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PROSPECTION, COLLECTE ET EVALUATION DE CORDIA ALLIODORA (R. & P.) OKEN

par

J.W. Stead
Research Officer
Unit of Tropical Silviculture
Commonwealth Forestry Institute
Oxford, Royaume-Uni

INTRODUCTION

En 1963, le Commonwealth Forestry Institute a entrepris un programme d'études de quelques essences forestières importantes en Amérique centrale comme Pinus caribaea Mor. et Cedrela odorata L.. Plus récemment, le choix des essences à inclure dans ce programme a été fait selon les directives données par le Groupe FAO d'experts des ressources génétiques forestières dans leurs “classes de priorité attribuées aux ressources génétiques forestières (par région, essence et opération)” (voir FAO 1977, Annexe 8, page 53 à 74). On a d'abord procédé à la reconnaissance de l'aire naturelle et de la variation d'une espèce, puis à la collecte de graines dans des endroits soigneusement choisis, enfin à la distribution de graines destinées à des essais répétés dans des pays tropicaux. Le compte rendu de ces travaux a été publié dans ce bulletin (Kemp, 1973; Anon., 1976). L'intérêt s'était jusqu'ici concentré sur les pins (P. caribaea, P. oocarpa Schiede et P. pseudostrobus Lindl., y compris P. tenuifolia Benth.) mais en 1976 on a commencé à étudier Cordia alliodora (R. et P.) Oken dans le cadre d'un projet de trois ans.

CORDIA ALLIODORA

On trouvera ci-dessous quelques informations sur cette essence tirées principalement d'un article de Johnson et Morales (1972) qui réunit une grande partie des renseignements dont on dispose actuellement.

Noms vernaculaires: Ils sont nombreux dans toute son aire de répartition. “Laurel” est largement utilisé en Equateur et en Amérique centrale.

Famille: Boraginaceae

Nom latin: Cordia alliodora (R. et P.) Oken, Allg. Naturgeschichte, Bot. 22: 1098 (1841).

Description botanique: Arbre moyen à grand. Feuilles alternées, simples, entières, allongées, lancéolées ou elliptiques, s'élargissant au milieu ou dans la partie supérieure, mesurant de 10 à 20 cm de long, de 3 – 8 cm de large, à la base aiguë ou obtuse, à l'extrémité acuminée. Face supérieure stellée-pubescente ou glabre; face inférieure plus pâle, stellée - tomenteuse ou glabre, avec 5 à 7 paires de nervures latérales. Pétioles mesurant de 1 à 3 cm de long. L'importance, le caractère et la couleur de la pubescence sur les feuilles sont très variables.

Les rameaux feuillus portent vers leur extrémité, et fréquemment même vers l'axe de l'inflorescence, des renflements irréguliers qui font office de fourmilière. Cette caractéristique varie dans toute l'aire de répartition de l'essence: très marquée en Amérique centrale et dans le nord-ouest de l'Amérique du Sud, elle disparaît presque dans les Antilles et dans le sud de l'Amérique du Sud.

Fleurs parfaites et denses sur un panicule terminal largement ramifié de 10 à 30 cm de large. Calice cylindrique avec 10 nervures saillantes fortement tomenteuses, de 4 à 6 mm de long sur 2 à 2,5 mm d'épaisseur dont les cinq lobes sont peu apparents. Corolle blanche, prenant une couleur brune en séchant, lobes allongés, persistants, de 5 à 7 mm de long, de 1,4 à 3,5 mm de large, et étalés. Cinq étamines, dressées, blanches, faisant saillie bien au-delà du style exsert. Style bifurqué, chacune des fourches portant deux larges stigmates. Fruits cylindriques dont la paroi est fibreuse et papyracée, de 3 à 5 mm de long, entièrement enveloppé par le tube de la corolle et du calice engainant. Les lobes de la corolle persistante fonctionnent comme un parachute au moment de la tombée du fruit.

