avis cette question devrait être traitée par la Consultation ad hoc d’experts.

126. Le Comité est convenu d’interrompre à titre temporaire les travaux sur les virus et d’examiner à nouveau la question dans 2 ou 3 ans, compte tenu de l’avancement des travaux de l’OMS et d’autres organismes internationaux.


[16] CX/FH 99/11

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