Origine
Article IX-1(b) (1) du Règlement intérieur de la Commission du Codex Alimentarius. Créé par la Commission du Codex Alimentarius à sa vingt-troisième session (1999). Gouvernement hôte: Brésil
Rôle
Première session
Septembre 2000.
Composition
Ouvert à tous les membres de la Commission.
Langues de travail
Anglais, espagnol, français, portugais.
Sessions
Tous les 12 à 18 mois. La première session s'est tenue en septembre 2000.
Réalisations 2000-01
Le Groupe a examiné l'avant-projet de norme générale pour les jus et nectars de fruits et le projet de norme générale révisée pour les jus de légumes.
Origine
Article IX-1(b) (1) du Règlement intérieur de la Commission du Codex Alimentarius. Créé par la Commission du Codex Alimentarius à sa vingt-troisième session (1999). Gouvernement hôte: Japon.
Rôle
Première session
Mars 2000.
Composition
Ouvert à tous les membres de la Commission.
Langues de travail
Anglais, espagnol, français.
Sessions
Tous les 12 mois. La dernière session a eu lieu en mars 2001.
Réalisations 2000-01
Le Groupe a élaboré un avant-projet de Principes pour l’analyse des risques liés aux aliments dérivés des biotechnologies modernes et un avant-projet de Directives régissant la conduite de l’évaluation de la sécurité sanitaire des aliments dérivés des plantes à ADN recombiné. Il a entamé des travaux à propos d'un avant-projet de Directives régissant la conduite de l’évaluation de la sécurité sanitaire des micro-organismes à ADN recombiné.
Origine
Article IX-1(b) (1) du Règlement intérieur de la Commission du Codex Alimentarius. Créé par la Commission du Codex Alimentarius à sa vingt-troisième session (1999). Gouvernement hôte: Danemark.
Rôle
Première session
Juin 2000.
Composition
Ouvert à tous les membres de la Commission.
Langues de travail
Anglais, espagnol, français.
Sessions
Tous les 12 mois. La dernière session a eu lieu en mars 2001.
Réalisations 2000-01
Le Groupe a examiné l'avant-projet de Code d'usages sur la bonne alimentation animale, y compris la production en exploitations et l'utilisation des aliments. Il a examiné les travaux menés par les comités du Codex pertinents, par d'autres organes internationaux pertinents et par les autorités nationales dans le domaine de l'alimentation animale et s'est intéressé aux méthodes d'examen des aliments.
Origine
Créée en 1947 durant la "Semaine internationale du peuplier" organisée par le Gouvernement français. À sa dixième session (1959), la Conférence a adopté une convention, aux termes de laquelle la Commission entre dans le cadre de la FAO. La Convention est entrée en vigueur le 26 septembre 1961. Elle a été amendée lors de la deuxième session extraordinaire de la CIP (1967) puis approuvée par la Conférence à sa quatorzième session (1967). À sa troisième session extraordinaire (1977), la Commission a adopté de nouveaux amendements qui ont été approuvés par la Conférence à sa dix-neuvième session (1977).
Rôle
Étudier les aspects scientifiques, techniques, sociaux et économiques de la culture du peuplier et du saule; faciliter les échanges d'idées et de matériel entre chercheurs, producteurs et utilisateurs; établir des programmes de recherche en commun; encourager l'organisation de congrès combinés avec des voyages d'étude, faire rapport et adresser des recommandations à la Conférence de la FAO par l'intermédiaire du Directeur général; adresser des recommandations aux commissions nationales du peuplier par l'intermédiaire du Directeur général et des gouvernements intéressés (Article III de la Convention). (Article III de l'Acte constitutif)
Première session
La "Semaine internationale du peuplier" organisée à Paris en avril 1947 fut ensuite considérée comme la première session de la CIP.
Composition
Les États Membres et membres associés de la FAO qui acceptent la Convention conformément aux dispositions de l'Article XIII de ladite Convention. À la majorité des deux tiers de ses membres, la Commission peut admettre à la qualité de membre d'autres États qui font partie de l'Organisation des Nations Unies, d'une de ses institutions spécialisées ou de l'Agence internationale de l'énergie atomique.