AIRE GEOGRAPHIQUE ET HABITAT

C. alliodora est l'espèce la plus répandue du genre et se trouve en Amérique latine depuis Misiones en Argentine (25° de latitude Sud) jusqu'à Sinaloa, au Mexique (25° de latitude Nord). Dans cette vaste aire naturelle, on peut observer une variation importante de certains caractères botaniques - la pubescence ou la dimension de la fleur par exemple - et Johnson et Morales (1972) et Whitmore 1 (communication personnelle) ont suggéré qu'il pourrait y avoir deux taxa ou plus. On rencontre cette essence dans la plupart des pays situés entre ces deux latitudes extrêmes, mais Vega (1977) la considère comme exotique au Surinam. On l'a signalé dans la plupart des îles des Caraïbes depuis la région orientale de Cuba jusqu'à Trinidad, mais elle n'est probablement pas indigène à la Jamaîque. Elle semble particulièrement courante en Amérique centrale et dans la partie nord-ouest de l'Amérique du Sud.

Les meilleurs spécimens de C. alliodora ont été signalés dans des zones où les précipitations sont de modérées à fortes (de 2 000 à 5 000 mm, + 24° C). En Amérique centrale, on le trouve également couramment dans les régions plus sèches (de 1 000 à 2 000 mm) mais sa croissance est plus lente et la forme des arbres n'est pas aussi majesteuse. De même, son aire altitudinale est très vaste et des spécimens d'herbarium ou des graines ont été recueillis pour ce projet depuis le niveau de la mer (sur la côte atlantique du Honduras et du Costa Rica, et sur la côte pacifique de l'Equateur) jusqu'à 2 000 m d'altitude (Colombie). (Voir Tableau 4 pour d'autres exemples). C. alliodora pousse également sur des terrains très variés. L'existence de peuplements naturels dans les plaines du Costa Rica dépend plus des politiques d'aménagement de chaque sylviculteur que du terrain lui-même, mais ils sont plus vigoureux lorsqu'ils poussent sur des sols bien drainés de texture moyenne.

1 J.L. Whitmore, Institute of Tropical Forestry, University of Puerto Rico, Agricultural Experiment Station, P.O. Box AQ, Rio Piedras, Puerto Rico 00928, Etats-Unis d'Amérique.

VALEUR POTENTIELLE

C. alliodora est bien connu pour sa production de bois dans toute l'étendue de son aire naturelle. C'est pourquoi on a procédé à des essais à petite échelle dans le but d'étudier sa croissance et les propriétés du bois; d'après les résultats obtenus jusqu'ici, il serait souhaitable de procéder à un test global.

Dans son milieu naturel, C. alliodora est un excellent pionnier qui régénère facilement; on le rencontre en peuplements presque purs dans les clairières naturelles de la forêt ou dans les zones défrichées par l'homme. Les arbres adultes mesurent parfois plus de 30 m de haut et de l m de diamètre; le fût est droit, cylindrique et la couronne est petite et compacte. Il est considéré comme résistant aux vents; on ne lui connaît pas d'ennemis importants. (Voir Photo 1).

Pour ce qui est de son taux de croissance, on ne possède que des données provenant de petites parcelles d'essais et de quelques arbres. Johnson et Morales (1972) donnent quelques renseignements concernant le Costa Rica; le tableau suivant, tiré de leur étude, donne une idée du potentiel de l'essence:

Tableau 1. Données sur la croissance de Cordia alliodora en plantations au Costa Rica

 EmplacementAge (années)Nombre d'arbresEspacement (m)Diamètre moyen à hauteur d'homme (cm) Hauteur moyenne (m)Diamètre à hauteur d'homme [meilleure tranche 10% (cm)]Hauteur [meilleure tranche 10% (m)]
Côte       
Atlantique*24273 × 437,829,349,334,5
Turrialba**13203 × 322,219,632,925,6
Turrialba** 3130   3,25 × 3,25  8,9  5,213,9  6,4

 *Données approximatives relatives à l'emplacement: altitude 50 m;
précipitations 5 000 mm/an

**Données approximatives relatives à l'emplacement: altitude 650 m;
précipitations 2 700 mm/an

Se basant sur les premiers résultats d'expériences faites au Suriname avec C. alliodora, Vega (1977) estime que l'on pouvait obtenir dans ce pays des résultats aussi bons en plantations. Peck (1976) a observé que des plantations d'essais établies dans la région de Tumaco en Colombie ont donné d'excellents résultats (hauteur moyenne 12 m, diamètre moyen 12 cm à l'âge de trois ans) par rapport aux 16 autres essences indigènes et aux 10 essences exotiques qui faisaient partie des mêmes essais. Il existe maintenant de vastes plantations de C. alliodora dans la région de Tumaco, et des expériences ont été effectuées sur les techniques d'établissement utilisant le système Taungya. La Photo 2 montre quelques-uns des arbres de ces essais. Les résultats obtenus en Afrique sont également prometteurs.

