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Annexe 11

DETOS DE BASE DE LA PESQUERIA ESPANOLA DE MERLUZA NEGRA Y SENEGALESA
EN LOS DIVISIONES 34.1.1., 34.1.3 y 34.3.1 DE CECAF

por

A. Cervantes y R. Goni

 CAPTURAS (t)
YEAR TRIOSGILLNETTOTAL
ANOBOUSTRIOSVOLANTATOTAL
197013 816---
197111 742---
197213 086---
197323 341---
197424 129---
197527 750-344-
197624 400-288-
197714 40061020315 213
197810 9001017311 089
197913 6902123013 941
198015 6932419715 914
198115 0174328015 340
198220 3136337320 749

Tabla 1.- Capturas españolas (en t) de merluza senegalesa + merluza negra en el área de - CECAF. Divisiones 34.1.1.+ 34.1.3.+ 34.3.1.

AÑOESPUERZOESFUERZOESPUERZOCPUECPUECPUE
 BOUSTRIOSVOLANTABOUSTRIOVOLANTA
19703 081--4.5--
19712 574--4.6--
19723 419--3.8--
19734 732--4.9--
19745 252--4.6--
19756 747--4.1--
19766 903--3.5--
19777 4484 905-1.90.1-
19787 1122 925-1.5--
19796 3143 4655 7292.2-0.04
19805 8662 2053 7802.7-0.10
19816 0421 6802 8242.5-0.10
19824 8222 0383 0154.2-0.12

Tabla 2. Esfuerzo (dias pesca) y rendimiento (en t/DP) de merluza senegalesa + merluza negra capturasa por españo la en el area de CECAF. Divisiones 34.1.1 + 34.1.3. + 34.3.1.

 ENEROFEBREROMARZOABRILMAYOJUNIOJULIOAGOSTOSEPBRE.OCTUBRENOVBRE.DICBRE.TOTAL
CAPTURA
(t)
0281243135165855910373
ESFUERZO
(DP)
0221280843942742231364423253661903 015
(NM)0221863019171035252814224
CPUE
(t/DP)
-0.0870.0040.0240.0100.0110.0580.0370.3910.2620.1610.0530.124

Tabla 3. Captura (t), esfuerzo de pesca (DP = dias pesca, NM = № de mareas) y captura por unidad de esfuerzo (t/DP) merluza senegalesa - flota de volanta - Divisioón 34.1.1. de CECAF. Año 1982.

 ENEROFEBREROMARZOABRILMAYOJUNIOJULIOAGOSTOSEPBRE.OCTUBRENOVBRE.DICBRE.TOTAL
CAPTURA
(t)
1 8301 6451 6691 6541 5781 5851 0651 7371 6531 7382 0012 15620 313
ESFUERZO
(DP)
3703973964154774743244433653964004054 822
(NM)272627272929212827262829321
CPUE
(t/DP)
4.954.144.213.993.313.343.283.924.534.395.005.324.21

Tabla 4.- .- Captura (t) , esfuerzo (DP = días pesca y NM = no de mareas) y capturas por unidad de esfuerzo (t/DP) de merluza senegalesa + merluza negra correspondiente a la flota española que faena en las divisions 34.1.1., 34.1.3. y 34. 3.1. dè CECAF. Año 1982.