Composition actuelle:
Afrique du Sud Allemagne Argentine Autriche Belgique Bulgarie Canada Chili Chine Corée, Rép. de |
Croatie Égypte Espagne États-Unis d'Amérique Finlande France Hongrie Inde Iran, République |
Iraq Irlande Italie Japon Liban Maroc Nouvelle-Zélande Pakistan Pays-Bas Portugal |
Roumanie Royaume-Uni Suède Suisse Syrie Tunisie Turquie Yougoslavie |
Les sessions de la Commission sont également ouvertes à des observateurs d’États membres de la FAO qui, sans être membres de la Commission, peuvent indiquer qu'ils souhaitent participer aux sessions compte tenu de leur intérêt pour la culture du peuplier et du saule.
Langues de travail
Anglais, espagnol, français.
Règlement intérieur
Règlement général de l'Organisation, conformément aux Textes fondamentaux de la Convention de la Commission internationale du peuplier.
Sessions
1965, 1968, 1971, 1975, 1980, 1984, 1988, 1992, 1996, 2000. L'Argentine et le Chili ont offert d'accueillir la vingt-deuxième session en 2004.
Organes subsidiaires
Groupe de travail sur l'exploitation et l'utilisation du bois de peuplier (FO-704) (anglais, espagnol, français selon les besoins) (1)
Réalisations 2000-01
Il est possible de se procurer les rapports de la vingt et unième session de la Commission internationale du peuplier et de la quarantième session de son Comité exécutif (Portland, Oregon, 24-28 septembre 2000) sur copie papier auprès du Secrétaire de la CIP et sous format électronique sur un nouveau site en cours d'élaboration, à l'adresse suivante: http://www.fao.org/forestry/foris/index.jsp/startid4288.
Le Comité exécutif s'est réuni à Rome en septembre 2002.
(Article VI-1 de l'Acte constitutif)
Origine
Créée par la Conférence à sa dixième session (1959, Résolution 26/59).
Rôle
Émettre des avis sur l'élaboration de la politique forestière et de gestion de la faune sauvage et en surveiller et coordonner la mise en œuvre sur le plan régional; échanger des informations; d'une manière générale, émettre, par l'intermédiaire d'organes subsidiaires spéciaux, des avis sur les méthodes et mesures appropriées pour la solution des problèmes techniques, et formuler toutes recommandations utiles dans les domaines précités.
Première session
Novembre 1960.
Composition
Ouverte à tous les États Membres et membres associés de la FAO dont les territoires sont situés en totalité ou en partie dans la région Afrique ou qui assurent les relations internationales de tout territoire non autonome situé dans cette région. Font partie de la Commission les États remplissant les conditions requises et qui ont notifié au Directeur général leur désir d'être considérés comme membres.
Composition actuelle:
Afrique du Sud Algérie Angola Bénin Botswana Burkina Faso Burundi Cameroun Cap-Vert Congo, Rép.
Congo, Rép. du |
Côte d'Ivoire Égypte Éthiopie France Gabon Gambie Ghana Guinée Guinée équatoriale Guinée-Bissau Kenya Lesotho |
Libéria Madagascar Malawi Mali Maroc Maurice Mauritanie Mozambique Namibie Niger Nigéria Ouganda |
République centrafricaine Rwanda Sénégal Sierra Leone Soudan Swaziland Tanzanie, Tchad Togo Tunisie Zambie Zimbabwe |
L’Espagne, les États-Unis d’Amérique, le Royaume-Uni et la Somalie assistent aux sessions en qualité d’observateurs.
Langues de travail
Anglais, français.
Règlement intérieur
Adopté par la Commission à sa première session et approuvé par la Conférence à sa onzième session (1961); amendé à la cinquième session de la Commission (1978).
Sessions
1960, 1969, 1972, 1976, 1978, 1983, 1986, 1989, 1992, 1995. 1998, 2000. La prochaine session doit se tenir à Libreville (Gabon) du 25 au 29 mars 2002.