On trouvera au Tableau 2 quelques données sur les propriétés physiques et mécaniques du bois de C. alliodora. Des informations complètes sur l'anatomie du bois sont données par Johnson et Morales (1972). Le bois sèche facilement mais est, semble-t-il, plus ou moins résistant et sensible à la pourriture, facile cu difficile à traiter par différentes techniques. L'apparence est bonne et il est facile à travailler. On l'utilise principalement pour des constructions de différents types, pour l'ameublement, le plaqué et le contre-plaqué. Il reste à savoir si l'essence se prête à la réduction en pâte.

Tableau 2. Quelques propriétés du bois de C. alliodora

Matériel testéDensité spécifique (g/cm3)Résistance maximale à la compression (newtons/mm2)Résistance à la flexion (newtons/mm2) Coefficient d'élasticité (newtons/mm2)
C. alliodora
d'Amériquen centrale
Vert séché au four0,462760 8 069
0,48448410 414

SITUATION

En résumé, C. alliodora est très courant dans toute son aire naturelle en Amérique latine où son bois est très apprécié. D'après les résultats des tests sur les propriétés du bois et le taux de croissance, il serait souhaitable d'effectuer un test à grande échelle. De même, sa botanique devrait être étudiée plus à fond. C'est ce qui ressort de l'évaluation de l'essence faite par le Groupe FAO d'experts (voir FAO 1977). Selon ces derniers il n'est pas urgent de prendre des mesures de conservation de C. alliodora mais, étant donné les possibilités importantes de production de bois, ils accordent une priorité maximum à la prospection et à l'évaluation botaniques et génécologiques (collecte de graines pour des essais de provenance).

Sur la base de ces recommandations C. alliodora a été inclus dans le programme du Commonwealth Forestry Institute.

PROJET DU CFI

Prospection: D'après les ouvrages de botanique, le matériel d'herbarium et l'expérience des forestiers sur le terrain, on pense que C. alliodora fleurit vers février/mars en Amérique centrale et que les graines tombent vers avril/mai. On a donc organisé au début de 1977 une vaste prospection dans tout le Nicaragua, le Honduras, le Guatemala et le Bélize.

Les fleurs blanches de C. alliodora sont très visibles; aussi a-t-il été très facile d'en évaluer l'aire naturelle et la fréquence au cours du voyage; mais ce n'est que grâce à des échantillons d'herbarium recueillis à intervalles réguliers qu'il a été possible de vérifier qu'il s'agissait bien de C. alliodora et non de C. gerascanthus L., par exemple, qui lui est étroitement apparenté.

Au cours de la prospection, des zones ont été temporairement choisies pour y recueillir des graines. On a retenu les emplacements où se trouvait un grand nombre d'arbres en fleurs dans une zone bien définie d'environ 1 km2. Le terrain et le sous-étage devaient se prêter à la collecte et, dans chaque cas, la permission a été demandée au propriétaire. En partant de ces observations initiales on a pu choisir un groupe d'emplacements aussi représentatifs que possible de l'aire altitudinale et de l'habitat de l'essence. On s'est particulièrement attaché à recueillir des provenances de la côte atlantique “humide” et de la côte pacifique “sèche”.

Collecte: Dans la même saison, des plans de collecte de graines sur ces emplacements ont été établis. C. alliodora produit des fruits en abondance mais il s'est avéré difficile de recueillir et de conserver les graines. Toutefois, Tschinkel (1967) et Vega (1977) ont tous deux conclu que deux à trois semaines avant leur chute il est possible de recueillir de bonnes graines qui, si elles sont conservées à des degrés de température et d'humidité faibles, survivent suffisamment longtemps pour pouvoir être utilisées dans des plantations ou pour des essais.