TALLAARR60ARR40VOLANTAPALANGRETOTALTALLAARR60ARR40VOLANTAPALANGRETOTAL
5.00000055.0720605101012307
6.00000056.063320318509517
7.00000057.047540318707941
8.00000058.048020153806370
9.00000059.015010119102692
10.00000060.018090145003267
11.00000061.01403053001933
12.30000062.0811073501046
13.00000063.010350123002265
14.20000064.05130453066
15.00000065.03270760403
16.00000066.0004310461
17.04948000494067.0007190719
18.04516000451668.031101190430
19.0127330001273369.0773000773
20.0447140004471470.0002260226
21.011239800011239871.0003450345
22.037322500039322572.000000
23.059067500059067573.000000
24.010550000010550074.000000
25.01302530000130253075.000000
26.01849240000184924076.0238000238
27.01680732000168073077.000000
28.01931770000193177078.000000
29.01835850000183585079.000000
30.01951430000195143080.000000
31.017918000110179181081.000000
32.0209485001090209496082.000000
33.0185111001010185121083.000000
34.0176687003180176719084.000000
35.0147951004860148000085.000000
36.0140492005370140546086.000000
37.01495960010070148697087.000000
38.01532500013410158384088.000000
39.01485140019850146713089.000000
40.01453500019170145542090.000000
41.01149220042390115346091.000000
42.01041750092230105117092.000000
43.084571909871085559093.000000
44.0717520021394073871494.000000
45.0580402023452060385495.000000
46.0505362023772053433496.000000
47.0359512029777036928997.000000
48.0340512028323036084098.000000
49.02521540229060275060      
50.01700560156550165711      
51.01124520184700130922      
52.0930280153730108406      
53.065643017432088675      
54.047762015510063272      

Tabla 5.- Composición por tallas de la captura española, por modalidad y total, de merlaza senegalesa + merluza negra en el área de CECAF. Año 1982.

Lt(cm)% ♂% ♀TOTAL (№)
10–14--1
15–19--10
20–24445615
25–29613929
30–34386284
35–394060102
40–44277374
45–49188211
50–5413878
55–59(8)(92)1
60–64(3)(97)2
65–69(1)(99)-
70–7401001
75–79(0)(100)-
TOTAL (№)--338
CAPTURA (%)40.959.1-

Tabla 6.- Relación de sexos por intervalos de talla de merluza senegalesa en el área de CECAF. Año 1982.

 Ecuaciones talla-peso enteronrRango (Ltcm)
W(g) = 0.00956. L2.9195(cm)1030.9823–45
W(g) = 0.00594 L3.05365(cm)1680.9821–71
TotalW(g) = 0.00679 L3.00867(cm)3250.9215–71
 Ecuaciones talla-peso evisceradonrRango (Lt(cm)
TOTALW(g) = 0.13992 L2.19628(cm)2080.8924–74

Factor de conversión fresco-eviscerado: f = .9557

Tabla 7.- Relaciones talla-peso entero, talla-peso eviscerado y factor de conversión peso fresco-eviscerado para merluza senegalesa en el área de CECAF. Año 1982.

Annexe 12

QUELQUES DONNEES SUR LES MERLUS DE LA ZONE ECONOMIQUE MAURITANIENNE

par

S. Overko, P. Boukatine et B. Ly

(CNROP, Nouadhibou, Mauritanie)

1. INTRODUCTION

Les dix dernières années, entre 300.000 et 600.000 tonnes de poissons et d'invertébrés (ces derniers surtout composés de céphalopodes) ont été pêchées dans les eaux mauritaniennes. Les poissons pélagiques constituent la base de la pêcherie industrielle, tandis que la pêche démersale est axée sur les céphalopodes (poulpes, calmar, et seiche). D'autres démersaux tels que des Sparidés, des Sciaenidés, des Pomadasyidés et des merluccidés (M. senegalensis et M. polli) ne font pas l'objet d'une pêcherie spécialisée mais sont plutôt capturés accidentellement par la pêcherie pélagique.

Pour la gestion de ces stocks, des connaissances sur leur dynamique, leur distribution géographique, et sur leur biologie sont nécessaires. Depuis plus de 10 ans ont été effectuées des observations sur ces ressources démersales. En 1982 et 1983, 10 campagnes d'évaluation quantitative des ressources ont eu lieu dans les eaux mauritaniennes avec le bateau de de recherche du CNROP (Ndiago) et ceux de la République Démocratique d'Allemagne, (Ernst Haeckel, Walter Barth, Alexander von Humboldt, Eisbä et K. Wolff). En outre, ont été étudiés le comportement, la distribution et la biologie de quelques espèces de même que la structure par longueurs et âges des populations, la croissance, la reproduction, les relations trophiques, etc…

Le présent travail constitue une première tentative de synthèse des résultats obtenus pour les merlus de la zone mauritanienne.