Organe subsidiaire
Groupe de travail sur l'aménagement de la faune et les parcs nationaux (FO-709) (anglais, français) (1)
Réalisations 2000-01
La Commission des forêts et de la faune sauvage pour l'Afrique a tenu sa douzième session à Lusaka (Zambie) du 27 au 30 mars 2000. Dans le cadre de l'examen de la situation des forêts et de la faune sauvage dans la région, la Commission a recommandé que la FAO, en collaboration avec d'autres institutions, continue à faciliter les débats et, conformément à son mandat, à offrir des conseils et avis sur les aspects techniques et politiques de la lutte contre les incendies de forêts. Elle a en outre recommandé à la FAO de maintenir son aide au renforcement des capacités des institutions forestières d'Afrique.
Dans le cadre de l'examen des Programmes ordinaire et de terrain de la FAO, la Commission a recommandé à celle-ci de prendre des mesures pour accélérer le processus d'évaluation des programmes de coopération technique, dont l'urgence exige une réaction immédiate.
La Commission a recommandé à la FAO d'aider les pays à élaborer leur système d'information sur les forêts pour ce qui touche aux critères et indicateurs pour la gestion durable de forêts et à leur incidence sur la certification et le commerce en Afrique.
En ce qui concerne l'élaboration des programmes forestiers nationaux en Afrique dans le cadre du suivi du Groupe intergouvernemental sur les forêts et du Forum intergouvernemental sur les forêts (GIF/FIF), la Commission a recommandé (a) que les pays africains adoptent de nouvelles mesures de mobilisation des ressources internes aux différents niveaux, de manière à garantir l'application de leurs programmes forestier nationaux et assument une responsabilité importante en matière de gestion durable des forêts; (b) que la FAO aide les pays à mobiliser des ressources, en particulier ceux qui ne sont pas en mesure d'affecter une part importante de leur budget à la gestion durable des forêts; (c) que la FAO aide à renforcer les capacités des organisations non gouvernementales (ONG) locales et facilite leur participation à la mise en oeuvre des programmes de gestion durable des forêts.
Dans le domaine des forêts et du Protocole de Kyoto, la Commission a recommandé (a) que la FAO aide les pays africains à comprendre les aspects techniques liés aux forêts et ayant trait au Protocole de Kyoto, afin de favoriser un meilleur accès aux possibilités de financement dans le cadre de celui-ci et (b) que les pays africains intègrent des experts des forêts dans leurs délégations au processus du Protocole de Kyoto, de manière à mieux mettre en avant le rôle des forêts dans le Protocole. La Commission a en outre recommandé à la FAO d'aider les pays africains à mieux appréhender les aspects techniques liés aux forêts et les possibilités de financement de la gestion durable des forêts dans le cadre du Protocole de Kyoto.
(Article VI-1 de l'Acte constitutif)
Origine
Une Conférence sur l'utilisation des forêts pour l'Asie et le Pacifique a été convoquée à Mysore (Inde) en mars 1949. Plusieurs recommandations importantes pour la gestion future des forêts de la région de l'Asie/Pacifique ont été émises durant cette première réunion intergouvernementale sur ce thème, dont les participants on affiché le souhait marqué de disposer d'un mécanisme permanent chargé d'assurer le suivi de la mise en oeuvre de leur déclaration commune. La Conférence a dès lors recommandé la création d'une Commission des forêts et des produits forestiers pour l'Asie et le Pacifique. Cette demande a été transmise à la FAO et approuvé à la cinquième session de la Conférence de cette dernière, en novembre 1949.
Rôle
Émettre des avis sur l'élaboration de la politique forestière et en surveiller et coordonner la mise en œuvre sur le plan régional; échanger des informations; d'une manière générale, émettre, par l'intermédiaire d'organes subsidiaires spéciaux, des avis sur les méthodes et mesures appropriées pour la solution des problèmes techniques, et formuler toutes recommandations utiles dans les domaines précités.
Première session
Octobre 1950.