Le plan prévoyait la collecte de quantités à peu près égales de graines sur 25 arbres au minimum par emplacement. D'après les petites collectes effectuées les années précédentes, on a calculé qu'un kilogramme contient environ de 60 à 70 000 graines. Ce chiffre, ainsi qu'une estimation du pourcentage de germination, ont permis de calculer le poids de graines nécessaire aux essais. Dans les emplacements d'Amérique centrale, on a observé que la phénologie de la fructification était assez bien synchronisée; aussi a-t-il été facile de trouver 25 arbres parvenus au même stade de développement. Tel n'a pas été le cas dans toute l'aire de répartition de l'essence, par exemple en Colombie où les arbres fleurissent à n'importe quelle saison de l'année, ce qui peut rendre très difficile la collecte sur un très grand nombre d'arbres.

Malgré ces difficultés, on a pu parvenir à recueillir les quantités de graines prévues en observant soigneusement l'évolution du développement. Au dernier stade de développement, le fruit gonfle et sort du calice dans lequel il est enfermé et, en séchant, passe du vert au brun. Les graines arrivées à maturité tombent naturellement des arbres et la technique de collecte utilisée - qui est vivement recommandée - consistait simplement à secouer les arbres choisis et à recueillir les graines dans les draps étendus au-dessous. Le Tableau 3, qui donne le résultat des essais, montre que les graines ainsi recueillies se conservent bien et ont un taux de germination satisfaisant 1.

L'amélioration apparente de la viabilité s'explique en partie par une modification du système d'enregistrement des résultats du test qui inclut maintenant des plantules anormales. On a observé qu'une faible teneur en eau (moins de 10%) était indispensable à la bonne conservation des graines. Le lot 33/77 avait une teneur en eau de 11,45 pour cent en 1977 et un taux de germination de 63 pour cent, qui est tombé à 31 pour cent en 1978.

1 Les graines recueillies par le CFI sont conservées et testées par le Seed Laboratory of the Forestry Commission à Alice Holt Lodge, Farnham, Surrey, Royaume-Uni.

Tableau 3. Graines de Cordia alliodora recueillies en Amérique centrale par le CFI: taux de germination, lors de la collecte et après un an d'entreposage

Nod'identification (voir Annexe I)Graines viables/kg en vrac (milliers)Teneur en eau (pourcentage)
197719781977
  9/7768754,46
10/7756578,21
14/7745559,14
18/7751508,59
19/7756697,72
20/7752548,90

La première année les graines ont été recueillies dans six endroits et deux collectes supplémentaires ont été faites en 1978. Pendant ce temps, des organisations coopérantes effectuaient également des collectes dans d'autres parties de l'aire naturelle de l'essence. On trouvera à l'Annexe l une liste des lieux de collecte.

Evaluation: Un questionnaire a été envoyé à différentes organisations d'environ 30 pays pour savoir si elles désiraient participer aux essais. Celles qui ont donné une réponse affirmative ont reçu des lots de provenances en 1977; certaines d'entre elles ont demandé des graines provenant de collectes plus vastes effectuées en 1978. Des demandes d'information sur ces graines continuent de nous parvenir. Jusqu'ici des graines destinées à 89 essais ont expédiées à 29 pays (voir liste à l'Annexe 2). Des graines de provenances très variées sont encore disponibles pour les pays qui seraient intéressés, mais leur longévité est assez incertaine. Les premiers résultats des essais pourraient permettre de prédire quelles seront les meilleures provenances et d'effectuer d'autres collectes à ces emplacements.

Les pays participant au programme organisent les essais selon leurs propres besoins et préférences. Toutefois, pour parvenir à un certain degré de standardisation, il est recommandé de procéder par blocs aléatoires, sur des parcelles de 49 arbres, espacées de 3 m sur 3 m avec cinq répétitions par provenance. Les pays sont invités à analyser et à publier si possible leurs résultats, mais on espère que les données pourront être rassemblées afin de faciliter la comparaison sur le plan international et de permettre ainsi de mieux tirer profit des essais.

BIBLIOGRAPHIE

Anon. 1976 Essais internationaux de provenance de P. pseudostrobus. FAO, Rome. Document forestier occasionnel 1976/1, pp. 19–21.

FAO 1977 Rapport de la 4ème session du groupe FAO d'experts de ressources génétiques forestières. FAO, Rome. FOF:FGR/4/Rep. 79 pp.

Johnson P. et Morales, R. 1972 A review of Cordia alliodora (Ruiz and Pav.) Oken. Turrialba 22 (2): 210 – 220.