2. MATERIEL ET METHODES

Pour les caractéristiques biologiques des merlus, nous disposons des travaux publiés par le COPACE, (COPACE/PACE 78/9, et FAO, 1981, et COPACE/TECH/81/31). Les articles parus dans le Bulletin du CNROP (Bast et al., 1983, Bergerard et al., 1983) les données non-publiées résumées dans la série des Archives du CNROP (Bergerard et Richer de Forges, 1983, Bergeard et al., 1983, Gaudechoux et Richer de Forges, 1983a et Boukatine, 1983). Pour l'évaluation de l'état des stocks de merlus nous avons utilisé les résultats obtenus lors des campagnes de prospection effectuées en février-avril 1982 (Walter Barth, Ernst Haeckel)et répétées dans la même période de 1983 (Ndiago, Walter Barth, Eisbär et Alexander von Humboldt). Ces campagnes de chalutage de fond ayant pour buts de collecter des données, pour l'évaluation des stocks et d'évaluer la répartition géographique des espèces, furent menées selon un plan d'échantillonnage au hasard et couvraient la gamme des profondeurs de 10 à 1000 m. Le chalutage a été effectué de jour, la durée des traits étant de 30 minutes ou une heure et la vitesse d'environ 3,5 noeuds.

L'estimation de la biomasse relative et de l'abondance numérique des poissons a été basée sur des méthodes courantes, en partant de l'hypothèse que les captures par unitè d'effort soient représentatives de la biomasse. Les calculs ont été effectués à partir de la formule suivante:

Bmin= S/S × P

où S : l'aréal de distribution de l'espèce (en milles carrés)
s : l'aire balayée par le chalut (en milles carrés) 1
P : la capture par unité d'effort (en kg)

Les calculs pour l'estimation de l'effectif “minimum” sont effectués de la même façon. On utilise au lieu de la capture mayenne par unité d'effort la quantité de poissons d'une espèce donnée capturée.

Le calcul de l'abondance absolue des stocks de merlus 2 a été fait selon la formule :

Babs = Bmin ÷ K

où K = coefficient de capturabilité, a été estimé à 0,25.

3. TAXONOMIE

Trois espèces de merlus peuplent la zone mauritanienne: Merluccius merluccius (L. 1758), M. senegalensis (Cadenat 1950) et M. Polli (Cadenat 1950).

Les principales différences entre ces trois espèces sont résumées au tableau 1.

Tableau 1 :
Caractères distinctifs des trois espèces de merlus
EspècesNombre de vertèbresNombres de branchiospinesAuteurs
M. merluccius49–5110–12Maurin 1968
M. senegalensis52–5413–21Svetovidov 1948
M. polli54–5810–12Letaconnoux 1955
   Doutre 1960

1 l'aire balayée dans une heure par le N/O Wlater Barth a été estimée à0,40 milles carrés, et celle balayée dans 30 minutes par le Ndiago à0,019 milles carrés.

2 sans tenir compte du coefficient de disponibilité les poissons à la pêcheni du coefficient saisonnier régional.

En plus, M. senegalensis a deux taches sombres sur la membrane de sa mâchoire inférieure et M. polli une seule grande tache. M. merluccius n'a pas de tache.

4. DISTRIBUTION DES ESPECES

Les campagnes de chalutage effectuées en 1983 sur le plateau continental et le talus mauritanien ont montré que Merluccius senegalensis est l'espèce dominante parmi les merlus de cette région. En Février-Mai, sur le plateau continental de la zone Nord (Cap Blanc-Cap Timiris), M. senegalensis représentait 97,9% des captures de merlus et M. merluccius 2,1%. Dans la zone centrale (Cap Timiris-Nouakchott), ces proportions étaient : M. senegalensis 96.5% et M. polli 3.5%. Au mois de Juillet, lors des recherches sur le talus continental, les pourcentages de M. senegalensis étaient 80.4% au Nord, 60,8% au centre et 5,7% au Sud (Nouakchott-Saint Louis). En Août M. senegalensis constituait 100% au Nord et 80% au centre et au Sud de la Mauritanie.