Composition
Ouverte à tous les États Membres et membres associés de la FAO dont les territoires sont situés en totalité ou en partie dans la région Asie et Pacifique telles que définies par l'Organisation, ou qui assurent les relations internationales de tout territoire non autonome situé dans cette région. Font partie de la Commission les États remplissant les conditions requises et qui ont notifié au Directeur général leur désir d'être considérés comme membres.
Composition actuelle:
Australie Bangladesh Bhoutan Cambodge Chine Corée, Rép. de États-Unis d'Amérique Fidji |
France Îles Salomon Inde Indonésie Japon Malaisie Maldives Mongolie |
Myanmar Népal Nouvelle-Zélande Pakistan Papouasie- Philippines Portugal |
Rép. dém.pop. lao Samoa Sri Lanka Thaïlande Vanuatu Viet Nam |
Le Royaume-Uni dispose d'un statut d'observateur.
Langues de travail
Anglais, français.
Règlement intérieur
Adopté à la cinquième session (1960) et amendé aux sixième (1962) et dixième (1977) sessions.
Sessions
1950, 1952, 1955, 1957, 1960, 1962, 1964, 1969, 1973, 1977, 1981, 1984, 1986, 1990, 1993, 1996, 1998, 2000.
Réalisations 2000-01
La Commission a tenu sa dix-huitième session à Noosaville (Queensland, Australie), du 15 au 19 mai 2000.
En quête d'excellence, la Commission s'est concentrée sur la gestion exemplaire des forêts dans la région de l'Asie/Pacifique, sur les questions d'environnement et de durabilité liées aux initiatives de la CNUED et sur la réalisation d'un Code des pratiques d'exploitation forestière visant à atténuer les aspects négatifs et à accroître la durabilité des ressources forestières.
Les défis auxquels se heurte l'application généralisée de l'exploitation à impact limité et les progrès accomplis ces dernières années ont été les principaux thèmes de la Conférence internationale de la Commission sur l'application de l'exploitation à impact limité pour promouvoir la gestion durable des forêts (Kuching, Malaisie, février 2001).
Un serveur de liste par courrier électronique, RILNET, a également été mis au point pour diffuser des informations relatives à ce thème.
La Commission a facilité la transition d'une exploitation à grande échelle des forêts assurée par des entreprises et des gouvernements vers une approche plus équilibrée, faisant appel à des systèmes de gestion des forêts décentralisés et communautaires. La Commission a également été propice aux discussions entre les coordinateurs des programmes forestiers nationaux et les donateurs en vue de favoriser l'investissement en faveur d'un développement intégré des forêts qui soutienne les stratégies de subsistance et allège la pauvreté rural sans compromettre l'intégrité environnementale des forêts des régions concernées.
Au début de l'an 2000, la FAO a commencé à travailler avec 13 pays d'Asie du Sud et du Sud-Est en vue d'accroître de façon substantielle leur capacité de collecte, d'analyse et d'utilisation des informations et des statistiques relatives aux forêts pour améliorer la prise de décisions.
La Commission a aidé les pays de la région à mieux appréhender les possibilités des critères et des indicateurs pour le suivi des progrès accomplis vers une gestion durable des forêts. Un atelier organisé à Bhopal (Inde, 30 novembre - 3 décembre 1999) s'est concentré sur les forêts sèches d'Asie et ses activités de suivi se poursuive depuis lors.
Origine
Créée par la Conférence à sa quatrième session (1948) pour donner suite à une recommandation de la Conférence forestière de la FAO, tenue à Teresopolis (Brésil), en 1948.
Rôle
Émettre des avis sur l'élaboration de la politique forestière et en surveiller et coordonner la mise en œuvre sur le plan régional; échanger des informations; d'une manière générale, émettre, par l'intermédiaire d'organes subsidiaires spéciaux, des avis sur les méthodes et mesures appropriées pour la solution des problèmes techniques et économiques; et formuler toutes recommandations utiles dans les domaines précités.
Première session
Mai 1949.
