Réunion de lancement de SocPro4Fish - Tunisie
- M. Nader Ajabi, Ministère des Affaires Sociales, a anticipé les résultats sur les conditions socio-économiques des pêcheurs et les barrières à l'accès à la protection sociale du SocPro4Fish qui serviront de base pour réviser les cadres existants et fournir un socpro flexible et efficace aux pêcheurs.
- M. Yassine Skandrani, MARHP, a souligné l'engagement de la Tunisie à mettre en œuvre les SDGs (Sustainable Development Goals), à maintenir l'équilibre environnemental et économique et à fournir de meilleures conditions de vie dans le secteur de la pêche.
- Philippe Ankers, FAO, a souligné le rôle clé de la protection sociale pour assurer la durabilité de la pêche artisanale et la résilience des communautés SSF à divers chocs covariants (économiques, sociaux et environnementaux) qui ont un impact négatif sur leur niveau de vie.
"Pourquoi avons-nous besoin d'une protection sociale dans le secteur de la pêche ?" La protection sociale fournit aux pêcheurs, qui sont plus vulnérables aux chocs covariants, un filet de sécurité et leur donne les moyens d'aller de l'avant.
- La création d'un comité technique qui rassemble les parties prenantes interinstitutionnelles qui peuvent aider à améliorer ou à modifier les régimes de protection sociale pour les pêcheurs.
- Le développement d'outils techniques pour améliorer la capacité des pêcheurs à répondre aux chocs covariants.
- modalités d'affiliation
- de la capacité contributive
- des artisans en matière de sensibilisation et de communication avec les pêcheurs.
Omar Benammour, FAO, a présenté la note d'information sur le cadre de cohérence. Il a souligné que la protection sociale, lorsqu'elle est conçue en cohérence avec les politiques de la pêche, peut avoir des effets positifs sur l'environnement, la diversification des revenus, l'amélioration de la capacité à gérer les risques et à assurer la sécurité alimentaire et la nutrition.
Fabio Veras, directeur des études internationales, a parlé de l'étude de performance et de l'analyse comparative. Il a souligné que l'une des limites à l'inclusion des petits pêcheurs dans les programmes de protection sociale est la nature continue des contributions, qui est incompatible avec la saisonnalité de la pêche.