4.2 Distribution des merlus dans la zone mauritanienne en 1982–1983

Les figures 1 et 2 montrent l'aire de distribution des merlus en 1982 et 1983.

Tableau 2 :
Captures de merlus par zone et par profondeur, 1982–1983
 FEVRIER - AVRIL -82FEVRIER - AVRIL -83
ZONESPROFONDEUR (m) 
 200400600800200400600800
Cap-Blanc- Timiris19,86,515,6-123,937,14,8-
Cap Timiris - Nouakchott40,325,051,9-189,915,58,6-
Nouakchott - Saint Louis22,3155,575,510,650,131,81,8-
Moyenne par profondeur28,893,657,65,3111,826,89,9-

La figure 3 résume ces mêmes données en graphique pour 1982.

Les résultats des campagnes du Ndiago en Février-Mai, Juin et Août 1983 sur le plateau continental et le talus mauritanien sont exposés au tableau 3.

Tableau 3 : Distribution des merlus par zones et profondeurs (d'après Bergerard et Richer de Forges, 1983, Bergerard et al., 1983, Gaudechoux et Richer de Foges, 1983), M.S. = Merluccius senegalensis
M.spp. = Merluccius spp
 FEV/MAI 1983JUIN 1983AOUT 1983
 200 m200 m400 m500–600 m200 m400 m
 M.spp.M.S.M.spp.M.S.M.spp.M.S.M.spp.M.S.M.spp.M.S.M.spp.M.S.
Cap blanc Timiris9,69,432,527,022,620,124,213,421,321,314,614,6
Timiris Nouakchott14,413,97,03,626,617,411,16,40,90,92,01,9
Nouakchott St.Louis--19,317,829,629,414,05,74,04,02.72,6
Moyenne13,613,220,717,324.520,616,98,411,611,68,18,0

N.B.: En août, la profondeur de 600 m n'a pas été pêchée

4.3 La composition en longueurs par zone et profondeur

Lors des campagnes, les tailles des merlus capturés ont été comprises entre 21 et 70 cm. La figure 4 montre les fréquences des longueurs observées lors du mois de mars 1982. Généralement, on remarque un accroissement de la taille avec la profondeur. Les tailles moyennes en fonction de la profondeur et par zone sont illustrées au tableau 4.

Tableau 4 : Longueurs moyennes (cm) des merlus par zones et par profondeur en 1982 (Merluccius spp.) et 1983 (M. senegalensis). En parenthèses gammes de longueurs.
ZONESFEVRIER – AVRIL 82FEVRIER – AVRIL 83
 PROFONDEURSPROFONDEURS
 200400600800200400600800
I35,8040,4049,10-31,8138,80--
(Nord)    (22–46)(32–49)--
II29,1034,4050,40 33,0335,3546,15-
(Centre)    (21–43)(32–40)(33–56)-
III30,9031,9047,5051,2036,5738,40  
(Sud)    (26–44)(26–56)  

5. STATISTIQUES DE CAPTURES

Depuis l'introduction de chalut pélagique, l'importance des gadiformes, y compris les merlus a beaucoup diminé dans les captures industrielles. Le tableau 5 résume les captures de ces poissons depuis 1969. En 1973–1974, un total de 32–33 000 tonnes de gadiformes a été capturé, représentant 6–7% de la capture totale en Mauritanie. Depuis 1980, leur contribution est inférieure à 1%. Les prises mensuelles de merlus durant cette période sont données au tableau 6. Toutes ces statistiques proviennent des Bulletins du CNROP.