Composition
Ouverte à tous les États Membres et membres associés de la FAO dont les territoires sont situés en totalité ou en partie dans la région Amérique latine, ou qui assurent les relations internationales de tout territoire non autonome situé dans cette région. Font partie de la Commission tous les États Membres remplissant les conditions requises et qui ont notifié au Directeur général leur désir d'être considérés comme membres.
Composition actuelle:
Argentine Barbade Belize Bolivie Brésil Chili Colombie Costa Rica |
Cuba El Salvador Équateur États-Unis
France Guatemala Guyana |
Haïti Honduras Jamaïque Mexique Nicaragua Panama Paraguay Pays-Bas |
Pérou République dominicaine Royaume-Uni Saint-Kitts-et-Nevis Suriname Trinité-et-Tobago Uruguay Venezuela |
Le Canada assiste aux sessions en qualité d’observateur.
Langues de travail
Anglais, espagnol, français.
Règlement intérieur
Règlement intérieur Adopté à la sixième session (1958) et amendé aux septième (1960) et quatorzième (1982) sessions.
Sessions
1949 (deux fois), 1950, 1952, 1955, 1958, 1960, 1962, 1964, 1967, 1970, 1976, 1980, 1982, 1986, 1988, 1991, 1993, 1996, 1998, 2000. La prochaine session doit se tenir à Buenos Aires, Argentine, du 7 au 11 octobre 2002.
Réalisations 2000-01
La vingt et unième session a eu lieu à Santa Fe de Bogota (Colombie), du 4 au 8 septembre 2000. Examinant la situation des forêts dans la région, la Commission a admis que les institutions forestières connaissaient toujours une série de difficultés et notamment un manque de coordination avec d'autres institutions, l'importance hiérarchique mineure de l'administration des forêts, la faible capacité institutionnelle et la décentralisation. Elle a en outre déclaré que les institutions forestières étaient confrontées à de nouveaux défis et exigences sectoriels, de sorte qu'elle a recommandé à la FAO de procéder à une analyse poussée des différents modèles administratifs existants, de manière à adapter les institutions aux besoins présents et futurs.
Dans le cadre de l'examen des forêts et du Protocole de Kyoto, la Commission s'est déclarée satisfaite de prendre acte des renseignements concernant les activités de la FAO relatives à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et au Protocole de Kyoto. Elle a recommandé à l'organisation de continuer à soutenir les pays dans les discussions techniques et scientifiques se rapportant aux conséquences de l'inclusion des forêts dans le mécanisme pour un développement propre, grâce à un renforcement des capacités techniques et de la formation et à une meilleure définition des notions liées aux forêts.
Dans la mesures où les institutions forestières publiques constituent des organes essentiels de coordination et d'exécution pour le développement durable des forêts dans chaque pays et qu'il est impossible d'élaborer efficacement des initiatives nationales et internationales sans que de telles institutions soient renforcées, la Commission a recommandé au Comité des forêts (COFO) de chercher des stratégies adaptées pour encourager le développement de ces instances dans les pays de la région.
La Commission a recommandé que l'étude de perspectives englobe des questions thématiques, à l'instar des services écologiques rendus par les forêts, des liens réciproques entre sociétés et forêts, des relations entre cultures ethniques et forêts, des produits forestiers non ligneux, des tendances du commerce international et de l'apport du secteur forestier aux économies nationales. Elle a par ailleurs recommandé une harmonisation entre les activités des projets d'information et de ceux relatifs aux perspectives, afin que les premiers puissent alimenter les seconds en données d'analyse qui pourraient englober les notions et les aspects pratiques des études consacrées à la chaîne de production.
(Article VI-1 de l'Acte constitutif)
Origine
Créée par la Conférence de la FAO à sa septième session (1953) pour donner suite à une résolution de la Conférence forestière organisée par la FAO à Amman (Jordanie) en 1952.
Rôle
Émettre des avis sur l'élaboration de la politique forestière et en surveiller et coordonner la mise en œuvre sur le plan régional; échanger des informations; d'une manière générale, émettre, par l'intermédiaire d'organes subsidiaires spéciaux, des avis sur les méthodes et mesures appropriées pour la solution des problèmes techniques et économiques; et formuler toutes recommandations utiles dans les domaines précités.