Kemp R.H. 1973 Projet de recherche sur le pin d'Amérique centrale, FAO, Rome. Document forestier occasionnel 1973/1, pp. 5–15

Peck, R.B. 1976 Selección preliminar de especies aptas para el establecimiento de bosques artificiales en tierra firme del litoral pacífico de Colombia. Instituto Forestal Latino-Americano (IFLAIC), Mérida, Venezuela. Boletín No 50. pp. 29 – 39.

Tschinkel, H. 1967 La madurez y el almacenamiento de semillas de Cordia alliodora (Ruiz and Pav.) Cham. Turrialba 17 (1): 89–90.

Vega, L. 1977 La silvicultura de Cordia alliodora (R. and P.) Oken como especie exótica en Surinam. Instituto Forestal Latino-Americano (IFLAIC), Mérida, Venezuela. Boletín No 52, pp. 3 – 26.

Annexe 1

Lieux de collecte de graines de Cordia alliodora

No d'entreposage
No de provenance
Pays
Localité
Latitude
Longitude
Altitude (m)Précipitations annuelles moyennes (mm)
Amérique centrale et pays des Caraîbes
26/77Bélize
Mayflower area,
Silk Grass For.Res.
16°58'N
88°23'W
652 138
32/77
(&50/78)
Costa Rica
Turrialba
-650 2 700
33/77
(&52/78)
Costa Rica
Limón Province
-505 000
34/77
(&53/78)
Costa Rica
San Carlos
-200 4 700
10/77
K145
Guatemala
Finca El Chilero
Depto.Guatemala
14°23'N
90°28'W
1 350   -
30/78
K166
Guatemala
Finca Rincón Alegre
Depto.Retalhuleu
14°27'N
91°46'W
1202 901
9/77
K144
Honduras
Tres Piedras
Depto.Choluteca
13°02'N
87°04'W
1101 850
19/77 (&54/78)
K151 (K168)
Honduras
Finca la Fortuna
Depto. Cortés
15°36'N
87°58'W
2101 048
20/77 (&55/78)
K153 (K169)
Honduras
San Francisco
Depto. Atlántida
15°40'W
87°02'W
 502 687
14/77 (&22/78)
K146 (K165)
Nicaragua
Estelí
Depto. Estelí
13°02'N
86°19'W
850-
18/77
K152
Nicaragua
Finca la Pineda
Depto. Matagalpa
12°45'N
85°45'W
750-
33/8
K167
Nicaragua
Nouvelle-Guinée
Depto. Zelaya
11°43'N
84°26'W
220-
16/78Puerto Rico
Sabana Hoyos
Arecibo
-2001 200
17/78Puerto Rico
Rio Cañas, Caguas
-1001 400
Amérique du Sud
13/77
(&21/78)
Colombie
Ulloa, Depto Valle
04°41'N
75°46'W
1 600 2 129
34/78
(&35/78)
Colombie
CENICAFE, Chinchiná
05°00'N
75°30'W
2 000 2 622
35/77Equateur
Lago Agrio
00°07'N
75°52'W
  2303 013
67/78Equateur
Lago Agrio
00°07'S
76°55'W
  3003 000
68/78Equateur
Santo Domingo
00°25'S
79°21'W
  3553 400
69/78Equateur
Esmeraldas
01°00'N
79°30'W
--
Collectes exotiques
13/78Fidji
Nukurua Plantation
Southern Division
 -  1453 375
1/77Côte-d'Ivoire
Station du Centre technique forestier tropical, Yapo
05°44'N
04°06'E
    801 600

Annexe 2

Pays participant aux essais de Cordia alliodora

(Le chiffre entre parenthèses indique le nombre d'essais). Bélize (3), Brésil (1), Colombie (5), République du Congo (1), Costa Rica (2), Equateur (3), Fiji (4), Ghana (6), Honduras (1), Inde (10), Côte-d'Ivoire (2), Libéria (2), Mexique (13), Nouvelles-Hébrides s(1), Nigéria (11), Sri Lanka (6), Sierra Leone (4), Iles Solomon (4), Soudan (4), Suriname (1), Trinidad (4), Venezuela (1).

Photo 1Photo 1
Régénération naturelle de Cordia alliodora dans la province de Limón, Costa Rica.
Photo 2
Cordia alliadora (6 ans) Planté en utilisant le système Taungya, près de Tumaco, en Colombie
Photo 2


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