Tableau 5: Capture de Gadiformes, y compris merlus, dans la région de Mauritanie en 1969–1983, en pourcentages
 1969197019711972197319741975197619771978197919801198111982119831
PRISES               
(x 1 000 tonnes)5,68,99,511,432,133,212,625,613,88,03,71,90,20,83,4
% de la Capture               
totale dans la2,02,12,23,27,46,72,64,62,42,71,50,30,70,30,9
région               

1 A partir de 1980, ces chiffres concernent uniquement les merlus

Tableau 6 : Captures mensuelles (tonnes) en Mauritanie depuis 1980
MOIS1980198119821983
JANVIER047,539,7132,2
FEVRIER025,617,3297,4
MARS20,120,33,0396,1
AVRIL623,331,712,01262,1
MAI603,43,539,4553,3
JUIN462,35,00,1555,0
JUILLET131,67,5110,5136,2
AOUT0030,952,3
SEPTEMBRE01,944,03,9
OCTOBRE022,9137,91,4
NOVEMBRE1,935,6115,619,8
DECEMBRE19,849,1237,737,9
TOTAL1862,4250,6781,13447,6

6. EVALUATION DES STOCKS

Les merlus ne sont en Mauritanie pas une espèce cible de la pêcherie. Leurs captures sont, en fait, largement accidentelles et relativement stables, à part quelques variations entre années et saisons. Nous estimons donc que ces stocks ne sont pas surexploités en Mauritanie. Les recherches effectuées en 1982–1983 semblent indiquer que le stock relatif minimum de M. senegalensis serait de l'ordre de 3,3–5,9 mille tonnes. En utilisant un coefficient de capturabilité de 0,25, les biomasses de cette espèce en Février—Avril 1982 et 1983 ont été respectivement 13,08 et 24,24 mille tonnes (tableau 7).

En 1982, la plus grande partie du stock se trouvait dans la zone III, au Sud, tandis qu'en 1983, 93% de la biomasse de M. senegalensis était rencontrée aux zones I et II (tableau 7).

7. CONCLUSIONS

  1. On trouve trois espèces de merlus dans les eaux mauritaniennes : Merluccius senegalensis, Merluccius merluccius, et Merluccius polli = (cadenati). L'espèce dominante est M. senegalensis.

  2. La biologie de ces espèces est peu ètudiée. Leur distribution bathymétrique est fonction de leur taille. Les juvéniles occupent les petits fonds; à 200 m, la taille moyenne est de 29,1 cm et à 800 m de 51,2 cm.

  3. Les stocks de merlus ne sont pas surexploités. Le stock relatif était de 3,3 mille tonnes en 1982 et de 5,9 tonnes en 1983, correspondant à des biomasses absolues de 13,08 et 23,48 mille tonnes.

  4. Il n'y a pas de pêche spécialisée aux merlus en Mauritanie.

  5. L'estimation correcte des stocks de merlus et la formulation de recommandations pour leur exploitation rationnelle necessitera une étude approfondie de leur biologie, distribution et de la dynamique de leurs populations.

8. RECOMMANDATIONS POUR DE FUTURS TRAVAUX

1. Contrôle régulier de l'état des stocks de merlus par des campagnes de chalutage sur le plateau continental et le talus mauritanien.

2. Etudes biologiques et écologiques des merlus

2.1 Fréquences des longueurs dans les captures

2.2 Composition en âges des captures. Etude des paramètres de croissance.

2.3 Reproduction, sex ratio ; fécondité, zones, conditions et périodes de fraie. Etude des premiers stades de développement.

2.4 Régime alimentaire

2.5 Définition des stocks unitaires. Recherches morphologiques et biochimiques.

3. Etudes du milieu environnant dans le but de déterminer les facteurs qui influent sur l'état des populations.

4. Etudes des données statistiques de la pêche démersale

4.1 Types de pêche et niveaux de l'effort

4.2 Relation entre captures et efforts de pêche

5. Etude de la sélectivité des engins de pêche dans le but de définir les coefficient de capturabilité

6. Calcul, à l'aide de modèles mathématiques, de la biomasse absolue, les captures autorisées, le rendement maximum soutenu, le niveau optimum de l'effort, etc.

8. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Bast, D., P. Bergerard, K. Lambert, J. Maigret, B. Richer de Forges, V. Soukhovershine 1983 et R. Weiss, Exploration par chalutage du talus continental des côtes mauritaniennes (missions du N/R “Ernst Haeckel” et du “Walter Barth” Mars/Avril 1982). Bull.CNROP 11(1) : 157–215.