Première session
Septembre 1955.
Composition
Ouverte à tous les États Membres et membres associés dont les territoires sont situés en totalité ou en partie dans la région Proche-Orient, ou qui assurent les relations internationales de tout territoire non autonome situé dans cette région. Font partie de la Commission les États remplissant les conditions requises et qui ont notifié au Directeur général leur désir d'être considérés comme membres.
Composition actuelle:
Afghanistan Algérie Arabie saoudite,
Chypre Égypte |
Émirats arabes unis Éthiopie Iran, République Iraq Jordanie |
Koweït Liban Libye Maroc Oman Pakistan |
Qatar Somalie Soudan Syrie Tunisie Turquie Yémen |
L’Autorité palestinienne, les États-Unis d’Amérique, la France, Malte et le Royaume-Uni assistent aux sessions en qualité d’observateurs.
Langues de travail
Arabe, anglais.
Règlement intérieur
Adopté à la deuxième session (1958) et amendé aux troisième (1962) et neuvième (1983) sessions.
Sessions
1955, 1958, 1962, 1964, 1967, 1970, 1974, 1978, 1983, 1987, 1990, 1996, 1998, 2000, 2002.
Réalisations 2000-01
La quinzième session du Comité a eu lieu à Khartoum, au Soudan, du 28 au 31 janvier 2002. Dans le cadre des discussions relatives aux perspectives des forêts dans la région, la Commission a pris acte de l'évolution de ce secteur et plus particulièrement des changements économiques et sociaux globaux qui ont entraîné une modification des possibilités et des contraintes pour le secteur forestier. Les résultats économiques fluctuants ont eu une incidence sur les ressources disponibles pour le secteur. Dans certains pays, cette situation a encouragé une réorientation du secteur forestier, notamment en ce qui concerne les priorités et les dispositions institutionnelles. Certains pays ont été en mesure de profiter du développement de l'offre en matière d'écotourisme, ce qui a facilité une participation active des communautés locales. La Commission a recommandé que les pays améliorent leur capacité institutionnelle à réagir à ces changements et à prendre des mesures volontaristes pour faire face aux situations nouvelles.
Dans le débat relatif à l'utilisation des eaux usées traitées dans les plantations forestières, la Commission a recommandé aux États membres de concevoir une stratégie intégrée et intersectorielle encadrée dans les domaines du droit, des politiques, de la réglementation et de la planification. Elle a établi les responsabilités concernant l'optimisation des avantages nets découlant de la réutilisation des eaux usées traitées, y compris pour le développement des plantations forestières. La Commission a également recommandé à la FAO d'aider à renforcer les capacités dans les États membres pour irriguer les plantations forestières à l'aide d'eaux usées traitées.
Compte tenu de la diminution du couvert forestier dans la région et de l'éventuelle pertes de ressources génétiques que cela pourrait entraîner, notamment pour les espèces menacées d'extinction, il convient d'intensifier dans la région les activités de conservation et de collaboration, avec le soutien technique de la FAO.
Origine
Créée par la Conférence à sa dixième session (1959, Résolution 27/59).
Rôle
Émettre des avis sur l'élaboration de la politique forestière et en surveiller et coordonner la mise en œuvre sur le plan régional; échanger des informations; d'une manière générale, émettre, par l'intermédiaire d'organes subsidiaires spéciaux, des avis sur les méthodes et mesures appropriées pour la solution des problèmes techniques, et formuler toutes recommandations utiles dans les domaines précités.
Première session
Juillet 1961.
Composition
Composition actuelle:
Canada |
Mexique |
États-Unis d'Amérique |
Langues de travail
Anglais, espagnol, français.
Règlement intérieur
Adopté à la première session (1961) et amendé aux neuvième (1978) et dix-huitième (1996) sessions.
Sessions
1961, 1963, 1965, 1967, 1969, 1972, 1974, 1976, 1978, 1980, 1982, 1984, 1986, 1987, 1990, 1992, 1994, 1996, 1998, 2000. La prochaine session devrait avoir lieu du 21 au 25 octobre 2002 à Kona, États-Unis d'Amérique.
Réalisations 2000-01
À sa vingtième session (St Andrews, Nouveau-Brunswick, Canada, du 12 au 16 juin 2000), la Commission a reconnu l'appui que la FAO a apporté au Groupe intergouvernemental sur les forêts et au Forum intergouvernemental sur les forêts tout au long du dialogue mondial sur les politiques forestières. À la lumière de la création éventuelle du Forum des Nations Unies sur les forêts, la Commission a relevé que la FAO devait maintenir sa participation active et a recommandé d'octroyer au Département des forêts les ressources nécessaires pour pouvoir participer pleinement à la mise en œuvre de tout programme de travail futur.
Dans le cadre des discussions relatives aux activités forestières urbaines, la Commission a reconnu l'apport majeur des forêts urbaines pour la qualité de l'environnement, la prospérité économique et le bien-être social des villes et des zones périurbaines. Elle a également indiqué que les forêts urbaines s'inscrivaient dans le cadre de paysages plus vaste et qu'il convenait de mettre en œuvre des programmes de gestion à l'échelle des bassins versants. Dans ce contexte, elle a recommandé à la FAO d'étendre ses activités relatives aux forêts urbaines pour y intégrer ces éléments.
Origine
Créée par la Conférence de la FAO à sa troisième session (1947) pour donner suite à une recommandation formulée en 1947 par la Conférence forestière de la FAO, tenue à Marinaské-Lázne (Tchécoslovaquie).
Rôle
Émettre des avis sur l'élaboration de la politique forestière et en surveiller et coordonner la mise en œuvre sur le plan régional; échanger des informations; d'une manière générale, émettre, par l'intermédiaire d'organes subsidiaires spéciaux, des avis sur les méthodes et mesures appropriées pour la solution des problèmes techniques et économiques, et formuler toutes recommandations utiles dans les domaines précités.
Première session
Juillet 1948.
Composition
Ouverte à tous les États Membres et membres associés dont les territoires sont situés en totalité ou en partie dans la région Europe ou qui assument la responsabilité des relations internationales de tout territoire non autonome situé dans cette région. Font partie de la Commission les États remplissant les conditions requises et qui ont notifié au Directeur général leur désir d'être considérés comme membres.
Composition actuelle:
Albanie Allemagne Autriche Belgique Bulgarie Chypre Communauté européenne Danemark |
Espagne Estonie Finlande France Grèce Hongrie Irlande Islande Israël |
Italie Lettonie Lituanie Luxembourg Malte Norvège Pays-Bas Pologne Portugal |
République tchèque Roumanie Royaume-Uni Slovaquie Slovénie Suède Suisse Tadjikistan Turquie |
Langues de travail
Anglais, espagnol, français.
Règlement intérieur
Texte révisé adopté par la Commission à la onzième session (1961) et confirmé par la Conférence à sa onzième session (1961). Amendé à la dix-huitième session (1977) de la Commission.
Sessions
1948, 1949, 1950, 1951, 1952, 1953, 1954, 1955, 1957, 1959, 1961, 1963, 1967, 1968, 1970, 1972, 1975, 1977, 1979, 1982, 1983, 1985, 1987, 1989, 1991, 1993, 1995, 1996, 1998, 2000. La prochaine session devrait avoir lieu du 4 au 8 novembre 2002 à Barcelone, Espagne.
Organes subsidiaires
Groupe de travail de l'aménagement des bassins versants en montagne (FO-728) (anglais, espagnol, français) (1)
Réalisations 2000-01
Le Comité du bois de la CEE et la Commission européenne des forêts (CEF) se sont réunis à Rome pour une session commune, du 9 au 13 octobre 2000. Les participants à cette réunion commune ont admis le rôle important que la FAO avait assumé au sein de l'Équipe spéciale interorganisations sur les forêts (ITFF) et du Forum intergouvernemental sur les forêts (FIF). Ils ont recommandé à la FAO de prendre la tête des activités dans le cadre des propositions de Forum des Nations Unies sur les forêts et du Partenariat de collaboration sur les forêts.