Bergerard, P., F. Domain et B. Richer de Forges, 1983 Evaluation par chalutage des ressources démersales du plateau continental mauritanien. Bull.CNROP 11(1) : 217–290

Bergerard, P. et B. Richer de Forges, 1982 Campagnes de chalutages du N/O Ndiago en 1982 (données brutes). Arch.CNROP 1

Bergerard, P., et B. Richer de Forges, 1983 Campagnes de chalutages du N/ Ndiago en 1983 (données brutes-mission 8301). Arch.CNROP 2

Bergerard, P., B. Richer de Forges, J. Sevellec et M. Diop, 1983 Campagnes de chalutages du N/O Ndiago en 1983 (données brutes-mission 8303 Avril-Mai 1983). Arch.CNROP 3

Tableau 7 :
Estimation des stocks relatifs et absolus des merlus en 1982 (Merluccius spp.) et 1983 (uniquement Merluccius senegalensis). Pour le calcul du stock absolu, un coefficient de capturabillité de 0,25 a été présumé (COPACE/PACE Séries 78/9)
      STOCK
MoisBateauxZonessurface
couverte
milles 2
CPUE
kg
aire
balayée
(miles2)
RELATIFABSOLU
NombresBiomasseNombresBiomasse
(x 106)(x 103t)(x 106)(x 103t)
MarsWalter BarthI Cap Blanc-Timiris110013,60,04-0,346--
1982Ernst Haeckel        
  II Timiris-Nouakchott130032,90,04-0,964--
  III Nouakchott Saint Louis130066,00,04-1,960--
  Région totale3700-0,04-3,270-13,08
FévrierWalter BarthCap Blanc-Timiris110080,50,046,3122,012--
1983Eisbär        
 AlexanderTimiris-Nouakchott130068,30,046,5892,018--
 von HumboldtNouakchott Saint Louis130010,00,041,0020,296--
 Ndiago20°36–18°26170013,20,0192,1471,530--
  Région totale5400--16,0505,85664,2023,42

Boukatine, P., J.P. Gaudechoux, B. Richer de Forges, et D. Sy, 1983 Campagnes de chalutages du N/C Ndiago en 1983 (Septembre et Décembre 1983). Arch. CNROP 6

COPACE, 1979 Rapport du Groupe de travail ad hoc sur les merlus (Merluccius merluccius, M. senegalensis et M. cadenati) dans la zone Nord du COPACE. COPACE/PACE Séries 78/9 : 93p

COPACE, 1981 Contributions soviétiques à l'évaluation des ressources halieutiques dans la région du COPACE. COPACE/TECH/81/31 : 84 p.

FAO, 1981 Conclusions of the preliminary meeting on hakes pp 20–32 in Report of the Fifth Session of the CECAF Working Party on Resource Evaluation FAO.Fish.Rep. 244 : 127 pp.

Gaudechoux, J.P. et B. Richer de Forges, 1983a Mission d'exploration du talus continental (Walter Barth-Ernst Haeckel, Mars-Avril 1982). Arch.CNROP 4

Gaudechoux, J.P., et B. Richer de Forges, 1983b Missions d'exploration du talus continental (N/O Ndiago Juin et Août 1983) Arch.CNROP.5

Fig. 1

Fig. 1 - Distribution des merlus dans la zone de Mauritanie en mars-avril 1982 (Donners des N/O W. BARTH et E. HAECKEL

Fig. 2

Fig. 2 - Distribution des merlus dans la zone de Mauritanie en février-avril 1983 (Données des N/O N'DIAGO, W. BARTH, A. HUMBOLDT et EISBÄR

Fig. 3 Merluccius spp. Rendement/heure par zone et profondeurs (kg) Mauritanie, mars 1982

Fig. 3

Fig. 4 - Merluccius spp. Répartition des tailles par profondeur et zones Mauritanie, mars 1982

Fig. 4

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