Cette session commune a insisté sur l'importance de la mise en œuvre des programmes forestiers nationaux pour appuyer la gestion durable des forêts, mettant en avant le besoin de mobilisation des ressources nationales. Les organismes et institutions internationaux peuvent promouvoir cette démarche. D'autre part, il convient d'adapter les principes mondiaux à la situation régionale.
Origine
En 1948, la Commission européenne des forêts a créé un organisme statutaire pour succéder à l'organisme international connu avant la guerre sous le nom de Silva Mediterranea. Transformé par la Conférence, à ses septième (1953, Résolution 25) et onzième (1961) sessions, en Sous-Commission de coordination des questions forestières méditerranéennes. A reçu en 1970 le titre susmentionné.
Rôle
Première session
Décembre 1948.
Composition
Ouvert à tous les membres des Commissions des forêts pour l'Afrique, l'Europe et le Proche-Orient dont les territoires sont situés, en totalité ou en partie, dans le bassin méditerranéen proprement dit, ou dont l'économie, sur le plan des forêts, de l'agriculture ou des pâturages, est intimement associée à celle de la région méditerranéenne. Font partie du Comité les États remplissant les conditions requises et ayant notifié au Directeur général leur désir d'être considérés comme membres.
Composition actuelle:
Algérie Arabie saoudite, Bulgarie Chypre Communauté européenne Égypte |
Espagne France Grèce Iran, République Iraq Israël Italie |
Jordanie Liban Libye Malte Maroc Portugal Roumanie Slovénie |
Soudan Syrie Tunisie Turquie Yémen Yougoslavie |
Langues de travail
Anglais, arabe, espagnol, français.
Règlement intérieur
Adopté à la première session (1960). Amendé à la huitième session (1962).
Sessions
1948, 1950, 1952, 1954, 1956, 1958, 1960, 1962, 1965, 1968, 1970, 1985, 1987, 1989, 1992, 1994, 1997, 2000. La prochaine session devrait avoir lieu du 2 au 5 avril 2002 à Rome, Italie.
Réalisations 2000-01
La Commission ne s'est pas réunie pendant cette période.
Origine
Créé en 1960 par le Directeur général à la suite de la décision adoptée par la Conférence à sa dixième session (1959, Résolution 30/59) et élargi conformément à la Résolution 2/111 du Conseil à sa cent onzième session.
Rôle
Donner au Directeur général des avis sur l'évolution et l'exécution des programmes de la FAO dans le domaine de la pâte et du papier, des produits dérivés des panneaux et des sciages, ainsi que sur les moyens propres à développer ces programmes.
Première session
Octobre 1960.
Composition
15 à 25 experts de premier plan, connaissant bien les problèmes des industries forestières, nommés par le Directeur général à titre personnel et participant aux sessions à leurs propres frais. Peuvent également participer aux sessions des conseillers invités par les membres et les présidents du Comité, mais ils ne pourraient toutefois être ni membres ni suppléants.
Langue de travail
Anglais
Règlement intérieur
Règlement général de l'Organisation.
Sessions
Annuelles.
Réalisations 2000-01
Le Comité a tenu sa quarante et unième session à Rotorua (Nouvelle-Zélande), les 2 et 3 mai 2000, et sa quarante-deuxième session le 27 avril 2001 à Rome (Italie). Au cours de cette période biennale, la commission a continué à promouvoir la gestion durable des forêts et a participé activement à l'examen du secteur forestier réalisé par la Banque mondiale. Elle a en outre participé à une réunion sur la certification tenue au siège de la FAO et a revu des classifications et les définitions du papier recyclé, les simplifiant pour les harmoniser avec celles d'autres organisations.
La Commission a également poursuivi ses activités relatives aux changements climatiques et a participé à des séminaires sur les définitions utilisées en foresterie, ainsi qu'à des discussions avec l'industrie à propos d'une reconnaissance mutuelle de différents programmes de certification. Enfin, elle a terminé et évalué le bilan environnemental du bois et de ses substituts.